Faites le plein de courts métrages !

Suzan Pitt - Asparagus (1979)

Synopsis : Une réflexion symbolique sur les questions de la sexualité féminine, de l'art et des constructions identitaires. 

Ce court métrage de Suzan Pitt, grande animatrice étasunienne, aura accompagné pendant deux ans, les projections de minuit du film Eraserhead de David Lynch. Par son étrangeté et son onirisme, il fait son petit effet, surtout chez les fans de films expérimentaux.


Du court au long

Découvrez trois courts métrages de cinéastes passés depuis au long métrage !

New-Rêve, Karim Dridi (1989)

Réalisateur de Bye-Bye (1995, prix de la jeunesse de la sélection Un Certain regard du festival de Cannes 1995)), Fureur (2003) et Chouf (2015), Karim Dridi signe ici une fable post-apocalyptique marquante.

Judith Hôtel, Charlotte Le Bon

Après une carrière dans le mannequinat puis, comme Louise Bourgoin avant elle, un passage par la case Miss météo de Canal +, Charlotte Le Bon a petit à petit percé dans le cinéma en tant qu'actrice. En 2022 sort son premier long métrage, Falcon lake, dont elle est également la scénariste. C'est également le cas sur ce déroutant court métrage, réalisé en 2018.

Paris Shanghai, Thomas Cailley (2011)

Avant Les Combattants (2014, César du meilleur premier film), Ad Vitam (sa série de SF pour Arte) et Le Règne animal (5 César en 2024), Thomas Cailley signe un road movie avorté qui parle d'amitié.

Coeur de tigre, Caroline Champetier (2009)

Entre journal et lettre filmée, en marge du tournage de L'Intouchable (Benoît Jacquot, 2006), Caroline Champetier parle de la passion amoureuse, de ses difficultés, sans détour et sans fard, tout en considérant l'Inde, qu'elle découvre. (source : HENRI - la Cinémathèque française). Si elle a réalisé deux documentaires en plus de ses courts métrages (une dizaine depuis les années 1970), Caroline Champetier est avant tout directrice de la photographie. Elle a en effet été la cheffe opératrice de plus de 80 films depuis le début des années 1980. Parmi eux, des films de Léos Carax (Annette, Tokyo !), de Jean-Luc Godard, de Benoît Jacquot et Xavier Beauvois.

La Fête du court métrage

Vous n'avez pas pu assister à la Fête du court métrage, cet événement dédié aux films courts qui se déroule chaque année en mars ? Pas de panique ! Retrouvez ici quelques uns des films projetés dans des médiathèques franciliennes !

Des classiques fantastiques

Frankenstein, L'Homme invisible et Superman, ça vous parle certainement ! Leurs premières adaptations cinématographiques sont à la fois très anciennes et très courtes. Découvrez Frankenstein de James Searle Dawley (1910) , Le voleur invisible de Segundo de Chomon (1909) et Superman : the magnetic telescope de Dave Fleischer (1942). Et un petit ovni coloré et spectaculaire du même Segundo de Chomon, Les Kiriki : acrobates japonais (1907).

Pour les plus jeunes

Découvrez des pépites du cinéma d'animation pour les plus jeunes. Elles plairont aussi aux plus grands ! Théo et le chateau d'eau de Jaimeen Desai (2021) , Mido et les instrumeaux de Roman Guillanton (2020) , Fear of flying de Conor Finnegan (2012) et Le Gnome et le nuage de Filip Diviak et Zuzana Cupova (2019).

Créations de l'Ecole des Gobelins

L'école de cinéma d'animation des Gobelins située à Paris (13e) est un riche vivier de cinéastes en herbe. Découvrez Quand j'ai remplacé Camille (2017) et  T'as vendu mes rollers (2020).

Drôles de comédies

C'est la version très courte d'Hyperstition de Stéphane Chis et Maxime Chuchana  (2021) que vous pouvez découvrir ici, qui nous entraîne dans un savoureux délire autour des excès de superstition.  (Re)découvrez également la première réalisation de Mathieu Kassovitz, Fierrot le pou (1990), comédie romantique sportive en noir et blanc tournée avec un budget minimal.  Plus acide quoique poétique, Guillaume à la dérive de Sylvain Dieuaide (2016), vous emmène dans un tourbillon d'étrangeté. Et enfin le très tendre et délicieux Le Journal des trésors de Robin Barrière (2023), à voir et revoir sans modération.

Des pépites de l'animation

Ces deux films ont marqué le cinéma d'animation et continuent de nous emporter, l'un par son expressionnisme poétique émouvant (L'Homme aux bras ballants, Laurent Gorgiard, 1997), l'autre par son rythme, sa musicalité et son humour hot et coquin (Tram, Michaela Pavlatova, 2012).

"J'ai piscine"

Dans Le Grand bain de Valérie Leroy (2016), tendre court métrage qui semble en avoir inspiré un autre, une ancienne championne de natation qui emménage dans une cité HLM suite à une séparation va se retrouver à apprendre à nager à ses voisin.es... sans piscine. Dans Molii de Mourad Boudaoud, Carine May, Yassine Qnia, Hakim Zouhani (2013), le héros, qui dépanne son père en surveillance de nuit de la piscine où il travaille, aurait sans aucun doute préféré qu'elle soit virtuelle...

