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Retour sur la page j'amorce les premiers fondations d'une démarche SDSN

Evaluations thématiques 

Lorsque la Société nationale souhaite mieux comprendre les aspects à améliorer dans un domaine d’activité plus spécifique qui exige une analyse approfondie de différents départements, un processus de diagnostic ou de développement thématique sera la solution recommandée. Les processus de ce type incluent : 

Processus de préparation pour des interventions efficaces 

Quels sont l’objectif et l’axe de ce processus d’évaluation ? 

Le processus de Préparation pour des interventions efficaces (PER) est une approche qui permet à la Société nationale de renforcer ses capacités locales de préparation afin de garantir la fourniture d’une aide humanitaire efficace et opportune conformément à son rôle d’auxiliaire et à son mandat. 

Ce processus prend en compte tous les risques (naturels, biologiques, technologiques, etc.) et peut être adapté afin d’être utilisé dans différents contextes. Il aide la Société nationale à mesurer, à analyser, à hiérarchiser et à planifier de manière systématique la préparation aux interventions. La Société nationale peut utiliser cette approche pour : 

1) identifier et planifier les activités essentielles de préparation et de renforcement des capacités à l’appui de ses interventions ; 

2) s’assurer que son action satisfait à un ensemble de normes mondiales en matière de préparation et d’intervention ; 

3) coordonner ses activités avec les partenaires du Mouvement et les organisations gouvernementales et non gouvernementales, entre autres. Cette approche permet à la Société nationale de renforcer son aptitude à identifier et à prioriser les activités stratégiques destinées à améliorer sa capacité de fournir des services humanitaires de qualité 

Comment ce processus est-il structuré ? 


L’approche PER est un processus continu et flexible qui permet à la Société nationale d’évaluer, de mesurer et d’analyser les forces et les lacunes de son mécanisme de préparation et d’intervention, puis de prendre les mesures nécessaires pour l’améliorer. Il ne s’agit pas d’un bilan technique indépendant, mais plutôt d’un processus qui doit être intégré dans tous les systèmes et les activités de la Société nationale. En plus des indicateurs de référence multirisques, des critères spécifiques à la préparation aux épidémies ont été définis, afin de guider l’évaluation de la capacité de la Société nationale de faire face aux épidémies. 


L’utilisation du processus PER dans le domaine de la gestion des risques de catastrophe et dans différents secteurs peut permettre de comprendre le soutien technique interdépendant qui est nécessaire pour fournir des services dans le cadre d’une intervention d’urgence et d’un programme de relèvement. L’utilisation de cet outil afin de mettre en évidence les domaines prioritaires qui doivent être améliorés n’implique pas nécessairement un processus long et lourd. Il existe différentes méthodes pour identifier les besoins et analyser leur cause profonde afin d’y répondre. Ce qui varie est le niveau de détail, la portée et les résultats souhaités par la Société nationale. Si celle-ci décide d’évaluer ses capacités d’intervention, quatre méthodes différentes peuvent être utilisées : l’autoévaluation, la simulation, l’évaluation opérationnelle et l’évaluation post-opérationnelle. L’évaluation menée dépendra en outre du contexte sur le moment (p.ex. crise en cours, catastrophe imminente, etc.), ainsi que des ressources et du temps disponibles. 


Quand ce processus est-il recommandé ?


La Préparation des Sociétés nationales pour des interventions efficaces est un processus flexible et modulable qui peut être mené avant, pendant ou après une intervention d’urgence, ainsi qu’en temps de paix, conformément à l’objectif stratégique des Sociétés nationales d’améliorer leurs capacités de préparation aux interventions et de gestion des catastrophes. Ce processus vise à mesurer les changements probants et à renforcer les capacités d’intervention des Sociétés nationales au fil du temps, en se concentrant sur les domaines prioritaires. Des informations sur les Sociétés nationales qui mènent un processus PER sont disponibles dans les tableaux de bord suivants  : sommaire global et performance globale. Il existe également un tableau de bord des enseignements tirés des opérations financées par le DREF et un catalogue des ressources que les Sociétés nationales peuvent utiliser pour améliorer leur préparation aux interventions. 


