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L'Echo du Nord du 13 septembre 1903 revient sur le triste bilan de la tempête de début septembre.
Le lundi 7 septembre 1931 un drame familial s'est produit à Equihen ; un ouvrier d'usine de 31 ans (et non pas 34 ans comme l'indique le journal La Croix) Charles C....rentrant du travail eut une violente dispute avec son épouse et lui porta un coup de couteau ; sa femme née Elisabeth.... âgée de 34 ans ; grièvement blessée fut transportée à l'hôpital Saint Louis de Boulogne-Sur-Mer. Le meurtrier Charles. C... qui a pris la fuite est recherché par les gendarmes... La victime survivra à ses graves blessures, quand à Charles. C... il décèdera quatre ans plus tard à l'âge de 35 ans en 1935. Ce drame sera relaté dans plusieurs journaux dont " L'Action Française" et " Le grand Echo du Nord"....
Le journal des débats politiques et littéraire du 18 mai 1851 rapporte "Dimanche 18 mai 1851 tandis que la population était aux vêpres une véritable avalanche d'eau se précipita sur le Portel, un petit ruisseau se transforma en une véritable mer emportant tout sur son passage....A Equihen-Plage sur les terres et dans la ferme de monsieur Delateignant les dégâts durent désastreux..."lire la coupure de presse...A Ningles un moulin à eau a été coupé en deux par la trombe....suite lire l'article
A Equihen-Plage le 27 juillet 1890 vers "deux heures et demi du soir" comme mentionné sur l'acte de l'époque du lendemain 28 juillet 1880, deux garçons âgés de 7 ans se noient ; ce fait sera relaté en autre par le journal La Lanterne. Il s'agit de Eugène Ledoux fils de Auguste Jules Ledoux (marin) et de Adélaïde Magnier ; Eugène Alexis Ledoux était né le 20 juillet 1883 à Equihen-Plage ; Le second enfant noyé se nommait Louis Marie Sergent fils de Eugène Alfred Sergent (marin) et de Marie Eugénie Noel, Louis Marie Sergent était né à Equihen-Plage le 21 octobre 1883.
A Equihen-Plage le 27 juillet 1890 vers "deux heures et demi du soir" comme mentionné sur l'acte de l'époque du lendemain 28 juillet 1880, deux garçons âgés de 7 ans se noient ; ce fait sera relaté en autre par le journal La Lanterne. Il s'agit de Eugène Ledoux fils de Auguste Jules Ledoux (marin) et de Adélaïde Magnier ; Eugène Alexis Ledoux était né le 20 juillet 1883 à Equihen-Plage ; Le second enfant noyé se nommait Louis Marie Sergent fils de Eugène Alfred Sergent (marin) et de Marie Eugénie Noel, Louis Marie Sergent était né à Equihen-Plage le 21 octobre 1883.
Le Grand Echo du Nord de la France relate le drame entre Hardelot et Equihen-Plage ( le décès d'un père et de sa fille
Le journal " La Croix du Nord " du 30 juillet 1932 rapporte l'accident du garçon de 10 ans Achille Auguste Blampain qui s'était cramponné à un véhicule avant de sauter ; victime d'une fracture du crâne l'enfant fut transporté à l'hôpital. L’accident eut lieu le mercredi 27 juillet 1932 et l'enfant survécut.. Achille Auguste Blampain est né le 1er janvier 1923 à Equihen (hameau d’Outreau). Achille Auguste Blampain serait décédé le 23 juin 2003 à Equihen-Plage.
Jean Charles Cazin décède le 26 mars 1901 au Lavandou qui était hameau de Bormes à cette époque...Selon sa volonté il sera enterré à Bormes et une statue sera érigée, à cette époque, près de La Chapelle Saint-François. Carte postale de la statue de Jean Charles Cazin
A cette époque, près de La Chapelle Saint-François, une statue de Jean Charles CAZIN sera érigée ;carte postale de la Chapelle Saint-François à Bormes.
