« Le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé.»

C'est ce qui est inscrit en France, dans l'article 1er de la Charte de l’environnement, reconnue de valeur constitutionnelle depuis 2005.

Ce droit ne semble pas être reconnu pour une partie des habitants de Bazet et des villages aux alentours en fonction des vents et de la météo.

Plusieurs fois par semaine, à toute heure du jour et de la nuit , des nuisances olfactives, fumées, odeurs âcres et irritantes, empoisonnent la vie des habitants.

Ils se posent une question : quelles en seront les conséquences à plus long terme ?

Si à ce jour ils ne peuvent pas affirmer que cette pollution a un impact sur leur santé et sur la biodiversité.

Ils veulent que ces nuisances cessent très rapidement. I

Ils veulent pouvoir jouir paisiblement de leurs maisons et jardins.

Ils en ont assez de devoir se calfeutrer certains soirs pour ne pas avoir à avoir respirer ses odeurs nauséabondes.

Pall Exékia : votre avis nous intéresse ! L'entreprise Pall Exékia a toujours reconnu être responsable des nuisances olfactives qui empoisonnent la vie des Bazétoises et des Bazétois mais également celle de leurs voisins d'Aurensan. Elle s'est engagée à mettre en place un système de post-combustion pour traiter les rejets. Mais voilà ça ne marche pas !!!! Dans un communiqué publié récemment sur le site de la Mairie de Bazet, Madame Decourcelle la Directrice de Pall Exékia déclare : "Nous avons rencontré des problèmes techniques et le système n'est pas opérationnel, nos services travaillent pour solutionner le problème et sauf imprévu ça devrait fonctionner fin juin." Nous sommes habitués aux effets d'annonces de l'entreprise ! Tout comme le Préfet, ils ne répondent pas aux sollicitations de notre avocat, que doit on en déduire :qu'ils ont des choses à nous cacher ? Notre avocat nous a soumis un plan d'actions en deux phases : une procédure contentieuse : constat des rejets atmosphériques (nuisances visuelles et olfactives) par un commissaire de justice, attestations de témoignages des riverains, Si les choses ne s'amélioraient pas : une procédure en référé-instruction : elle nous permettra d'accentuer la pression sur Pall et la Préfecture, d'obtenir tous les documents demandés, d'identifier les causes réelles des nuisances , nous obtiendrons plus rapidement des décisions. Cela n'est pas sans risque pour l'ADRISE et aura un coût financier important : 1.200,00 euros HT soit 1.440,00 euros TTC : requête en référé-expertise ; 720 euros HT soit 864 euros TTC : par mémoire complémentaire, par réunion d’expertise, par dires, audience. + les frais des commissaires de justice (huissier). Parce que nous avons pris l'engagement moral de tout mettre en œuvre pour préserver votre cadre de vie lorsque vous avez adhéré à l'ADRISE , nous vous devons toute la vérité. Nous ne pouvons pas vous assurer que nous allons gagner, nous vous mentirions. En cas d’échec de cette procédure, PALL EXEKIA s’estimerait plus légitime encore dans son activité et l’ADRISE pourrait s’exposer à une condamnation au titre de l’article L761-1 du code de justice administrative (frais de procédure et notamment d’intervention d’avocats de la ou les parties adverses). Autrement dit, toute procédure judiciaire présente un aléa important et vous expose à des risques.

Nous comptons sur vous !

Malgré toute notre bonne volonté, nous ne pourrons pas vous défendre malgré vous !

Vous ne devez pas vous résigner à subir ces rejets atmosphériques.

Notre avocat, Maître Bousquet, nous a proposé un plan d'action en deux phases, vous en trouverez les détails ci-dessus.

Qui dit action en justice, dit besoin de financement. C'est à ce moment que vous intervenez. Nous savons que la crise économique et sociale que nous traversons impacte beaucoup d'entre vous. Beaucoup peinent à boucler leur fin de mois. Nous vous sollicitons à hauteur de vos moyens, un don même minime nous permettra de mener notre combat.

Nous vous en remercions infiniment par avance !