Livre d'Or

Stephane C, Marseille: Dobson 600, fd3,3, Optiques Mirrosphère, motorisé Goto

Nous avons eu une belle nuit avec un peu de vent, mais rien de trop rédhibitire. Disons le tout de suite, le télescope répond parfaitement à mes attentes. Stabilité, facilité de montage, compacité pour un tel diamètre, tout est réuni pour un véritable observatoire itinérant.

Malgré le vent, le télescope ne bouge pas. Une tape est amortie instantanément, même à plus de 500 fois de grossissement..... D'ailleurs, les performances du couple monture miroirs sont telles que malgré la turbulence présente les grossissements s'enchainent sans perte de piqué et finesse d'image. Un exemple, nous avons poussé à plus de 500 fois sur m104, pourtant assez basse, avec des détails jamais vu auparavant dans la bande d'absorption.... Une tuerie, une véritable photo en gros plan, mais sans saturation....

Les objets du ciel profond se sont enchainés avec le même résultat, difficilement évocable, souvent comparable à des photos en noir et blanc mais avec plus de relief et plus de nuances. NGC 4565 dépassant du champ de l'ethos de 8.... Les nébuleuses planétaires prennent une autre dimension, colorées à l'extrême, avec des extensions que seules les photos ou les meilleurs dessins font ressortir. M51 est phénoménale... Tout est transcendé par le diamètre et la qualité des optiques....

La motorisation est douce, sans à-coups et répond instantanément. L'argo navis et très performant autorisant une précision de pointage en goto plus que satisfaisante.

Ce qui frappe le plus c'est la stabilité de l'ensemble, la qualité et la finesse des images. C'est un autre monde, un autre spectacle, tout est renouvelé, on redécouvre le ciel...

Que dire.... comme vous me l'avez conseillé, j'ai acquis un treuil pour charger/ décharger la base. Tout devient facile et c'est finalement ma mallette d'oculaires qui est la plus lourde( d'ailleurs, possédant des dimensions généreuses, elle remplace avantageusement la boite à miroir pour caller la base en position inclinée pour le montage).....1/2 heure entre l'arrivée, le déchargement et la fin du montage complet du télescope, 1 minute de collimation au laser (les différents manipulations font ressortir une collim minime entre deux montages).

Bref, on change définitivement de registre. Pour moi, c'est le télescope ultime, celui qui reste gérable par une personne seule tout en offrant des performances rares dans les sites adéquats.

Merci pour m'avoir fournit le télescope de mes rêves.....

S.G., Dobson 530 fd 3,8, Mont Paranal, Chili:

Pierre,

Bon, j'ai fait la première lumière du telescope hier soir : IMPRESSIONANT, INCROYABLE.

-Le miroir est bon (c'est du Cardoen, je l'ai depuis 12 ans au moins je crois et je ne l'avais jamais utilisé), cela veut dire que ton barillet est bon aussi.

-le système de goto marche bien, j'ai mis à jour les paramètres qui vont bien dans le servocat et me suis familiarisé avec les appareils les jours précédents..

J'ai observé depuis le campement : M42 ... impressionante, Jupiter .. pas mal de détails, la Tarenture (incroyable .... c'était "en 3D" !!! ), Omega Centaure .... fabuleux .... je me suis noyé dedans littéralement, Galaxie Centaurus A (des détails dans les bandes sombres), des neb planétaires .... une vingtaine d'objet vraiment rapidement avec le pointage quasi parfait, meme à 220x

Un grand merci, c'est vraiment un super scope que tu m'a fait là !!!

Denis Carles, 400 fd4, optiques Mirrosphère:

Après une poignée de sorties, je suis encore extrêmement surpris (et satisfait) de la qualité de la réalisation qui permet de monter et démonter très simplement la bête mais aussi d'utiliser avec fluidité et stabilité le tout qui est tout de même fort imposant.

Je l'ai monté et démonté systématiquement tout seul, la collimation ne bouge pas durant quelques heures d'observation et les différents composants (boite miroir, rocker et caisse primaire avec barillet) se portent assez facilement un par un.

Enfin, la jupe réalisée par Mme est de fort belle tenue et, comme les roulettes, représente un accessoire incontournable selon moi.

Frederic Creusot, 500 fd 4, Optiques Orion Optics UK, Salamanque, Espagne,

"J'étais parti, après moults réflexions, pour commander à Pierre un 450

mm avec optiques mirrosphère, pour garder les pieds sur terre et pour

une question de poids aussi. Mais j'ai trouvé un de ses dobsons

d'occasion, un 500 mm avec des miroirs de chez Orion Optics, pas trop

loin de chez moi, près de la frontière espagnole (à 1000 kms quand

même).

C'était celui de Jean-Louis, dont un commentaire figure au début de ce

livre d'or. Mon gros doute, étant donné que j'allais l'utiliser

seulement en nomade, était de savoir si je pourrais le transporter

aisèment, sans me faire mal au dos, et si les montages et démontages ne

seraient pas à la longue un handicap pour des sorties rapides et

improvisées, comme je fais souvent avec ma lunette 120/1000.