Une relation mère-fille critique

Scénario : Julie Cléry & Guillaume Desjardins

Réalisation : Guillaume Desjardins 

Quand la mère de Manon découvre la grossesse non désirée de sa fille, elle décide d'organiser son anniversaire au pire moment. Malgré les secrets et les manipulations, Manon devra jongler entre le tempérament de sa mère et son envie de la rendre heureuse. Un court-métrage haletant qui nous plonge dans une relation intime et pourtant universelle. Making of et Making of technique disponibles.

par Emmanuel Lantam & Arnaud Toulon chez Remembers

Source : News | Catsuka  

Violences conjugales

La violence se cache là où ne l'attend pas toujours... Et la responsabilité de l'entourage, dans tout ça ? Dans derrière la porte, au court d'un week-end entre amis, nos protagonistes découvre qu'un de leur ami est violent avec sa copine. Il est alors difficile de mettre un terme à ce qu'il semble se passer dans une chambre fermée et encore plus d'aider une jeune femme sous emprise.

 Un court métrage percutant écrit par Marion Creusvaux et Julien Pestel.

Métro et cinéma

Si quelques long métrages se déroulent intégralement ou presque dans le métro et ses couloirs, encore plus nombreux sont ceux où ce transport populaire à la fois adoré et détesté s'invite le temps d'une scène ou deux.  Rien de tel que l'épisode dédié de l'émission Blow up d'Arte pour se replonger dans ce vaste horizon ! Mais le court métrage s'aventure aussi sur ce terrain ! Voici quelques films courts qui révèlent des aspects bien différents de cet univers underground, des bonnes aux mauvaises rencontres, des cauchemars aux rêveries. Bon voyage !

Le Fantôme du métro

Eliott Meyer, Morgane Ghionga, Alexis Gougeot, Mahery Ramarlah et Waysson Mouret (Bellecour école)

Blow up : le métro au cinéma

Trauma

Vladimir Roszak

Connasse : le métro


Les trains de banlieue ont droit eux aussi à leur court métrage :

Mon Train

Aurélien Préveaux

Court toujours

Pour clore la 2e édition du cycle de courts métrages programmé par les médiathèques au Cinéma Landowski (Boulogne-Billancourt, 92), nous vous proposons une sélection de courts métrages en rapport avec la programmation des deux dernières séances, les 23 et 30 mai.

Le bunker de la dernière rafale, Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet

Un huis-clos futuriste en noir et blanc, par le duo auteur de Delicatessen et  La Cité des enfants perdus. On reconnaît ici la folle créativité de leur univers ! Pas de repos pour Billy Brako et Foutaises de Jean-Pierre Jeunet sont diffusés respectivement lors des séances du 23 et du 30 mai . 

Go Fast Connexion, Lady Ly et Kourtajmé

Bien avant Les misérables (versions courte et longue), Ladj Ly réalisait dans le cadre du collectif Kourtrajmé cet astucieux docu-fiction qui dénonçait la façon dont les médias abordaient la banlieue.  La version courte des Misérables, à l'origine du long, est projetée lors de la séance du 23 mai.

La nuit, Pierre Niney

Le célèbre acteur passé par la Comédie-Française a réalisé le film court Pour le rôle, diffusé lors de la séance du 23 mai. Il est aussi l'auteur de ce très court métrage en noir et blanc, réalisé dans le cadre d'un programme Yves-Saint-Laurent de plusieurs courts autour de la nuit, ce moment que le cinéma se plaît très régulièrement à mettre en scène.

Vienna Table Trip / Fast film
Virgil Widrich

Le réalisateur de Copy shop, diffusé lors de la séance du 23 mai, nous montre dans ces 2 films courts un aperçu encore plus riche et foisonnant de sa créativité !

La Fête du court métrage se prolonge

A l'occasion  de la 2e édition du cycle de courts métrages programmé par les médiathèques au Cinéma Landowski (Boulogne-Billancourt, 92), nous vous proposons une sélection de courts métrages en rapport avec la programmation de ce cycle et de la Fête du court métrage 2023.

La page blanche, Enora Biver

Un film délicat servi par une belle animation, sur la naissance de l'inspiration. Par des anciens élèves de la spécialité cinéma du lycée jacques Prévert (Boulogne-Billancourt).

Demain la veille, Sylvain Pioutaz et Julien Lecat

Premier film de ce duo de réalisateurs, financé en grande partie par un appel à dons en ligne. Un film de SF à découvrir !
Sylvain Pioutaz a réalisé Rodéo, diffusé lors de la  séance Fête du court métrage du 21 mars.

Faces, Ivan Sainz-Pardo

Une romance de SF qui fait réfléchir... Par le réalisateur de Broccoli, diffusé lors de la  séance Fête du court métrage du 21 mars.

Moonkup, les noces d'hémophile, Pierre Mazingarbe

Une histoire de vampires. Par le réalisateur de Boustifaille, diffusé lors de la  séance du 25 avril. On retrouve ici son goût pour le cinéma de genre.

Essai N°57, Bertille Genty

Une romance poétique et étonnante sur la fin de l'adolescence et les rêves auxquels on s'accroche. Par une ancienne élève de la spécialité cinéma du lycée Jacques Prévert (Boulogne-Billancourt, 92), réalisatrice des films Interminable et To tell you how I feel, également présents sur ce site.

Futur proche, Ted Hardy-Carnac

Une très courte romance, teintée de fantastique. Par le réalisateur de Tunisie 2045, film proposé lors de la séance Fête du court métrage du 19 mars.

Irinka et Sandrinka, Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck

Echanges de souvenirs entre deux femmes de deux générations différentes, d'origine russe . L'Irinka du film est la tante de Sandrine Stoïanov. Le scénario a été écrit à partir de l'interview de que le duo de réalisateurs a faite d'elle. Ce couple de cinéma a également réalisé Le monde en soi, diffusé lors de la  séance Fête du court métrage du 21 mars.

