adresses éphémères  pour des œuvres qu'on ne reverra plus

INFOS sur les OEUVRES (chrono)

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AKELO - Génia AKOULOVA

Génia Akoulova   Akelo est mon nom d’artiste. Je suis franco-russe, je suis arrivée en France il y a 27 ans et je vis aux Lilas depuis 20 ans. Je me suis tournée vers le street art en 2015 et j’ai participé au festival Trait d’union, à Montreuil. J’ai commencé à peindre dans la rue et faire des collages à partir de mes tableaux. Je colle de petites pièces que je mets dans Paris, en adéquation avec l’environnement. Je peins les murs à l’ancienne, au pinceau, car le rendu est  bien meilleur. En ce moment, on peut voir mes fresques au Spot 13, et j’en ai réalisé une contre la guerre en Ukraine, avec une amie ukrainienne, au Lavo/matik, dans le 13e  arrondissement. Quel est votre projet pour Les Lilas ? Je vais m’occuper de la sortie d’un parking square du docteur Courcoux. Les murs sont gris,  Je vais y peindre des enfants, quelque chose de très coloré pour faire plaisir aux habitant·es

aux Lilas : sortie d’un parking square du docteur Courcoux (en projet)

lelavomatik.com/akelo    www.trompe-l-oeil.info    street-heart.com    facebook.com  

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ANNE JP

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aux Lilas : mur du carré des composteurs 10 rue des villegranges   

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ATELIER  aux Lilas pour la typographie et l’estampe",  créé par Kristin Meller et Raoul Velasco. 

Les artistes de l’Atelier ont été invités par la municipalité de la ville à afficher de grandes Calaveras en gravure et en sérigraphie dans le parc Lucie Aubrac. 

aux Lilas : mur mitoyen parc lucie aubrac (éphémère)

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BATSCH

décédé en 2020,

aux Lilas: école courcoux 135 av du marde lattre de tassigny,  espace louise michel 36 bd du général leclerc

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BEFA

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aux Lilas :  piscine 176 av du maréchal de lattre de tassigny

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BEZOK

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aux Lilas :  école courcoux 135 av du marde lattre de tassigny

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BROKEN FINGAZ 

collectif 3 artistes haifa & londres (choisis 14/12/23)

aux Lilas : esplanade metro serge gainsbourg 64 bd du général leclerc de hautecloque

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DAWAL

Dès ses débuts dans les friches lilloises, Dawal développe une technique. Son style est riche de détails et de symboles, parfois teinté d'humour et d'ironie.
Son univers graphique est coloré et vibrant. Il a été créé en peignant dans des espaces publics lors de séances nocturnes à Athènes. Très vite, son trait prend une base surréaliste. Il a été influencé par la rue et ses souvenirs d'enfance.

Installé désormais à Paris, il poursuit ses recherches sur la toile acrylique et la bombe sur les murs. Il cherche toujours l'évasion de l'esprit dans des compositions narratives.

aux Lilas :  33 rue des Bruyères angle 7-11 rue de romainville

facebook.com   instagram.com

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DEPIELLI 

street artist passionné par la culture hip hop et notamment le break-dance, les B-Boys et B-Girls. Il a choisi ce pseudo d'origine italienne car il a dessiné pour la première fois en Sardaigne, l'ombre d'une lionne sur un rocher à la craie   

aux Lilas :  piscine 176 av du maréchal de lattre de tassigny

street-heart.com    routard.com   streetarttourparis.com    

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Diane de la  ROQUE

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aux Lilas : école primaire 19 rue paul langevin

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ELLENA LOURENS 

artiste sud-africaine (choisie 14/12/23)

aux Lilas : proche de l'esplanade du metro serge gainsbourg 56?? bd du général leclerc de hautecloque??

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ERNESTO NOVO

aux Lilas : parc lucie aubrac accès 31 rue de romainville + 16 & 40  rue romain rolland 

twitter.com   twitter.com 

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JAZY

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aux Lilas :  école courcoux 135 av du marde lattre de tassigny

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Jérôme MESNAGER

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aux Lilas :  1 rue romain rolland

tourisme93.com/jerome-mesnager.html 

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John BUZZ

aux Lilas: 167 rue de paris, entrée du parking du marché

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JONONE - John Andrew PERELLO