L'ancien propriétaire déplacant la base du dobson à l'aide d'une

brouette maison, j'ai dû réaliser un bricolage très simple pour lui

monter des roues ammovibles, dans le style de ce que Pierre offre en

option sur ces gros dobsons. Eh bien je dois avouer qu'au fur et à

mesure de mes sorties, tous mes doutes se sont dissipés car je mets

presque le même temps pour charger le dobson dans la voiture, le monter

et le collimater (environ 20 minutes), que je mettais avec la lunette et

son pied équatorial. De plus, les 40 kilos du dobson démonté sur roues

me sollicitent moins les lombaires que les 2 valises de rangement en

bois de cette dernière. Je suis vraiment content de mon achat car en

plus de toutes les qualités déjà décrites ici (robustesse, maniabilité,

mouvements doux, esthétique), la grosse surprise est la rapidité et la

facilité avec laquelle on charge cet apparent mastondonte dans une

Kangoo, et en moins d'une demi-heure, on se retrouve près à viser le

ciel à 1000 metres d'altitude.

Le modèle que je possède date (déja) d'il y a 2 ans. Entre temps,

Pierre a perfectionné encore ses instruments, notamment avec le système

de tubes en compas et de fixation de l'anneau secondaire par le haut,

qui doit écourter et faciliter grandement l'opération la plus deĺicate

du montage qui consiste à fixer cet anneau, perché sur un petit

escabeau, même si Jean-Louis a ingénieusement installé de gros

élastiques pour maintenir les tubes 2 par 2 lors du montage.

Un tel diamètre vous fait vraiment jouer dans une autre division: Un

autre univers s'ouvre à vous, Tout ce qui avant était timide et flou, se

révèle dans l'evidence de sa structure, et la liste des objets à

découvrir parait n'avoir aucunes limites..."

"Unos instrumentos con una estética de ensueño, con movimientos suaves,

equilibrados a la perfección...Montados sobre ruedas amovibles, se

cargan en 5 minutos y se montan en 15. Si los Dobsons Factory estan en

pleno auge en Francia, Bélgica y suiza, no es por un puro azar: sus

cualidades corren como el viento en los foros especializados, y cada

vez, como yo, son más la personas que dejan de lado instrumentos llenos

de electrónica, para privilegiar el diámetro y la esencia de la

observación astronómica: Los Dobsons Factory se hacen olvidar durante la

noche y eso es el mejor cumplido que se pueda hacer a un telescopio..

Frederic Creusot

L.C, Ile de France, 350, fd 4,5, optiques Mirrosphère

J'ai pu (enfin !) faire la 1ère lumière de mon instrument hier soir. Tout s'est bien passé. Le montage / démontage est facile et rapide. Les mouvements de l'instrument sont précis et doux. La collimation se fait sans difficulté et ne bouge pas. Les optiques de Franck Grière sont à la hauteur de mes attentes. M 42 avec un filtre OIII était magnifique, riche en détails et avec du relief.

Malgré la température négative, avec la jupe, les optiques n'ont pris ni humidité, ni gel, ce qui est appréciable car un de mes camarades qui n'avait pas de résistance chauffante sur son C11 a été obligé d'arrêter d'observer à cause du gel.

Je tenais donc à vous féliciter pour la qualité de votre travail. Je pense que votre instrument associé aux optiques de Franck Grière va me permettre de belles observations et, je l'espère, de beaux dessins.

Encore merci.

JG Gricourt. Drôme (Dobson 460, fd 4,5, Optiques Ostahowski):

Les structures de Pierre Desvaux se montent et se démontent seul, la dernière fois j'ai été contraint de le faire car ma brouette de transport avait une roue crevée et donc impossible de rentrer le dobson au garage sans tout démonter moi même et à minuit je n'ai pas osé réveiller mon épouse pour m'aider. Les attaches des barre truss sont en métal (plaques alu très épaisses) tout comme les points d’ancrage sur l’anneau donc c’est une conception très robuste et durable dans le temps capable d’encaisser de nombreux démontages sans soucis. Enfin vu comment mon dobson a été conçu et qu’aucune pièce n’a été conçue à l’économie et je suis presque convaincu que l’on pourrait s’asseoir sur l’anneau tellement l’impression de solidité est évidente !

On trouvera toutes les infos sur le site de Pierre (la partie blog) car il est bien le seul artisan au monde qui dévoile ses secrets de fabrications ! Donc tout est abondamment documenté sur son site, souvent les cotes y figurent, bref la transparence et totale, on sait comment et de quoi sera fait son dobson, avec Pierre pas de surprise !

