août 2007
Albert Camus: Il n'y pas de honte à préférer le bonheur
Khalil Gibran: N'est-il pas étrange de nous voir défendre plus farouchement nos erreurs que nos valeurs?
Nakashima Kijoshi
Voltaire: Chaque joueur doit accepter les cartes que la vie lui distribue.
Mais une fois qu'il les a en main, lui seul peut décider comment jouer ses cartes pour gagner la partie.
"Ambiguïté sur les eaux chaudes et limpides, c'est la sexualité." d'Olivier S
Anne-Marie/Osemaude
Mettre de l'amour dans sa vie, c'est aussi, le partage d'idées, de points de vue et de talents différents qui donne de la beauté en ce monde. Tout cela nous enrichit et nous donne la liberté en travaillant notre moi intérieur, telle une thérapie.
Les Serres Royales de Laeken /Belgique.
Une journée de balade remplie de beautés
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Patrick Modiano: Il y a des êtres mystérieux, toujours les mêmes, qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de notre vie.
Tout est possible tant que la vie existe.
Pierrot des Vosges ÓPierfetz http://arciel88.fr/ : Interlude !
Pour conforter nos escalades un interlude est nécessaire : s'abreuver à l'eau des cascades reprendre souffle et changer d'air !
Se reposer pour mieux penser, découvrir d'autres horizons, engranger sans trop dépenser, à son rythme selon les saisons.
L'interlude permet aux rêveurs de remettre les pieds sur terre en évitant bien des erreurs... Viser trop haut, tomber par terre !
Photo d'Anne-Marie
Jacques Salomé: De l'amour de soi à l'amour de l'autre
L'amour de soi ouvre à l'amour de l'autre et à la capacité d'établir des relations durables et fiables, non seulement avec nos proches, mais avec ceux que nous aimons. Le plus beau cadeau que nous puissions faire à nos enfants, n’est pas tant de les aimer, que de leur apprendre à s’aimer. Un enfant qui ne s’aime pas, sera un adulte qui aura beaucoup de mal à aimer dans la liberté d’être.
Message d'Anne-Marie/Osemaude : La perception de mes écrits est différente d’une personne à l’autre puisqu’il existe différentes sensibilités. C’est le fruit de mon imaginaire en apportant ma réalité reproduite par la pensée qui m’effleure, mais qui n’est pas nécessairement la vôtre. La pensée à elle seule est le fruit d’une activité psychique et désigne l’activité de mon intuition et de ma créativité. Mes écrits ne définissent pas ma vie réelle, ni présente et personnelle. Car l’art sous toutes ses formes, n’est-il pas du rêve ? Où se situent l’irréel et la réalité très terre-à-terre avec sa vision qui est souvent détournée ?
Photo d'Anne-Marie 11/8/07
Voltaire: Un mérite de la poésie, c'est qu'elle dit plus que la prose, et en moins de paroles que la prose.
Photo d'Anne-Marie→
Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire;
elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer !
Une belle journée de bricolage partagée avec mes petites-filles (3 et 5 ans) !
Voici les réalisations de pâte à sel sous le regard de Mamie.
Le psychologue américain William James (1842-1910), fondateur du premier laboratoire de psychologie expérimentale aux Etats-Unis, reste à méditer :
« le génie c’est simplement la faculté de percevoir les choses d’une manière inhabituel " : .N’accordons-nous pas trop d’attention et de temps à la chose regardée et pas assez à la manière dont nous regardons. Le point de vue d’où l’on observe devrait aussi faire l’objet d’une plus grande remise en question.
Changer, c’est d’abord changer de regard, de perspective, d’angle.
Sa tombe, en Chine. Confucius env. 551 avant J-C :
"Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés."
Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions. Une belle découverte, les poètes avec flashpoésie :
PABLO NERUDA : Extrait de "Vingt poèmes d amour et une chanson désespérée"
J'aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente, et tu m'entends au loin, et ma voix ne t'atteint pas. On dirait que tes yeux se sont envolés, et on dirait qu'un baiser t'a clos la bouche. Comme toutes les choses sont remplies de mon âme, tu émerges des choses pleine de mon âme. Papillon de rêve, tu ressembles à mon âme et tu ressembles au mot : mélancolie. J'aime quand tu te tais et que tu es comme distante. Et tu es comme plaintive, papillon que l'on berce. Et tu m'entends au loin, et ma voix ne t'atteint pas: laisse-moi me taire avec ton silence. Laisse-moi aussi te parler avec ton silence, clair comme une lampe, simple comme un anneau. Tu es comme la nuit, silencieuse et constellée. Ton silence est d'étoile, si lointain et si simple. J'aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente, distante et dolente, comme si tu étais morte. Un mot alors, un sourire suffisent, et je suis heureux, heureux que ce ne soit pas vrai.
Dan O'Brien : Rien n'est plus patient que la nature.