Légende du street art, JonOne (John Andrew PERELLO de son vrai nom) est né à New York dans les années 1960. Enfant de Harlem, il fait ses classes en bombant les trains et les murs de son quartier. Il débarque en France en 1987, et passe du vandalisme à la toile. «A mes débuts, j’étais une espèce de punk qui graffait son nom sur les métros new-yorkais, c’était un acte de révolte. Même si le street art est une des formes d’art les plus excitantes, les plus dynamiques d’aujourd’hui, je tends plus vers l’art contemporain, je suis plus abstrait que les street artistes et mon travail est en constante évolution. » Très vite repéré par Agnès b, JonOne, qui a son atelier aux Lilas, va devenir le très prolifique peintre des explosions de couleurs et d’œuvres abstraites qui dégagent une énergie folle, des peintures qui se vendent en galerie et qui battent des records en salles de vente. Depuis des années, il multiplie les expositions partout dans le monde, les collaborations avec de grandes marques (Leclerc, Guerlain, Lacoste…) et une de ses peintures, variation de La Liberté guidant le peuple de Delacroix, est même entrée à l’Assemblée Nationale.  infoslilas 202205 p16

aux Lilas : école romain rolland 49-51 rue romain rolland

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Karen FINGERHUT

Yarn Bombing,  tricot

aux Lilas: mairie 96 rue de paris (éphémère), tgc 2 av waldeck rousseau (éphémère)

20150502 tricot metro leparisien.fr   20170518 tricot tgc leparisien.fr

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L'ATLAS  -  Jules Dedet GRANEL

Né en 1978 à Toulouse, Jules Dedet GRANEL, dit L’ATLAS, vit et travaille entre Paris et Les Lilas. Il figure parmi les artistes les plus reconnus du Street Art découvre le graffiti vers 10-11 ans. Jusqu’à 16 ans, Jules est un tagueur parisien, dont la signature est «  Socle ». A 18 ans, il prend le surnom d’Atlas et au Maroc, dans l’Atlas, il est initié par un maître à l’art de la calligraphie classique. Après le Maroc, il part au Caire, en Syrie, au Japon… Cet artiste urbain novateur, atypique, développe un univers géométrique basé sur la calligraphie, l’art optique. Il se renouvelle sans cesse et son talent se déploie dorénavant aux quatre coins de monde. Au fil des années, il a créé une signature unique, inspirée du labyrinthe, qui est toujours le motif récurrent dans ses œuvres, où l’on peut voir émerger son pseudo. Dans son atelier des Lilas, il est particulièrement attiré par l’idée de créer un  langage pictural universel, juste équilibre entre la forme et la lettre, une œuvre hypnotique qui tend à la fois vers l’abstraction et le minimalisme. On trouve plusieurs de ses œuvres aux Lilas et il avait marqué les esprits avec son installation éphémère devant la Mairie.   

aux Lilas : place du marché  4 rue du garde chasse, café le Royal 40 bd du général leclerc, 1 rue jacques catric, mairie 96 rue de paris (éphémère)

ville-leslilas.fr/centreculturel     tourisme93.com/l-atlas.html 

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LAZOO

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aux Lilas :  école courcoux 135 av du marde lattre de tassigny

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Le LONG - Mathias le LONG

Mathias Le Long. Agé de 34 ans, Mathias Le Long dessine principalement des animaux, majestueux et colorés. « J’ai fait plusieurs fresques dans le 20ème, à la Butte aux Cailles et bien sûr aux Lilas car j’y ai habité. » Il vient du dessin animé, a travaillé dans la pub, le cour tmétrage… « J’ai fait ça pendant une dizaine  d’années. J’en avais assez de bosser derrière un ordinateur. J’avais fait un peu de graffiti lors de mon adolescence et je m’y suis remis il y a deux ans. J’adore ça : tu es debout, tu as les doigts dans la peinture, sur un vrai mur… Il y a l’adrénaline, aussi, de peindre de nuit, même si je n’y vois pas grand-chose ! » Au fil des mois, Mathias Le Long a fait  des Lilas son nouveau terrain de jeu avec plusieurs fresques, des devantures de magasin dont un fromager et un boucher, des peintures chez des particulier·es… Pour le projet « Les arts fleurissent aux Lilas », il va peindre des animaux, bien sûr, en collaboration avec Louyz. « J’ai envie de peindre des choses jolies, colorées, dans la rue. Je veux me faire plaisir et faire plaisir aux passant·es. A priori, je n’ai pas vraiment de message « écolo » à délivrer, je veux juste donner à voir du beau… » 