La composante à considérer ici est la rigidité de la structure car rien ne sert d'équiper un structure d'optique de course si la structure trop frêle n'est pas capable de maintenir les alignements au court d'une utilisation normale. Pour les structures réalisées par Pierre je peux attester que rien ne bouge et pourtant je vis dans la Drôme où le mistral souffle parfois et à 30km/h (avec la jupe je précise) je n'ai jamais perçu un seul tremblement à l'oculaire ! Je suis par ailleurs adepte de la collimation au Catseye beaucoup plus sensible que le laser, il suffit de contraindre avec sa main l'une des barre en carbone (en cisaillement) pour voir l'alignement légèrement bouger sans toutefois modifier la collimation vu la sensibilité de la méthode et donc j'ai pu constater qu'a l'usage le point de collimation ne bouge absolument pas après 3h d'usage. Entre deux sorties souvent 1 pouillème de tour de vis est nécessaire pour collimater au Catseye car je suis maniaque mais avec les autres méthodes (laser) ce n'est même pas nécessaire vu qu'il est impossible de détecter de déplacement des alignements.

La force des structures de Pierre est l'équilibrage et la fluidité des mouvements. J'ai déjà comparé des dobsons du commerce de marques bien connues et l'écart dans ces domaines est abyssal. Moi qui ai hésité longtemps entre des mouvements animés par roulements à bille et du Téflon sur FRP j'ai rapidement vu la différence et aujourd'hui je suis pleinement satisfait de mon choix car cela n'a effectivement rien à voir au niveau des sensations.

Les structures de Pierre comportent d'office une poignet pour bouger le tube pour le suivi, il y a aussi un attache pour y ajouter un Telrad ou un Rigel au choix. Après on peut aussi lui demander ce que l'on veut, par exemple la possibilité de rattacher un petit chercheur par exemple.

Voilà pour les questions de conception après il y a le personnage Pierre et là , Pierre est très accessible, il réponds immédiatement aux demandes (mail, téléphone) que ce soit au moment de la construction que pour le "service après vente" ce qui est à mon sens est très important lorsqu'on se lance dans une telle aventure avec un instrument d’exception. Enfin je vais dire une évidence et ayant vécu aux Etats-Unis je sais ce que cela signifie réellement, Pierre à le souci de la satisfaction de ses clients avant toute choses et ça c'est une valeur inestimable que ce soit dans l'industrie ou le commerce

Michel K; Hyeres (Dobson 460, fd 3,9, optiques Mirrosphere)

Il y a trois ans, quand j’ai commencé ma démarche pour acquérir un nouveau télescope, mon cahier des charges était le suivant :

- uniquement pour le visuel,

- le plus grand diamètre possible,

- le plus léger possible, car un usage quasi exclusivement nomade,

- pas d’échelle ou de marche pied lors de l’observation au zénith.

J’ai opté pour un télescope de 460 mm de diamètre avec un F/D de 3,9, à mon sens l’optimum si on veut respecter mon cahier des charges.

Après avoir examiné les offres de SV, Obsession, Lukerhurst et Dobson Factory, j’ai éliminé SV (qui ne propose pas le diamètre choisi et qui peut poser un problème de poids), Obsession (car en discutant avec un possesseur d’un Obsession UL, il semblait que le bloc miroir était relativement lourd), Lukerhurst (dont le prix était très attractif mais me semblait en retrait en terme de qualité). J’ai choisi DF après avoir rencontré Pierre Desvaux et j’ai opté pour une optique Mirrosphère (primaire et secondaire).

Après plus de deux ans d’utilisation, je confirme tout le bien que l’on écrit sur ce télescope :

- montage simple,

- très facile à collimater (avec un laser-barlow) et tient bien la collimation,

- très grande aisance de pointage (Telrad est vraiment génial) à la fois doux et stable au pointage, permettant des changements d’oculaires ou de filtres sans modifier le pointage. Le suivi à l’oculaire ne pose aucun problème (c’est vrai qu’avec les Ethos…).

Il est effectivement transportable : la pièce la plus lourde est le miroir lui-même (14 kg, ce qui est un maximum pour moi). Je n’ai observé aucune dégradation des parties en bois (je l’entrepose dans mon garage).

J’ai pris la chaise d’observation proposée par DF : elle est très pratique et m’est indispensable pour les longues soirées d’observation.

Si j’avais des petites remarques :

- le télescope pourrait plus ramassé lors du transport, mais je sais que DF fait maintenant de nouveaux produits en ce sens,

- Prévoir des contrepoids lorsque l’anneau secondaire est bien chargé (cela arrive chez moi lors que j’ai Telrad + chercheur 50 mm + Nagler 26 + Paracorr). J’y ai remédié sur les conseils de DF mais cela reste artisanal.

A chaque observation, je me félicite de mon choix.

Michel.

Claude Maistret. Jura (Dobson 460, optiques Mirrosphère)

Etant possesseur depuis d’un DF de 460 à f 3,9 optique Miro-sphère. Là, je me régale, je reprends plaisir à pratiquer l’astro de terrain, en gros, un quart d’heure de montage y compris collimation laser pose de la jupe etc. Au niveau conception rien à dire c’est du pratique comme dirait l’autre c’est étudier pour, il y a même une poignée en carbone pour le manœuvrer plus aisément et un support pour le telrad. Qualité du bois c’est du solide aucun problème cote humidité. La conception est vraiment bien pensée, système de rotule sur les tubes, boite a miroir amovible. Chez DF on veut modifier quelque chose y a cas demander, on peut discuter, on veut une modif ici ou la pas de problème. Pour l’aspect visuel de la bête, y a pas photo c’est plus agréable de voir une construction en bois noble, ça c’est l’esprit Dobson.

