Le matin, Sylvie se lève à 6h30. C’est tôt pour elle. Elle prend sa douche et elle s’habille. Ensuite, elle prend son petit-déjeuner. Pendant son petit-déjeuner, elle lit un peu et elle écoute la radio. Après son petit-déjeuner, elle s’occupe de ses plantes vertes. Ensuite, elle se prépare pour partir au travail: elle se brosse les dents, elle se maquille, elle met son manteau et elle part au travail. Elle part de chez elle à 7 h15.
Avant de commencer son travail, elle prend un café avec Julien, son collègue. Elle travaille de 8 heures à midi. Après son travail, elle va se promener dans un parc. Elle se promène pendant une heure et puis elle rentre. Chaque soir, elle fait quelques courses au supermarché, elle parle quelques minutes avec la voisine et elle rentre pour préparer le repas.
Sylvie vit seule. Elle n’a pas d’animaux et elle est heureuse comme ça. Le soir, elle mange en regardant son programme préféré à la télé. Ensuite, elle fait la vaisselle et elle téléphone à une amie. Puis, elle se démaquille, elle se déshabille et elle prend son bain. Elle en prend un chaque soir. Elle y reste pendant une heure. Après le bain, elle se sèche longuement les cheveux. Et après, elle se couche. Elle lit un peu avant de s’endormir. Et elle s’endort vers minuit.
Catherine Lipsim est professeure de français dans une école de Namur. Elle a un mari, trois fille et un petit garçon: Céline, Alice, Clémence et Corentin. Céline a huit ans, Alice a cinq ans et Corentin a un an. Catherine a quarante ans e son mari, Cédric, a quarante-deux ans. Ils habitent à Jambes, près de Namur. Ils ont une grande maison. C'est normal : ils sont six !
Aujourd'hui, Catherine est restée à la maison. Sa fille, Céline, est malade: elle a la grippe. Céline est triste, elle doit rester toute la journée au lit. Elle a envie d'aller à l'école. Mais avec la grippe, c'est impossible. Alors, elle regarde la télévision et elle dort beaucoup. Parfois, elle lit un livre avec sa mère.
Témoignages
J'aime la nature, les promenades... alors tous les soirs à 19h, je ferme mon magasin et je vais au parc avec mon chien. Le weekend, nous allons à la campagne, mon mari et moi, avec notre chien, bien sûr!
Miléna, Paris
Je travaille à la maison: je fais des vêtements pour mes clients. Je ne suis pas seule, j'ai un petit chat : il s'appelle Félix. Il y a un petit jardin ici, alors il va dans le jardin et joue avec le chat de la voisine.
Clémentine, Lyon
Arthur Higelin, de son vrai nom, naît le 27 mars 1966 à Paris. Il est un chanteur et musicien français. Il est le fils du chanteur Jacques Higelin et de Nicole Courtois, et le demi-frère de Kên Higelin, Maya Barsony et d'Izïa Higelin.
Arthur Higelin étudie la musique au Berklee College of Music de Boston pendant un an et demi avant de rentrer en France où il commence à jouer et à composer au sein de divers groupes. C'est au sein de son groupe "Bachibouzouk Band" qu'il se fait connaître, avant de sortir en 1990 son premier album solo, Arthur H.
Le Ramadan à Marseille
Impossible de passer à côté du Ramadan dans certains quartiers de Marseille. A Nouailles (un quartier de Marseille), les commerçants sont majoritairement musulmans. C’est le cas d’Abdel Kader El Kurti. Parti de rien, ses enfants sont aujourd’hui à la tête d’une chaîne de boucherie. Pendant le Ramadan, le business continue. Pour Rafik, son fils, pas question de travailler moins : " On fait quatorze heures de travail par jour. On est ouvert ici de six heures du matin jusqu’à huit heures du soir. C’est de père en fils. Ça me plaisait ce qu’il faisait mon père".
La famille El Kurti ne connaît pas la crise, mais ces commerçants prospères ont aussi le sens du partage. Tous les soirs, ils accueillent à leur table, ceux qui sont dans le besoin : " Il y a à manger pour nous. Si on peut donner à manger pour quelqu’un d’autre, ça nous fait plaisir. C'est très important… de faire du bien, c’est ce qui est le plus important".
C’est bientôt l’heure de la rupture du jeûne. Ce soir, comme tous les autres soirs, Rafik ne mangera pas chez lui : il doit aller chez ses parents pendant tout le mois du Ramadan. C’est la tradition familiale.
Le soir pour la rupture du jeûne, l'appartement est comme un bout d’Algérie en plein Marseille. Prière, repas, convivialité, les ingrédients d’un Ramadan comme au pays. La mère de famille, Fatma, ne raterait ce rendez-vous pour rien au monde : "Je suis venue mardi d’Algérie pour préparer tout ça (cuisinier.....), spécialement pour le Ramadan des enfants. Mes enfants ne me rendent pas souvent visite, pendant le Ramadan, j’en profite pleinement".
source : https://www.podcastfrancaisfacile.com/podcast/le-ramadan-a-marseille.html
Je m'appelle Ahmed et quand j'étais enfant, j'avais des rêves plein la tête. Je voulais être professeur et enseigner les mathématiques. Puis, je voulais devenir docteur pour soigner les malades. Pour moi, les médecins et les infirmières sont des héros sans costume.
