histoire du bâti

MAIRIE

3 Février 1793 …….Chef lieu de Canton, district de Castelnaudary,…….. Il se trouve y avoir tout près (de la maison de l’hobit ??) et du côté du couchant, un petit local appartenant à la commune, lequel peut très fort suffire pour y bâtir une maison commune ainsi que des prisons, le lieu en étant dépourvu……

24 Août 1823 : Monsieur Joseph Arnaud CROUZET de RAYSSAC Chevalier de l’Ordre Royal, Ancien lieutenant colonel de cavalerie, Maire actuel, plein de sollicitude « … voyant avec regret que notre commune soit dépourvue de local propre à tenir nos séances et à tenir de mairie vient par un écrit que je dépose d’offrir en donation une maison lui appartenant size dans le village et n’impose d’autre condition … cet objet érigé en maison commune à perpétuité. Cette offre généreuse venant … égard être accueillie, d’autant qu’elle procure à la commune un avantage appréciable ….. »

13 Juin 1838 : Aliénation de la maison commune, attendu qu’elle est d’un faible montant et à besoin de grandes réparations. Le produit de cette vente sera affecté à l’acquisition d’un autre bâtiment qui servira à la fois de maison, d’école et de mairie

12 Juillet 1840 : Le conseil est d’avis à l’unanimité …. la maison et le jardin contigu de Monsieur Pierre Andraud Fils, située dans les Cassès pour la somme de 730 Francs.

27 Août 1871 : Projet d’acquisition du bâtiment de Monsieur ROUDIERE et de vente aux enchères de l’actuelle maison (3 000 Francs).

7 Septembre 1873 : Vente aux enchères de la maison qui sert de mairie et de logement pour l’instituteur public (publications faites au son du tambour à la sortie de chaque messe paroissiale).

1° Novembre 1952 : Inauguration salle du conseil au 1° Etage de la Mairie. (REYNES Antoine, Maire).

12 Mars 1958 : Désaffection de la Mairie. Transfert du secrétariat dans l’ancienne école.

12 Avril 1958 : Installation de la nouvelle Mairie.

10 Avril 1965 : Mise en vente de l’ancienne Mairie acquise le 17 Août 1873 de ROUDIERE Léonce.

31 Décembre 1966 : Vente de l’ancienne mairie à Louis GELI (30 000 Francs).

FOYER

17 Août 1967 : 7 000 000 Francs Marché gré à gré 28 Juillet 1969

Novembre 2011: installation d'une cuisine

PRESBYTERE

22 Avril 1906 : En vertu de la loi concernant la séparation des Eglises et de l’Etat, à partir du 1° Janvier 1906, toute dépense relative à l’exercice du culte est supprimée du budget de la commune. Néanmoins, certaines sommes peuvent être rétablies par les communes qui voudront accorder soit une pension viagère soir une allocation temporaire au ministre des cultes, qui, au 9 Décembre 1905, recevaient d’elles un traitement. Avis d’accorder une allocation temporaire de 200 Francs à Mr CALVAYRAC François.

17 Mars 1906 : Il y a tout intérêt qu’un immeuble soit habité, et, qu’un immeuble inhabité, surtout une vieille maison, ne tarde pas à se détériorer et à tomber en ruines. Considérant que les ressources de Monsieur le Désservant ne lui permettent pas de payer un loyer, vu que ses fonctions seront désormais gratuites, considérant que par déférence religieuse le presbytère ne sera ni réclamé, ni loué par personne, dans ces conditions, l’immeuble restera sans locataire et dépérira. Laisser gratuitement le presbytère et ses dépendances à la jouissance de Monsieur le desservant. Les impositions et les réparations de toute nature seront à la charge de la commune propriétaire ainsi que l’assurance incendie

23 Juin 1907 : Affectation à donner au presbytère dont la commune n’est plus autorisée à laisser occuper gratuitement par Monsieur le desservent. Délibération pour le laisser gratuit étant donné que Monsieur le desservant ne peux pas payer un loyer

15 Août 1907 : Location à 25 Francs. Bail de 18 ans à compter du 15 Août 1907 à Monsieur CALVAYRAC François. Les réparations locatives, la taxe des portes et fenêtres sont à la charge du preneur, les autres impositions sont à la charge de la commune. 1* Février 1925 Bail pour 10 ans à compter du 15 Août 1925. 15 Novembre 1936 Bail pour 10 ans à compter du 15 Août 1935