Du coup on a passé 3 commandes, un 460 et deux 300.

Claude Champier, Auvergne (Dobson 460, Optiques Mirrosphère)

Depuis fin janvier je possède un dobson DF de 460.

Une chose importante, Pierre est un artisan, il fabrique en fonction des demandes de ses clients.

Je souhaitais un dobson 6 tubes carbonne et le porte occulaire à 45° au dessus de l'horizontale, position que je trouve plus confortable dès que l'on observe des objets un peu bas. C'était incompatible avec son type de fabrication, le PO tombait là ou les tubes se rejoignaient sur la cage secondaire.

Je lui ai donc demandé de revoir sa fabrication et d'inverser les tubes avec devant un point fixe au milieu de la traverse basse quitte à la renforcer.

Il a étudié cela et m'a fabriqué le télescope que je souhaitais, avec à ma demande un support de chercheur en cornière alu et deux cercles en contreplaqué pour s'allier à l esthètique de l'ensemble.

La contrainte pour moi était aussi de pouvoir le manipuler seul et je ne suis plus tout jeune. Avec la brouette aucun problème pour le charger et le décharger de la voiture, je suis autonome.

J'ai pu faire 26 sorties cette année avec ce télescope. Je n'ai aucun soucis, malgré une structure 6 tubes il est totalement rigide. Le montage se fait en 10 minutes. L'équilibrage est parfait que ce soit avec un Pano 24, le Nagler 31 ou la tête bino, cela avec des mouvements doux et une orientation facile. Seule chose qui pourrait être améliorée et ce n'est qu'un détail, si la boîte miroir était 3cm plus haute elle pourrait servir de rangement pour la jupette de protection.

Christian D. Saône et Loire (Dobson 300, fd 4, optiques Nichol)

Je suis depuis 9 mois l’heureux propriétaire d’un Dobson Factory 300 à F/D 4,4 avec optique Nichol (UK).

Comme certains l’ont bien souligné, la performance finale dépend de l’optique et DF laisse le choix de l’optique à ses clients – ou plutôt à la bourse de ses clients.

Mes critères principaux pour la monture étaient le poids, la portabilité, la robustesse bien sûr et l’esthétique. J’ai choisi DF plutôt que d’autres constructeurs sur un « coup de cœur » :..

Un élément – presque décisif pour moi - a été la proximité géographique avec le constructeur. Pour moi qui exècre le bricolage, je pense important d’avoir un accès rapide, efficace et cordial à un interlocuteur susceptible de règler les problèmes éventuels ou d’apporter quelques modifs… voire même de partager de temps en temps une soirée d’observation avec vous.

Sur tous ces plans je ne suis pas déçu. Je trimbale aisément l’instrument tout seul et il tient dans un demi coffre de 308. Je suis d’ailleurs obligé de mettre une grosse valise avec pour le caler !

J’ai en tout huit vis ou écrous à manipuler pour fixer les huit montants en fibre de carbone (j’ai été satisfait que Pierre Desvaux me propose huit montants plutôt que six : l’ »impression » de rigidité est meilleure. N’ayant pas du tout essayé d’instrument équivalent, je ne peux faire de comparaison. Pour ne pas verser dans le « dithyrambique unilatéral », je mentionnerai que le seul point sur lequel je m’interroge - dans mon cas - est l’équilibrage du système aux très hautes et très basses altitudes. Je fixe en effet sur mon système un chercheur Orion 9x50 assez lourd, et je n’ai pas souhaité que DF intègre un contrepoids supplémentaire à la monture – pour ne pas obérer le poids de l’ensemble. Je préfère donc utiliser des contrepoids amovibles – ce qui est évidemment une contrainte. En dehors de ces zones un peu critiques, les mouvements sont d’une souplesse remarquable et la stabilité excellente.

Joel Cambre. Alsace (Dobson 400, Optiques Lightholder):

J'ai un dobson Dobson Factory (un 400mm à F/4 que j'utilise avec Paracorr Televue) depuis le printemps 2011.

Il est beau, (ce qui ne gâte rien...) grâce essentiellement au bois (de qualité) dont il est construit, et le contraste avec le noir des 8 tubes serruriers en carbone aide aussi sur ce point. Il est très rigide aussi, car quand je refais la collimation en début de soirée, après l'avoir monté, le point rouge est certes en dehors du cercle central du miroir primaire, mais de très peu! Autant dire que collimater ce genre d'instrument (avec un laser de qualité je précise) se fait en un rien de temps, et je suis plutôt maniaque sur la collim... La collimation donc ne bouge pas pendant une soirée d'observation, mais bouge un petit peu lors d'un démontage remontage, ce qui paraît normal. Pour le reste, c'est du beau matos, j'ai un miroir Lightholder de qualité, il l'a prouvé sur Saturne à 650 fois au printemps dernier. C'était un fort beau spectacle! J'ajoute que les mouvements de pointage sont doux et faciles, que le pointage ne bouge pas, ceci au dire de tous ceux qui l'ont utilisé. C'est un instrument qui ne laisse pas indifférent. Donc si c'était à refaire, je referais exactement le même choix. Un grand merci à Pierre Desvaux pour son remarquable travail, son écoute, et sa réactivité.