I follow, Jonatan Etzler

Un film percutant sur les dérives des réseaux sociaux... Par le réalisateur de Swimmer, diffusé lors de la  séance Fête du court métrage du 21 mars.

L'amour m'anime, Chloe Mazlo

L'amour, un sujet qui revient dans plusieurs films de Chloe Mazlo, réalisatrice de Conte de fées à l'usage des moyennes personnes, diffusé lors de la  séance du 25 avril. Son premier long métrage, Sous le ciel d'Alice est sorti en salles en 2021.

Focus sur Jean Epstein

Sabine de la médiathèque de Puteaux (92) vous propose un focus sur 2 films de Jean Epstein (1897-1953) disponibles sur la plateforme  Henri de la cinémathèque française.

C’est un poème à la mer. Le ressac, le va-et-vient de l’eau sur le sable breton. La mer prise dans la tempête, la mer qui rugit, qui gronde, qui bouillonne, qui écume, les vagues puissantes qui s’écrasent sur les rochers, qui partent à l’assaut du rivage. La cote tourmentée.

Belle-Île-en-Mer.

Mystique poésie de l’eau. Océan impénétrable, insondable, au goût de sel. L’odeur amère d’algues marines pénètre les narines. Le marin téméraire reviendra-t-il ? L’horizon reste quoi, le ciel est muet, face au regard inquiet de la jeune femme. Seul le vent mugissant répond peut-être, peut-être... Attends le lever du jour. Le phare guette plein d’espoir. Un tempestaire, vieux mage, barbe rousse, derrière ses paupières lourdes, le front concentré, rassemble ses esprits. Il peut changer le cours de l’onde, apaiser l’angoisse. Espoir. Retour au calme. Paix des flots. Soulagement. Le vent tombe et les amants enlacés partent vers l’avenir du jour qui recommence.

En regardant les films d’Epstein, on a curieusement l’impression d’avoir vécu ce qui se passe à l’écran, comme si cela réveillait les souvenirs d’une vie antérieure…

 

Cette fois, pas de musique ni de sons, le silence et les images. Mais quelles images ! Les mouvements de la caméra diffusent une bande son imaginaire dans la tête du spectateur. Les scènes en voiture ou en barque sur la Seine, accompagnées d’effets de surimpressions, vibrent encore dans les yeux après la séance.

 

La figure lunaire de l’homme, fardé comme un circassien, est fascinante et les trois amoureuses sont extrêmement belles ! Maquillées, coiffées, parées de bijoux, portant des chapeaux et des robes à fleurs, elles incarnent vraiment une époque, le Paris des années 1920. Surgissent des visions d’œuvres de Manet, de Renoir et des impressionnistes, et aussi de Toulouse Lautrec, en particulier lorsque le couple arrive dans une guinguette, en terrasse, sur les bords du fleuve. Le spectateur a des flashs de scènes de déjeuners sur l’herbe, de rendez-vous dans des jardins parisiens, de portraits de femmes du monde, à table ou allongées sur un lit (Olympia !), ou un divan, et des scènes plus populaires, de gens du peuple, à la campagne ou à Paris. On voit une foule de personnages, bien habillés, attablés, venus profiter d’une belle journée d’été, discutant sous les parasols, sirotant alcool, thé ou café. La disposition de ces hommes et de ces femmes sur plusieurs niveaux forme comme une composition picturale, légèrement surplombée par la caméra. Les gros plans sur les visages sont comme des portraits.

Il y a de l’humour dans les scènes mais aussi dans les textes qui créent souvent un décalage avec ce que l’on voit.

Une image poétique et graphique revient régulièrement pour scander le film : des petites hirondelles perchées sur les fils électriques.

Les intérieurs chargés, envahis par les meubles, les décorations, les plantes et les bouquets de fleurs, les lampes de chevets et les abat jours, les coupes de fruits, les chandeliers, les aquariums, les tapis, garnis de lits ployant sous les coussins et les couvertures évoquent la période « fin-de-siècle » à la fin du XIXème. Cette tendance à collectionner et à accumuler, quitte à tomber dans le kitch et l’outrance, à la manière des frères Goncourt, ramène à ces années légèrement antérieures au film. La façon dont sont filmés les arbres est aussi très belle, vivante. On tombe assez vite amoureux du cinéma de Jean Epstein…


Science-Fiction : quel futur choisirez-vous ?

Le court métrage, vaste univers, s'attaque aussi à la Science-fiction.
Apocalypse, créatures hybrides, inquiétant "progrès" scientifique ou encore écologie menacée, Christopher Nolan, George Lukas, ou les soeurs Wachowski ne sont pas les seul.es à avoir imaginé quel pourrait-être notre avenir... Une sélection qui illustre la diversité de ce genre qui en inclut bien des sous-genres (anticipation, space opéra, steampunk, post-apocalyptique...).  Bon voyage ?...

Rakka, Neil Blomkamp

Premier court-métrage d'Oats Studios,  Rakka raconte l'histoire d'une ère post-apocalyptique où les rares humains qui survivent encore doivent composer avec de dangereux envahisseurs à écailles... Cheffe de file des survivants, l'actrice Sigourney Weaver (Alien, Avatar...) porte notamment les premières images du film (source : www.ladn.eu ).

Perfectly natural, Victor Alonso-Berbel 

Jeunes parents heureux, Wanda and Zach s'équipent d'un tout nouveau système parental :   « Future Families » . Pour eux, c'est l'opportunité de continuer à travailler tout en se connectant à une version virtuelle d'eux-mêmes et de leur bébé, resté à la maison. Pour l'enfant, c'est l'occasion de se faire dorloter par une IA, de bénéficier d'un soutien médical continu et d'apprendre les maths et le mandarin en un tour de main... Oui, ça fait flipper. Vous vous en doutez, tout ne finit pas forcément bien.  

