Famille Kayn


La Famille Kayn


"Mon savoir est ma direction. Mes valeurs sont mes guides. Mes émotions sont ma passion. Par la passion, j’ai la puissance. Par la puissance, j’ai la victoire. Par la victoire, je vis ! L'expérience de la vie, du combat ; L'honneur et la droiture ; Laisser vivre ses émotions : Élever son être. Voici les maîtres mots de la Maison Kayn. "



  • Savoir. Apprendre de ses aînés est primordial, toute expérience est bonne à prendre. Il faut acquérir les connaissances de chacun et ne jamais se baser sur des idées préconçues.


  • Valeurs. L’honneur des Kayns prévaut à travers la droiture que tu montres. Aucun de tes frères ne doit rester derrière toi, tous devront rentrer auprès des siens. En première ligne tu restera, nos terres sacrées tu protégeras.


  • Émotions. Dans la Maison Kayn, il ne faut pas réprimer sa colère. Si tous les préceptes sont suivis, elle ne fait que renforcer l’être que nous sommes. En outre, les autres émotions ne sont pas en reste. Elles doivent être acceptées et non repoussées. Accepter qui l’on est et ce que l’on ressent est indispensable pour être dans la capacité de dire la tête haute qui l’on est, un Kayn !




Bête totem : Ours Sinistre (Nom RP : Dhon'al)



Préceptes :


  1. Mon savoir est ma direction.

  2. Mes valeurs sont mes guides.

  3. Mes émotions sont ma passion.

  4. Par la passion, j’ai la puissance.

  5. Par la puissance, j’ai la victoire.

  6. Par la victoire, je vis !






Généralités


La famille Kayn fait partie des plus puissantes et respectées. On les reconnaît de loin par leurs robustes armures et habits détaillés. Ils marchent toujours la tête haute, fière de qui ils sont.


Transmettre son savoir fait partie des préceptes Kayns. Comme l’histoire d’Iris Kayn, de nombreuses histoires se transmettent de génération en génération. De grandes archives répertorient les événements du passé. Pourtant, les origine de la famille Kayn et le dieu auquel ils sont attachés sont des connaissances qui leur sont désormais inaccessibles. Effacé ou perdu, on ne le sait point.

Ils vénèrent le plus le dieu Zolis. Sa pureté et sa sagesse sont ce que recherche les Kayns. Quelques cérémonies sont organisées parfois par les prêtres ou leur Emrir.

Celle-ci est le bras armé offensif et défensif du peuple du Delnir. Peu importe qui, où et quand, ils sont prêts à se battre pour ceux qu’ils doivent défendre. Ainsi, c’est leur manière de penser qui est fortement affectée par le combat. Tuer ou être tué, c’est une réalité. Ôter une vie permet d’en sauvegarder une autre, mais ne soyons pas trop prompt à dispenser la mort en jugement. D’une vie épargnée, un cycle de haine peut être démantelé.


Par leurs traditions martiales, de nombreux Kayns s’engagent dans la garde comme défenseur des plus faibles. D'Officier à simple soldat, le Kayn marchera sur le champ de bataille, arme à la main, levée pour ses idéaux.

Pour les plus robustes d’entre eux, ils se livrent à des duels lors de fastueuses rencontres plus ou moins amicales entre prétendants au titre de champion du peuple ou entre les champions adverses.


Ils vénèrent le plus le dieu Zolis. Sa pureté et sa sagesse sont ce que recherche les Kayns. Quelques cérémonies sont organisées parfois par des prêtres A'laar ou les Emrirs.


Dès leur plus jeune âge, les petites filles et petits garçons s’entraînent avec diverses méthodes faisant souffrir autant physiquement qu'émotionnellement. Tout Kayn respectable doit savoir se défendre et survivre quoiqu'il advienne pour faire son devoir et servir son Emrir. Cette éducation leur inculque les bases du combat, une résistance physique et mentale d’acier sans compter les valeurs et cultures Kayns qui leur sont rabâchées par leurs professeurs. Les dieux possèdent une place importante dans les connaissances étudiées, mais dans une moindre mesure comparée à d’autre famille.


Certains enfants ne résistent pas à l’éducation Kayn. Arrêter n’est pas possible, chacun doit se surpasser pour exploiter ses avantages et vivre une vie digne d’un Kayn. La mort fait partie des possibilités. Tout le monde le sera un jour. Les enfants qui trépassent pendant leur période d’étude de la vie sont honorés lors d’une cérémonie funéraire. Ces enfants sont nés pour rejoindre les dieux et non rester avec les simples mortels.


Les Kayns n’aiment guère se perdre dans le superflu, cette famille de ce fait essaye de ne faire usage de ce qui lui paraît utile seulement, l'utilitarisme avant tout. De ce fait, ils utilisent un système simple et direct, biens contre biens, services contre services… Cependant, ils ne sont pas ignorants de l’utilité de l’argent, s’en servant bien volontiers pour les transactions extérieures ou bien pour équilibrer leurs échanges






La Guerre

La Guerre a une place très importante chez les Kayns. Elle ne se fait pas n’importe comment. En effet, avant, pendant et après la bataille, les Kayns suivent une conduite à maintenir et des rites à respecter.

La confrontation approche à grand pas. Les unités partent en formation rectangulaire. L’excitation monte à la tête des hommes et des femmes. Pourtant, à part le bruit des bottes, aucun mot ne sort des bouches des gardes. Cette marche muette amplifie leur concentration. Tous se remémorent pourquoi ils sont là et pourquoi ils devront combattre et peut-être mourir.