Mon ami Thomas rêvait d'être cuisinier. C'est parce qu'il n'aimait pas les plats de la cantine. Il pensait qu'un chef pouvait manger des pizzas et des frites tous les jours.
Puis, plus grand, je découvrais les métiers de policier et d'avocat dans un film. Je me disais alors que je voulais aussi combattre pour la justice. Je voulais poursuivre les criminels et défendre les gentils. Mais le monde ne fonctionne pas toujours ainsi.
Adolescent, je voulais devenir pompier. Mes parents m’encourageaient à devenir sapeur-pompier volontaire pour voir si cette carrière était réellement pour moi. J'étais donc lycéen et pompier à la fois.
Mais ma plus grande passion, c'est l'art. Et aujourd'hui, je suis artiste. Je peins des tableaux dans mon studio.
Mon ami Thomas, lui, est dentiste. Pourtant, quand on était petits, il détestait aller chez le dentiste. Il pleurait à chaque fois.
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Chocolat chaud, gâteau à la banane, concombre au vinaigre… La photographe Hannah Whitaker et la journaliste Malia Wollanont a parcouru la planète pour prendre en photo les petits déjeuners d'enfants.
Saki Suzuki, 2 ans et demi, Tokyo. A 7 mois, Saki a goûté son premier natto, plat japonais traditionnel à base de haricots de soja fermentés. Elle l'a vomi aussitôt. Sa mère, Asaka, pense qu'elle a été dégoutée par l'odeur, qui rappelle celle des boîtes de pâtée pour chat.
Les haricots gluants sont cependant devenus le plat favori de Saki, elle en avale un bol tous les matins. Sur la table, sont aussi disposés du riz, une soupe miso, du kabocha no nimono (plat à base de potiron et de sauce soja), du tamagoyaki (fine omelette roulée) et du saumon grillé. Et enfin du concombre avec vinaigre, que Saki déteste.
Tiago Bueno Young, 3 ans, Sao Paulo. Tiago boit un chocolat avec du lait. Lui et ses frères mangent aussi des céréales, du gâteau à la banane et un bisnaguinha, petit pain brésilien servi avec du requeijao, une sorte de fromage blanc.
Doga Gunce Gursoy, 8 ans, Istanbul. Le petit déjeuner de Doga est copieux le samedi : pain avec du miel et de kaymak (crème fraîche épaisse), olives, œufs sur le plat et sucuk (saucisse sèche épicée), œufs cuits dures, assortiment de viandes (mouton, chèvre, vache), confitures de mûres, pâtisseries, pain, tomates, concombres, radis et autres légumes crus et une purée de poivrons. Et puis le fameux halvah, gâteau à la noisette, sans oublier le jus d’orange et le lait.
Je m'appelle Pierre. J'habite à la campagne, dans une maison qui a plus de 100 ans. La maison est près d'un petit village. J'adore vivre ici parce que c'est très tranquille. Il n'y a pas beaucoup d'autobus ou de voitures et les rues sont propres. Vous pouvez vous promener calmement parce qu'il n'y a pas de violence. Vous pouvez même laisser vos portes ouvertes, personne ne va vous voler.
Nous connaissons tous les voisins et à la fin de la journée, nous nous rencontrons sur la place principale pour bavarder. Comme il n'y a pas beaucoup à faire le soir, nous nous couchons tôt. Il n'y a pas de discothèques, théâtres ou cinémas. Nous n'avons pas de musée ou de club pour les jeunes non plus. Mais les enfants peuvent jouer dans les rues ou dans les champs et ils peuvent avoir des animaux.
Vous dormez très bien parce qu'il n'y a pas de bruit. Le seul son qu'on entend, c'est le chant des oiseaux ou la pluie. L'air est frais et on peut voir des millions d'étoiles.
Vivre à la campagne est un peu difficile en hiver. Quelquefois il neige beaucoup et nous sommes isolés pendant quelques jours.
Je m'appelle Ken. J'habite dans une grande ville et j'adore ça. Bien sûr, ici il y a beaucoup d'autobus, des voitures, des vélos et des motocyclettes, des gens qui veulent traverser les rues. Les embouteillages sont fréquents et l'air est mauvais. Mais il y a aussi beaucoup d'avantages si on habite dans une grande ville. Il y a plus d'offres d'emploi, de meilleures écoles, des grands magasins, des restaurants plus élégants, beaucoup de cinémas, théâtres, galeries d'art, et musées. Si vous voulez vous promener, vous pouvez aller dans un des parcs. Bien sûr, les enfants ne peuvent pas jouer dans la rue, mais il y a plein de clubs pour les jeunes et des parcs thématiques où ils peuvent s'amuser.