" Le Journal, dernière heure" du 17 avril 1912 dans un article sur le naufrage du Titanic signale que le Carpathia ramène les survivants et que tout espoir est perdu d'en trouver d'autres". Saint-Jean-De-Terre-Neuve le 16 avril 1912, tout espoir a été abandonné de retrouver vivants d'autres passagers ou marins du Titanic que ceux que transportait le Carpathia.; sur cette même page un long article sera consacré à Harriet Qimby ( Miss Quimby) pour son exploit : " Harriette QUIMBY jeune aviatrice, a été, hier matin la première à traverser la manche sur un aéroplane, non pas comme passagère, mais pilotant elle-même un appareil Blériot-Gnome 50 HP.
HARRIET QUIMBY, Miss Quimby article du journal "La vie au grand air revue illustrée de tous les sports" du 12 septembre 1911.
HARRIET QUIMBY : à peine un an après l'obtention de son brevet, le 16 avril 1912 elle devient la première femme à traverser la Manche aux « commandes d'un avion, prêté par Louis Blériot. Le départ se fait à Whitfield, près de Douves ;elle se pose à Equihen. Notons que le célèbre Blériot avait déjà effectué ce vol mais dans le sens inverse : Calais-Douvres.
Harriet QUIMBY est née le 11 mai 1875 à Arcadia Township dans le Michigan. Quand elle nait, ses parents William Quimby et Ursula Cook, un couple de fermiers, ont déjà perdu trois enfants ; il ne reste à Harriet qu'une sœur aînée Helen, née en 1870. A la fin des années 1880 la famille abandonne la ferme et s'installe dans la région de San Francisco.
Sa passion devient fatale : elle périt, avec son passager William Williard, dans l'accident de son avion le 1er juillet 1912. C'est à l'occasion du 3e meeting annuel de Boston qui se déroule à Quincy que Harriet et son passager effectuent un aller-retour au phare de Boston Light ; l'avion revient à toute vitesse et pique brutalement, il était alors a une altitude d'environ 500 mètres, les deux passagers sont éjectés et tombent dans l'estuaire du fleuve Nepenset. Les secours mettent plusieurs minutes à ressortir les corps de l'eau mais ne peuvent que constater leur décès. C'est donc ce 1er juillet 1912 que l'extraordinaire pionnière de l'aviation décède à seulement 37 ans. »
Premier article publié le 4 juin 2022 (voir bas de page) ; nouvelles recherches et archives publiées le 14 mars2023.
Eugène DUFEUTREL un Equihennois décédé sur le Cuirassé Liberté le 25 septembre 1911.
Acte de transcription du 18 juin 1912 à Equihen, extrait du tribunal civil de Toulon : "Le 25 septembre 1911 des explosions de soutes ont détruits en rade de Toulon le cuirassé" Liberté" causant la disparition d'un certain nombre d'officiers et de matelots...Le tribunal déclare le dé décès de Eugène DUFEUTREL, matelots inscrit à Boulogne-Sur-Mer sous le numéro 3725, matricule militaire 2835 classe 1910.,né à Equihen le 23 août 1890 ( et non le 22 août 1889 comme le mentionne le journal) fils de François Joseph Dufeutrel et Marie Honorine Blanpain.
Dans la cadre des manifestations patriotiques du 4 septembre 1911, le cuirassé rejoint la rade de Toulon. Il y séjourne ainsi jusqu’au 25 septembre 1911. La tragédie du 25 septembre 2011
Il est environ 5 heures 20 du matin lorsque des matelots du Liberté donnent l’alerte. Il y a le feu à bord. Les vedettes de secours arrivent mais il est trop tard. Le feu s’est propagé. Il vient d’atteindre les soutes dans lesquelles sont conservées les réserves de poudre. Le navire explose. La déflagration est telle qu’elle emporte les sauveteurs. Des corps sont projetés sur les navires environnants. Certains bâtiments de la flotte sont touchés. Dans la nuit résonne le « bruit angoissant de clameurs désespérées ». Les effets se font ressentir jusque sur terre. Des vitres sont brisées, des meubles déplacés … Un officier, pourtant situé à trois kilomètres du drame, succombe, touché par un obus.
