Bibliographie d'Éléonore Tenaille de Vaulabelle

Théâtre

1831 : La Tireuse de cartes, mélodrame en 3 actes d'Ernest Desprez et Jules-Édouard Alboize, musique de Obell, théâtre Molière (9 juin) puis théâtre de la Gaîté (13 avril 1832) - J.-N. Barba, Paris, 1832. 68p.

1834 : Un enfant, drame en 4 actes de Charles Desnoyer et *** , imité du roman d'Ernest Desprez, théâtre de la Gaîté (21 juin) - Marchant, Paris. 31p.

1836 : Clémentine, comédie-vaudeville en 1 acte d'Jacques-François Ancelot et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (7 mars) - Marchant, Paris. 15p.

1838 : Les Trois Dimanches, comédie-vaudeville en 3 actes des frères Cogniard et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (19 août) - Marchant, Paris. 34p.

1838 : Contre fortune, bon cœur, comédie-vaudeville en 1 acte de J. Cordier, théâtre du Vaudeville (21 février) - Marchant, Paris, 1839. 16p.

1840 : Le Mari de ma fille, comédie-vaudeville en 1 acte de Jacques-François Ancelot et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (25 août) - Marchant, Paris. 16p.

1841 : Les Willis, vaudeville en 1 acte de Vaulabelle et Auguste Pittaud de Forges, théâtre du Palais-Royal (19 octobre)

1842 : Le Mari à l'essai, comédie-vaudeville en 1 acte de Jean-François Bayard et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (4 mai) - Beck, Paris. 19p.

1844 : La Polka en province, folie-vaudeville en 1 acte d'Alexis Decomberousse et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (6 avril) - Giroux et Vialat, Saint-Denis-du-Port. 13p.

1845 : La Polka en province, folie-vaudeville en 1 acte d'A. Decomberousse et J. Cordier - Beck, Paris. 13p.

1846 : Colombe et Perdreau, idylle en 3 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre des Variétés (15 août) - Maistrasse et Wiart, Paris. 28p.

1846 : Les Dieux de l'Olympe à Paris, vaudeville en 6 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (26 février) - Beck, Paris. 24p.

1846 : La Femme électrique, folie-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (9 mai) - Marchant, Paris. 14p.

1847 : Éther, magnétisme et hatchis, à-propos-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre des Variétés (4 avril) - Tresse, Paris, 1846. 12p.

1848 : Ah ! enfin ! pièce d'ouverture en 3 actes et 2 entractes de Clairville, J. Cordier et Léon Dumoustier, théâtre du Vaudeville (29 avril) - Beck, Paris. 16p.

1848 : L'Avenir dans le passé ou les Succès au paradis, à-propos-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (30 septembre) - Beck, Paris. 15p. [estampe]

1848 : Le Club des maris et le Club des femmes, vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (4 juin) - Beck, Paris. 14p.

1848 : Les Filles de la liberté, à-propos-vaudeville en 1 acte, de Clairville et J. Cordier, théâtre du Gymnase-Dramatique (14 mars) - Beck, Paris. 10p.

1848 : Les Parades de nos pères, folie en 3 tableaux tirée des anciennes parades de Dumanoir, Clairville et J. Cordier, théâtre Montansier (6 octobre) - G. Olivier, Paris. 44p.

1848 : La Tireuse de cartes, vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre des Variétés (9 janvier) - Beck, Paris. 18p.

1848 : Un petit de la mobile, comédie-vaudeville en 2 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre des Variétés (7 août) - Beck, Paris. 21p.

1849 : Daphnis et Chloé, vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (23 novembre) - Beck, Paris. 12p.

1849 : Les Grenouilles qui demandent un roi, vaudeville en 1 acte de Clairville, Arthur de Beauplan et J. Cordier, théâtre du Gymnase (26 février) - Beck, Paris. 15p.

1849 : Les Partageux, vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Gymnase-Dramatique (17 novembre) - Beck, Paris. 12p.

1849 : Les Représentants en vacances, comédie vaudeville en 3 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre du Gymnase-Dramatique (15 septembre) - Beck, Paris. 29p.

1849 : Une semaine à Londres ou les Trains de plaisirs, folie-vaudeville à grand spectacle en 3 actes et 11 tableaux de Clairville et J. Cordier, musique de Victor Chéri, théâtre du Vaudeville (9 août) - Beck, Paris. 37p.

