Cette page est l’ouverture d’un débat sur le SECRET du Mur Païen, sur les lieux sacrés, sur le Sacré, sur la Tradition.
Cette page traite des sujets suivants :
- Tradition du Sacré,
- Tradition du Sacré dans l’Art,
- Tradition du Sacré, In Situ, sur le Strasberg,
- Tradition du Sacré ailleurs, du Sacré autrement,
- Tradition Sacrée, entre nous, du Sacré toujours, en convergence, en continuité...
Cette page parle du Mont Altitona, de la MERVEILLE, THAUMASIA en Alsace, THAUMA des Vosges, de l’œuvre des Bâtisseurs du Mur, de sujets ART-KhEOLOGIQUES.
Parmi les débats possibles en relation avec la révélation :
- Débat sur le passage dans le SECRET,
- Débat sur la terminologie attachée au mot Païen,
- Débat sur le Mur, la fonction de cette construction à protéger…
Chercher une définition plus pragmatique, trouver une vérité plus abordable, le tout, condensé dans un essai. Aujourd’hui, choisir le débat sur le Sacré et en particulier le sujet des Lieux dits Sacrés.
Sur ce nouveau Camino, à chacun de poser sa pierre à l’édifice du Sacré, à poser son caillou sur le cairn de la Tradition…
Déplacer la notion de Sacré, donner une dimension singulière au Sacré, trouver un sens au Sacré en lien avec le SECRET du Mur Païen.
‘Parler d’un SECRET tout en conservant le SECRET d’une THAUMASIA’ tel est l’enjeu de cette page qui s’ouvre sur une nouvelle dimension du Camino.
Mille et une douces nuances pour parler de ce fabuleux SECRET et en final, s’attendre à d’insolites surprises…
Il s’agit d’emprunter, de croiser le Cami des mots où il devient possible d’approcher une Connaissance inédite du Sacré.
Lancer le débat tout en gardant de la mesure, du respect. Il s’agit de donner du corps au mot Sacré, de retrouver l’âme du Sacré, d’approcher l’esprit de Sacré. Pour commencer, quelques définitions du Sacré pour que chacun puisse se faire une opinion sur ce vaste sujet. Loin de philosopher sur ce terme, plutôt essayer d’élargir le débat et garder la possibilité de croiser les adjectifs qui le caractérisent.
Créer un Camino de l’écriture avec 3 passeurs de mots, d’idées, dessiner un premier Cami, le Camino des écrivains.
Numineux chez R.Otto, un grand classique quand on parle de Sacré mais il est incontournable. C’est R.Otto qui revendique le terme numineux formé à partir de numen qui selon lui, signifie, être surnaturel. ‘Le Sacré est absolu et relatif... Le Sacré est irrationnel, un sentiment du Sublime, une splendeur insigne… Le Sacré n’est pas de donner des noms ou des mots mais des vérités de sentiment…’ En final, le Sacré croise Jacob qui ‘a senti l’Infini qui est d’autant mieux senti qu’il est moins nommé…’ Dans ses pages, R.Otto décrit un Cami joyeux, un Sacré Camino Numineux.
Aborder un Sacré plus sociologique avec R.Caillois qui dans son livre sur l’Homme et le Sacré, nous parle du même sujet en d’autres termes, tout aussi enrichissant. R.Caillois traite l’ambiguïté du Sacré, de sa polarité, de sa pureté et aussi cette idée de respect du Sacré. Vivre une surprise, une douce synchronicité, alors que nous sommes dans le temps du Camino, le Feu avec cette réflexion que le ‘ Sacré suscite les mêmes sentiments que le feu chez l’enfant…’ Le Cami de R.Caillois le Rémois s’écrit dans la lignée d’une longue Tradition, d’une démarche qui associe sociologie et philosophie, qu’il traduit lui-même comme ‘le problème du Sacré m’a paru intéresser quelque chose de l’homme qui est profond et essentiel…'
Avec M.Eliade, c’est un Sacré plus ancestral, plus historique à découvrir absolument. L’espace sacré, la cité croise le temps Sacré, le temps des fêtes. La sacralisation du monde alterne avec les mythes. Puis M.Eliade aborde la sacralité de la Nature, le lien cosmique… Sur le Cami de M.Eliade, se retrouver parfois sur une voie étrangement à la fois poétique et métallurgique dans son sens traditionnel. Il relie sur un chemin de pensées, très habile, très agile, le terme poète au verbe fabriquer… De quoi nous réjouir pour entretenir le Feu des Forgerons…
2 autres auteurs apportent leur expérience à cet essai de définition sur le Sacré.
