Maria Concepcion Cabrera
surnommée la Grande Conchita
Bienheureuse Conchita
(8 décembre 1862 - 3 mars 1937)
Bienheureuse Conchita
(8 décembre 1862 - 3 mars 1937)
Conchita consigne fidèlement dans un journal, pendant plus de quarante ans, les détails de sa vie spirituelle.
Ses écrits (158 cahiers, 60 000 pages manuscrites écrites la nuit, sans que ses enfants le remarquent) sont reconnus pour être d'une profondeur spirituelle exceptionnelle.
Concepción Cabrera de Armida, ou Conchita, est une laïque et militante catholique mexicaine. Épouse et mère de neuf enfants, elle est connue pour ses expériences mystiques et ses écrits spirituels. Elle a donné naissance aux Obras de la Cruz et... Wikipédia
Date/Lieu de naissance : 8 décembre 1862, San Luis Potosí, Mexique
Date de décès : 3 mars 1937, Mexico, Mexique
Livres : Sed perfectos, Journal spirituel d'une mère de famille, Abiertos Al Espiritu et plus
Organisations fondées : Missionnaires de l'Esprit Saint et Sœurs de la Croix du Sacré-Cœur de Jésus
Confidences de Jésus aux Prêtres, éditions Téqui, Paris, p.48
Malheureusement beaucoup de prêtres se perdent à cause de leur inertie, de leur dissipation et de leur manque de zèle qui sont à l'origine de nombreux problèmes dans l'église.
Esprit Saint reçoit la consécration parfaite et absolue de tout mon être.
Soit présent désormais dans chacun des instants de ma vie
et dans chacune de mes actions.
Soit mon directeur, ma lumière, mon guide, ma force et l'amour de mon coeur.
Je m'abandonne sans réserve à tes opérations divines
et veux être docile à toutes tes inspirations.
Esprit Saint transforme moi avec Marie et en Marie
en un autre Christ Jésus
pour la gloire du Père et le Salut du Monde.
Amen.
Le Saint Esprit ne peut pas s'unir à ce qui est souillé.
Les prêtres impurs oublient qu'il leur faut être purs pour pouvoir purifier les âmes
et être saints pour leur obtenir des grâces célestes.
Les prêtres impurs oublient aussi qu'ils doivent être purs pour unir leur sacrifice au mien en faveur des âmes du purgatoire, c'est là la plus beau cadeau que l'on puisse leur faire.
Un prêtre souillé ne peut en aucun cas éteindre le feu du creuset dans lequel ces âmes sont plongées pour être affinées et purifiées comme l'or.
Le prêtre n'en demeure pas moins un autre moi-même et de ce fait, il doit être pur et saint pour unir son sacrifice au mien c'est à dire pour ne faire qu'un avec moi en faveur de l'église du purgatoire.
On oublie trop souvent ce point capital de la messe, qui ne s'étend pas seulement à l'église militante qui est sur cette terre mais aussi à celle du purgatoire et aux défunts qui attendent ardement cette rosée vivifiante et salvatrice de mon sacrifice.