Mathias artiste qui signe Le long, achève une saison 2020-21, au cours de laquelle il a peint dans les rues de l’est-parisien, plus d’une trentaine de fresques d’animaux. Sans compter celles des festivals auxquels il a participé, des jardins privés, son exposition personnelle et Alphonse le tigre, réalisée en grand format rue Dénoyez, au début du novembre. Une année mirifique !  i leur auteur est un dessinateur depuis qu’il est petit (sic), quand il s’appliquait à dessiner d’après nature ; aujourd’hui il la peint ! Ses premiers graffs datent de quand il était adolescent et ont été posés dans le sud. Par la suite, il s’oriente vers une école de dessin académique à Lyon, ayant cessé toute activité sur les murs à la suite d’une interpellation ; il en ressort diplôme en poche en 2010. Il poursuit ses recherches dans l’animation à travers des courts-métrages, devient réalisateur aguerri dans les techniques du Stop Motion et Mixe Live/2D et participe en tant que tel ou directeur artistique à de nombreux produits dans la publicité, le clip, le documentaire, le long-métrage et le vidéo-mapping. Il réalise notamment en 2018, le spectacle projeté sur l’Arc de triomphe pour les festivités du Nouvel An.  Après avoir réalisé des pochoirs pour ses amis et dans le quartier de la Butte-aux-Cailles, haut lieu de Street-Art parisien, il produit sa première fresque à main levée pour l’association « Les Arts fleurissent la Ville » au jardin de l’art urbain aux Lilas en juillet 2020.  Depuis, il trace une ligne de fuite à proprement parler. Puisque ces animaux nous sont d’autant plus proches qu’ils sont l’illustration d’une planète en péril. Il détoure notre réalité quotidienne, d’un trait sombre, mais c’est le seul contour qu’il pratique dans sa peinture. En effet, il travaille par « impressions », par touches successives qui construisent le sujet. La qualité de ses portraits est souvent soulignée par un élément graphique tel qu’un rond ou un triangle qui les délimite. Il partage son temps entre ses activités de graphiste et sa passion de l’art urbain, pour laquelle il n’hésite pas à sacrifier certaines de ses nuits. 

Apparaissent alors ses spécimens dans une farandole qui a étourdit ses followers, ici quelques-uns d’entre eux, rétro-chronologiquement : Alphonse, le tigre (rue Dénoyez – nov.2021) / Michael, l’iguane (Studios l’Albatros – oct.2021) / Christian, le crabe (jardin privé – sep.2021) / Ernesto, le caïman (rue de Crimée– sep.2021) / Hubert, le cerf (jardin privé – août.2021) / Bernard, le gyapète barbu (Centre d’animation Bessie Smith – juill.2021) / Léonard, l’éléphant (rue de la Mare– juill.2021) / Popol, le poisson combattant (domicile privé – juin.2021) / Hiro, l’hippocampe (domicile privé – juin.2021) / Manuelle Angela, l’ourse (rue d’Avron – juin.2021) / Lionel, le lion (rue de Paris, Les Lilas – juin.2021) / Fred, le requin (rue Oberkampf – mars2020) / Herbert, l’Altamira Oriole (avril 2020 – coll. Particulière) / Sanglier (rue Baudricourt – oct.2020) / Aigrette blanche (passage des Moulins-des-Prés – oct. 2020) / Loup (Le Barbouquin – Déc. 2020) / Hippopotame (rue Jean-Baptiste Dumay – nov.2020) / Mandrill (Belvédère de Belleville – oct.2020)

Mais pas seulement, l’artiste a réalisé cet été plusieurs fresques dans les festivals mentionnés avec leur photo, et il a récemment participé à divers appels à projet, en exclusivité pour Street-Art-Tour-Paris avec son aimable autorisation, ci-après nous en publions les esquisses… Je dis portraits d’animaux mais je devrais dire de sujets, parce qu’ils sont assortis d’un prénom, pour nous les rendre familiers. Les inclure dans la famille des êtres vivants, car nos enfants les voient surtout en barquettes et nous les rendre, parce que beaucoup sont menacés d’extinction.  

aux Lilas : boucherie les 2 jumeaux 68 rue de paris, les fromages de julien 62 r de paris, boucherie des lilas 64 r de paris, 7 rue du centre Jardin de l'Art Urbain,  espace d'anglemont  6 rue Bernard (??),  4-6 rue des Bruyères mur extérieur du magasin Bricolex