1850 : L'Alchimiste ou le Train de plaisir pour la Californie, vaudeville en 3 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre des Variétés (8 août) - Beck, Paris. 9p.

1850 : Le Bourgeois de Paris ou les Leçons au Pouvoir, comédie-vaudeville en 3 actes et 6 tableaux, théâtre du Gymnase-Dramatique (15 juin) - Dondey-Dupré, Paris. 68p.

1850 : C'en était un ! pochade en 1 acte, mêlée de couplets de Clairville et J. Cordier, théâtre Montansier (31 mai) - Beck, Paris. 14p.

1849 : Daphnis et Chloé, vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (23 novembre) - Beck, Paris. 12p.

1849 : Paris sans impôts, vaudeville en 3 actes et 6 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (28 décembre) - Beck, Paris, 1850. 27p.

1850 : Les Tentations d'Antoinette, vaudeville en 5 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre du Gymnase (29 novembre) - Beck, Paris. 29p.

1850 : Les Secrets du diable, féerie-vaudeville en 2 actes à grand spectacle de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (23 février) - Beck, Paris. 22p.

1851 : Le Duel au baiser, comédie mêlée de couplets en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre Montansier (17 juin) - Beck, Paris. 15p.

1851 : La Dot de Marie, comédie-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Gymnase (18 janvier) - D. Giraud et J. Dagneau, Paris. 13p.

1850 : Le Journal pour rire, revue en 1 acte et 3 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre de la Porte-Saint-Martin (25 décembre) - Beck, Paris, 1851. 17p.

1851 : Le Palais de cristal ou les Parisiens à Londres, grande revue de l'Exposition universelle, théâtre de la Porte-Saint-Martin (26 mai) - Beck, Paris. 34p.

1852 : Les Compagnons d'Ulysse, vaudeville en 1 acte et 2 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (5 juillet) - Beck, Paris. 10p.

1852 : La Maîtresse d'été et la Maîtresse d'hiver, comédie-vaudeville en 3 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (29 mai) - Beck, Paris. 21p.

1852 : La Mère Moreau, « débit de chinois, mêlé de prunes et de couplets », pochade en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (1er août) - Beck, Paris. 11p.

1852 : La Queue du diable, vaudeville fantastique en 3 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre de la Porte-Saint-Martin (29 juillet) - Beck, Paris. 22p. [La coda del diavolo]

1851 : La Vénus à la fraise, folie en 1 acte mêlée de couplets de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (31 décembre) - Beck, Paris, 1852. 12p.

1852 : Les Abeilles et les Violettes, revue à grand spectacle en 6 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (28 décembre) - Beck, Paris, 1853. 18p.

1853 : Le Baromètre des amours, comédie-vaudeville en 5 actes, de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (11 janvier) - Beck, Paris. 22p.

1853 : Le Bourgeois de Paris ou les Leçons au Pouvoir, comédie-vaudeville en 3 actes et 6 tableaux - réédition, Michel-Lévy frères, Paris. 20p.

1853 : Cadet-Roussel, Dumollet, Gribouille et Cie, bambochade en 3 actes, précédée d'un prologue en vers, théâtre des Folies-Dramatiques (15 juin) - Beck, Paris ; rééd. Tresse, Paris, 1860. 22p.

1853 : L'Esprit frappeur ou les Sept Merveilles du jour, comédie-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, musique de Sylvain Mangeant, théâtre du Palais-Royal (17 décembre) - Beck, Paris. 16p.

1853 : Fraichement décorée, à-propos-vaudeville en 1 acte de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (25 juin) - Beck, Paris. 10p.

1853 : La Vie à bon marché, vaudeville en 1 acte de Clairville, J. Cordier et Louis Couailhac, théâtre du Vaudeville (5 avril) - Beck, Paris. 13p.

1854 : Les Contes de la Mère l'oie, grande féerie en 5 actes et 22 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre de l'Ambigu-Comique (20 mai) - Beck, Paris. 44p.

1854 : Mesdames les pirates, vaudeville à grand spectacle de Clairville et J. Cordier, théâtre du Vaudeville (25 février) - Beck, Paris. 12p.

1854 : La Mort de Pompée, comédie-vaudeville en 3 actes de J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (18 juillet) - J. Dagneau, Paris. 72p.

