novembre 2009

http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif
http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif
http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif
http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif
http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif
http://i12.servimg.com/u/f12/09/00/76/34/th/flo1810.gif

C'est l'ensemble de la vie individuelle que l'on devrait nommer "destin" et non pas ce futur tangible qui,

d'une heure sur l'autre, remet tout en question, fait de nous une épave ou un héros. Dominique Blondeau

Citations que je dédie à mes 5 adorables petites-filles qui partagent avec nous leur enfance ainsi que leurs rêves.

AMOUR / TENDRESSE. Une mamie toujours admirative !

"Dans chaque enfant, il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant" Picasso

L'enfance est un pays imaginaire. Ne cassons pas leur rêve, au contraire, donnons-leur l'occasion de les vivre.

Anne-Marie/Osemaude

Les vérités différentes en apparence sont comme d'innombrables feuilles qui paraissent différentes et qui sont sur le même arbre. Gandhi

La recherche, la découverte s'avancent dans la béance de l'incertitude et de l'indécidabilité. D.Groll

Le génie surgit dans la brèche de l'incontrôlable, justement là où rôde la folie. Edgar Morin

ACCEPTER, ce n’est pas la même chose que s’adapter tant bien que mal. SWAMI PRAJNANPAD

La personne la plus influente vous parlant à longueur de journée, c'est vous. Donc, vous avez avantage à être très prudent à propos de ce que vous vous dites.

Zig Ziglar

Nous n'habitons pas des régions. Nous n'habitons même pas la terre. Le coeur de ceux que nous aimons est notre vraie demeure. Christian Bobin

Lorsque nous avançons dans les marais ou les méandres de notre vie, nous devons rester positifs et attentifs aux nénuphars. Pierfetz

http://arciel88.fr/bibpoesiespierrot/MENU1234.htm

Acrostiche de Jean-Jacques Mutz avec mon pseudo: Je te remercie, cher poète .

OSEMAUDE

On me parle de sagesse

Sur des lignes de prouesse

En des phrases simples

Mesure du temps sans complexe

Avec l’éclair d’un savoir-faire

Unie dans toute sa lumière

Devenue une propre chair

Envergure où le juste esprit se place

PENSEES VOLENT, VIRVOLTENT COMME LES FEUILLES, VIVANTES.

"MA BOÎTE DE VIE"

J’ai refermé le couvercle sur ma boîte de vie. Je me suis mise à peindre des cercles, des sphères, j’ai souri. Combien en avaient-ils ?

Un rond pour le cœur, tout de jaune. Deux cercles pour les yeux, tout de bleu. Une sphère de sentiments, tout de blanc.

Une courbe d’espoir, tout de vert. Des cercles de douleurs, tout de mauve. Et une spirale pour l'Amour, tout de rouge.

Cette boîte refermée me donne l’envie de rêver. Cette boîte imaginée sur nos cœurs éblouis à jamais !

Anne-Marie Dewaele /Osemaude



Reste devant la porte si tu veux qu'on te l'ouvre. Rien n'est jamais fermé, sinon à tes propres yeux.

-Vassili Kandinsky

Est beau ce qui procède d'une nécessité intérieure de l'âme. Est beau ce qui est magnifique intérieurement. La poésie est un lieu où il s'évade et prend racine en nous ! Le rêve, cette part de vérité qui est en nous ! Anne-Marie Dewaele/Osemaude

L'âme a la couleur du regard. Guy de Maupassant

S'il ne se passe rien, écris pour le dire. Cicéron

Les mots, pour moi, sont les passagers de l'âme. Les envies, les peurs, les angoisses,

les interrogations, les souffrances sont parfois dites maladroitement.

Le pardon est là pour tout remettre en ordre. Anne-Marie Dewaele/Osemaude

Plein de tendresse dans cette vidéo : Le bal perdu la chanson de Bourvil

Silence d'automne Fernand Gregh

C'est le silence de l'automne où vibre un soleil,

monotone dans la profondeur des cieux blancs ...

Voici qu'à l'approche du givre

Les grands bois s'arrêtent de vivre

Et retiennent leurs cœurs tremblants.

Vois, le ciel vibre, monotone ;

C'est le silence de l'automne.

O forêt ! qu'ils sont loin les oiseaux d'autrefois

Et les murmures d'or des guêpes dans les bois !

Adieu, la vie immense et folle qui bourdonne !

Entends, dans cette paix qui comme toi frissonne,

Combien s'est ralenti le cœurs fougueux des bois

Et comme il bat, à coups dolents et monotones

Dans le silence de l'automne !


La force suprême de l'art et de l'amour est de nous contraindre à vouloir épuiser en eux l'inépuisable. A.Malraux