Location à Madame Gabrielle PAGE moins 3 appartements qu’elle laisse Monsieur le Curé

13 Février 1946 : Autorisation ouverture Epicerie à PAGE Gabrielle, et, ouverture d’une porte fenêtre sur la rue.

25 Septembre 1955 : Le locataire cède 2 pièces à l’institutrice suppléante Yvette PORTET

FONTAINE

10 Avril 1870 : Suite au legs de Monsieur BROUILHET (lettre de testament) projet d’une fontaine sur la place qui est située au levant de l’Eglise (Cinq autre membres souhaitent que la fontaine soit établie sur la place qui est située près le jardin de l’aubergiste Anduze)

14 Février 1892 : Plainte au sujet de la fontaine. Sorte de grand puit ou chacun en puisant, trouble plus ou moins l’eau, ce qui pourrait être dangereux pour l’hygiène publique. Achat d’une pompe à volant. Le garde communal ayant été révoqué il reste au budget 174 Francs

PONT

16 Thermidor An III de la République : Les grandes pluies qui sont tombées il y a environ un mois ont causé des inondations si fortes qu’il a été (le pont) emporté par les eaux

10 Janvier 1873 : Projet Construction d’un pont sur le Marès à l’endroit ou ce ruisseau traverse la principale rue du Village, classée vicinale par l’arrêté de Monsieur le Préfet, en date du 18 Août 1871

21 Février 1876 : Le pont dont il s’agit est de toute nécessité

21 Mai 1876 : Demande d’emprunt pour la construction du pont avec tablier métallique

17 Novembre 1912 25 Francs de peinture

16 Février 1913 Peinture des fers du pont métallique établi sur le ruisseau du Marès au passage du chemin vicinal N° 7

ELECTRICITE

3 Septembre 1922

12 Novembre 1923 Projet de formation d’un syndicat intercommunal Siège Airoux

10 Février 1926 Participation 93 000 Francs Société Méridionale de Transport de Force. Les tarifs de vente du fournisseur sont trop élevés, la puissance est insuffisante, nombreuses demandes de rectification

16 Novembre 1927 : 98 468 Francs

2 Février 1930 : PV travaux installation électrique des bâtiments communaux, église, école, presbytère et local de l’instituteur 2 396 Francs 50

16 Septembre 1968 : Projet équipement en 220 Volts

HORLOGE

7 Septembre 1913 : 950 Francs O Cadet.

2011 électrification des cloches

POIDS PUBLIC

10 Juin 1906 : Considérant que toute la population de LES CASSES est essentiellement agricole et que la culture du fourrage occupe la plus grande partie du territoire, à cet effet, un moyen de pesage devient indispensable

1* Mars 1908

20 Décembre 1908 : Proposition de Monsieur RAMONDOU à Revel. Transport gratuit, garantie 5 ans 10 000 Kg + 4 poids de 20 Kg chacun + tablier pour 1 030 Francs

3 Janvier 1909 : Prévoir maisonnette pont bascule et marché de gré à gré pour le pont bascule

16 Mai 1909 : 2 100 Francs

26 Juin 1910 : …maçonnerie en plus. Drainage prévu trop petit, achat d’une chaise, d’une table tiroir, gravier pour empierrer les abords du pont bascule. Ce dernier travail est très utile pour faciliter les abords. Augmentation de 124 Francs 11 mais rabais de l’entrepreneur et provision pour dépenses imprévues.

25 Décembre 1910 : Passage à la bascule gratuite.

23 Mai 1962 : Fermeture car erreur sur les pesages de plus de 25 %

7 Janvier 1965 : Réouverture gratuite

22 Mars 1973 : Fermeture définitive

EGLISE

9 Octobre 1831 : Réparation à faire au clocher

20 Mai 1860 : L’Eglise des Cassès est trop petite pour contenir les fidèles qui assistent aux offices du dimanche et des jours de fête, les ouvertures sont trop petites, ce qui rend l’église très obscure, peu éclairée, par conséquent peu salubre. Les habitants seraient d’avis d’agrandir l’église, l’exhausser, refaire les ouvertures et la plafonner en plâtre.