Le bulletin des réfugiés du 20 mai 1920 rapporte l'information suivante : le jeune Auguste Louis Condette 9 ans longeait la plage en direction d'Hardelot à la rencontre de son frère partit à la pêche au ver...Il y trouva de nombreux engins explosifs, que bien à tord l'armée Anglaise laisse dériver et échouer sur nos plages ; un des engins explosa et mis le feu au vêtement du garçon qui regagna son domicile et y décéda... Le drame eut lieu le lundi 26 avril 1920 ; l'acte de décès mentionne le décès le mardi 27 avril 1920 à 1h00 du matin ; Auguste Louis Condette 9 ans était né le 25 juin 1910 à Equihen fils de Jean-Baptiste et Rosalie Herbez.
Le journal l'Express du Nord et du Pas-De-Calais du 29 juin 1900 relate l'évènement suivant : le maire d'Outreau Félix Delplanque, lors d'une réunion du conseil municipal de juin 1900, décide de suspendre l'allocation à l'abbé Lecaille de la paroisse d'Outreau et l'abbé Vaillant de la paroisse d'Equihen hameau d'Outreau; sur 23 conseillers 6 étaient manquant dont Hippolyte Adam qui prévoyant ce qui allait se produire avait donné sa démission (rappelons que Hippolyte Adam avait été maire de 1880 à 1884 de Le journal l'Express du Nord et du Pas-De- Calais relate cet évènement le 29 juin 1900. Félix Delplanque fut maire d'Outreau de 1892 à 1907 Il perdra les élections et c'est Léon Yeatman, le gendre de Hippolyte Adam) qui fut maire de 1907 à 1919.
Sites et monuments ; L'Express du Nord et du Pas de Calais de janvier 2006 ; Installation d'une éolienne sur le toit d'une immeuble H.L.M. en 2006.Cet essai fut vite supprimé à cause du bruit important que cela occasionnait...
Amitié et Nature Fédération sportive et gymnique du travail 1 juin 1961..."Equihen, sa falaise, ses lumières, ses couleurs Equihen où le ciel et la mer, la mer composent des harmonies de tons qui dépassent en finesse, douceur et rareté…" Docteur et poète Victor Doiteau....Lire la suite dans l'article ci dessous...
Le journal " Le Radical illustré de Marseille " du 4 février 1939 évoquera l'éboulement de la falaise : " Une falaise minée près de Boulogne-Sur-Mer ; les pluies persistantes ont miné la falaise d'Equihen et celle-ci a glissé sur une longueur de 2000 mètres entraînant plusieurs maisons" ; l'information était erronée c'était sur 200 mètres que s'éboula la falaise.
Le journal "Le Soir" du 2 février 1939 relatera avec beaucoup plus d'informations l'éboulement de la falaise sur une longueur de 200 mètres et une largeur de 10 mètres entrainant sept maisons en février 1939... " Diverses maisons sont encore menacées : "quelques-unes semblent perchées sur la falaise comme dans un film de dessins animés ; les habitants de ces maisons ont transporté leurs biens chez des voisins ou des parents en attendant qu'une solution soit trouvée..."
Le Journal " La Croix" du jeudi 21 janvier 1886 relate qu'une Equihennoise de 56 ans Elisabeth Fournier a été retrouvée morte dans le fossé du chemin d'Equihen qui relie l'usine de Montataire à Manihen (les A.P.O.) samedi 16 janvier. Le décès serait dû à une mort naturelle... Elisabeth Fournier était veuve de Jean Pierre Merlin décédé le 29 janvier 1877 à Equihen...
l'expresse du Nord et du Pas-de-Calais du 16 mars 1898 signale une maison à vendre le 24 mars 1898 ; la vente aura lieu à l'école des garçons ; maison sise à Equihen commune d'Outreau avec bâtiments divers, dépendances etc...vers couchant à vendre à veuve Delcourt, vers midi au sieur Louis Condette et vers levant à monsieur Dégardin....Mise à prix deux mille francs.