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LOUYZ - Louise DELARUE 

Le pari étal du trompe-l'oeil    Ses pinceaux courent sous la mansarde, virevoltent dans le cadre ; le débordent, remontent le long de la lézarde, de là s’étendent et se déploient sur le mur. L’artiste leur prête libre cours et ils y laissent son empreinte.   Comme un surgissement apparaît alors le paysage de la ville en toile de fond gris-bleu-horizon, afin de mettre en lumière l’éclat de couleur et la végétation de la scène animalière qui se joue hors le mur, au-travers d’un trompe-l’œil. Parfois, c’est un ara qui prend son envol (le 27 Pantin), ou un tigre alangui (Italie2) ou encore un colibri qui butine une fleur de Lilas (le jardin de l’art urbain aux Lilas). La jungle des villes s’ouvre à des « dé-paysages » et à de nouvelles perspectives sur les ombres de la caverne de notre pseudo-réalité. Nos impressions sont trompeuses, essentiellement axées sur le consumérisme…  Cette technique du trompe-l’œil est la marque de fabrique de l’artiste. Son originalité vient de l’usage qu’elle en fait, mêlé à la pratique du Street-Art, pour ouvrir un pont, une brèche, une croisée dans la ville. Une fenêtre sur nos aspirations de nature, nous les citadins, à ce point dénaturés. L’artiste se situe au carrefour du muralisme et du Street-Art, ce qui la prédispose à être originale. Cependant, ses sujets et la façon dont ils lissent les pignons borgnes de nos rue aveugles, donnent à voir une autre réalité ; le poète disait : « I n’y a rien de plus vrai que ce qui est imaginaire dans un autre monde ». LOUYZ l’illustre parfaitement…    

De son vrai nom Louise Delarue, Louyz est issue d’une famille de muralistes car son grand-père Fabio Rieti a été l’un des pionniers de l’art urbain en France en réalisant notamment les trompe-l’œil dans le quartier des halles. La fille de Fabio, Leonor prit ensuite le relais avant de travailler avec sa propre fille Louise. « Pour la fresque de Marcilly, j’ai choisi des animaux typiques de cette région en y rajoutant de la poésie, indique Louyz. Je représente beaucoup de lézards sur mes murs car c’est un animal grimpant et un peu mon fétiche mais je n’avais jamais représenté de salamandre. Comme j’aime peidre en grand format des animaux de petite taille, j’ai aussi choisi le martin-pêcheur. J’aime peindre au pinceau car contrairement à la bombe, cela me permet de créer mes propres couleurs et à l’origine, la peinture murale se faisait au pinceau. Pour peindre, être en compagnie de ma mère avec qui nous restaurons les œuvres de mon grand-père, est très motivant et utile pour se passer le matériel. Maman sait exactement ce que je veux, c’est mon binôme car nous travaillons ensemble tous les jours. Je souhaite que les enfants regardent mes œuvres en souriant et se détachent des écrans en s’intéressant à ce qu’il se passe autour d’eux. Je souhaite que la fresque demeure et que si je reviens dans dix ans, j’aurai plaisir à la revoir. »

aux Lilas : espace d'anglemont  6 rue Bernard // brasserie mademoiselle 82-84 rue de paris xx 2 rue du coq français

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PEGRI

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aux Lilas :  piscine 176 av du maréchal de lattre de tassigny

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PENA

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aux Lilas : 3 bd de la liberté 

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RERO

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aux Lilas : 

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SEBD - sebast1

né à Dunkerque où il pose ses premiers pochoirs, le long des darses, dans le port, le chenal ou sur les quais. Arrivé en région parisienne, il s'exerce dans les friches urbaines et travaille avec WCA (Working Class Artistes) d'Artiste Ouvrier et Mosko & associés.

aux Lilas : entrée du marché des lilas 2 r du garde chasse (3 rideaux roulants peints= marchés d'Afrique, d'Europe & d'Asie)

