2 jours en juin 2018 à Paris, en interne GDR en vue de la programmation d’une école thématique (décision d’annuler ce projet, mais pas les formations)
Une vingtaine de participants, essentiellement des habitués de MIRES et leurs étudiants
Objectif : découvrir les analyses de réseau, notamment les modèles à blocs stochastiques
Enseignants : S. Ouadah et F. Massol
2 jours à Montpellier en juin 2019 (financement Mires)
https://github.com/Sophiedonnet/Formation_Reseau_MIRES
20 inscrits, majorité d’étudiants en anthropologie et écologie
Objectif : maîtriser les analyses de réseau (analyses descriptives, utilisation des ego-networks, modèles à blocs stochastiques)
Enseignants : S. Donnet, F. Massol, N. Verzelen
5 jours à Dakar en mai 2020 (financement CoEx) :
https://github.com/osaraho/Formation_Reseaux_COEX
Participants : 6 chercheurs et étudiants d’Afrique de l’Ouest (Burkina Faso et Sénégal) et de France
(Ndeye Fatou Faye Mané et Mouhamed Rassoul SY (ISRA, BAME), Amy Bodian (ISRA, CERAS),
Éveline Compaoré et Constantin Compaoré (INERA), Laurent Ouedraogo (GRIL, Univ. Ouagadougou), et Faustine Ruggieri (CIRAD, GREEN)).
Dans le cadre du projet CoEx, des activités conduites dans le cadre des différentes tâches ont abouti à la collecte de données concernant les réseaux d’acteurs impliqués dans la gestion et l’utilisation des semences de plantes cultivées à différents niveaux : réseaux institutionnels impliqués dans la gouvernance, réseaux d’acteurs de la filière de production et de commercialisation de semences certifiées, ou encore réseaux d’approvisionnement en semences des agriculteurs. L’objectif de la formation « introduction à l’analyse des réseaux sociaux : applications aux réseaux d’acteurs impliqués dans la gestion et l’utilisation de la diversité cultivée » était de renforcer la capacité des partenaires à analyser ces données. Nous nous sommes appuyés pour cela sur l’expérience du groupe méthodologique MIRES et du GDR ReSoDiv qui conduit des recherches interdisciplinaires, réunissant des chercheurs en mathématiques et statistiques, sciences de la vie et sciences humaines et sociales autour des questions méthodologiques relatives à l’étude des dynamiques de la diversité cultivée.
Formatrices : V. Labeyrie, S. Ouadah