Avec F.Schwartz qui décrit les mystères du Sacré, entrer au cœur de la pratique, de la mise en œuvre. F.Schwartz ose décrire les lois de correspondance, l’imagination symbolique, la voie du réel. Nous voilà alors inviter à suivre un cheminement, certes déroutant pour nos cultures mais ô combien formateur. Le Cami de F.Schwartz se dessine sur un long fleuve Sacré…
Avec M.Questin, se rapprocher de notre époque et trouver les bases de la Connaissance Sacrée chez nos ancêtres, les ovates, avec lui, accepter d’élargir nos champs du savoir. Cela se sent, cela se ressent M.Questin adore parler de cette Connaissance qu’il partage. Le Cami de M.Questin est une invitation au voyage où le Feu est un essentiel.
Pour être bien à l’aise dans ce cheminement vers le Sacré, il est nécessaire de prendre en compte plusieurs dimensions humaines :
- La continuité dans le temps,
- La convergence dans l’espace.
Le Sacré s’étage et s’apprécie différemment.
Le Sacré est subjectif. Le Sacré peut être populaire. Le Sacré est libre d’expression ! Rester libre de ressentir le Sacré… Il peut appartenir à un tout et tout autant il appartient à tout le monde.
Le Sacré est traité ici dans sa relation avec la révélation sur le SECRET du Mur Païen et surtout sous l’angle des lieux qui sont dits sacrés, ce qui donne un sens très singulier à cet essai.
Concernant les lieux dits sacrés, il faut reconnaitre que le plus souvent, ce sont des lieux où un phénomène s’est produit (émerveillement, découverte d’un trésor, arrivée d’un bien précieux, surgissement d’une source, abri d’un arbre, énergie révélée, lieu de sauveté…) comme cela a pu se passer dans les temps anciens, les temps antérieurs et la mémoire populaire s’en souvient encore…
Quand on prend 3 mots associés au mot Sacré, par exemple, hagios, kadosch et sacer, finir par arriver au même mot : consacré.
La Tradition a toujours voulu honorer le Sacré et tel est le cas, dans cette lignée des Bâtisseurs du Mur.
D'une THAUMASIA, le Sacré s’indéfinit !
Il s’agit de poser une maïeutique du Sacré dans la démarche artistique, la recherche d’une finalité esthétique.
Prendre à titre d’exemple le cas du peintre flamand, Jérôme Bosch.
Observer longuement, avec patience, 3 œuvres majeures de cet artiste trop décrit comme un peintre de nos noirceurs humaines et pas assez comme un peintre de la lumière, du Sacré. Visiter ses fabuleuses œuvres qui nous invitent à nous interroger, sur le rapport à l’autre, sur chacun de nous.
Préparer le voyage avec lui, avec trois de ses triptyques :
- La Tentation de Saint-Antoine au Musée de Lisbonne permet de poser la problématique,
- Le Chariot de Foin au Monastère royal de l’Escurial facilite le cheminement, le Cami des sentiments,
- Le Jardin des Délices, au Musée du Prado de Madrid sert à établir les réponses aux questions jamais posées, les questions essentielles, les plus existentielles, les plus traditionnelles.
Découvrir alors que les planches de Bosch, que ses tableaux sont en fait d’authentiques cabinets de réflexion, des miroirs dont le reflet constitue un Sacré enfoui en chacun de nous.
Prendre 2 autres de ses œuvres certes connues, néanmoins très peu commentées :
- Ecce homo situé au Musée de Francfort où la perspective nous guide sur un Cami singulier,
- Le Couronnement d’Epines à la National Gallery de Londres (entre parenthèse, le titre est à changer ; le titre attribué à ce tableau cache le sujet traité par Bosch…).
Les 2 confortent cette Tradition du Sacré dans son expression la plus simple. Une ligne serpentine, un bâton, un pont peuvent suffire à évoquer en nous ce cheminement, cette idée de Camino, les mille et une manières d’approcher, d’effleurer le Sacré. A force de questions, finir par cerner une vérité.
