Michelangelo Antonioni (1912-2007)
Né au Nord de l'Italie, Michelangelo Antonioni étudie l'économie à l'université de Bologna tout en écrivant des critiques de pièces de théâtre et de films pour un journal local. Passionné par le 7ème art, il s'inscrit ensuite dans l'école de cinéma "Centro Sperimentale". Une fois diplômé, il commence sa carrière en écrivant des scénarios pour Roberto Rossellini et Federico Fellini puis fait ses premiers pas en tant que réalisateur dès 1942, en signant des documentaires et des courts métrages qui flirtent avec l'inspiration néoréaliste introduite par Fellini.En 1950, il signe son premier long métrage, Chronique d'un amour pour lequel il s'éloigne du néoréalisme et préfère se concentrer sur la psychologie de ses personnages. Ses films suivants – Les Vaincus, La Dame sans camélias, Femmes entre elles et Le Cri – sont construits sur le même modèle et ...Mauro Bolognini entreprend des études d’architecture à Florence avant de se diriger vers le cinéma, en même temps que son frère1 le futur réalisateur Manolo Bolognini2. Il passe ses examens en mise en scène au Centro sperimentale di cinematografia de Rome.
Il s'oriente alors vers la réalisation, d'abord comme assistant de Luigi Zampa, puis, en France, d'Yves Allégret et de Jean Delannoy. Il dirige en 1953 la jeune Sophia Loren dans son premier rôle important : Une fille formidable (Ci troviamo in galleria), qui est aussi sa première réalisation. Il tourne des comédies au cours des années 1950, et se fait remarquer avec des tentatives de néoréalisme tardif : Les Amoureux (Gli innamorati (1955) et Les Jeunes Maris (Giovani mariti) (1957).
J'ai fait un beau voyage, épisode 1 à 5
J'ai fait un beau voyage, épisode 6 à 10
L'Age de Cosme de Medicis, 1ere partie
L'Age de Cosme de Medicis, 2nde partie
La Lutte de l'homme pour sa survie IX et X
La Lutte de l'homme pour sa survie VII et VIII
La Lutte de l'homme pour sa survie XI et XII
Les Actes de apotres, parties 3 et 4
Les Actes des apotres, parties 5
Beaubourg, Centre d'art et de culture
Les Actes des apôtres, parties 1 et 2
La Prise du pouvoir par Louis XIV
Turin et le premier centenaire de l'unite italienne
La Machine a tuer les mechants
Santa Brigida Court métrage
Antonio Pietrangeli est un personnalité originale et injustement oubliée de l’âge d’or du cinéma italien. Après des études de médecine, il suit le parcours de nombreux futurs cinéastes italiens de l’époque en passant par l’écriture, d’abord au sein de la critique puis en tant que scénariste. Là, il œuvrera pour nombre de réalisateurs majeurs durant l’après-guerre comme Luchino Visconti ou Roberto Rossellini. Dans certains de ses scripts on peut déjà distinguer ce qui sera la préoccupation majeure de sa filmographie à venir : la condition féminine dans l’Italie moderne. Ce thème rarement évoqué dans la production italienne d’alors le distingue des autres cinéastes qui lui sont contemporains et participe à la réussite de Du Soleil dans les yeux (1953), d'Adua et ses compagnes (1960) et de Je la connaissais bien (1965).