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SIG  - Sigismond CASSIDANIUS

artiste pluriel, collagiste, rédacteur et guide de visites d’art urbain

Sigismond Cassidanius alias Sig est un artiste polymorphe qui écrit des textes d'expositions, promeut l’art urbain, programme des murs et anime des visites. Guide et animateur urbain aujourd’hui, il s'intéresse à l’art de la rue depuis le début des années 90, intrigué par Mesnager, Mosko et Némo. Dès lors, il commence l’aventure des ateliers du Ventre de la Baleine en 1995 et y fonde l’association JONAS : Jeune Organisation des Nouveaux Artistes Solidaires. Il participe à plusieurs évènements in situ publics : Paris Quartiers d’Été, l’inauguration du Divan du Monde et de Glaz’Art et organise des Festivals des Arts dans la Rue aux Arènes de Montmartre en 95 et 96. L'occupation du Lycée Diderot (Pôle-Pi) d’août 1995 à novembre 1998 permet à notre « artiviste » de nouer des amitiés solides dans le mouvement du graffiti qui perdurent encore aujourd’hui, notamment Hondo, RCF1, Popay, CH’TU, AOne, etc. L’association participe au 1er mur peint rue Ordener, avec Murs-Mures, la mairie du 18ème et l’accord de la SNCF en 1999.  Il assume la direction de plusieurs Centres de Loisirs pendant une vingtaine d'années, dans des quartiers dits sensibles de Juvisy à Paris 20ème. À ce titre il développe plusieurs projets culturels dont l’opéra contemporain pour enfants de Isabelle Aboulker : « Myla ou l’arbre-oiseau » avec le Rectorat de Paris et la Philharmonie de Paris (2014) Aujourd'hui, il partage sa passion de l’art urbain à travers ses visites, son soutien à la Friche Trois-Couronnes à Belleville en tant que membre du collectif et ses projets avec l’association Les Arts Fleurissent la Ville, dont il est Président et Directeur Artistique.

aux Lilas : 

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SPEEDY GRAFFITO - Olivier RIZZO

Speedy Graphito, pseudonyme d'Olivier Rizzo, est un peintre français, né en 1961, faisant la jonction entre la figuration libre et à la scène Street art française des années quatre-vingt. Artiste précurseur, reconnu comme l'un des pionniers du mouvement Street Art en France. Après des études artistiques à l'école Estienne à Paris et une très brève carrière de maquettiste-directeur artistique-graphique publicitaire, il intègre le collectif X-Moulinex en 1983 qu'il quitte l'année suivante. Pour exprimer et faire partager son art, il envahit les rues de Paris de ses graffitis, exécutés au pochoir ou au pinceau, représentant des personnages schématiques et dynamiques (ex : guerriers zoulous stylisés). L'année 1985 marque un tournant décisif dans sa carrière. Il participe au premier rassemblement du mouvement graffiti et d'art urbain à Bondy (Île-de-France), à l'initiative des VLP, avec Miss Tic, Jef Aérosol, SP 38, Banlieue-Banlieue, Blek le rat, Futura 2000, Nuklé-Art, Epsylon Point… La même année, il remporte un concours d'affiches, organisé par le Ministère de la Culture pour " Le mois au Musée ", avec son oeuvre, La ruée vers l'art (un cavalier sur un cheval cabré), ce qui le propulse immédiatement sous les feux des projecteurs. L'« imagerie Speedy » dont ses petits diablotins rouges (commercialisés sur cartes postales) et son personnage fétiche le fameux Lapinture. Lapinture est partout et tout le monde veut Lapinture. Speedy Graphito explore tous les supports, et ses oeuvres prennent différents aspects. Si la peinture reste son terrain de prédilection, il pratique et aborde d'autres dimensions de l'art comme la sculpture, la photographie, ou encore l'art vidéo et l'art numérique (Welcome to Venus, 2000). Performeur dans l'âme depuis ses débuts, il peint également de nombreux murs et toiles en direct lors de festivals, de foires, ou lors de ventes aux enchères et d'expositions. L'artiste se réinvente au fil du temps, en restant à l'écoute de la société et de ce qu'elle dégage. L'omniprésence d'internet, les marques publicitaires ou encore le consumérisme deviennent ses muses. La culture populaire, soit la mémoire collective du peuple, l'inspire, comme l'iconographie pop, les comics, Disney, mais aussi les jeux vidéo (Tétris : voir son intervention sur le M.U.R en octobre 2010). Les artefacts de cette "pop culture" qui commencent à être désuets, retrouvent dès lors une sorte de seconde jeunesse, dans un nouvel univers plus contemporain. Actuellement, il traverse dans une nouvelle période, s’inspirant de grands maitres comme Van Gogh, Mondiran, Dali, Miro... qui ont fait naître son amour de l'art. Il leur rend hommage par le biais de ses toiles, en les incorporant à sa propre peinture et à sa culture personnelle. Le peintre mélange alors les styles, les techniques et les mouvements qui l'ont construit pour créer sa propre histoire de l'art. En 2014, il expose avec Jean-Jacques Deleval et Errò à l'Arsenal de Soisson. En 2016, il réalise son record de vente aux enchères publiques à Paris confirmant ainsi que l'art urbain prend une place importante dans le marché de l'art contemporain. L'année 2016 marque ses débuts au Musée avec sa rétrospective au Musée du Touquet suivi en 2018, d'une rétrospective au Palais du Tau, un Monument National Français, et qui sait ce que la suite lui réserve.     

