Sur cette page, vous trouverez mes expériences en tant qu'étudiant et enseignant.
Par la suite je vous mettrai les appréciations des premiers stagiaires ayant terminés la formation.
3 ans de prépa. vétérinaire : une petite base scientifique en biologie végétale, animale, embryologie, chimie organique et thermodynamique.
1 an à la faculté d'anglais.
2 ans de formation en étiomédecine avec feu le Dr. Jean-Louis Brinette à qui je rends hommage.
6 ans d'ostéopathie à l'ESO, école privée.
10 ans de formation postgrad en ostéopathie : intégralité des cursus de feu Mr Bernard Darraillans, et de Mr René Briend.
Mai 2022 : Très bonne formation de Laurent Fabre, sur la douleur du membre supérieur.
En tant qu'élève, j'ai toujours cherché à analyser le mode d'enseignement des professeurs, très souvent j'organisais les révisons avec mes camarades avec un petit talent pour deviner les sujets. Hélas ou heureusement, cela n'a pas fonctionné en prépa véto...
Néanmoins, j'ai pu observer et analyser les avantages et les inconvénients des grands types d'enseignements en France : Prépa, faculté, enseignement privé et enseignement post-grad.
De 2003 à 2011 : Introduction à l'étiomédecine pour les ostéopathes.
De 2004 à 2010, chargé de cours à l'Ecole Supérieure d'Ostéopathie de Chargé de cours en méthodologie appliquée (anatomie, biomécanique, physiologie, pratique ostéopathique) niveau licence 1 : Une création originale en méthodologie de travail d'apprentissage avec liens entre théorie et application pratique.
De 2007 à 2010 : Élève, non diplômé, de la première formation ACTA, puis intervenant et assistant pour la formation ACTA (science cognitive) de l'ENS Cachan avec Alain Finkel, Professeur des Universités.
De 2011-2016 : Mise en place d'un groupe de travail pluri et transdisciplinaire, conférences, révisions post-graduées 1 fois par mois.
Juin 2019 : Lancement de la formation en méthodologie diagnostique après 4 ans de travail et de préparation.
Je crois sincèrement avoir progressé en tant qu'enseignant grâce à Mr Alain Finkel. La mise en pratique de son enseignement sur des bases scientifiques (sciences cognitives) a transformé ma vie d'enseignant, et je l'espère, a amélioré ma capacité à transmettre un savoir et peut-être même des connaissances...
Sur cette base, j'ai pris l'ensemble de mes formations post-grad, en analysant ce qui m'a plu et ce qui a pu me manquer, en analysant les questions, les difficultés d'intégration et de mise en pratique des autres élèves.
Attention ! Ce qui suit est juste mon expérience et ne sera pas à prendre comme une vérité, mais juste un point de vue à travers ma culture d'élève et d'enseignant. En effet, certains peuvent avoir besoin d'un mode d'enseignement qui ne correspond pas à ma personnalité, ni à mes représentations mentales, voire à mes croyances. Pour chaque remarque, vous aurez les propositions que j'ai mises en place :
En questionnant certains élèves : La méthodologie n'est pas toujours en accord avec leur sensibilité. Je tiens cependant à souligner le travail titanesque de René Briend qui a fait une excellente synthèse de pédagogie et de méthodologie, c'est grâce à lui que j'ai pu mettre en place cette formation sous cette forme.
Je vous propose un panel de tests et de méthodologies très large en espérant que certains outils feront écho à votre sensibilité de clinicien.
L'absence de suivi pédagogique.
Pour cela, j'ai mis en place 1 à 2 débriefings audio avec des exercices pratiques, des compléments de cours, des cas cliniques entre chaque stage pour vous relancer dans vos cours et au cabinet.
Sur la même ligne : le manque de stages en cabinet. C'est avec Bernard Darraillans que j'ai pu faire un véritable travail à 4 mains, où 1 seule journée de cabinet valait plus pour moi, que 2 ou 3 jours de séminaires : Des vraies dysfonctions, de vrais traitements adaptés aux patients, enfin de la théorie mise en pratique !
Mise en place de stages cliniques de découverte ou d'approfondissement du cours entre chaque module.
L'absence d'assistant. Hormis quelques exceptions, le manque d'assistant compétant m'a profondément manqué lors de mes formations.
Pour remédier à cela, un assistant de qualité, compétent et formé à cette pratique, a bien voulu se lancer dans l'aventure. Sa culture ostéopathique est incontestable, ancien enseignant de structurel en formation initiale, c'est également un praticien qui excelle dans l'approche biodynamique. Il ne pense pas toujours comme moi, il ne traite pas toujours comme moi, nous ne sommes pas toujours d'accord et cependant nous pratiquons le même métier avec la même philosophie : Nous essayons de participer à l'amélioration de la santé de nos patients avec nos sensibilités respectives.
Le manque d'évaluation : L'évaluation post-grad est un vrai manque selon moi. Je vous développerai sur une autre page mes motivations et les bénéfices à mettre en place ces évaluations, car pour beaucoup d'entre vous et parfois à tort, elles peuvent faire peur aux futurs stagiaires.
A partir du module 2, il y aura un QROC au début de chaque séminaire avec une correction le dimanche matin, et quand nécessaire une correction écrite avec des reprises, des approfondissements et/ou des complément de cours en débriefing audio.
Au passage, merci à tous mes Maîtres, ils m'ont inspirés, ils m'ont aussi énervés parfois, mais grâce à eux, j'ai pu avancer et m'épanouir dans ma profession.
Comme la liste est longue, vous aurez le lien sur cette page.