Je suis né en orient. Mes jours d enfance ont étés mouvementés. Mes frères et moi avons appris á la dure. Nos vies étaient remplis de difficultés.
Nous sommes grandis ensemble. Nous étions fort ainsi; pouvant donc affronter cette époque trouble.
Des l enfance nous avons compris beaucoup de choses, dont la plus part de gens , étaient insensibles.
Cette compréhension nous Valais le refus. D autres personnes nous prenaient pour des fous, et quelques unes nous écoutaient. Notre mère, ne comprenais pas le pourquoi de notre nature. Avec le temps, elle a appris á nous écouter et c est ainsi qu elle s est mise au diapason.
De tous ces enfants, c étais moi qui lui posais le plus de problèmes. Elle disais qu autour de moi, c étais comme si les mystères du monde, tournoyaient, faisant un tourbillon autour de ma tête.
Elle étais belle, intelligente et amoureuse. Elle se battais pour nous garder en forme, malgré notre différence.
Nous avons appris beaucoup de choses a faire pour aider notre mère et puis être autonomes. Nos secret nous les partagions et, c est ainsi que des toutes nos expériences individuelles, nous avons fait une science. Mais c est moi qui mettais tout cela en ordre. Les idées et connaissances qui apparûrerent dans mon esprit, a certains moments de la journée, j ai finis par les digérer.
Du monde j avais deux versions. Celle qui apparaissait devant mes yeux; et puis, celle qui apparaissait dans mon esprit. En mettant les deux ensemble le trouble remplissait mon être. Des fois une colère montais en moi. Le monde si beau et varié, fait pour de vies de miséré et des interdits.
Il fallait gagner nos vies, nous disaient. Pourquoi payer pour quelque chose que nous n avons pas demandé. Pourquoi est si naturel naître et si difficile vivre? A qui payons nous cette existence? Et malgré le prix que nous payons pour y être, le bonheur et la paix n est jamais là.
Nos questions étaient comme la paille balancée sur le feu. Nos points de vue sur les choses, dérangeaient beaucoup de personnes, surtout celles qui représentaient l autorité. A cause de cela, nous devions déménager constamment. Avec le temps, les autres ont commencé á nous connaître par nos connaissances variées. Une fois c étais une maisonnette en bois et paille. Autre fois c étais une construction en pierre. J avais appris a reconnaître les bonnes choses qui venaient de la terre cela permettais aux personnes et animaux de se sentent mieux la ou ils vont se sédentariser.
Il y avais de moments ou nous rencontrions de personnes nous ressemblant. Les sites ou nous construisions des ouvrages étaient propices á cela. Là, nous partageâmes ensemble nos expériences. Je étais sure que, les bonnes choses venant de la terre bien choisie, étais la cause. L ouvrage reprenais les bonnes énergies et les gardais. Par la suite, d autres personnes venaient et s intéressèrent á ce que l on avais á dire.
Des endroits comme cela nous avons finis par laisser plusieurs. Et ça a fait de nous des hommes avec une certaine renommé. Avec le temps nous dûmes des bâtisseurs; étant moi le chef.
L effet que nos ouvrages empreignirent chez les autres, n étais pas de la bonne volonté des puissants. Ils préférâmes, les temples ou les idées archaïques définirent le comportement des autres. Nous devenimes pas aptes á être ni écoutés ni suivis dans nos enseignements. Nous dûmes partir; et très loin.
Nous sommes partis vers l ouest. A cette époque, je rencontrais de personnes dans un espèce de rêve éveillé. Mes frères ne voyant pas cela, j ai du leurs en expliquer. Au début j ai attribue cela a mon monde intérieur. A tout ce qui se passait dedans. Mais avec les rencontres que nous faisions, je me suis rendu compte que d autres personnes expérimentais les mémés phénomènes. C est ainsi que j ai su des gens dans des pays lointains, car eux se pressentaient dans cet espace personnel.
Et puis, j ai convaincu mes frères et d autres personnes qui nous accompagnaient, de partir rencontrer ces gens et ainsi parcourir du chemin.
Dans la traversée, nous avons rencontré des gens très différents. Mes rencontres intérieures continuaient d avoir lieu. J ai appris á saisir des événements futurs, qui marquaient d une certain façon ma progression vers ces gens que je devais trouver ailleurs.