6 Juillet 1865 : Autorisation des travaux pour l’église (adjudication sans résultats)

29 Octobre 1865 : 2 legs de 10 000 et 5 000 francs de Monsieur Jean Pierre BROUILHET, natif de Les Cassès, avec charge de construire une fontaine publique et un monument public au choix du conseil municipal, à la condition que les noms du bienfaiteur et les noms de son père et mère et les dates et lieux de leur naissance soient gravés sur chacun d’entre eux

29 Avril 1866 : Pierre Metge consent à céder à la commune une parcelle de terrain de 29 Ca.. pour l’allongement de l’Eglise paroissiale

7 Mars 1869 : Offre faite par Monsieur le Curé d’une somme de 1 000 Francs, à lui remise par une personne inconnue.

21 Février 1869 : La Fabrique ( ?) de l’Eglise de la commune n’a pas encore versé dans la caisse municipale la somme de 800 Francs. Le conseil municipal après en avoir mûrement délibéré a été d’avis d’autoriser Monsieur le Maire à poursuivre par les voies judiciaires la Fabrique des Cassès et Monsieur le desservant pour le recouvrement de la somme de 800 Francs afin que l’entrepreneur des travaux de l’Eglise puisse toucher le solde qui lui revient, et sollicite en outre de l’autorité supérieure l’autorisation d’ester en justice.

26 Février 1871 : Le conseil concède à l’unanimité 26 m2 de terrain communal qui se trouve au Nord Est du sanctuaire pour y faire construite une sacristie.

17 Mai 1874 : Ouverture d’une deuxième fenêtre dans la chapelle du Sacré Cœur du côté de la chaire. Les frais d’ouverture et de construction de cette fenêtre devant être couverts par des dons particuliers.

15 Août 1875 : Le mauvais temps à considérablement endommagé les murs extérieurs de l’Eglise

19 Mai 1878 : Considérant que le carrellement mosaïque du sanctuaire de l’Eglise des CASSES est dans un état déplorable, ayant été ébranlé par la vapeur souterraine, accord d’un secours de 300 Francs

18 Mai 1879 : Urgence et réparation entière du sanctuaire de l’Eglise complètement dégradé par la vapeur souterraine. Eglise Restaurée en partie grâce à une donation particulière.

13 Décembre 1961 : Bancs par Marcel AUSSERES avec les Platanes provenant de l’allée du cimetière

MONUMENT AUX MORTS

7 Novembre 1920 : Projet d’un monument aux enfants de la commune morts pour la France CRESPY A Revel 2 973 Francs au centre de la petite place attenante à l’Eglise.

LAVOIR

24 Avril 1948 : 2 Barrages au ruisseau LE MARES. Grande importance et utilité publique d’une fosse d’aisance ou waters closet de l’école.

1 – Les Rougers

2 – Réserve de la Grange 8 M de long sur 7 de large. Réservé aux bestiaux et non au lavage.

L’au sera en réserve. Il est interdit qu’oies et canards pénètrent dans les abreuvoirs et lavoirs. Défense d’utiliser eau de javel, lampo ou cristaux.

2010: aménagement du bord du Marès

EAU

4 Juin 1947 : Frais d’études de l’adduction d’eau

8 Janvier 1950 : Adhésion au syndicat d’Etudes Captage et régul des eaux du Sor.

2002: création d'un réseau d'assainissement collectif et d'une station d'épuration de 200 équivalent / habitants

MONUMENT DE LA MISSION

25 Mars 1946 Erigé sur la place de la Mairie par Antonin AUSSERES Refus de crédit.

12 Août 1946 6 720 Francs payé moitié par mairie, moitié par Curé GARY

PRESSOIR COMMUNAL

200 Francs par pressée.

TELEPHONE

16 Mai 1909 : Constitution d’un 3° réseau téléphonique départemental. La commune paiera une cote part des intérêts du capital à emprunter pour le département. Le préfet fait connaître qu’elle est fixée à 102 Francs pour la 1° année. Adhésion définitive au projet.