aux Lilas : parc simone veil, école romain rolland 49-51 rue romain rolland

wikiart.org     fr.wikipedia.org     infoslilas 202205 p16

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TAI

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aux Lilas : piscine 176 av du maréchal de lattre de tassigny

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YAK 

aux Lilas : 33 rue des Bruyères angle 7-11 rue de romainville

frenchartcollection.com

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ZAO

pochoiriste qui représente surtout des animaux;  a collaboré avec Nemo sur les murs du nord-est parisien. Le zèbre de ZAO, compagnon de route émérite du défunt NÉMO décédé en 2021, il lui rend hommage et à la ville avec une belle fleur de Lilas

aux Lilas : ancienne gendarmerie 196 rue de Paris 

budgetparticipatif.ville-leslilas.fr

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L'ASSO lilasienne "les ARTS FLEURISSENT la VILLE"

• 7 rue du centre,  siège social, réunit plus de 20 artistes urbains 

• animée par SIG  - Sigismond CASSIDANIUS

• facebook.com1   facebook.com2   linkedin.com   sté: annuaire-entreprises.data.gouv.fr   societe.com

• le dossier infoslilas de mai 2022, p13 à 16   www.ville-leslilas.fr/media/kiosk/files/infos_lilas_n223.pdf#page=13 

• l'asso est présente  à Lil'art et participe aux journées portes ouvertes

balades de découverte déjà réalisées  aux Lilas

https://www.tourisme93.com/document.php?pagendx=815&engine_zoom=FMAIDFC930030573

https://exploreparis.com/fr/5804-balade-street-art-aux-lilas.html

guide enlarge your paris = "itinéraires de street art", reportage de  Thom Thom artiste-coauteur du guide & Sigismond Cassidanius pdt de l'asso "les arts fleurissent la ville"     www.enlargeyourparis.fr/culture/un-artiste-partage-ses-meilleurs-itineraires-street-art-dans-un-guide 

découvrir la ville   

https://www.tourisme93.com/document.php?pagendx=363

Le POINT de VUE de la VILLE

Les Lilas aime le street art et réciproquement. Depuis des années, la Ville est devenue un beau terrain d’expression pour tout·es les graffeur·euses et la municipalité, à travers les actions du centre culturel, tente de les mettre à l’honneur. Urban Activity, un des premiers projets, date de 2011, avec une belle sélection d’artistes, des pionniers, comme Speedy Graphito, Jef Aérosol, ou des talents étincelants comme JonOne, Sun7, Tanc ou Psyckoze… Une exposition représentative de différentes approches picturales (bombe, pochoir, collage…) pour mieux appréhender cet art protéiforme... A cette occasion, plusieurs artistes dont Speedy Graphito, JonOne ou Rero avaient également peint de magnifiques fresques, toujours présentes sur les murs de la cour de l’école élémentaire Romain-Rolland. Au fil des années, le centre culturel a multiplié les expositions de street artistes : Les Couleurs de la rue, en 2013, avec M. Chat, Batsh, Jazi, Besok et Lazoo ; l’artiste canadien Jason Botkin était l’invité du centre culturel en 2017 et a même réalisé la carte de vœux de la Ville ; sans oublier l’exposition d’Ernest Pignon Ernest, pionnier de l’art urbain, ou enfin L’Atlas was here, consacrée à L’Atlas dans la ville entière, en 2019, pour montrer la richesse de son travail, avec des fresques à côté du marché couvert, sur le bar Le Royal au quartier des Sentes, et une performance éphémère très remarquée sur le parvis de la Mairie

Pour nous éclairer, il existe 3 courants de l’art urbain : le graffiti créé aux Etats-Unis dans les années 60', le muralisme né en 1910 au Mexique, et le pochoir fondé par des artistes français dans les années 60'

Autres fresques aux Lilas 

mars 2011 cour école r rolland Mickey & Popeye = peace superdiscount (speedy Graphito, Jone One et 10 autres graffeurs) suite de l'expo au c culturel

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