Notre mère étais toujours avec nous. Elle s occupais de nos affaires toujours dans la bonté et la bonne humeur. Le voyage étais un peu dure pour elle, car dans notre progression, nous fessions de grandes distances. Le moment de traverser la mer est venu. Nous avons rencontré des personnes qui connaissaient l endroit que j avais vu dans mes expériences. Nous devions passer d une rive a l autre, changeant de continent pour arriver á la nouvelle terre. Avant de quitter la terre qui nous vu naître, j ai eu une pensé pour des personnes avec qui je m étais lié.
L autre coté étais verdoyant. La mer bleue indigo mettais en lambeau les pierres qui contenaient des extensions énormes de prairies. Nous apprîmes á nous adapter á la nouvelle vie. Conte tenue de notre ressemblance aux autochtones, qui étaient tous fils et filles de cette mère caressante qui est la méditerranée.
Nos connaissances ont fait beaucoup pour nous. Les pays ou nous étions arrive comportais une grande quantité d ouvrage en pierre. Nous avons été engages pour bâtir tout type de construction. C est l ensemble de celles ci qui ont marquée notre passage dans ces belles terres remplis de Pics, vallées et collines.
Le moment de la rencontrer étais déjà là. Elle s étais présente maintes fois depuis que j ai appris á maîtriser ce don. J avais la quarantenaire et je suppose qu elle aussi. Elle étais de peau blanche, chevelure foncée. Mesurais environs un mètre soixante dix. Son nom étais Madeleine.
Sa vie avais été un peu comme la notre. Le besoin de passer inaperçue étais vitale á notre époque. Ses expériences et dons presque personne ne les connaissait. Elle s est intégrée très rapidement á notre groupe. Ma amère et elle sont devenue comme mère et fille. Marie et Madeleine, les deux femmes de ma vie.
Avec le temps, toujours en restant en contact avec des gens qui partageaient nos contacts, j ai su que les femmes avec lesquelles je matais lié, des enfants étaient nés. Je les visitais de temps en temps. Notre second nature facilitais cela.
Madeleine s occupais avec ma mère des activités culinaires pendant que nous battissions. Nous devenmes une grande famille de constructeurs et, en honorant nos responsabilités, nous sommes partis plus au nord, vers une contré appelée Lutèce. A cet endroit nous avons participé aussi au dressement de battisses. Notre mère entrée dans un age plus que respectable, finit par nous quitter. Nous l avons enterrée á un endroit fait par la rivière qui traversais le coin. Cet endroit étais comme une ile, car la rivière se scindais en deux, et puis après, elle reprenais un seul chemin.
Nous avons trouvé un endroit avec de la belle énergie. J ai fais de mon mieux pour lui construire une tombe digne de l amour que nous partageâmes . Sa dépouille est donc á l abri des pluies, des vents, et des bestioles, sous des pierres dressés avec toutes les exigences requises.
Nous avons décidé de quitter ce bel endroit ou nous avons séjourné quelques années. Le chagrin du dece de notre mère marqua notre départ qui suivais toujours vers le nord. Nous apprîmes que la route nous mènerais vers une autre mer. En attendant le temps nécessaire pour y parvenir, prenant en compte de subvenir á nos responsabilités des parents. Avant le décès de notre mer, Madeleine et moi avons eu des enfants. Lorsqu ils ont eu l age de pouvoir voyager, nous primes la route tout en nous arrêtant pour faire notre travaille de bâtisseurs. Au moment de traverser la mer, nos progénitures étaient forts, vaillants. Prêts pour suivre le métier de leur père.
Depuis pas mal de temps, j ai intégré dans ma vie la jonction avec le Maître. Dans les terres où j ai vécu, des idées fausses étaient rependus á son sujet. Des fausses croyances rythmaient le comportement de tous. Les gens se sentaient fautifs dans la vie de tous les jours. Leurs miséré n arrangeais pas les choses. Mes enseignements, qui n étaient pas facile á faire comprendre, les gens les comparaient avec leur foi dans leur dieu qui n étais pas calme. Ils ne comprenais pas l amour de lui et la vie qu ils devaient supporter. L essentiel de mon travail, c étais de leur faire comprendre que, le Maître de tout, avais été mis loin de nous; si loin que, même en étant ici, sa voie se perdais dans le clameurs de nos peurs. Je leur disais que la vrais vie se manifestais dans ce dont nous ne nous attendions pas. L imprévisible est la marque du grand Maître. Il nous donne ce dont nous avons besoin et pas ce que nous voulons. C est ainsi que sa grande création a été faite. C est ça le vrais lien qui nous unisse á lui. Je expliquais que ce monde étais fait de mensonges; qu elles étaient mortelles pour beaucoup. Mais que sa compagnie, même dans le désespoir, nous guidais dans tous les chemins. Son pouvoir permettais que le monde prenne le chemin qui nous unirai a lui, malgré le contraire que le monde montrais. Dans certains cœurs il y a de la patience, de la forcé, de la détermination; c est un trésor qui s ouvre seulement quad c est nécessaire. Et il est là; ça c est LUI.