Dans une maïeutique spiralée, passer ses 5 tableaux aux filtres, aux questions suivantes :
- Quel est celui qui traite le mieux, le sujet du Sacré ?
- Comment Bosch aborde et finit par voiler la Tradition du Sacré ?
- Quel est celui qui exprime le mieux, l’esprit de Hiéronymus, la pensée boschaine ?
Trouver les explications, sur le traitement de ces 3 sujets !
Chercher alors une vérité sur la transmission de la Tradition ?
Finir par le dire : Bosch est un Maître de la Tradition du Sacré !
Comme tous les peintres, tous ces artistes en quête de vérité, en trop plein d’inspiration, Bosch a créé un Cami du trait, Bosch a passé sa vie à nous tracer subtilement le Camino du beau trait, à nous guider vers l’esthétique, vers le Beau…
Le cas choisi de Jérôme Bosch est loin d’être un hasard ; en effet, nous verrons dans quelques pages à venir la relation particulière entre l’œuvre boschaine et l’œuvre des Bâtisseurs du Mur Païen qui sont à considérer alors comme des inspirateurs.
Les chaos de Bosch sont des trésors de vérités. Oui des chaos à explorer ! Oui, des vérités à escalader, à gravir ! Avec les chaos de Bosch, s’élever ! La vérité de Bosch appartient à cette lignée d’artistes qui partent certes d’un Sacré chaotique et qui nous emmènent, nous portent avec délicatesse vers un Sacré sublimissime.
D’une THAUMASIA, le Sacré se voile !
Il s’agit ici de voir comment le Sacré rayonne alentour.
Le titre de cette page est bien au pluriel car le Mont ALTITONA possède plusieurs lieux à sacraliser, des lieux parfaitement dédiés. C’est là une des nombreuses singularités et mystères do Mont Sainte-Odile. Dans son ensemble, ce Mont Sublime est qualifié comme étant Sacré ! Et pourtant, plusieurs lieux dits lui confèrent cette sacralité. Ici où l’esprit se libère des tensions.
Commencer notre voyage sur le site du Mont-Strasberg dans son entier.
Partir du Mont et des 3 zones principales qui sont à tour de rôle, sacrées :
- La Bloss vers le sud, vers le méridional, vers les crêtes les plus lumineuses,
- Le Hagelschloss vers le nord, vers le septentrional, vers les contrées les plus mystérieuses,
- La Grossmatt au centre, lieu du passage qui aboutit au monticule qui est lui-même ô combien Sacré.
Les 3 répondent à une même définition : des territoires oubliés !
Grâce au Travail des Bâtisseurs du Mur, chacun a un sacré rôle à jouer dans nos vies !
Prendre l’exemple de 2 sites qui se trouvent dans l’environnement proche du Mont :
- Le Château de Dreistein, très bien situé, en parfaite position avec la Tradition,
- La Chapelle Saint-Jacques qui rappelle le passage du célèbre Camino et bien d'autres bonnes choses...
Bosse de la Sacrée Chapelle Saint-Jacques
Etre face à un Sacré converti. Situés à l’extérieur du Mur Païen, les 2 participent au caractère Sacré selon l’expérience vécue de chacun ; une certitude, ils appartiennent au SECRET du Mur…
L’œuvre des Bâtisseurs du Mur est une œuvre qui nous permet de retrouver le chemin, de se retrouver sur le Camino des constructeurs, de ces inspirés…
A cela, il faut comprendre que le Sacré se côtoie, se diffuse, s’intensifie.
D’une THAUMASIA, le Sacré se partage !
Il s’agit ici de voir comment le Sacré se transforme en gémellité, prend forme ubique.
Il faut parfois aller ailleurs pour comprendre ce que l’on a sous les yeux.
Le Grand Voyage nous conduit sur le sol de France, vers d’autres contrées. La vérité si difficile à expliquer est souvent, à côté, autrement à quelques pas, à quelques lieux, toute simple… Descendre du Mont Altitona et partir pour la première étape de notre nouveau Camino.
Arriver à la ville latinisée sous le nom Argentoratum, devenue Strasbourg !