Le Bulletin de la société industrielle de Mulhouse du 1er janvier 1933 publiera un article peu élogieux sur le magnifique village d' Equihen : ("un coin de pays fort original, le sauvage hameau de pécheurs d'Equihen") alors que le charme et sa particularité firent venir tant d'artistes plusieurs dont plusieurs vinrent même s'y installer ; ajouté à cela un manque de respect pour les habitants si courageux aux métiers si rudes où s'ajoutent à cela les nombreux deuils suite aux naufrages...Recherche de Pascal BERNARD éditée le 23 juillet 2022.
Le journal L’œuvre du 6 février 1939 dans sa rubrique " Les échos" rapportera le glissement de falaise de deux cents mètres de longueur et sur huit mètres de largeur et dont la hauteur de la chute dépasse quinze mètres qui eut lieu en février 1939. Lire l'article ci dessous. Recherche de Pascal BERNARD Publié le 23 juillet 2022.
Le journal Ce soir grand quotidien d'informations dans un article relatera aussi l'effondrement de la falaise de février 1939 à Equihen "La falaise s'effondre sur une longueur de 200 mètres et une largeur de 10 mètres en février 1939..". Publié le 23 juillet 2022.
Le Grand Echo du Nord du 3 août 1902 rapporte : Outreau l'école des garçons c'était l'école Paul Bert ( construite en 1896) quant à l'école d'Equihen je pense que c'est l'aide pour l'école des garçons ( Ecole Fernand Buisson ... " construction d'un préau à l'école des garçons à Outreau (école Paul Bert) et agrandissement des écoles du hameau d'Equihen ( dépense 25.042 francs. Sont accordes sur les fonds départementaux 400 francs pour les travaux et 100 francs pour les mobiliers ; et un avis favorable est donné à l'allocation sur les fonds de l'Etat d'une subvention globale 5.665 francs. Publié le 23 juillet 2022.
L'Express du Nord et du Pas de Calais du 4 mai 1896 publie le résultat des élections municipales à Outreau et de son hameau d'Equihen qui avaient lieu le dimanche 3 mai 1896 ; bien qu'arrivé en tête avec 425 voix Hippolyte Adam ancien maire de 1880 à 1884 ne sera pas élu le conseil municipal votera à nouveau Félix Delplanque maire sortant .
Lors de ce vote du dimanche 3 mai 1896 en ce qui concerne la section d'Equihen Létendart arrive en têt avec 216 voix il est donc élu suivi de 4 élus en ballotage : Labouré 190 voix , de Sauvage 180 voix, Daguebert- Flahaut 166 voix et Blanpain Charles 142 voix. Il faut savoir que la loi du 5 avril 1884 avait établi l'élection du maire pour 4 ans ; en 1929 la durée du mandat d'un maire sera porté à 6 ans....Après sa réélection de mai 1896 Félix Delplanque (qui avait succédé à Eugène Legros maire de 1884 à 1892) sera maire jusqu'en 1907.
Un grave accident s'est produit mardi 2 janvier 1934 en fin de matinée à la sortie du quartier du Pont Hamel au Portel sur la route d'Equihen ; Mme Bouquet née Coppin- (et non Bocquet comme l'indique le journal) 53 ans fermière venait de terminer sa tournée de vente de lait et retournait chez elle à Equihen dans sa voiture attelée d'un cheval, avec à son cotés d'elle son garçon. Au tournant du Pont Hamel un camion percuta violemment la charrette et madame Bouquet-Coppin grièvement blessée dut être transférée à la clinque Leroy de Boulogne-sur-Mer. Photo du Pont Hamel route d'Equihen...