Le bunker de la dernière rafale, Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet

10 ans avant Delicatessen, ce tandem du cinéma de genre français réalisait un angoissant court métrage aux dimensions fantastiques et science-fictionelles.

O2, Alice Lévy

En espérant que ce monde ne soit pas le nôtre trop vite...

Un très beau film de science-fiction animée, par une ancienne élève d'option Cinéma-Audiovisuel du lycée Jacques Prévert à Boulogne-Billancourt (92).

Sundays, Mischa Rozema

Avec Sundays, Mischa Rozema réussit une véritable prouesse technique et visuelle. Produit à Amsterdam par Post Panic, société de production de pubs, courts et potentiels longs cofondée par le réalisateur, ce projet a démarré sur Kickstarter, plateforme de financement participatif (crowdfunding), pour atteindre la somme de 51 000 $. Le résultat est une oeuvre ambitieuse à la croisée d’Inception, Matrix, District 9, avec même une petite touche de 1984 et de Bienvenue à Gattaca (source : www.cinechronicles.com).

Adam, Veselin Efremov 

Court-métrage d'animation réalisé avec des technologies de l'industrie des jeux vidéo (Oats Studios a utilisé le moteur de jeu multiplateforme de Unity Technologies),  Adam nous plonge aussi dans une ère post-apocalyptique nauséabonde. 

FTL, Adam Stern 

Ethan Kane, ancien astronaute de la NASA et pilote décoré est retraité et tente de s'adapter à une vie normale sur Terre. On lui propose cependant une dernière mission, celle de tester le premier vaisseau spatial capable de voyager plus vite que la lumière :  Le Longshot.  

Goodbye Adèle, Elsa Hibbs et Masao Bonnet-Permettes

Une plongée dans un monde où la vie des hommes est dictée par une puce électronique. Comment s'en affranchir ?...

Par d'anciens élèves d'option Cinéma-Audiovisuel du lycée Jacques Prévert à Boulogne-Billancourt (92).

Les droits de la femme, c'est toute l'année !

Une sélection pour découvrir des femmes inspirantes, qui oeuvrent pour leur liberté, mais qui rappelle aussi que les violences existent encore beaucoup trop.

H 24

Au format proche de celui d'un long métrage, cette série de 24 courts métrages (réalisés, écrits et joués par autant de femmes), met en lumière les violences faites quotidiennement aux femmes. Percutant et indispensable !

Albertine, Jacques Kebadian

France, 1972. Albertine, adolescente en rébellion contre l'école, la famille rance et la religion, revendique ses droits pour une sexualité sans entraves ; avec ses copines, elle milite en faveur du droit au plaisir et à l'avortement pour les mineures (source : Henri - plateforme de la Cinémathèque Française).

Sois belle et tais-toi, Shanice Toko, Rémy Marchesi et Adrien Chillon

Qu'est-ce qu'être une fille aujourd'hui ? Tant de réponses sont possibles !
Par d'anciens élèves d'option Cinéma-Audiovisuel du lycée Jacques Prévert à Boulogne-Billancourt (92).

Quand le cinéma se fait sociologue ou philosophe...

Témoin de notre monde contemporain, le cinéma est un bon moyen d'exploration des problématiques de société.

Rhapsody, Constance Meyer

Une belle rencontre entre deux solitudes.

Tard sur le port, Mael Diraison

À Brest, Rainette a 17 ans et fait de la boxe. Il ne va plus à l’école, ne travaille pas encore, habite chez ses parents qui voudraient bien le voir trouver un petit boulot. Rainette emmerde le travail. Ce qu’il veut, c’est beaucoup d’argent, et pour ça, il est prêt à tout. 

Je suis ton meilleur ami, David Chausse, Ambroise Sabbagh

Grand prix du Nikon film festival 2016. Une amère réflexion sur la solitude...

Logorama, 
H5, François Alaux, Hervé de Crécy, Ludovic Houplain 

Quand les icônes de notre société de consommation prennent le pouvoir, ça peut faire peur... César du meilleur court métrage 2011.

Etranges rendez-vous

L'étrange s'invite de plus en plus dans le cinéma français. Laissez-vous embarquer !

Fanfreluches et idées noires,Alexis Langlois

L'univers de ce réalisateur évoque un mélange des univers de Jacques Demy, de Pedro Almodovar et de John Waters.
A voir sur le site du Grec

Vivre vivre vivre, Julien Tortora

Deux jeunes femmes, endiguées dans les méandres d'un monde onirique, cherchent éperdument à ressentir le poids de leur existence, oscillant sans cesse entre la douleur, la joie, l'angoisse, le désir, la désolation... et l'espoir. "Encore. Dire encore. Essayer encore. Rater encore. Rater mieux" (source : Synaps collectif).

L'amour c'est gai, l'amour c'est triste...

Le titre d'une comédie de Jean-Daniel Pollet (1971) pour vous proposer des histoires d'amour en tous genres !

Les rosiers grimpants, Lucie Prost et Julien Marsa

Retour au village et réveil des premières amours...

Le fantôme, Antoine Barillot et John Rachid

Une relecture moderne et décalée du Fantôme de l'Opéra, qui mêle habilement l'univers des banlieues et celui de l'opéra, réalisée pour la plateforme 3e scène de l'Opéra de Paris.

La nuit, Pierre Niney

Après son court métrage Pour le rôle avec François Civil, Pierre Niney s'essaie ici à la romance.

