Airlines that can no longer afford the cost of maintaining internal IT systems—now seen as cost centers—have long turned to outsourcing the majority of their business processes to qualified third-party providers. As a result, today’s airline information systems must be viewed as vast operational puzzles, powered by numerous external actors who, while not the owners of these systems, have become their critical operators.
The legitimate owners—airlines and airports—are therefore no longer in control of their own tools. They continue to fund systems that no longer belong to them, and more importantly, they cannot be agile or innovative without the approval of their suppliers.
What is an Agility Platform? In the transport world—particularly that of passenger services—an Agility Platform is, in generic terms, an integration and application development environment where all data exchanged by the airline's information system is hosted in a central location. This data is then used to carry out key operational tasks essential to the airline’s innovation capabilities.
The point is not to add another piece to the puzzle, but rather to unlock value from the existing system, particularly from the data it handles and exchanges.
Conceptually, an Agility Platform (AP) contains all the data exchanged between internal and external components of the airline’s information system and required by its functional business domains. An Agility Platform is neither a Data Lake nor a Data Warehouse.
It brings together both internal and third-party data, including critical PSS data, across various types: Near real-time data, Scheduled data, Ad hoc data and Reference data.
All raw data integrated into the platform can be qualified, corrected, normalized, enriched, and completed. New data can be generated, and all data—regardless of origin—can be concatenated or aggregated.
Just as the AP ingests data upstream from the airline’s information system, it also feeds data downstream to consuming systems. In doing so, it ensures that clean, consistent data is used across the organization from a centralized source.
Because new applications may be written to interact directly with the Agility Platform, it must be fully accessible via high-performance services or microservices.
The AP must be: Resilient, Fast, Scalable, Reliable, Interoperable. It should leverage open-source components wherever possible, adhere to common standards, and rely on shared integration models. Any dependency on proprietary tools, concepts, or infrastructure should be strictly avoided within its scope.
The platform must be built using an event-driven architecture, giving it an additional responsibility: to create and publish simple or complex events, and to maintain a dynamic subscription environment for some or all of these events.
Repetitive and/or operational tasks performed by the AP can be controlled and managed by lightweight business rules, administered through a local rules engine that makes it easy to add, modify, or remove rules.
The AP must monitor its own activity using appropriate tools and functions and must be able to generate dashboards to support operational oversight.
Les compagnies aériennes ne pouvant pas ou plus supporter les coûts d’une informatique interne (devenue un centre de coûts), se sont tournées depuis longtemps vers l’externalisation de la majorité de leurs processus métiers auprès d’opérateurs qualifiés …. Ceci conduit à considérer les Systèmes d’Informations d’aujourd’hui comme d’immenses puzzles outillés par de nombreux opérateurs, qui n’en sont bien évidemment pas les propriétaires mais qui en sont de facto, les acteurs critiques.
Les propriétaires légitimes (les compagnies aériennes et les aéroports) ne sont donc plus maîtres de leurs outils, financent des systèmes qui ne leur appartiennent plus et surtout ne peuvent plus être agiles et innovants sans l'accord de leurs fournisseurs.
Qu’est-ce qu’une plateforme d’agilité ? Dans le monde du Transport, de "passagers", une plate-forme d’agilité est, d’un point de vue générique, un environnement d’intégration et de développement d’applications où toutes les données "échangées" par le SI de la compagnie aérienne sont hébergées dans un endroit central. Ces données sont alors utilisées pour effectuer les tâches opérationnelles clés nécessaires à l'innovation de la compagnie aérienne.
Il ne s’agit pas d’ajouter une nouvelle pièce au puzzle, il s’agit de donner de la valeur au système tel qu’il est défini et en particulier de la valeur aux données qu’il manipule et/ou qu’il échange.
Conceptuellement, une Plateforme d'Agilité (PA) contient toutes les données (échangées par les composants internes/externes du S.I.) ET qui sont nécessaires aux domaines fonctionnels de l'entreprise (une P.A. n’est ni un Data Lake ni un Datawarehouse).
Les données sont à la fois des données internes et tierces, en particulier des données PSS. Elles sont de type : temps quasi réel (Near Real Time), planifiées, ad hoc et de référence.
Toutes les données brutes qui y sont intégrées peuvent être qualifiées, corrigées, normées, enrichies, complétées. De nouvelles données peuvent être créées et toutes (quelles que soient leurs origines) peuvent aussi être concaténées/agrégées.
Au même titre qu’elle « captée » en amont les données du S.I. la P.A. transmet aussi des données aux systèmes en aval. En cela, elle garantit l’utilisation de données cohérentes et "propres" à partir d’un emplacement centralisé.
Comme de nouvelles applications peuvent être écrites pour interagir avec elle, la P.A., doit être totalement accessible via des services (ou microservices) à haut niveau de performance.
La P.A. doit être résiliente, rapide, évolutive, fiable et interopérable. Elle doit utiliser autant que possible des composants de l’open source, des normes communes et des modèles d’intégration communs. Toutes formes d'adhérence à des concepts/outils ou infrastructures doivent être proscrites de son périmètre.
Elle doit être construite selon un modèle événementiel, ce qui lui confère une responsabilité supplémentaire : celle de créer/publier des événements simples ou complexes et d'entretenir un environnement de souscription dynamique à tout ou partie de ces éléments.
Les tâches répétitives et/ou opérationnelles effectuées par la P.A peuvent être contrôlées/gérées par un ensemble de règles légères. Elle sont administrées par un "moteur" de règles local dans lequel il est facile d’en ajouter, d'en modifier et d'en supprimer.
La P.A. surveille ses opérations avec des fonctions/outils appropriés et génère des tableaux de bord.
Implementation model
Generic "TRAVEL" modelization