Voici ce que relate l'article du Grand écho du Nord de la France de janvier 1934 concernant le grave accident entre la charrette de madame Bouquet-Coppin et le camion qui avait manœuvré maladroitement... Carte postale ancienne de la Route d'Equihen et du quartier du pont Hamel au Portel.
Carte postale ancienne de la Route d'Equihen et du quartier du pont Hamel au Portel.
"Le gamin éjecté se releva sans blessures mais madame Bouquet-Coppin après consultation d'un médecin et d'un chirurgien craignent de devoir amputer la jambe... Le chauffeur du camion qui s'était montré arrogant avec le garde a été emmené par les gendarmes pour mener l'enquête, son nom n'a pas encore été révélé. "
La clinque chirurgicale du docteur Henri Leroy ouverte sur la rue de Flahaut, occupait également une partie de la rue Dutertre avec ses dépendances mais l'adresse comme on la retrouve dans les actes était rue Flahaut...
Transportée le jour même de l'accident du mardi 2 janvier 1934, madame Bouquet-Coppin subit les soins mais suite à ses graves blessures elle succomba le 9 février 1934 à la clinique Leroy au N°2 rue Flahaut à Boulogne-Sur-Mer, dans sa 54ème année...Née à Boulogne, mariée à Le Portel, elle résidait le village d'Equihen.
C'est après la première guerre mondiale que la clinique Leroy, du nom du médecin Henri Leroy (1886-1964) fut créée ; cette établissement médical qui fut détruit en 1989. Carte postale avant la seconde guerre mondiale de l'établissement qui deviendra la clinique du docteur Leroy.
Le village d'Equihen réclame son autonomie depuis 35 ans et la Presse "Le Journal de 1936 " publiera un long article.
Texte intégrale titré " Le village d'Equihen réclame son autonomie depuis 35 ans.
Photo publiée par " Le Journal de 1936" qui mentionnera "Une perspective du village si pittoresque du village d'Equihen qui depuis 75 ans a son église , mais réclame en vain , son indépendance municipale" ; rappelons qu'à cette époque Equihen était un hameau d'Outreau.
Sport et plein air Fédération à Equihen revue du 10 juin 1961 sportive, revue du 10 juin 1961. "Remercions ma municipalité d'Equihen-Plage d'avoir mis cette installation sous le parrainage des A.N-F.S.G.T de Calais".
Le journal Les Journées Françaises De plein air mentionnera : "Il existe à <Equihen-Plage un second terrain de camping ; mais mal place en bord de falaise, il ne convenait pas à une rencontre telle que les J.F.P.A." Je pense qu'il s'agissait du camping sauvage de la Crevasse dont voici une photo.
Auparavant les membres d es Journées Françaises De plein air avait rencontrés le maire et le conseil municipal de l'époque où il avait reçu un accueil très chaleureux ; le maire de l'époque était René DUMONT maire d'Equihen-Plage du 22 mars 1959 au 20 mars 1965.
Le lundi 7 septembre 1931 un drame familial s'est produit à Equihen ; un ouvrier d'usine de 31 ans (et non pas 34 ans comme l'indique le journal La Croix) Charles C....rentrant du travail eut une violente dispute avec son épouse et lui porta un coup de couteau ; sa femme née Elisabeth.... âgée de 34 ans ; grièvement blessée fut transportée à l'hôpital Saint Louis de Boulogne-Sur-Mer. Le meurtrier Charles. C... qui a pris la fuite est recherché par les gendarmes... La victime survivra à ses graves blessures, quand à Charles. C... il décèdera quatre ans plus tard à l'âge de 35 ans en 1935. Ce drame sera relaté dans plusieurs journaux dont " L'Action Française" et " Le grand Echo du Nord"....