Sa Cathédrale nous accueille, les bras ouverts ou plus exactement ‘à pages ouvertes’ sur la Tradition du Sacré qui fait que ce Temple est construit à l’image du Livre. A Strasbourg, la Cathédrale est une étape dans le temps du Sacré, continu. Pour finaliser cette étape, l’on doit la compléter par une visite de sa Merveille jumelle (référencée à l’Unesco), c’est à dire sa grande île sur l’Ill. Cet îlot est en osmose avec le Mont ALTITONA au point de partager une même idée entre Strasbourg et Strasberg, d’un carrefour d’un Sacré significatif qui se confond avec l’œuvre des Bâtisseurs du Mur. Le Mur Païen est un livre de pierres qui traduit les bases les plus fondamentales de la Tradition. Nul besoin d’être taillées pour exprimer le Sacré dans son côté le plus brut, le plus pur.
Reprendre la route vers l’ouest pour se rendre à Reims !
Là aussi, c’est sa Cathédrale qui nous ouvre ses portes sur le Sacré. A Reims comme souvent ailleurs, la Cathédrale est loin d’être dans une ville, l’unique porteuse d’un Sacré séculaire. En effet, à trois pas de là, l’Eglise de Remi est construite pour abriter la Sainte-Ampoule. Cette église vibre avec un art roman qui véhicule parfaitement le Sacré historique.
Pour la troisième étape, reprendre la route, cheminer longuement sur le Camino du Sacré, un Camino imaginaire, créé uniquement pour le besoin de cette page, le besoin d’explication. Longer la vallée du Rhône, suivre le chemin du drac, du Feu encore et toujours…
S’orienter plein sud, se balader dans les hautes vallées ariégeoises, dans cette nature si intrigante.
A découvrir, sans modération, l’éperon rocheux, le rocher de Roquefixade. Son ascension permet de dévoiler cette longue Tradition du Sacré. Roquefixade présente la particularité de porter doublement cette Tradition. Roquefixade croise la route du Sacré et partage le SECRET des Bâtisseurs du Mur Païen comme des modèles à rappeler, une œuvre à reporter, à propager, une merveille à doubler, à multiplier à l’infini.
Passer de l’ombre au col des tremblements, se retrouver devant le Pog de Montségur, le Mont-Secure.
Le Pog de Montségur est en effet, en relation avec ce site captivant qui s’aperçoit du donjon, légèrement à gauche, dans les lointains. Il s’agit là, d’un Sacré discret qui nous rapproche à nouveau de la Tradition du Mur.
Ici, Le Sacré est protégé. Malgré son lourd passé, le site garde son Merveilleux Sacré. La plus grande population de toute son histoire a vécu sur les flancs du Pog malgré les nombreux dangers. Ceci afin de préserver son SECRET. Le Sacré du Pog a été préservé par cette population, soucieuse de sauvegarder le Numineux, le Sublime. L’écrin de Montségur, le château reconstruit, le castel pentagramme, protège bien le SECRET. Pourtant dans cette région, dans cette vallée numineuse, le pog n’est pas seul… à entretenir le Sacré
Autrement, à quelques pas de chacun de nous, se balader sur le Camino des architectes, des maitres d’œuvre, des maîtres de l’Œuvre.
D’une THAUMASIA, la vérité du Sacré voyage !
Il s’agit d‘oser dire une vérité, de savoir retrouver le vital qui nous habite lorsque notre esprit voyage sur cette THAUMASIA.
II est possible d’essayer de discerner la différence entre sacré lieu et lieu sacré. Il est possible de partager encore de nouvelles définitions, en quelques lignes. En fait, aller au vécu… Au beau milieu de la Merveille, se retrouver dans un lieu où l’on se sent bien, un lieu où l’on vit bien. Un lieu où en un moment de grâce, dans une étincelle, l’on vit un instant de vérité…
Comme sur le Mont Moussa, comme dans le chaos du Sinaï, dans un dérèglement des sens, très rimbaldien, on finit par se dire qu’on vient de vivre un moment d’éternité. Et à cet instant, la langue française nous facilite la tâche, une langue si riche de sens.
On vit les voix !
On entend l’invisible !
On voit l’imperceptible. On entend notre voie, résonner sous nos pas.