Magie noire, Fanny Ardant

Fanny Ardant réunit culture Tzigane et opéra dans une histoire où l'imaginaire guide tout.

La ville s'endormait, Thibault le Goff et Owen Morandeau

La ville s’endormait est un poème au réalisme cru, une romance copieusement arrosée, un hymne « à tous les travelos et alcoolos qui se sont un jour aimés » (source : KuB).

Lovers, Alexandre Brisa

Ce film a obtenu une mention spéciale au Très Court International Film Festival 2020.

Splitscreen : a love story, James W. Griffiths

L'amour en boîte, Léo Belaïsch et Victoire Joliff

Pour leur premier film, Victoire Joliff et Léo Belaïsch affichent un remarquable savoir-faire, tant au niveau technique, que de la mise en scène et du scénario.

Leur sujet : mettre l’amour en boîte un jour de Saint Valentin. Ils le font au propre et au figuré, mettant leur héros face à un mur de boîtes aux lettres dont l’une est censée receler l’amour. Une clé, des centaines de serrures… (source : KuB).

Voilà le plan, Fernanda Frick

L'amour survivra-t-il aux aléas de la vie ? Quoi qu'il en soit, amour et planification ne font pas toujours bon ménage...

Je suis deux mains, Jonathan Babinard

Ce film a fait partie de la sélection finale du jury du Nikon Film Festival 2012 dont le thème était "Je suis l'avenir" (source : Jonathan Babinard - Viméo). 

Love, Reka Bucsi

Love nous décrit le sentiment amoureux en trois chapitres, à travers une étrange collision dans un système solaire inconnu du nôtre (source : Unifrance).

Une vie animée

Découvrez quelques trésors du cinéma d'animation contemporain qui continuent de prouver que l'animation est faite pour tous les publics !

Une petite visite à mon collège, Michel Gondry

Merveille, Valentin Chetelat 

Prix du Meilleur montage du Concours du court métrage confiné lancé par Mk2 et Trois couleurs début avril 2020.

La table, Eugène Boitsov 

Prix format court du Festival Premiers Plans d'Angers 2017.

Symbiose, Paul Raillard 

Prix de l'Originalité du Très Court International Film Festival 2020.

Big Buck Bunny, Sacha Goedegebure

Un film d'animation réalisé entièrement avec des logiciels libres !

Acoustic Kitty, Ron Dyens

Quand la CIA formait des chats espions... Par le réalisateur de La Flamme, également producteur (Sacrebleu productions).

Head over heels, Timothy Reckart

Nommé aux Oscars 2013, ce film a remporté le cartoon d'or pour le meilleur court-métrage d'animation européen.

Charlotte's daydream, Marlies Van Der Wel

Prix de l'animation du Très Court International Film Festival 2020.

Délires Lynchiens

Il aurait été étonnant que le format court échappe au cinéaste plasticien David Lynch ! 

Ant Head

Avec cette création, David Lynch continue son retour aux amours expérimentales de ces débuts (le décor et l'étrangeté de ce court évoquent immédiatement Eraserhead). Mais les a-t-il réellement quittées un jour ?

Fire

Etrangeté et ambiance oppressante sont au rendez-vous dans ce court métrage d'animation.

Rabbits

Série réalisée en 2002, avec Laura Elena Harring et Naomi Watts, actrices de Mulholland Drive dont certains extraits se retrouvent dans Inland Empire (2006).

Du court au long

Connus pour leurs long métrages, ces réalisateurs et réalisatrices ont aussi réalisé des courts métrages. Découvrez-les !

Odol Gorri, Charlène Favier

Par la réalisatrice de Slalom, sorti en salles le 19 mai 2021. Déjà avec Noée Abita, révélation du film Ava de Léa Mysius.

Inupiluk, Sébastien Betbeder

Demain, Ole et Adam, deux inuits, amis du père de Thomas, débarquent à Paris. Par un concours de circonstances, le père ne les accompagnera pas dans ce qui doit être pour eux la découverte d’un autre monde. C’est donc à Thomas de les accueillir. Prix du public au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand en 2014 (France) ; Prix Jean Vigo du court métrage en 2014 ; Nommé aux César pour le meilleur court métrage en 2015 (source : Univers court).
Par le réalisateur de 2 automnes, 3 hivers, Marie et les naufragés, Le voyage au Groenland, Ulysse et Mona et Debout sur la montagne.

Chien bleu, Fanny Liatard et Jérémy Trouilh

Par la réalisatrice et le réalisateur de Gagarine, sorti en salles en juillet 2021. Une manière poétique et nouvelle de filmer la banlieue. Ca fait du bien !

La vie à rebours, Gaël Morel

1er film de Gaël Morel, acteur des Roseaux sauvages d'André Téchiné et réalisateur, entre autres, de Prendre le large avec Sandrine Bonnaire.

Paparazzi, Jacques Rozier 

Jean-Luc Godard avait fait la connaissance de Jacques Rozier (Adieu Philippine) en découvrant son film Blue jeans en 1958. L'amitié entre les deux hommes et leur engagement dans la Nouvelle Vague encouragent Rozier à lui proposer de filmer le tournage de son prochain film, Le Mépris.  Il découvre les nombreux photographes qui poursuivent la star, ces « paparazzi », mot inventé par Federico Fellini et alors inconnu en France... (source : Henri - plateforme de la Cinémathèque Française).

Brasil, Henri-Georges Clouzot

Ce film retrouvé est le début d'une autofiction documentaire inachevée que Clouzot souhaitait tourner au Brésil à l'occasion de son voyage de noces avec Véra (source : Henri - plateforme de la Cinémathèque Française).