1855 : Les Binettes contemporaines, revue en 3 actes et 7 tableaux de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (23 décembre) - Beck, Paris. 30p.

1858 : Un dîner et des égards, comédie-vaudeville en 1 acte de J. Cordier et Léon Dumoustier, théâtre du Palais-Royal (13 juin) - Michel-Lévy frères, Paris. 35p.

1858 : Une dame pour voyager, vaudeville en 1 acte de J. Cordier, théâtre des Variétés (31 mai) - Michel-Lévy frères, Paris. 31p.

1859 : Le Banquet des Barbettes, comédie-vaudeville en 2 actes de Clairville et J. Cordier, théâtre du Palais-Royal (17 juin) - Beck, Paris. 19p. [partition]

1862: Une semaine à Londres, voyage d'agrément et de luxe, folie-vaudeville en 3 actes et 11 tableaux, nouvelle version, théâtre de Variétés, 23 juin 1862 - Dentu, Paris. 108p.

1866 (posthume) : Daphnis et Chloé, opéra-bouffe en 1 acte de Clairville et J. Cordier, musique de Jacques Offenbach, théâtre des Bouffes-Parisiens (6 octobre) - Beck, Paris. 10p.

La notice de la BNF attribue Monsieur Malbroug ou Mironton, ton, ton, mirontaine à Éléonore mais il n'avait que 11 ans en 1812 !.La pièce est de Aimé Desprez .

Romans et autres écrits

Épître à Sidi Mahmoud... d'après Quérard, avec Jules Méry, Ladvocat, Paris, 1825. 16p.

L'Étang de Varzy (nouvelle) dans Journal des enfans, Everat, Paris, 1832-1833

Le Troc des âges (conte) dans Journal des enfans, Everat, Paris, 1832-1833

Les Grisettes à Paris, Ladvocat, Paris, 1832, réédition, la Première Heure, Marseille, 2007. 25p.

Le dimanche à Paris, Nouveau tableau de Paris au XIX me siècle, tome deuxième, Librairie de Madame Charles-Béchet, Paris, 1834

Les Jours heureux, contes et morale à l'usage des enfans des deux sexes, Dumont, Paris, 1836. 311p.

Sous le pseudonyme d'Ernest Desprez

Un enfant (roman), 3 volumes, C. Gosselin, Paris, 1833. volume 1 volume 2 volume 3

Les Femmes vengées (roman), 2 volumes, A. Ledoux, Paris, 1834 volume 1 volume 2

Le Fils de Claire d'Albe (nouvelle) dans Le Sachet, Poulton, Paris, 1835. 24p.

Sous le pseudonyme de C. de Saint-Estève

M. de Similor en Californie, A. Courcier, Paris, 1856 (2e édition). 47p.

vaulabelle

Source : mon article Éléonore Tenaille de Vaulabelle sur Wikipédia et l'original créé le 24 mars 2011 qui reprend sa biographie, bibliographie, blason et généalogie

DESPREZ (Ernest).

UN ENFANT, 3 vol. in-8, 1833. — Sous ce simple titre, l'auteur nous raconte une des plus touchantes histoires d'amour maternel. Louise, pauvre jeune fille élevée à la maison royale de Saint-Denis, quitte son riche pensionnat pour rentrer dans une pauvre maison de la rue Bourbon-Villeneuve, où elle ne tarde pas d'être remarquée par Gustave, jeune et joyeux oisif du café de Paris ; la mère de Louise dispute à l'étranger tant qu'elle peut le coeur de sa fille ; mais à la fin l'étranger l'emporte, la mère succombe. Louise appartient à Gustave, qui torture à plaisir le coeur de cette pauvre fille abandonnée à elle-même ; il l'aime aujourd'hui, il ne l'aime plus le lendemain, il l'aimera un peu le jour suivant ; trop heureuse encore, la triste Louise, que Gustave patiente jusqu'à ce que la pauvre enfant soit mère à son tour ! Alors, dans l'esprit du jeune homme la jeune femme est tout à fait perdue ; ce n'est plus elle, il ne la connaît plus, il n'en veut plus ; il a eu d'elle tout ce qu'il voulait : un enfant, une petite fille ; Gustave fuit en Italie avec son enfant. Que devient Louise ? elle tombe du haut de son égarem­ent dans ce vice de deuxième degré ; elle vit avec des femmes de plaisir, avec des jeunes gens de plaisir, au milieu des plaisirs ; après quoi arrive la misère stupide, la misère en vices habiles. Il y a toutefois un moment dans la vie de cette femme perdue où tout à coup, sans transition, elle s'élève à toute la hauteur de la vertu. Ce moment, très-dramatique et très-inattendu, est celui où Louise, qui croit son enfant mort, le retrouve tout à coup, frais, joli, paré et folâtre dans le jardin des Tuileries ; la mère presse l’enfant contre son coeur à perdre haleine ; l'enfant a peur de sa mère. Gustave, voyant son enfant découvert, l'enlève une seconde fois. Mais Louise suit pas à pas les traces de sa fille, bien loin, jus­qu'en Flandre, à pied, dans la poudre du chemin, sous le soleil qui la brûle ; elle arrive, voit sa fille lui joue dans la cour du château, elle lui tend les bras ; l'enfant s’enfuit. Que de peine elle se donne pour apprivoiser ce timide enfant, pour en obtenir un sourire ; les tourments de cette mère sont affreux. Mais quand enfin la petite fille lui a dit : Je t'aime, elle oublie tous ses tourments. La dernière page est terrible. Gustave revient, la mère s'enfuit avec sa fille, et dans la lutte qui s'ensuit, le petit enfant est étouffé.