Question d’état d’esprit, esprit de découverte, esprit de partage…
Question de magie, le Mont Altitona est vraiment un lieu Sacré et le travail des Bâtisseurs du Mur est sacré…
Ces architectes, bâtisseurs, constructeurs, maitres de l’Œuvre, nos guides dans la Tradition, sur le Camino du naturel Sacré, le Sacré de la Vie, de la Nature consacrée…
Le Mur Païen est une construction destinée à célébrer cette Apothéose. C’est la fondation dédiée par un peuple, par une Nation qui consacre sa vie de Gentilles à cette Merveille.
Vivre cette Apothéose à chaque ascension sur le Mont qui porte la consécration de leur Travail. Telle est l’Apothéose proposée sur le Mont ALTITONA. Le désir est trop fort d’honorer cette Apothéose, cette THAUMASIA.
Désormais, c’est un lieu voué à la Vie où chacun, à chaque randonnée, à chaque marche vers le sommet de cette Apothéose peut souhaiter atteindre un mieux de vie, peut souhaiter vivre un bien être. Vivre en osmose, en énergie, vivre un mieux en santé, un mieux en esprit…
Dans cette Nature, dans ce chaos à la Bosch, dans les visites, In Situ, dans les randonnées si rimbaldiennes, chacun peut déposer un vœu, une pierre sur le cairn de la Tradition.
Là-haut, sur cette THAUMASIA, ce haut lieu sacré !
Haut car ici, les perceptions sont bonnes à saisir. Haut car ici, les sensations sont bonnes à ressentir. Haut car ici, la Tradition est bonne à partager.
Sur cette THAUMASIA, unique au monde, magique, la Nature distribue de bonnes ondes qui activent la joie de vivre ces instants, qui préserve, qui anime notre Feu intérieur, qui caressent le Sacré en nous…
Le Sacré, ancré, attaché à notre nature est prêt à osciller à la moindre secousse, est prêt à vibrer au premier tremblement. Le Sacré de la Nature si magique nous guide ; la nature magique du Sacré nous aide à vivre.
Oser un nouveau Cami Sacré, savoir retrouver un Camino Sacré, se taire, s’offrir le silence…
Pour nous, aimer marcher sur le Mont...
Sur la Butte Sacrée de la Chapelle Saint-Jacques...
Envie d’y aller,
aller en vie…
Sur la THAUMASIA en Alsace, le Sacré se vit !
Pour accéder au LIVRE BLANC consacré aux SACRES LIEUX, télécharger le fichier PDF en fin de cette page.
Pour toutes informations concernant les événements attachés au SECRET du Mur Païen et organisés par l'atelier ART-KhEO, il suffit d’envoyer un mail à l’adresse suivante : au.bois.des.arts@gmail.com
De la Civilisation d’Ottrott
Depuis toujours, le Mont Sainte-Odile attire, accueille et apaise les marcheurs, les randonneurs, les familles. Avec sa ligne serpentine, le Mur Païen ouvre l’horizon aux esprits les plus cartésiens, il calme les esprits. Le Mont est source de bien-être. Dans la simplicité, dans un naturel hors du commun, unique au monde, le Mur couvre un lieu de sauveté, exceptionnel.
Le Mont Altitona et le Mur Païen sont des biens naturels, culturels et en péril comme définis au sein de l’organisation mondiale UNESCO.
Le Mont Sainte-Odile avec son enceinte inaliénable véhicule une longue Tradition et figure une Merveille, unique au monde à placer sous l’égide de l’UNESCO.
Sauvegarder La THAUMASIA et le Mur des Gentils devient une nécessité absolue. Préserver ce fabuleux trésor de l’humanité passe par une inscription au Patrimoine Mondial régi par l’UNESCO.
Les Bâtisseurs du mur ont choisi comme chemin de vie de figurer la ThAUMASIA, de transmettre la Tradition, tout en gardant sa fonction première : protéger un lieu où règne la tranquillité, la sérénité.
L’UNESCO peut recevoir cette demande. L’UNESCO peut prendre une décision pour sa protection, sa sauvegarde. L’UNESCO peut aider à redonner au Mont et au Mur, leur aspect premier, à reconnaitre la Civilisation qui œuvre à Ottrott comme le foyer d'une Nation socialement avancée. La Civilisation d'Ottrott est prodigieusement sans pareil. Ottrott abrite une ThAUMASIA !
Témoignez votre soutien sous la forme qui vous convient et aidez à déposer un dossier sur la Civilisation d’Otrrott auprès de l’UNESCO !