Histoires d'en rire

Pour passer un moment de détente et voir la vie autrement, tout humour est bon à prendre ! Et la comédie a largement sa place dans le monde du court métrage.

Brain divided,
Josiah Haworth, Joon Shik Song & Joon Soo Song

Une autre exploration, en version animation cette fois, des paradoxes qui peuvent animer notre être lors d'une rendez-vous amoureux.

Golden oldies,
Daan Velsink / Joost Lieuwma  / Frame Order studio

Bad boy à lunettes noires ou timide maladroit à lunettes pas noires ? Entre les deux mon coeur balance... Une petit bijou de pixillation (animation à partir de prises de vues réelles).

Le paradis ça va être nul, Alexis Grataloup

Dans la Mongolie du XIIème siècle, on peine à écrire une lettre d’amour. 

Broccoli, Ivan Sainz-Pardo

Ou comment vouloir manger une pizza et se retrouver avec un brocoli...
Avec sous-titres anglais, espagnols et italiens.

Tinto verde, David Ergas

Un carnivore et une végétarienne en couple, ça donne quoi ? David Ergas nous donne sa réponse personnelle.

Dernière invention,
Lolo Zazar

Un autre mélange d'animation et de prises de vue réelles. Quand les objets se révoltent, qui est à son avantage ? L'homme ou l'objet ?

Je suis l'ombre d'une flamme, David Merlin-Dufey et Olivier Riche 

Quand un couple préhistorique tente d'allumer un feu, la flamme a tout pour être ravivée ! Pour le meilleur ou pour le pire ?...

Ultime Vengeance 2 : les origines, Pio Marmaï 

Premier film de Pio Marmaï en tant que réalisateur, réalisé pendant le confinement du printemps 2020, parodie le film de guerre, le revenge movie (film de vengeance) et le nanar (ces navets que l'on aime adorer).

Enfances & jeunesses

D'aujourd'hui ou d'hier, heureuse ou malheureuse, l'enfance est un monde à part entière...

Danse poussin, Clémence Dirmeikis

Par une nuit d’été, Louise se glisse dans le monde des grandes personnes. Des corps adultes voués à une danse trépidante, à laquelle sa maman prend part (source : KuB).

Les baisers des autres,
Carine Tardieu

"Les baisers des autres, c'est dégueulasse ! " C'est ce que clame cette adolescente en rage contre le monde entier et surtout ses parents. Rien de bien nouveau me direz-vous. Pourtant, c'est avec beaucoup d'humour, un montage original et une narration pleine de vie et d'esprit (voix de Romane Bohringer) que Carine Tardieu nous livre en 2003 ce court métrage, chronique adolescente impertinente, et surtout déclaration d'amour à sa mère. Habituée de l'exploration de l'enfance (Du vent dans mollets, La tête de maman), la réalisatrice sera prochainement à l'affiche dans un autre registre avec Les jeunes amants (avec Fanny Ardant et Melvil Poupaud).
A voir sur Vimeo

Blagues de castings

Que ce soit pour un rôle au cinéma, au théâtre ou pour de la musique, voilà des histoires de castings pas comme les autres. Tenterez-vous votre chance ?

Pour le rôle, Pierre Niney

Cette première réalisation de l'ex-sociétaire de la comédie française, convie l'absurde à un casting. Avec un François Civil aussi éberlué que nous.

Archi déguelasse,
Lyèce Boukhitine

Comment passer le temps quand on attend pour un casting ? L'une des quatre scènes de castings tournées pat Lyèce Boukhitine en 1998.

Pastime with good company, Adrien Garraud

Un casting musical cette fois-ci. Qui a dit que la musique adoucissait les moeurs ?

Being flat, Quentin Dupieux

Casting, électro et absurde !

Homophobie et transphobie, ça suffit !

Si la société évolue, ces fléaux perdurent malgré tout. Il n'est jamais trop de films qui abordent ces sujets et invitent à l'ouverture.

PD, Olivier Lallart 

Ce court métrage qui traite de l'homophobie sous un jour moderne, diffusé depuis décembre 2020 sur Youtube, a déjà été vu par plus de 2 500 000 personnes. Un making-of suit le film.

En colo, Pascal-Alex Vincent 

Le réalisateur de Donne-moi la main (2008), également enseignant de cinéma et spécialiste du cinéma japonais, livre ici un court métrage pour le distributeur Outplay dans la collection "5 courts contre l'homophobie".

Les lèvres gercées,
Fabien Corre / Kelsi Phung

Très beau et fort film d'animation réalisé à l'Ecole des Gobelins.

Cinéma mon amour

Des mashs-up (films montés à partir d'images d'autres films) aux films qui jouent sur les genres et ceux qui nous révèlent de bien curieuses coulisses de cette industrie, les courts métrages déclarent leur amour au 7e art!

Prochainement sur vos écrans, Fabrice Maruca

Quand Fred rencontre Anna, sa vie a tout d’une comédie romantique… mais quand ils s’installent dans une maison isolée et hantée par un spectre, elle se transforme vite en film d’horreur… Et si la vie de Fred n’était qu’une suite de bandes-annonces ?  (Allociné).

Terminators, Fabrice Mathieu

Plus que des hommages au cinéma, les mash-ups de Fabrice Mathieu sont de véritables nouveaux films. Ici, vivez une course-poursuite entre Terminators tous joués par Arnold Schwarzenegger.

On s'est fait doubler !
Nicolas Ramade

Si du jour au lendemain, vous vous retrouviez à parler comme Han Solo ou Alf quand ils sont doublés, comment réagiriez-vous ?

