11 juin 2021 : victoire en appel à Nantes !
Les éoliennes industrielles nuisent gravement à la santé des riverains et des animaux. Partout en France et dans le monde des habitants témoignent de l’atteinte à leur santé : insomnies, dépression, vertiges, nausées et maux de tête quotidiens, fatigue permanente, épilepsies, sifflements dans les oreilles sans traitement efficace. Ces troubles qui apparaissent sont regroupés sous le terme médical de Syndrome éolien. Ils disparaissent à distance des éoliennes ou quand elles s’arrêtent. L’Académie de médecine préconise une distance minimale de 1500 mètres, inquiète de ce phénomène sanitaire qui prend de l’ampleur. Or des éoliennes gigantesques de plus de 200 mètres de hauteur, regroupées en parc de 5 à plusieurs dizaines de machines, parfois aussi par centaines, sont installées à 500 mètres seulement des habitations. Du monde entier, des études scientifiques indépendantes et rigoureuses, des universitaires et des médecins confirment l’existence de ce syndrome et la dégradation de la santé de personnes qui vivent à proximité des éoliennes.
Un scandale sanitaire mondial est en train d’éclater qui concernent les populations rurales démunies.
Partout en France et en Europe, les habitants témoignent d’une grande souffrance, d’une véritable détresse à cause de ce bruit: les riverains parlent de « harcèlement », ou encore de « supplice » ; les témoignages affluent, venant de Suisse, de France, d'Allemagne et d’ailleurs.
Un bruit de fond allant de 106 à 110 décibels (dBA) qui peut s’entendre à plus de trois kilomètres à la ronde. Et qui s’aggrave avec la force ou la direction des vents. Ce bruit continuel les empêche de dormir, de se concentrer, de travailler. Le stress est majeur car même à l’intérieur de leur maison, ils ne peuvent s'en prémunir: pour y échapper, beaucoup fuient leurs maisons définitivement ou passent la nuit ailleurs ou dans leurs sous-sols. Ces personnes n’avaient pas ces troubles avant l’installation des machines éoliennes, depuis les premières installées au début des années 2000 de moins de 100 mètres et maintenant celles qui se dressent à plus de 200 mètres de haut avec des pales gigantesques. Les habitants ne se rendaient pas compte de ce qui les attendait avec l’installation de ces machines qui attaquent leur cadre de vie et leur santé physique. Ils n’y étaient pas opposés au départ mais maintenant ce n’est plus le cas. Les promoteurs des éoliennes industrielles leur ont menti, abusant de leur confiance en vantant une « énergie propre et inoffensive », en leur camouflant cette nuisance. Des associations par milliers se mobilisent contre les éoliennes industrielles. En espérant qu’il ne soit pas trop tard. Car pour l’instant leur détresse et leur colère sont ignorées et même méprisées par les institutions sanitaires et de l’environnement de l’état français à la merci des lobbies éoliens.
Bien sûr, leurs représentants, n’habitent pas à côté des éoliennes car ils savent bien eux ce que représentent une telle nuisance permanente. Posez leur la question si seulement vous en avez la possibilité. Et vous verrez leur réponse.
Ce sont des sons inaudibles par l’oreille humaine consciemment car de très basse fréquence. Ils sont produits par les vibrations des mâts des éoliennes et par le frottement des pales.
Les lignes de raccordement à haute et basse tension nécessaires au fonctionnement des éoliennes constituent une nuisance sous-estimée par les autorités et les promoteurs. Des centaines de milliers de kilomètres de ligne électrique à basse tension vont traverser les sols des villes et des campagnes pour alimenter ces machines. A Verneuil- sur Avre, il est question de les faire passer sous des trottoirs , ce qui est tout de même préoccupant ? L'Orne est un pays très humide
lien nozay
Article de France 3
"Une dizaine de cas concernent les Pays de la Loire dont cette ferme ou plusieurs centaines de vaches sont mortes depuis la mise en service du parc éolien de Nozay."
Publié le 06/11/2019 France 3
A lire et regarder sur BFM avec le témoignage de Alain Crouillebois, éleveur dans l'Orne...
"Après l'apparition de troubles importants chez leurs animaux, selon eux d'origine électrique, des éleveurs expliquent avoir mis la clé sous la porte. "
BFM 04/11/2019 à 21h23