Stéphane C. 91 (Dobson 400, fd 4,5, optiques Mirrosphère)

J'ai depuis peu un Dobson Factory, optiques mirosphere. 400 ouvert à 4.5 = pas de parracorr et presque pas de marche pied.

Avant de faire mon choix, et cela a pris quelques mois de peser le rapport prix/poids/encombrement/ouverture et rapport F/D.

Je conseille de voir avant d'acheter.

Mon choix s'est porté sur DF. Le poids à l'avantage du DF et la boîte à miroir très pratique pour le transport et la protection du miroir on été un critère important.

Après quelques observations (c'est les débuts) je dois dire que je ne suis pas déçu. Facilité de montage et démontage, collimation très facile et tenu dans le temps. Les mouvements doux et la stabilité qui font le confort d'observation sont aussi au rendez-vous.

Je n'ai pas le temps au bricolage ni à la couture alors j'ai pris la jupe sur mesure.

J'ai pris aussi la brouette de transport car à terme il pourra être entreposé dans un garage extérieur. Il restera monté et la mise en température inexistante me permettra des observations quasi immédiates.

Pour avoir observé dans des 400 et un 460 obsession je dois dire que la différence de luminosité n'est pas frappante et par contre le budget était en flèche. C'est pourquoi je suis parti sur un 400. Dans un 500 la différence sous un ciel noir était plus marquée mais prix et poids m'ont stoppé.

Au club, les 300 et 400 sont tous en bois mis à part un full carbone réalisé par son propriétaire.

Je n'ai entendu personne se plaindre, après de nombreuses années d'utilisation de télescope en bois, de déformation quelconque.

Christian Dugal. Finistère (Dobson 450, fd4,5, optiques Lightholder):

J'ai opté pour un 460 mm Dobson Factory à F/D = 4.5. (Miroir Lightholder).

Le scope est arrivé à la pointe Bretagne courant Septembre. L'ensemble est superbe avec un mélange bois carbone (8 tubes) très esthétique. Le montage est on ne peut plus simple. La boite à miroir protège parfaitement le miroir, et est de plus amovible. (très commode lors des déplacements).

Les mouvements sont géniaux. Le scope, parfaitement équilibré se conduit d'un doigt. Dans la nuit, on oublie qu'on a affaire à un très gros télescope. Le passage d'oculaires lourds à d'autres plus légers se fait sans broncher.

Le système de collimation est très précis. Les molettes de collimation au primaire sont très grandes et permettent un réglage aux petits oignons. Idem au secondaire. Tenue de la collimation: impeccable.

Aucune vibration gênante même à forts grossissements.....

Un système de brouette, faite sur mesure, me permet de déplacer le télescope d'un endroit à un autre dans le jardin très rapidement, ou de le ranger dans le garage tout monté (très agréable lorsqu'on est fatigué, après une nuit d'observation ou lorsque la météo se gâte rapidement), et ce sans aucun effort.

J'ai acquis la jupe de protection qui est faite aussi sur mesure :-)

Sa table équatoriale me fait aussi très envie. Le modèle proposé est vraiment bien foutu, car il ne surélève que très peu le scope, contrairement aux autres tables que je peux connaître, dont la mienne (une "Roundtable Platform" de Brian Reed). Mais là faut que j'arrête les frais........:-)

Ce qui anime le personnage et sa philosophie:

Un partage de ses connaissances, une évolution sans cesse de ses modèles, une transparence totale sur sa production, une grande possibilité de choix de diamètres et de focales (pas si courant que ça effectivement), une écoute attentive des envies et des besoins des gens qui le sollicitent, une convivialité qui te fait oublier le rapport client-vendeur,......

Je connais maintenant plusieurs propriétaires de Dobson Factory qui font tous ce constat.

Jean-Christophe Jentils. Val d'Oise (Dobson 400, optiques Mirrosphère)

J'ai la chance d'avoir un DF 400 , optique mirosphère:que du régal.

Une très grande rigidité des tubes carbone; pas de problèmes pour le transport de chaque pièce (on ne peut pas toujours déposer son Dob a coté de sa voiture.En plus le bois , j'aime.

Passé l'apprentissage de la collimation,pour un ex-utilisateur de lunette , j'ai trouvé son montage aisé , y compris dans le noir ,et dès les premières utilisations .

J'ai pu faire des sorties y compris avec un utilisateur experimenté et possesseur d'un T500 , qui m'a dit tout le bien qu'il pensait des images dans mon dobson.

Je passe de sacrés moments d'observation avec ce Dobson.

