Textes

   Les espaces connectifs offrent de nouvelles façons de circuler entre le monde du discret et celui du continu. Profondément liés aux entrelacs, ils se révèlent, à la lumière des notions adjointes de représentation et de feuilletage connectifs, être de nature essentiellement dynamique. 

Une définition unifiée des dynamiques s’avère alors indispensable à l’exploration de leurs aspects connectifs. Une telle définition est obtenue par l'adoption d'un point de vue catégorique sur les temporalités et les dynamiques. 

Par delà les notions classiques de systèmes dynamiques discrets ou continus, s’ouvre alors un vaste domaine d’exploration, celui de dynamiques non nécessairement déterministes, fondées sur des temporalités variées : cycliques, arborescentes, bornées, etc. 

À leur tour, ces dynamiques catégoriques servent de base à la définition des dynamiques catégoriques connectives, définition qui représente le principal objectif de ce petit livre d'introduction au sujet.

“Attractions borroméennes (de la connectivité aux temporalités)” in A la lumière des mathématiques et à l'ombre de la philosophie. Dix ans de séminaire MaMuPhi, éditions École Normale Supérieure - Ircam - Delatour, 2012


2011 

Document de référence sur les dynamiques catégoriques connectives. 4 chapitres, index des notations, table des matières. 80 pages.

Vidéo associée : "Categorical Connective Dynamics", colloque "Catégories et Physique 2011", Paris 7 (décembre 2011)

 Prezi associée : Categorical Connective Dynamics


2010


2009

La mécanique autrement ?... ou l'art (symplectique) de retomber sur ses pattes, texte de la conférence présentée le 25 mai 2009 lors de la journée "Mathématiques et mécanique : mélanges" à Supméca (Paris).


2008

* "Qu'est-ce que tenir ensemble ?" Entretien avec les psychanalystes Nathalie Charraud et Gilles Chatenay, in : Notre sujet supposé savoir, La Cause freudienne / Nouvelle revue de psychanalyse, n° 68, mars 2008.


2007

Remarque : la conjecture énoncée dans cet article a en fait été démontrée par Kanenobu en 1985, l'idée fondamentale se trouvant chez Brunn (1892) (voir The Connectivity Order of Links).

Plus grand facteur premier du nombre de structures connectives sur un ensemble de n points numérotés (les structures isomorphes sont distinguées), pour n = 2, 3, 4, 5 et 6. 

Pour n = 6, le résultat découle du calcul du nombre de ces structures par Wim van Dam.



 2006 


Séparation et généricité (à propos de l'usage par le philosophe Alain Badiou de certaines théories mathématiques), 43 pages, novembre 2006 (non publié) 


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