LES FEMMES VENGEES, 2 vol. in-8, 1834. — Ce roman offre deux singularités : il défend les femmes, que presque tous les romans nouveaux attaquent, et est écrit dans la forme épistolaire. Rien de commun, rien de trivial dans ce roman ; l'apologie des femmes ne s'y présente pas avec cette candeur de bonhomie, avec cette niaiserie d'enthousiasme qui compromettent plus de causes qu'elles n'en gagnent. Les premières lettres entrent en matière sans avoir l'air d'y entrer ; elles ont bien l'incohérence, le décousu d'une correspondance véritable. Peu à peu la question se pose nette­ment, l'acte d'accusation contre les femmes est dressé ; mais leur défense n'arrive pas en masse et tout à coup ; on la désire, on la devine, on l'entrevoit par échappées, on la suit par éclairs, jusqu'à ce qu'enfin, et seulement vers la conclusion du livre, elle se produise avec une évidence plus lumineuse que le jour. — La fable des Femmes vengées -est simple ; les événements ne s'y pressent pas, mais les scènes délicieuses y abondent. Henri P***, le héros du livre, aime Marie, mais il s'en défie plus encore. Venu de Paris en Auvergne avec ces préventions contre les femmes trop communes dans notre société blasée, il voit sa cousine, la juge insensible, ignorante, froide, frivole, et s'attache pourtant à elle malgré ses défauts, et, qui sait, peut-être à cause de ces défauts. Mme Cambon, tante de Henri, mariée à un octogénaire, aimant son neveu sans se l'avouer, cherchant à fuir son propre coeur, désire qu'un mariage ait lieu entre les cousins ; elle envoie son amie Mme de Montalte, autant comme espion que comme intermédiaire ; Mme de Montalte, arrivée avec son fils chez le père de Marie, observe tout d'une façon si prévenue, qu'au lieu de deviner l’amour réel de Marie pour Henri, elle s'imagine que la jeune fille a du goût pour son fils Armand. De là net un imbroglio plein de charme et de vérité. Henri quitte le château, désespéré d'une inconséquence de Marie dont il est témoin ; il va visiter l'Espagne, dont les femmes ne lui rappellent Marie que par le contraste. Presque guéri de son amour, il repasse les Pyrénées et arrive à point nommé pour empêcher un mariage de raison entre Marie et Armand. — Rien n'est divin comme les trois principales figures de ce livre ; toutes les trois obéissant à l'instinct d'une angélique nature, se dévouant et combattant par pudeur, par noblesse et par raison : Marie cachant son amour sous un sentiment de modestie bien placé ; Mme Cambon dominant le sien de toute sa force et de toute sa vertu d’épouse ; Mme de Montalte couvrant les fautes de son mari d'un divin pardon de femme et de mère. Existences tourmentées toutes les trois, mais portant si bien la douleur, riant si bien dans le martyre, si concentrées, si résignées, que rien d'humain ne semble être en elles, et qu'on est plutôt tenté de les admirer que de les plaindre.

source: Revue des romans de Eusebe G***, tome premier, pages 171 à 173, Librairie de Firmin Didot frères, 1839