Où trouver de plus amples informations ?


Vous trouverez de plus amples informations sur le site Internet de la Fédération internationale et sur la page de la plateforme GO consacrée à la préparation.


Cadre pour un accès plus sûr : analyse comparative et planification 

Quels sont l’objectif et l’axe de ce processus d’évaluation ? 

Les activités d’évaluation prévues par le Cadre pour un accès plus sûr sont réalisées au moyen d’un outil d’analyse comparative et de suivi. 

L’objectif est d’aider la Société nationale à évaluer sa situation actuelle en matière d’accès sûr et à déterminer les résultats qu’elle souhaite obtenir au cours des deux prochaines années en fonction de ses priorités. 

Ce processus permet à la Société nationale de mieux comprendre ce qu’elle doit faire pour accroître et/ou maintenir son acceptation, sa sécurité et son accès aux personnes en détresse, en cernant son contexte opérationnel, en dressant le bilan des enseignements tirés et en évaluant ses forces et ses difficultés à l’heure d’appliquer les éléments du Cadre et les Principes fondamentaux. 

L’accent est mis sur les différents domaines qui contribuent à renforcer chaque élément du Cadre et sur leur ordre de priorité. 

Comment ce processus est-il structuré ? 


Le processus commence par un atelier de trois jours qui réunit 15 à 20 représentants de tous les niveaux de la Société nationale. Cet atelier se fonde sur trois méthodologies différentes (analyse du contexte, enseignements tirés et analyse comparative). 

Les résultats de ces trois exercices nourrissent ensuite l’élaboration d’un plan d’action que la Société nationale s’emploiera à mettre en œuvre au cours des deux prochaines années. 

Il existe plusieurs domaines d’action qui couvrent les huit éléments du Cadre, et chaque domaine comporte cinq indicateurs qui reflètent le niveau de compétence progressif en la matière. Toutes les conditions énoncées pour chaque indicateur doivent être remplies avant que la Société nationale puisse passer à l’indicateur suivant. Ce processus se déroule en groupe et s’appuie sur les résultats des différents niveaux de référence. 


Quand ce processus est-il recommandé ?


L’utilisation du Cadre pour un accès plus sûr est la solution recommandée lorsque la Société nationale entretient des inquiétudes ou est confrontée à des difficultés/incidents en matière d’accès, d’acceptation et de sécurité, ou lorsque le pays est confronté à une situation difficile et peu sûre, telle qu’un conflit armé, des troubles internes ou des tensions qui exigeront probablement la mise en place d’activités humanitaires par la Société nationale. 


L’utilisation du Cadre doit idéalement faire partie des mesures de préparation aux situations d’urgence de la Société nationale, en sachant qu’il faudra parfois plus d’un an pour mettre en place certains systèmes et procédures destinés à renforcer l’acceptation, la sécurité et l’accès. Les différentes étapes du processus peuvent être combinées en fonction des besoins (p.ex. enseignements tirés et priorisation d’éléments spécifiques du Cadre). 


Cette évaluation peut être utilisée en synergie avec d’autres processus (tels que les processus ECCO, ECOS et PER) afin d’éviter la duplication des informations et d’assurer le suivi des progrès accomplis, et les résultats à long terme doivent être intégrés dans les autres processus de développement de la Société nationale. 


Où trouver de plus amples informations ?

Pour en savoir plus, veuillez contacter les équipes Coopération des délégations du CICR dans votre pays, ou consulter le site Internet pour un accès plus sûr, où vous trouverez des documents d’orientation et des exemples de Sociétés nationales qui s’efforcent de mettre en œuvre le Cadre. 

Protection, Genre et Inclusion  

Quels sont l’objectif et l’axe de ce processus d’évaluation ? 