21 Novembre 1943 : Cabine téléphonique transférée chez Monsieur TEISEYRE Roger

25 Décembre 1945 : Transfert chez Monsieur AUSSERES Jean Marie.

4 Mars 1976 : Pose cabine téléphonique automatique

Juin 2011: haut débit internet disponible suite à un investissement de la régions (participation au frais par le biais de la communauté de communes)

ECOLE

Ordonnance du Roi du 14 Février 1830, Délibération du 16 Mai 1830 : Sa majesté veux que l’instruction élémentaire soit répandue dans toutes les communes de son royaume et que l’enfant de l’indigent comme celui de l’opulent puisse se faire instruire. Notre commune est comme vous le savez est depuis de très nombreuses années, sans instituteur, et le guide d’enfance est indispensable, tant pour porter les enfants à la crainte de Dieu, à l’amour de leur semblable, qu’au respect et à l’obéissance que l’on doit avoir pour son prince, nous devons nous occuper d’une imposition extraordinaire etc….

6 Février 1844 : Demande à l’autorité suprême d’une somme de 700 francs (la commune est privée d’instituteur depuis longtemps faute d’un logement convenable)

28 Février 1871 : Agrandissement de la salle d’école, Suite avis de Monsieur l’inspecteur de l’Ecole primaire, salle d’école très insuffisante pour contenir le nombre d’élèves (61)

20 Décembre 1881 : L’inspecteur primaire signale «que la salle de classe est froide, humide, que maîtres et élèves doivent y rester couverts et y grelottent malgré toutes les précautions qu’ils peuvent prendre pour se garantit du froid. Que la cloison séparative rend la surveillance difficile et porte un préjudice réel à la discipline et à l’instruction. Que le mobilier scolaire est en mauvais état… »

4 Novembre 1904 : Vu le mauvais état de la charpente supportant la toiture de la salle de classe, considérant qu’il y a un véritable danger de laisser plus longtemps le personnel scolaire sous une toiture dont la charpente qui la supporte est toute vermoulue et qui sous l’influence d’un coup de vent ou le poids de la neige pourrait s’effondrer d’un moment à l’autre, est d’avis qu’il y a lieu de changer immédiatement le local scolaire et de l’installer provisoirement pendant sa réparation qui aura lieu incessamment dans une pièce libre du logement de l’instituteur ou mieux encore dans la salle de la mairie, et prie Monsieur le Maire de bien vouloir faire dresser sans délai par un homme de l’art le devis estimatif des travaux à faire pour la réfection de la toiture de la salle de classe

7 Mai 1905 : Devis estimatif Monsieur VAICHERE, agent voyer cantonal s’élevant à 950 Francs …..considérant que la salle de classe est provisoirement installée dans la cuisine de l’instituteur, pièce libre mais tout à fait insuffisante pour le personnel scolaire, vu l’urgence des travaux à faire dans les plus brefs délais …….

8 Octobre 1905 : Adjudication des travaux de la toiture et du plafond de la salle d’école Projet approuvé par le Préfet. Mise à prix fixée à 843 Francs Remportée par AUSSERES Pierre

17 Décembre 1905 : Obligation de blanchir les parements intérieurs des murs lesquels sont pleins de poussière et en partie dégradés par l’enlèvement des poutres et des chevrons. Il est indispensable aussi d’enduire de plâtre la partie haute des dits murs et de poser des tuyaux en zinc avec tuyau de descente du côté de l’entrée des élèves. Ces réparations supplémentaires seront couvertes par le montant du rabais et de la somme à valoir, de sorte que le montant général de la dépense ne sera pas changé et demeurera fixé ainsi que l’indique le devis modificatif présenté par Monsieur l’architecte à la somme de 950 Francs

10 Juin 1906 : Le vieux bois provenant de la réfection de la toiture et du plafond de la salle de classe ainsi que les tuiles à crocher qui ont été remplacées par des tuiles canal ne sont d’aucune utilité pour la commune mais au contraire un encombrement pour la cour de l’école dans laquelle ses objets sont déposés. Le conseil, considérant que la commune n’a pas d’emploi pour le bois ni pour les tuiles dont il s’agit, à l’unanimité est d’avis que la commune soit autorisée à les vendre par adjudication aux enchères publiques.

22 Novembre 1908 : LEGS de 4 000 Francs fait aux écoles Laïques de LES CASSES par Monsieur ROUDIERE Léonce, par testament holographe du 9 Août 1899, aux minutes de Monsieur RAFFIT, Notaire à Villefranche de Lauragais. Monsieur ROUDIERE Léonce décédé dans cette localité le 6 Avril 1908. Aucune réclamation de la part des héritiers du testateur.