Le Grand écho du Nord de la France du vendredi 5 juin 1903 relate l'accident par électrocution d'un homme qui se rendant à son travail à l'usine de ciment, celui çi arrivés avec ses collègues de travail au lieu dit " La Verotière" aperçurent un câble électrique détendu ; Jules DUMINY effleura ce câble le fil et tomba foudroyé sur le sol allongé sur le câble de 3000 volts environ, ses collègues de travail parvinrent à le " décoller" ; la victime qui ne donnait plus signe de vie fut ramener chez ses parents où il reçut les soins du docteur Bourgain". Jules Duminy né le 25 décembre 1883 à Equihen hameau d'Outreau à cette époque survivra... Cet évènement fut relaté dans plusieurs journaux... Recherches de Pascal BERNARD publiés le 4 juin 2022.
Cet accident fut mentionné le jour même dans Le Petit journal, puis le Mémorial Artésien 6 juin 1903 et autres. Malgré les graves séquelles il fut appeler pour " la grande guerre" le 12 août 1914 au 8 mars 1915 date où il finit en captivité jusqu'au 29 décembre 1918 ; libéré définitivement des obligations militaire le 2 janvier 1919 avec certificat de bonne conduite et les mentions suivantes : blessures, citations, et décorations. A cette époque il ne vivait plus dans la région. Recherches de Pascal BERNARD publiés le 4 juin 2022.
Coupure de presse du 28 août 1905 ; un enfant de 11 ans sauve trois de ses camarades de la noyage - en fait Jean Baptiste c'était son frère - Auguste Blanpain né 22 septembre 1894 à Equihen hameau d'Outreau décédé le 3 avril 1965 à Equihen-Plage, marié le 19 septembre 1918 avec avec NOEL Constance Nathalie ;Auguste Blanpain-selon un article des années 1950- aurait sauvé 39 personnes...D'autres articles seront publiés. Recherches de Pascal BERNARD publiés le 4 juin 2022.
Le 16 avril 1912 Harriet GIMBY, partie de Douvres à 5H35, puis être passé au dessus du cap Gris-Nez à 6H15, atterrissait à EQUIHEN à 6H30.... Le 1er juillet 1912, Harriet Quimby se tue à Boston, où elle participait au meeting aérien d'Harvard-Boston.. Recherches de Pascal BERNARD publiées le 4 juin 2022 suite voir lien https://www.universalis.fr/encyclopedie/harriet-quimby/ . Pour tout articles dans les revues ou autres merci de respecter le travail de l'auteur ainsi que les sources.
Trois mois plus tard le 1er juillet 1912, Harriet Quimby se tue à Boston, où elle participait au meeting aérien d'Harvard-Boston où elle participait au meeting aérien d'Harvard-Boston organisé par William A. P. Willard, lequel, passager du frêle appareil, perd également la vie ce soir-là. À bord de son monoplan Blériot, alors qu'elle survolait Dorchester Bay et virait à la hauteur du phare de Boston, il y eut ce piqué soudain, d'une altitude d'environ 500 mètres, qui précipita son passager dans le vide. Les spectateurs horrifiés assistèrent à la tentative d'Harriet pour rétablir le Blériot, mais une violente secousse l'éjecta à son tour vers une mort certaine suite voir lien https://www.universalis.fr/encyclopedie/harriet-quimby/ Recherches de Pascal BERNARD publiés le 4 juin 2022
La Française Hélène Boucher (1908-1934) lui rendit le meilleur hommage possible, en 1934, en devenant l'être humain le plus rapide du monde. Les aviatrices valent donc les aviateurs. D'ailleurs, l'éditorialiste du Boston Post ne s'y trompa pas quand il écrivit, à propos d'Harriet : « Elle prit les mêmes risques que les hommes et mourut comme un homme. » lien https://www.universalis.fr/encyclopedie/harriet-quimby/ Recherches de Pascal BERNARD publiées le 4 juin 2022
Pour tout articles dans les revues ou autres merci de respecter le travail de l'auteur ainsi que les sources.Recherches de Pascal BERNARD publiées le 4 juin 2022.
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