Le Dhon'al, l'Ours des Dieux

Le Dhon’al est facilement associé à la Maison Kayn. C’est dans leur tempérament que les Kayns se comparent à lui. Symbole de puissance dévastatrice, en croisé dans la bataille, tout comme un Kayn, est de mauvais augure. Pourtant, un ours n’attaquera pas sans une bonne raison. Paisible dans sa tanière, personne, il ne viendra déranger. Les Kayn se contrôlent en tout temps pour n’user de leurs émotions qu’au renforcement de leur mental. Cette majestueuse créature est comparée à bien des égares aux Kayns. Mais la raison de leur utilisation est bien plus simple. Rappelez-vous, l’utilitarisme avant tout. Les ours sont forts. Ils sont utiles pour porter des charges lourdes et ils sont dévastateurs au combat. De plus, seul dans la nature, il n’y a pas meilleur lit.













Iris Kayn, Le Tueur des Forêts

Lors de son Lith’Ar, Iris Kayn, Emrir des temps anciens, a tué un Dhon'al. Cela lui a valu le surnom de tueur des forêts. Cela ne présageait qu’un avenir radieux pour cet homme. Une fois devenu Emrir légitime, il permit à la famille Kayn d’acquérir de nombreuses terres et d’affliger de terribles défaites à ses ennemies. Il était respecté de ses alliés et craint de ses ennemies.

Avec son expérience de chef de guerre, il repensait aux ours. Après de multiples études, il réussit l’exploit d’en apprivoiser un. En partageant ses connaissances avec tous les membres de la famille Kayn, il donna l’opportunité à tous de réitérer cet exploit. Au fur est à mesure, de plus en plus de Kayns apprivoisait leur propre ours. Par la suite, une fois Iris, le tueur des forêts mort, en son honneur, depuis ce jour, tous les Kayns chassent un ours pour le ramener à un éleveur, et cela, dans l’optique de l’apprivoiser et montre que l’on est digne d’être dans la famille d’Iris. Sa gloire est toujours aussi ardente même aujourd’hui, mille ans après ces événements.







Les Rituels

Tar’ish

(Rituel du départ)


Au village, tout le monde s’activent. Devant l’entrée se rassemblent les unités Kayns. Leur Emrir monte sur une estrade en bois pour surplomber l’armée. Après avoir donné son discourt aux gardes, il jette un bocal d’eau comme offrande à ceux qui ne reviendront pas et quitteront ce monde éphémère.


Avec la bénédiction des dieux, les prêtres effectuent une cérémonie funéraire abrégée pour tous ceux qui devront rejoindre les cieux. Par la suite, personne ne pipe mot sauf ordres particuliers jusqu’à ce que l’on fasse face à l’armée ennemie.


Pendant le combat


Comme un seul homme, tous exécutent les ordres à la lettre.

Si tu dois rejoindre les dieux, cela ne serait tarder. Tu mourras,

mais tu mourras debout pour ce que tu crois et ceux qui croient

en toi. Empoigne ton arme plus fort, tu es un Kayn, membre

de la plus puissante force de frappe du monde connu.



Après la bataille


Tar’oth

(Rituel du retour)

Les armées retournent à leur foyer. Les gardes arrivent en des lieux familiers. À jamais, les souvenirs raisonneront chez les gardes. Leur mémoire rappellera leurs envols et leurs chutes. Ainsi, les survivants passent devant les foules d’habitants. Ils lancent à leurs pieds des feuilles de chêne, signe de la reconstruction après la dévastation.


Lith’Ar

(L’éveil)


Dans les plus grandes forêts d’Izith, les tambours

de cérémonies résonnent à l’appel du printemps.

Il est l’heure pour les plus jeunes de traquer

leur future offrande au dieu Zolis. Une fois revenu,

en arborant le drapeau de leur lignée, la nouvelle

génération les honorera en jurant que leurs actes

seront le fruit de la justice. À la fin de cette

cérémonie prévue par l’Emrir, les enfants

deviendront adultes, et ce, devant tout leur clan et

les yeux avisés de membres respectables

de Vodden ou d’A’laar.


Adultes, ils auront la capacité de capturer leur ours. Seul, dans la forêt, avec leur équipement et leurs connaissances, ils n’auront qu’une seule chance.

Une fois en possession de leur ours, ils l’amèneront à un éleveur Kayn pour l’apprivoiser. Cet animal sera lié à vie à son jeune maître. Il devra s’en porter garant et en prendre soin.








ATTENTION, CETTE PARTIE EST VALABLE UNIQUEMENT SUR LE LORE D'IRIADE

La Transformation

Les Kayns, véritables forces de la nature, se retrouvèrent avec un corps entièrement velu de long poils. Leur musculature s'est fortement développée et les ont même blessés dans leur transformation. Les premiers jours de leur renaissance, leur corps leur faisait inlassablement mal, à un tel point qu'ils se mirent à hurler de douleur. Ils grandissaient d'environ 50% lors de leur transformation. Cette force était généralement contrôlable et dévastatrice. Ceux qui étaient transformés en Ours eurent cependant un petit changement de comportement. A la vue du miel, ils se sentent pris d'une attirance sans faille quitte à en devenir agressif avec ses congénères félins et plumeux. Ceux qui s'étaient transformés en Loup ou en Hyène eux, avaient de forts besoin de chasse afin de dévorer leurs proies.