20 Septembre 1925 : Demande de matériel scolaire au ministre de l’instruction Publique de la carte de la France Physique, du département de l’Aude, globe terrestre, bureau pour la maîtresse.

20 Septembre 1954 : Projet construction scolaire.

20 Septembre 1955 : Achat 35 ares terrain à Antoine BONNEFOY augmenté à 38 ares le 18 Mars 1956 2 classes, 2 logements pour 9 750 000 Francs Travaux CHASSAGNE entrepreneur. Lettre Mr le Maire car travaux ont étés arrêtés, pour inviter à reprendre les travaux de gros œuvre. Revalorisation des Marchés 10 892 595 Francs. Réception des travaux le 27 Septembre 1958.

10 Aout 1957 : CRESPY Henri quitte le poste de l’Ecole des garçons. Monsieur CARRERE le remplace. Haie de l’Ecole en thuyas de Chine.

Octobre 2011: peinture

Juillet 2012: rénovation complète de la toiture + isolation

NOTES DIVERSES

8 ième Floréal de l’an II de la République Française, une et indivisible, Citoyen André ALQUIER, Nommé chef d’atelier de la fabrication du salpêtre qui doit se fabriquer dans cette commune en vertu de la loi du 14 frimaire dernier

16 Décembre 1838 : Nomination d’un garde champêtre : Monsieur Mathieu Page

6 Novembre 1853 : Projet d’échange du terrain communal dit le Crucifix

1887 : Travaux à l’aiguille : Madame RABOUL présente toutes les garanties de moralité et de capacité désirables.

29 Octobre 1865 : 2 legs de 10 000 et 5 000 francs de Monsieur Jean Pierre BROUILHET, natif de Les Cassès, avec charge de construite une fontaine publique et un monument public au choix du conseil municipal, à la condition que les noms du bienfaiteur et les noms de son père et mère et les dates et lieux de leur naissance soient gravés sur chacun d’entre eux

Mai 1904 : Les travaux à l’aiguille doivent être enseignés aux jeunes filles qui fréquente l’école mixte. Nomination de Madame CRESPY J fille de l’instituteur (considérant l’importance de la couture pour les jeunes filles)

7 Mai 1905 : Création d’une Société de Secours Mutuel. Liste contentant les adhésions particulières au nombre de 40 en faveur de cette institution. Sera un bienfait réel pour la population.

11 Octobre 1914 : Acheter des tricots de laine, ceinture de flanelle, chaussettes de laine et caleçons de laine à tous les militaires pour tous les militaires de la commune sans exception présents sous les drapeaux

22 Novembre 1908 : LEG ROUVIERE : Le bureau de bienfaisance devra annuellement verser à la caisse municipale 50 Francs consacrés selon les volontés du testateur à des réjouissances publiques le jour de la fête nationale.

19 ?? Demande de bourse avec trousseau en faveur de Gineste André Jean Baptiste candidat à l’Ecole de Saint Cyr : Accordé

28 Janvier 1935 : Limitation de vitesse : 30 km heure dans la traversée de LES CASSES. Sens unique entre l’Eglise et ???? vu la petite largeur de la voie.

9 Mars 1944 : Maîtresse de couture chargée du balayage de la mairie

16 Décembre 1945 : 202 Habitants

25 Mars 1947 : 218 Habitants

5 Octobre 1950 : Empierrement, cylindrage et goudronnage des rues. Projet. Marché gré à gré

20 Mai 1951 Société Standard Française des Pétroles - Paris – 1 635 850 Francs

CIRCULATION

l’Entrée du Village par la rue Principale ayant accès sur la GC de Revel à Villefranche étant très dangereuse, vu l’étroitesse du tournant et la circulation très intense, REYNES Gaston offre à titre gratuit un coin du parc à cet endroit du tournant avec assurance que le mur qui clôture ce parc soit coupé et rétabli en arrière. 11 11 1950

2011: Passage de la rue de l'église en sens unique

 

ESPACES

2009: création de l'espace Henry Puig

 

TENNIS

1981: création d'un tennis

 

FORT

2007: mise à jour des fondations de l'ancien moulin

2011: création d'une stele comémorative des 800ans du bûcher de 1211

 

PLACE DE LA MISSION

2011 rénovation du crucifix