Jean Louis Drouot, Toulouse (Dobson 500, fd4, miroir Orion Optics)

Dans la nuit du vendredi au samedi, j'ai vécu une sortie astro exceptionnelle:

La transparence était remarquable, les halos des villes lointaines bien confinés près de l'horizon, avec un SQM mesuré par Alain (un ami astronome aussi présent) de 21.38 : donc un ciel très pur, juste limité à forts grossissements par une turbulence moyenne. Mais peu nous importait, nous étions venus pour faire du ciel profond et on s'en est gavé les yeux jusqu'à l'occiput!

Sous un bon ciel de montagne, le 500 a sorti ses tripes et les objets admirés en plaine étaient tout simplement époustouflants : les filaments dans M1 en vision directe, la spirale barrée de m81 que je ne connaissais bien qu'en photo, le casque de Thor découpé et festonné comme sur une image CCD, des couleurs d'outre-espace dans Orion (mais celle-là je n'en parle pas, il me faudrait une page entière, on ne savait plus où regarder), la tête de cheval silhouettée jusqu'au cou, des planétaires vert fluo et contrastées même à 600x, et en fin de nuit, cerise sur le gâteau, la comète Hartley plein champs à l'Ethos 21 avec un départ de queue bien visible.

A un moment donné, surpris par un halo clair se déployant de l'horizon, coté Lion, et s'élevant en biais vers les Gémeaux, Alain et moi avons commencé à râler sur une pollution lumineuse perceptible jusque dans ces terres reculées :c'était la lumière zodiacale...

Nous étions une douzaine sur le site, avec 2 ou 3 petits instruments (pour la photo sans doute, uh uh), un 150, un 200 (apparemment, j'ai pas mesuré), un 300, un 400 et un 500. C'était la première fois que je testais mon instrument sous un très bon ciel et la vache, je n'ai pas été déçu !

Il est facile et stable à l'usage, se bouge d'un doigt, ne vibre pas, encaisse les forts grossissements et délivre des images piquées.

L'association Paracorr/Ethos fonctionne bien et garantit des champs larges sans déformations rédhibitoires sur les bords.

Voila une sortie dont je me souviendrai longtemps !

Jean Louis Drouot

Pascal Lenoir, Tour (Dobson 500, fd 3,7, miroir Lightholder)

Après avoir possédé et utilisé un newton, deux C8, un dobson 430 fait main, et dernièrement un C14 je suis parti à la recherche du Graal, de la pierre philosophale (je ne savais pas encore que ce serait un Pierre philosophique !). C'est-à-dire un télescope de grand diamètre à la fois léger, transportable, esthétique, révolutionnaire.

J’ai recherché pendant plus d’un an la perle rare parmi les ultra légers, les géants, trilatéraux, sytèmes valise, string, 3 tubes, type Bary Leger et j’en passe de Messieurs Philipp Salzgeber, Pierre Guillement, Denis Ratier, Don Peckham, Eric Royer, Fesunoff, Michael Koch, Marco Miglionico, Andreas Derwahl, Fabrice Bergé-Borderolle, Francis Tisserand, Pierre Strock, Thomas Bextant, Xavier Camer, Albert Highe, Barry Wolfe, Doug Tanaka, Paul Lefevre, David North, Joerg Peter, José Devroede, Adrie Suijkerbuijk, Craig Combes, Dale Eason, Guillaume Canat, Marc Durey, Matt Vartanian, Robert Houdini, Bruce Mill, Jan van Gastel, Frédéric Géa, Yves Klüver, Dan Bakken, Dan Gray, Vincent le Guern, Achim Strnad, Bob Bunge, Bruce Sayre, Charlie Wicks, Greg Babcock, Reiner Vogel, Roland Hermann, Stathis Kafalis, Steve Vegos, Ulli Vedder…et un raton laveur, et un raton laveur. Non ce n’est pas l’inventaire de Prévert mais c’est bien la preuve de ma longue quête don Quichottesque de l’inaccessible étoile (c’est le cas de le dire !).

J’avais pensé réaliser une synthèse personnelle de tous ces modèles et j’avais prévu de me lancer dans le projet utopique d’une construction tout en sachant que je n’aurais jamais ni le talent ni le temps de sa mise en œuvre. Quel plaisir de poursuivre sans cesse l’idéal, la jouissance du manque qui entretient le désir…Quand j’ai découvert le site Internet de Pierre Desvaux j’ai du renoncer à mon délire paranoïaque passionnel des inventeurs. « J’en ai rêvé, Pierre l’a fait ». Je lui en veux finalement beaucoup aujourd’hui de m’avoir rendu fidèle et satisfait avec la réalité d’un télescope. Quoique récemment, pour des raisons personnelles de manque de temps et de facilités de transport, j’ai évoqué avec lui la possibilité de revendre mon 500mm pour…lui en racheter un plus petit 400mm type valise. L’addiction aux Desvaux en quelque sorte, un dévot à Desvaux ! Si j’avais les moyens financiers je ferais une collection de « pierres » Desvaux du petit 300mm tout mignon qu’on peut emporter sur les sommets jusqu’aux impressionnants 600 et 800mm.