Nous travesames la mer tumultueuse dans un bateau moyen. Nous étions plusieurs, car nos compagnons prirent le voyage avec nous. Nous nous préparions a rencontrer des gens différents de nous á cause de la latitude et la séparation d avec la mer. Avec nous il y avais quelqu'un de la bas ; c est lui qui nous informais de coutumes locales. Le climat étais rude et la lumière du jour se cachais derrière des nuages très persistantes. Cela rassemblais a l automne de la terre que venions de quitter vers le mois de septembre. Nos enfants étais ages maintenant de 14 ans environs. Notre amis du nord nous a donné les éléments de base pour nous accuotumér facilement. Au début nous avons aide construire de bateaux en bois. C étais plus facile de montrer nos habilités. Ainsi, les gens nous ont fréquenté et cela nous avais fait de amis. C étais de gens très robustes, aimables et fières de ce qu elles étaient.
Nous tous, avec le temps, apprîmes á respecter ces gens. La langue, très différente de ce que nous avions écouté dans le continent, étais d abord du métier. Quelque temps après, des occasions nous ont permis de montrer notre vrais travail. Le matériel étais différent et les techniques aussi. Nous nous sommes mis très vite car la labeur pour nous étais sujet d apprentissage, notre plaisir. Avec Madeleine nous regardions comme nos enfants évoluaient. La fille rassemblais a sa mers, et l garçon aussi mais avec la peau un peu matte, comme moi. Lorsque notre travail a été reconnu, nous partîmes vers l est. L Écosse nous a attiré car babas il y avais des construction en bois de tout genre. C étais intéressant car, de grandes battisses, nous n avions jamais construit. A cette époque nous rentrions dans la moitie de la quarantaine. Notre fille et garçon étaient autonomes et se chargeaient de taches difficiles. Des belles battisses se fessaient ici. L accent des gens différais un peu de celui d'avant. Il y avais aussi d autres façons de parler que nous ne comprenions pas. Le moment est arrivé de laisser le travail a nos enfants. J ai eu la proposition d aller a la rencontre d autres gens très loin de cette île. On m avais parlé de peuples et cultures que les anciens, dans leurs voyages lointains, connaissaient. J ai mis ma famille et compagnons au courant et je me suis mis a préparer le voyage. Un de mes frères allais venir avec moi.
Dans le bateau nous étions presque une vingtaine. Les plus dissemblable c étais mon frère et moi. Les autres, grands gaillards, étaient faits pour la mer. Les vents étaient forts et, quand le danger des houles remues par le grand vent cessait, le voyage étais beau. Tant de montagnes d eau. Du bleu qui reflétais le ciel et faisait un avec lui. La nuit froide dans le noir, le regard posé sur les points de lumière qui nous orientaient ver l inconnu. Cet espace, entre nos vies d avant et le maintenant, qui se projetais dans le lointain des terres sauvages, fessait croître en moi des pensés nouvelles. Irais je retrouver mes enfants ? Ma belle madeleine supporterais l attente inconnue ?. La lumière changeais avec les jours passés. Mes compagnons me disaient que nous descendions ver d autres latitudes et que le soleil étais plus généreux. La mer étais devenu plus calme et des oiseaux que j avais jamais vu dessinaient des pirouettes de vent sur nos tètes. L air avais aussi une odeur différente. C étais comme des saveurs que nous dégustions avec nos narines. Mon frère me regardais de temps en temps avec un air de tristesse. Lui aussi avis quitté sa famille pour m accompagner dans le voyage. Nous étions très similaires. Mais j étais plus têtu, résolu, et intrépide. Ça me venais de mon Mètre ; Une fois fait connexion avec lui, le monde étais á nous.