Dans l'ombre, Fabrice Mathieu

Cette sombre et prenante histoire d'ombre est un magnifique hommage au film noir !

Confinés...

Peut-être n'en pouvez-vous d'entendre ce mot ! Parfois un film peut s'avérer cathartique...
Quoiqu'il en soit, si le confinement a donné des idées de scénarios à certaines et certains, il existait déjà au cinéma depuis bien longtemps.


Journal d'une famille confinée, Bénédicte Poumarède et Stéphane Malassagne

En avril 2020, Mk2 et Trois couleurs ont lancé le Concours du court métrage confiné. Les films envoyés devaient être tournés dans le respect du confinement et des mesures sanitaires, et inclure cette phrase, prononcée par Anna Karina dans Pierrot le Fou de Jean-Luc Godard : «Qu’est-ce que je peux faire? Je sais pas quoi faire!»  (source : Mk2 - Trois couleurs)
Ce film a reçu la Mention spéciale Coup de coeur du Jury.

Interminable, Bertille Genty

Réalisé pendant le 1er confinement par une étudiante en cinéma.

Aux armes et caetera, famille Yal 

Grand prix du court métrage confiné du Concours lancé par Mk2 et Trois couleurs début avril 2020.

Le Confinement au cinéma, Briac Durand et Joséphine Onteniente 

Un bel hommage au cinéma.
Prix de la meilleure actrice et du meilleur acteur du Concours du court métrage confiné lancé par Mk2 et Trois couleurs début avril 2020.

Invisible, Nourdine Taleb 

Prix du Meilleur film de genre du Concours du court métrage confiné.

Freeride at home : a ski movie, Philipp Klein

Faire du ski en restant chez soi, c'est possible ! Ce court métrage d'animation très drôle a été réalisé pendant le confinement du printemps 2020.

Un peu d'humour noir

Quand le rire se fait macabre ou grinçant !...

Rien de grave, Renaud Philipps 

Jusqu'ici, tout va bien. Vraiment ? Avec Jean Dujardin et Artus de Penguern.

La fin du monde, Michael Havenith 

Quel monde pour demain ? Dans les années 2000, une réponse peu optimiste d'un réalisateur belge.

SOS téléphone rouge, Simon Remaud

En cas de détresse, réfléchissez bien avant de contacter SOS téléphone rouge...

Victor, coiffeur pour hommes, Gil Bauwens

Si vous vous retrouviez à couper les cheveux d'un tueur potentiel, comment réagiriez-vous ?

Pas de stress, Jean-Luc Goossens 

Ce ne sont pas toujours les enfants les plus stressés lors du premier jour d'école...

J'ai kidnappé Plastic Bertrand, Chad Chenouga 

Mais pourquoi diable ce couple a-t-il kidnappé le chanteur ?

Par le réalisateur de De toutes mes forces, dans un registre bien différent de ses habitudes.

Famille, je vous aime

Une mère qui ne vous comprend pas toujours, un mari qui vous oublie, un fils attentionné... la famille est un grand sujet de cinéma !

Belle gueule, Emma Benestan

L'un des premiers rôles d'Oulaya Amamra, meilleur espoir féminin en 2017 pour Divines d'Houda Benyamina.

Le sentiment familial, Rosalie Kauffmann

Le vent souffle sur la petite ville de banlieue. Marie-Line et Patrick s’apprêtent à recevoir leurs invités... (source : Unifrance).

Ma vie sans moi, Charlotte Joulia

Comment redevenir visible au sein de sa propre famille ?

Je ne t'aime pas, Tommy Weber 

C'est à travers le smartphone avec lequel est réalisé le film que l'on suit cette histoire. Réalisateur de Callao, Quand je ne dors pas, et Tête de chien, 3 longs métrages intimistes réussis, Tommy Weber est le fils de Jacques Weber, que l'on voit dans plusieurs de ses films.

Tête- bêche, Violette Gitton

Le plus personnel des courts métrages de Violette Gitton nous plonge dans l'intimité de deux soeurs. En plein mois d'août, un tabou s'installe dans l'intensité sororale ( source : Kubweb).
Avec Esther Garrel, fille de Philippe et soeur de Louis, et Zoé Heran, révélation de Tomboy de Céline Sciamma.

Médée, Mikael Buch

Dans ce film, une mère et son fils aux rapports conflictuels, interprétés par Nathalie Baye et Vincent Dedienne, assistent à la représentation de l’opéra Médée de Cherubini. Une ébauche de dialogue s’instaure entre-eux, mais la tension reste palpable. (source : L'Opéra chez soi - Opéra de Paris).

C'est quoi un film de genre ? 

S'il existe de nombreux genres aux codes bien définis dans le cinéma, l'expression "film de genre" désigne souvent les films qui appartiennent aux univers imaginaires (fantastique par exemple) et plus noirs (thriller, polar, horreur). En voilà une petite sélection !

Mentula Invasion, Valentin Chetelat

En apparence, un "date" (prononcez à l'anglaise) de plus...

Grand prix Panic Reverse #5 (Festival du Cinéma à l'envers : c'est à partir d'une sélection d'affiches réalisées par des graphistes et choisies par un jury, que vont être réalisés films et vidéos).

Sans plomb, Emmanuel Tenenbaum

Un thriller en huis-clos, inspiré d'un fait-divers.

Céleste, Camille Combes

Un thriller psychologique sur fond de mal-être adolescent.

Insomnium, Camille Combes et Elsa Hibbs

Un thriller inquiétant, par d'anciens élèves d'option Cinéma-Audiovisuel du lycée Jacques Prévert à Boulogne-Billancourt (92).