Trêve de beau discours pour la partie technique rien à critiquer : légèreté, stabilité, mobilité, adaptabilité, et même évolutivité (j’ai rendu les grands tourillons démontables). Pierre reste entièrement disponible pour continuer à prodiguer des conseils judicieux. Il améliore toujours ses conceptions.

L’homme que je connais peu mais que je devine est à l’image de ses télescopes, élégant, fiable, alliant force et finesse et ouvert sur le monde visible et invisible.

Pascal Lenoir, pédopsychiatre, MD, PhD, HDR

Benoit Zeller, Strasbourg (Dobson 500 fd 4, miroir Mirrosphère):

"Astronome itinérant et fan de ciel profond, je souhaitais depuis longtemps utiliser un gros diamètre. Habitant dans un immeuble sans ascenseur, il me fallait impérativement pouvoir transporter aisément le matériel avant et après chaque sortie, et pouvoir passer les portes…. Je me suis donc arrêté à 20 pouces pour le miroir, très finement taillé par Franck Grière. C’est cette partie qui reste la plus lourde, l’équivalent de la structure complète. Une bonne vingtaine de kilos… à comparer avec une monture eq6 standard…

Pierre Desvaux a donc réalisé la partie mécanique du télescope. Son choix délibéré de sur-dimensionner la taille des tourillons permet une grande latitude dans l’équilibrage malgré les changements d’oculaire (du petit oculaire 31,75 à la binoculaire supportant de lourds oculaires « grand champ ». Combiné avec la généreuse dimension du flexrocker, il n’y a plus de problème de stabilité. En outre, pour les point de frottements, le couple FRP / Téflon assure des mouvements très doux.

Pour la collimation, je n’ai pas besoin d’outil, ce qui me permet de revoir facilement la collimation durant la nuit. Etant donné ma grande taille, je n’ai pas besoin d’escabeau, ce qui est un confort supplémentaire

A tous les moments de la construction, Pierre a été à l’écoute de mes demandes pour adapter le télescope à ce que je souhaitais. Et je suis très satisfait du résultat. L’esthétisme minimaliste du télescope, la simplicité des formes et la finition montrent le professionnalisme et la réflexion menée en amont.

Les premières utilisations m’ont été nécessaire pour maîtriser la bête adopter les bons gestes quand à l’organisation du transport et du rangement dans la voiture. Etant donné que Pierre arrive à ranger trois de ses télescopes (500mm, 400mm 300mm dans une petite voiture urbaine), je ne faisais pas de souci quand même.

Quant aux observations, c’est simple, je revisite le ciel intégralement. Les oh et ah sont réguliers au fur et à mesures que les objets s’égrènent dans l’oculaire. Que dire des superbe bras des galaxies, des nuances, des couleurs et détails dans les nébuleuses, les planètes et la lune et de leur « fond » d’étoiles derrière…. Pour résumer, le télescope est gros mais très bien pensé, doux, stable…. il se fait totalement oublier. A mon sens, le plus beau compliment pour un télescope, la nuit, car cela permet d’avoir un plaisir d’observer total."

Carson Hicks, Liste Yahoo, Bigdob (au sujet de la construction du 760mm):

"Wow!

. . . . I am amazed!

Fabulous work. Beautiful.

The design of the telescope is so very delicate and yet powerfully strong.

A work of art, . . . . yet so functional.

This telescope is an inspiration to me. I have never seen such combination of function and beauty in a scientific instrument!

I really enjoyed seeing each step of the building process.

Thank you for sharing your work.

Congratulations,

Carson"

Jean-François Rey, Marseille (Dobson 400):

Bonjour Pierre

Pardon pour ce long silence.

Le boulot, les activités, les enfants, le très très très mauvais temps..............

Bon je suis quand même sorti 3 fois avec un très bon ciel à 30 km de Marseille.

Je suis enchanté de la structure du dobson.

Montage, démontage et collimation rapide et facile.

J'aime le principe "dobson".

Le votre est en plus agréable à utiliser.

Grace au miroir de Franck l'image est superbe

A bientôt j'espère.

Cordialement

Jean-François REY

Guillaume Cannat, Le Guide du Ciel (http://www.leguideduciel.net/lgdc/lgdctextes/lgdc41.php)

Dobson 760 fd 4, miroir Jean Marc Leclere

4 juillet 2010 : la première lumière !

Et bien voilà ! Il m’aura fallu patienter une semaine de plus avant de pouvoir enfin vivre la première lumière de ce télescope.

Dans la sud de la France, la chaleur a été omniprésente ces jours derniers avec son cortège de nuages, d’orages et de brumes de chaleur rendant toute tentative d’observation illusoire. En fin de semaine, désespérant d’avoir un ciel correct en début de nuit, j’ai choisi de me lever avant l’aube – vers 3 h du matin – pour surprendre quelques astres et, hier matin, j’ai ouvert les yeux pour découvrir un monde ouaté envahi par un épais brouillard ! Bis repetita ce matin, mais, cette fois, un ciel pommelé laissait fréquemment apparaître le Dernier Quartier de Lune dans ses golfes clairs et j’ai enfin pu mettre l’œil à l’oculaire.