La arrivé s est fait dans un soleil splendide. Nous sommes arrivés á un endroit peuplée par quelque personnes dans de constructions en bois. On voyais qu ils étaient de la même culture des gens du bateau. Des personnes d allure différente accompagnaient l accueil. Ils étais beaux, grands, avec des corps qui fessaient penser a des arbres. Leurs langage différais de tout ce que j ai pu entendre jusqu á maintenant. Mais leurs pensé étais riche pour pouvoir communiquer avec les autres. Quelque temps après je saurais qu ils avais plus en commun avec moi que les gens d Europe. Nous dormîmes un sommeil de plomb. Le bruit du dehors venais a notre rencontre avec parcimonie. On dirais que nos oreilles les attirais comme avec une floute magique. L odeur de nourriture força nos corps avides de déguster des arômes si inconnus. Du poisson cuit sur de branches sèches. Nous avions l habitude avec mon frère du poisson car de temps en temps nous allions pêcher sur la cote en Écosse mais l intensité étais autre chose. La mère en face de nous servais de fond pour que nous dessinions nos souvenir d Écosse. Que des changements remplis d humanité. Le cœur des hommes, des huttes faites d amour et de partage.
Les hommes du nouvel endroit nous invitèrent a partager leurs vies et leurs coutumes. Ils nous ont proposé de les accompagner chez eux. Plus loin, ou l influence des amis ultramarins ne se voyais plus. Je suis parti avec mon frère et un ecossé. Le cheval étais notre mode de transport. En Europe il servais pour le travail et pour ceux qui avaient les moyens. Nous parcourûmes des endroits magnifiques. La nature s étais donné beaucoup de mal pour agencer des variantes si tourmentées. Les couleurs démontraient une avidité pour se positionner aux endroits les plus inattendus. C étais comme des vagues de lumière amenant du confettis désoccupé de le début du monde. Tout étais si originel ! Le ciel, plein de nuages grises, s étalais au dessus de nous ; comme si on avais inversé le sol et tout le paysage, et on l avais converti en montagnes de vapeur, avec des pics qui étaient si grands qui grattaient presque nos têtes. Les arcs en ciel qui encadraient l horizon, séparaient des espaces de lumière et de pluie au lointain. Ces cieux étaient plus grandes que la mère que nous venions de traverser, ils étaient aussi plus mystérieux.
Nous sommes arrivés á une vallée très verdoyante. De loin nous aperçûmes des constructions très simples et positionnées avec un ordre dont, après, je comprendrais le but. Les gens qui nous ont accueilli, avaient l habitude de ce type de visite. Mais ils ne s attendaient pas á des gens d une langue autre que l anglaise. Notre français leur chantais a l oreille ; La leurs nous fessais penser aux noms des choses qui étaient pour être inventées. Leurs vie étais simple ; entre eux et l extérieur il n y avais presque pas de différence. La nature étais pour eux une projection de leurs espaces intérieur. Leurs vie étais remplie de moments de magie. Le pourquoi étais pour eux une notion abstraite. Les choses convergeaient parce que elles n étaient pas séparées. Entre le ciel et la terre étaient eux pour être des témoins du miracle de la création. Les esprits de leurs ancêtres, pour eux n étais pas de morts. Ils étaient partis pour céder leurs places aux nouveaux. Mais ils étaient là, tout prés, pour veiller á ce que leurs esprits respectent l harmonie du créée. Là, j ai trouvé un espace pour leurs parler du grand Maître. L esprit de lumière qui allume sa flamme dans les mains de chaque un. Sans faire du vent, sans brûler les gestes, pour être là ou le monde s agrandie dans l amour. Mes paroles devinrent comme les leurs. Comme deux eaux limpides qui n étaient séparés que par la pluie. Les deux en attente, tourbillonnantes, prêtes a remplir l océan commun a nous tous.