L'objectif principal du Kit d'outils d'évaluation organisationnelle pour la Protection, le Genre et l'Inclusion (PGI OAT) est d'aider le réseau de l'IFRC à intégrer systématiquement le PGI dans toutes ses activités. Ce processus vise à :

  • Identifier et atténuer les risques, et surveiller et évaluer les politiques, les pratiques et l'efficacité de l'organisation afin de mieux soutenir les personnes et les communautés servies.

  • Démontrer une conscience des principes du PGI dans les comportements institutionnels et opérationnels collectifs, pour s'assurer que personne n'est laissé pour compte, exclu ou ne se sent en insécurité.

  • Guider les changements nécessaires pour garantir que les actions sur le terrain, la coordination et les efforts diplomatiques sont sûrs, inclusifs et responsables envers les personnes avec lesquelles l'organisation travaille et qu'elle sert.

  • Mieux comprendre la capacité actuelle en matière de PGI et les obstacles institutionnels potentiels à la portée, à la pertinence, à l'efficacité, à l'intégrité et à la résilience des efforts humanitaires et de développement.

  • Guider l'élaboration d'un plan de travail visant à rendre les institutions, les programmes et les services plus sûrs et plus inclusifs, et à faciliter le soutien coordonné et les efforts conjoints au sein du réseau IFRC.

  • Aborder les problèmes de violence, de discrimination et d'exclusion dans les capacités institutionnelles, les programmes et opérations, et les efforts de plaidoyer, d'apprentissage et de partenariats.

  • Prévenir, atténuer et répondre aux risques et aux occurrences de violence, d'exploitation et d'abus fondés sur l'identité.


Comment ce processus est-il structuré ? 


Le processus d'évaluation est structuré en sept parties principales regroupés autour de trois thèmes principaux que sont la capacité institutionnelle, sa composition et son engagement, l'intégration du PGI dans les programmes, opération et services ainsi que le plaidoyer, la diplomatie, les partenariats et les apprentissages:

  • Partie 1 : Examen du paysage PGI (PGI Landscape Review) : Une auto-évaluation visant à obtenir un aperçu général des forces et des lacunes de l'organisation en matière de PGI, et à établir une ligne de base.

Durée : 1 à 4 semaines.

  • Parties 2 à 5 : Évaluation organisationnelle PGI (PGI Organisational Assessment) : La phase d'évaluation complète et approfondie. Elle inclut des entretiens avec des informateurs clés et des discussions de groupe avec un large éventail de parties prenantes.

Durée : 3 à 6 mois.

  • Partie 6 : Plan d'action PGI (PGI Plan of Action) : Basé sur les recommandations de l'évaluation, un plan d'action détaillé est développé pour améliorer l'intégration du PGI.

Durée : 1 mois.

  • Partie 7 : Mise en œuvre et inspiration (Implementing PGI) : L'organisation met en œuvre les activités prioritaires de son plan d'action et partage ses expériences.

Durée : 1 an et plus.


L'examen de documents, les entretiens et sondages, les discussions de groupe (focus group discussions) et les ateliers participatifs sont les moyens privilégiés pour récolter les données de cette évaluation.


Quand ce processus est-il recommandé ?


Le processus est recommandé lorsque l'organisation souhaite renforcer son développement organisationnel pour assurer une meilleure préparation grâce à des organisations sûres et inclusives, et pour intégrer systématiquement le PGI dans toutes ses activités. Pour ce faire, il faut que la SN soit engagée dans un processus ouvert, significatif et dédié afin d'être disponible pour consacrer du temps, des ressources et mettre à disposition des informations aux différentes parties prenantes. De même, l'équipe d'évaluation peut se former sur les compétences de base en PGI afin de mener à bien cette évaluation. 


Où trouver de plus amples informations ?

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site IFRC dédié (anglais seulement) qui dispose des documents cadre concernant le PGI ainsi que la boîte à outils et les ressources clés sur le PGI.

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