La collimation, effectuée hier en fin d’après-midi, était loin d’être optimale, mais je m’en suis satisfait car le désir d’observer était trop impérieux. Ce que j’ai vu me laisse encore pantois quelques heures après. Entre les brefs passages nuageux, la turbulence était lascive, comme une lente houle qui ne nuisait guère à la qualité des images.

La première région pointée, celle qui est apparue lorsque j’ai fait la mise au point pour la toute première fois, était pratiquement centrée sur l’immense cratère Clavius. J’avais mis un oculaire TeleVue Nagler de 17 mm ce qui me donnait un grossissement de près de 180 fois.

Comment dire l’incroyable précision de l’image observée ? Peut-être en vous suggérant de regarder les meilleures images de la surface lunaire obtenues par Thierry Legault ou Christian Arsidi avec des télescopes de 305 mm, comme celle-ci ou celle-là, et en vous disant que, quelles que soient les qualités indéniables de ces photographies, elles semblent empâtées par rapport à la vision que j’avais ce matin à l’oculaire.

Le centre de Clavius était un véritablement fourmillement de cratères de toutes dimensions d’une netteté stupéfiante. Tout autour, les Klaproth, Casatus, Blancanus, Scheiner, Maginus, Tycho ou Longomontanus offraient un aspect tout aussi riche et saisissant.

Et la remontée le long du terminateur ! Avec le mur droit comme un coup de scalpel laissant sourdre un sang d’argent sur le velours gris de la mer des Nuées. Les immenses cratères Ptolémée, Alphonse et Arzachel garnis d’ombres d’un noir dense découpées aux ciseaux avec des pics lumineux qui transperçaient la nuit. Les abords de la chaîne montagneuse des Apennins, bosselés, grumeleux, affichant un camaïeu de gris d’une abondance insoupçonnable. Copernic encore écrasé de lumière et révélant pourtant déjà un relief superbe.

L’ouest de l’enceinte d’Archimède lançant des ombres acérées sur son arène et la multitude d’îles d’un blanc éclatant pointant des doigts noirs effilés vers le terminateur au nord de la mer des Pluies. La beauté soyeuse du plateau encerclé de Platon rongé par l’ombre et les méandres argentés de la vallée de Schröter au loin. Et encore, parmi la foultitude d’images qui ont marqué ma rétine et resteront gravées dans ma mémoire : la découpe chaotique du limbe au-delà du lac de l’Automne en direction de l’enceinte de la mer Orientale ou les reliefs tourmentés des abords du pôle Sud.

Il est impossible de dire, sans abuser de superlatifs, à quel point la qualité de ces images était impressionnante, offrant un luxe inouï de détails et toute la gamme des gris. Ce tout premier contact avec un miroir de ce diamètre sur un astre tel que la Lune révèle son incroyable potentiel et j’ai hâte de pouvoir monter vers des ciels de meilleure qualité pour plonger dans les profondeurs zénithales.

Je profite de cette première observation pour saluer et remercier trois hommes, trois amis, qui m’ont permis de réaliser ce « rêve d’enfant ». Vincent Le Guern, tout d’abord, qui m’a inoculé le virus des grands diamètres il y a tout juste dix ans et à qui j’ai racheté son miroir de 760 mm quand il a construit son 800. Jean-Marc Lecleire, ensuite, qui a accepté de resurfacer ce miroir pour l’amener à un niveau de finition inespéré. Pierre Desvaux, enfin, qui a su construire la monture dont je rêvais.

Voilà, la longue histoire de cette construction s’achève et je vais à présent pouvoir partir à l’aventure. Merci aux milliers de personnes qui ont consulté cette longue page au cours des derniers mois. Je vous donnerai des nouvelles de temps en temps dans ma lettre et quelque chose me dit que vous ne tarderez pas à trouver dans mes livres les premiers effets de mes observations avec ce nouveau télescope…

David Prieur (Dobson 400, ultraléger en composite multiplis / mousse polystyrène)

Bonjour,

ça va bien. La prise en main se passe bien et correspond à mes attentes : la monture est légère et je peux donc mettre en place le matériel rapidement et donc, commencer mon observation tout aussi rapidement. La collimation est nikel car je ne galère pas du tout.

Au niveau des observations : je suis super content car j'ai pu voir mars comme je ne l'avais jamais vue et je me suis pas mal attardé sur M42. J'ai fait M78 à côté mais elle est assez discréte je trouve.

J'ai pu voir quelques objets comme saturne, jupiter, M51, M57, M31, le double amas de Persée... et là je m'attaque aux Dentelles.

Au niveau maniabilité, légéreté, rigidité, le télescope répond parfaitement à mes attentes.

J'ai vu votre site, il est super !! Je pense que vous allez crouler sous les commandes. En tout cas, c'est ce que je vous souhaite car votre savoir-faire le mérite. J'en parlerai autour de moi :).