Nous primes un voyage accompagnés de deux autochtones. Les provisions étaient importantes car le chemin a parcourir serais long. Notre chemin étais cette fois ci sur du terrain plat. Les hommes nous disaient que d autres ethnies traversaient les mêmes endroits ou nous allions. Avec le temps, les différents peuples avaient adopté des règles de comportement de façon á ne pas se gêner les unes aux autres. Ainsi, ils pouvaient partager en paix, les objets qu ils produisaient. Les prises de la chasse, les techniques de fabrication, les histoires magiques, etc. Les apports des un et des autres avaient permis de comprendre mieux la vie et le monde surnaturel. Des grottes ornées avec des dessins varies, se trouvaient un peu partout sur les terres communes. Des histoires sur des êtres d autres contrés circulaient entre ces peuplades. Selon eux ils étaient entre nous, mais sur de lieux non perceptibles en état de veille. Des personnes dans les tribus pouvaient les fréquenter dans leurs espaces intérieurs a l aide des rituels, musique, chants ou simplement dans des endroits propices a cela. C étais de lieux ou le terre respirais des énergies de guérison, qui apaisais les chevaux et des êtres de lumière paressaient. Ces endroits étaient marqués depuis le début par des pierres, de fois transportées dans des longues distances. C étais des endroits de rendez vous, comme les cavernes, certains ruisseaux et monticules. C étais les grottes les endroits les plus secrets. Seule les grandes esprits pouvaient les visiter. Dans le noir de ces endroits la fine couche du visible se diluais permettant des rencontres se faire. Pour remercier cela, les grands esprits dessinaient des motifs d animaux qui rappelaient ces moments de partage entre consciences. Les mains peintes sur les parois indiquaient que les esprits de l autre coté étaient comme nous. La main étais le signe du contact.
Avec mon frère, nous regardions tout ça avec des yeux émerveilles. Nous qui avions nos secrets qui pouvions être tués a cause de ce que prédominais en Europe. Ici, le culte n assombrissais pas la vie des gens. Personne n imposais nullement rien. Nous avons eu l invitation d aller en voir une. Nos similitudes dans la façon de voir le merveilleux nous y a ouvert l accès. Au début l espace étais restreint ; nous dûmes forcer nos corps pour passer a un espace plus aisé. Quand nous étions arrivés, les torches commencèrent a montrer des choses qui ondulaient avec les jeux des flammes. Cela a émerveille mon esprit. Mon frère me regardais avec des larmes aux yeux. Les hommes qui nous accompagnaient avaient dans leurs visages un respect jamais vu. Maintenant je comprends le choix que le vieillard de la peuplade avais fait pour nous emmener en promenade. C étais de gens qui participaient a ces rencontres avec l univers. Ils racontèrent que tout commençais dans le noir, des mains se posaient délicatement sur les leurs ; une fois la tranquillité les arrivais, ils se rendaient visibles. C étais tous de gens qui communiquaient sans se parler. Le langage parlé étais pour l espace extérieur. Des fois ça se pratiquais entre des personnes qui l avais appris par leurs alleux. Ils disaient que autre fois c étais cette façon qui étais utilisé. Nous sortîmes au bout de quelque temps. Nous savions que en Europe des endroits comme cela existaient aussi. Mais la suspicion empêchais d approcher le sujet. Le chemin de retour ne s est pas fait par les mêmes contrés. Nous allâmes encore plus loin ; sur des terres d autres clans. Nous dîmes adieu a cet endroits magnifique et mimes nos pensés sur d autres horizons ; moi j ai repensé a Madeleine, ma douce compagne.
Le ciel étais toujours enorme ; tout paressais comme si l on avais ouvert une brèche, quelque part, par où se filtrais l immensité sans arrêt. Avec l expérience que nous venions de vivre, j ai compris mon Maître, lorsque il me disais que l imprévu est la source des meilleures connaissances. Nos compagnons de route comprirent que nous aussi n avions pas besoin du parler pour communiquer. Au début, pour interpeller un d eux, on le regardais et puis, le flux d idées se déclenchais. Pas de français ni de leurs gesticulations. C étais limpide comme de l eau. Leurs monde intérieur étais très riche ; il n y avais pas que des idées. On pouvais percevoir leurs amour pour le tout sans distinction entre ceci ou cela. Lorsqu ils pensaient a une pierre, par exemple, d elle émanais une conscience, une émotion, quelque chose que les humains ne pouvons pas comprendre. Le défilé des concepts dans leurs esprits, étais comme une mélodie qui se metais a sonner. Une second d une pensée a eux étais tourbillonnante ; comme glisser a l intérieur d une cascade souterraine, humide comme le ventre d une mere. Ils ont pu voir dans mon esprit l immense amour qui m habitais. Pas de penche-ment pour ça ou là, mais sa lumière, son énergie qui faisais flotter tout dans une calme indicible.