Delirium, Camille Combes

Avant Insomnium, un premier thriller torturé.

Jour de pluie, Antoine Barillot

Ou quand le fantastique se met au servie de l'Histoire...

Au carrefour Morlay / Saint-Brieuc, Edouard Kuchiman

Les routes et les légendes bretonnes peuvent être pleines de surprises...

Un peu de poésie

Que leurs univers soient imaginaires ou quotidiens, la poésie s'est glissée dans ces films pour notre plus grand bonheur !

Une comptable est missionnée pour redresser les finances d'un zoo, tenu par Monsieur Vanel.  Mais comment ne pas tomber sous le charme de ce lieu ? Tourné au zoo de La Flèche, ce film nous emporte hors du temps.
Avec Thibault de Montalembert et Alice de Lencquesaing.

Carnets de rêves, Baptiste Gourden

Dans le Paris du 19ème siècle, entre réalisme et poésie, se croisent le regard insouciant d’une fillette, la folie d’Anna, une fille de joie et un homme isolé du regard des autres... (source : Synaps collectif).

Vibrato, Sébastien Laudenbach 

1899. Une veuve confie toutes les folies qu'elle a faites avec Charles, son fougueux mari. Il s'en est passé des choses dans les loges de ce palais d'or et de velours, dans les dessous et les coulisses. Rien que d'y penser, ça la rend toute humide... (source : 3e scène - plateforme de l'Opéra de Paris).

Réalisateur du long métrage d'animation La jeune fille sans mains.

De longs discours dans vos cheveux, Alexandre Steiger

Une comédie où deux jeunes figurants désabusés partent à la recherche du lac souterrain du palais Garnier...
Alexandre Steiger est davantage connu en tant qu'acteur : second rôle dans Perdrix d'Erwan Leduc et Alice et le maire de Nicolas Pariser. Judith Chemla, a joué entre autre dans Une vie de Stéphane Brizé et  Ce sentiment de l'été"de Mikhaël Hers.

Chanter et danser sa vie !

Rien de plus vibrant que des corps en mouvements et en sons ! Alors suivez l'exemple et faites de votre vie une comédie musicale !

Lisboa orchestra, Guillaume Delaperriere

Si vous ne jouez pas d'un instrument et qu'aller voir un concert vous manque trop, écoutez le quotidien, il peut s'avérer bien musical !

Cinéma et Histoire

Quand l'Histoire inspire le cinéma...

Jeanne d'Arc, Georges Méliès

A la fois pièce importante de l'Histoire du cinéma et illustration de l'Histoire française, voici la première incarnation de Jeanne d'Arc au cinéma, en 1900.

Vie et mort de l'illustre Grigori Efimovitch Raspoutine, Céline Devaux 

Evocation animée de la vie de Raspoutine, par la réalisatrice du Repas dominical (Prix Emile Reynaud 2015).

Guillaume le désespéré, Béranger Thouin

Ou la renaissance d'un héros imaginaire de la guerre de 14-18...

Compression Jeanne au bûcher de Roberto Rossellini, Gérard Courant

Compression Jeanne au bûcher de Roberto Rossellini est la réduction de Jeanne au bûcher, le chef d’oeuvre que Roberto Rossellini tourna en 1954 avec Ingrid Bergman, Tullio Carminati et Giacinto Prandelli, d’une durée de 1 heure 10 minutes en un film de 2 minutes 55 secondes. Le film est « compressé » à la manière d’une œuvre d’Arman ou de César [....]. Le tour de force et le pari de Compression Jeanne au bûcher de Roberto Rossellini a été de fabriquer une compression totale : dans ce film, il ne manque pas un seul plan du film original !
(source : Gérard Courant).
Gérard Courant aime l'expérimentation cinématographique. Il a notamment réalisé l'un des plus longs films de l'histoire du cinéma, Cinématon qui dure 209 h et qui n'est pas encore achevé !

Le sport s'anime ! 

Deux films d'animation qui plongent dans les coulisses du sport.

Le Mans, Quentin Baillieux

Ce film s'inspire d'un drame réellement survenu lors des 24h du Mans 1955.

Quand j'ai remplacé Camille, Nathan Otaño, Rémy Clarke, Leïla Courtillon

Quand deuil et compétition sportive se mélangent...
Réalisé par l'école de Cinéma d'animation des Gobelins en 2017.

Lycéens au cinéma !

Le lycée Jacques Prévert (Boulogne-Billancourt, 92), propose des options cinéma-audiovisuel. Découvrez leurs derniers travaux ainsi que d'anciens films.
Accédez à la chaîne youtube des lycéens des options Cinéma-Audiovisuel du lycée Jacques Prévert.

Women'z, Jules Langlois (Première séquence du film, classe de Terminale, année 2020-2021)

Gloria, Clément Sarton, Enzo Valero, Clémence Orsini, Manon Calleri (classe de Seconde, année 2011-2012)

Sois belle tais-toi, Shanice Toko (classe de Terminale, année 2017-2018)

To tell you how I feel, Bertille Genty (classe de Première, année 2017-2018)

Bande annonce des des films de Terminale option Cinéma-Audiovisuel 2020-2021


Folie passagère, Hugo Bassereau (classe de Terminale, année 2020-2021)

Watashi wa kireidesu ka ? Alexandre Penissou (classe de Seconde, année 2020-2021)

Eve, Benjamin Ballet (Teaser, classe de Terminale, année 2020-2021)

Goodbye Adèle, Elsa Hibbs et Masao Bonnet-Permettes (classe de Terminale, année 2016-2017)

O2, Alice Lévy (classe de Terminale, année 2018-2019)