Au bout de quelques heures, nous croisâmes d autres gens qui chassaient. Avec un mouvement des mains nous avons salué et puis continuâmes notre chemin. Le peuple ou étions arrivés s appelaient Delaware ; Leurs territoire étais encadré par deux étendus d eau qui communiquaient avec la mer. Pour continuer notre route nous devions contourner un de ces étendus. Nous avions entre trois et quatre jours pour arriver a destination. Durant tout le voyage nous avions l eau á notre gauche qui bougeais au rythme des marées. Le vent de la mer étais fort ; a des moment il nous poussait sur nos beaux chevaux ; d autres fois nous devions nous arrêter tellement cela fatiguais les animaux. Des tribus qui péchaient nous troquaient du poisson. Avec d autres c est des fruits. La végétation changeais aussi avec notre mouvement car le climat étais plus doux. La nuit étais fraîche et le ciel paraissait une robe pliée, obscure et tranquille, avec des perles concentrées au milieu d elle. Nous quatre nous mettions autour d un feu, qui brûlais ses hivers, ses automnes, ses heures passées a voir le vent et sentir la pluie; dans sa lumière.
L endroit de destination, se dirigeais vers les terres. Là, nous primes vers l ouest, laissant derrière nous, cette eau magnifique ; qu avec son mouvement, nous rappelais les vagues d écume, horizons de nos amours. Depuis que nous avons contourné l étendu, nous étions dans les terres des Nanticok. Le respect continuais a nous rendre notre chemin sans encombres. Je pense que ce type de voyage devais se faire comme un rituelle de toutes les ethnies et, de ce fait, les choses se passaient dans l harmonie. Plus prés de l endroit, d autres gens nous ont rejointes. Nous étions alors une pérégrination des plusieurs origines ; tous communiquaient par la pensé. L endroit étais magnifique. C étais une grande pierre dressée, autour de la quelle, se tenaient le pèlerins dans le calme. Cette pierre etais lá comme un phare pour tous. Elle irradiée les belles energies oú le ciel et la terre conflueaient, pour rendre ce lieu la racinne de leurs existences. Cet objet étais placé là par des ethnies dans les temps anciens; personne en pouvais dire qui. Avec mon frère, nous nous remplîmes de cette belle présence; l endroit et les gens. Nous enflâmes nos cœurs avec un aire nouveau. Tenue présence de l infini, posé sur ces terres verdoyantes ; du coté ou nos cœurs, palpitaient les noms de nos amours; de l autre coté de la grande mer bleue, infiniment bleue.
Nous restâmes deux jours. L ethnie locale nous accueilli avec la simplicité des vies de ce monde. Après l expérience partagée, les différences entre tous s étaient effacées. Pendant quelque temps, nous expérimentâmes une legerté et un calme indicible. C étais pareil que lorsque je posais mes mains sur les autres ; les bienfaits du Maître étaient là, dans ses mains. Le chemin du retour étais long. Nos compagnons de voyage nous proposèrent un autre chemin. Nous dîmes notre accord, en pensant a l imprévu qui nous amènerais vers des merveilles. Les quatre jours dévirent sept pour retourner a la peuplade Delaware. Nous étions maintenant d autres personnes. Nous avons vu que sur cette terre il y avais des gens différents de nous en Europe ; leurs vies étaient comme une rivière coulant sur des terres pures. Non touchées, pas évidées de leurs essences originelles. Notre retour ver l Écosse se prépara avec d autres précautions que pour le voyage á l allé. Les courants marins étaient différents dans ce sens là.
L arrivé en Écosse fut tourmentée. Le grands gaillard assurèrent le chevauchent de notre bateau sur les lames d eau froide du nord de l Europe. Nos visages étaient différents ; nous l avons vu sur les regards de gens qui nous attendaient. Le sol stable de galets sur la plage, nous reconforterent ; nous étions arrivés en basse marée. L Europe étais belle pour nous, même dans le froid. Nous la voyons maintenant avec autre regard. Nos amours vinrent a notre rencontre. Mes enfants, adultes maintenant, étaient avec leurs compagne et compagnon. Fières de nous montrer ce qui allais augmenter notre équipe. Des filles ou des garçons ? Et puis, nous nous réunîmes après un grand repos. Mon frère et moi nous mimes a raconter nos expériences de voyage. Le temps passa lentement ; les yeux de nos interlocuteurs brillaient au compas de nos dires. Et puis, nous finîmes par rendre compte de cet endroit magnifique ou la terre faisait un avec le cosmos ; cette belle pierre érigée, que plus tard, beaucoup des siècles apres, serais une autre forme qui allais la remplacer. Un obélisque de 170 mètres ; en face d une belle construction appelée La Maison Blanche.
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Miyoceleste