Ainsi donc, la chouette déterrée était enfouie à 6,93 mètres du centre du triangle formé par les rochers de la Borne St Martin, dans le prolongement de l'axe passant par celle-ci et le rocher de Dabo en Moselle.
Le site wikipédia précise plusieurs choses sur le rocher de Dabo :
il se situe dans le sud-est du département de la Moselle, dans le pays de Sarrebourg, à environ 2 km avant la frontière départementale avec le Bas-Rhin.
il culmine à 664 m d'altitude, au sommet du Schlossberg et mesure 30 m de haut, 80 m de long et 26 m de large
Dans les solutions à trouver, Max Valentin impose une altitude de 650 m, source de nombreuses polémiques.
Elle fit l'objet d'une étude approfondie du chasseur Airyn disponible sur l'incontournable wikichouette.
Ci-dessus, extraite du livre, le visuel est un tableau énigmatique, peint par Michel Becker pour illustrer l'énigme 650 qui a bloqué la France Entière pendant au moins 30 ans.
Les gagnants ont percé le mystère apporté avec ces 7 chiffres superposés à un personnage tenant la pelle prête à creuser poudéterrer le trésor.
Les trois silhouettes symbolisaient les trois pierres ou dolmens du lieu-dit Bornes St-Martin, en forêt domaniale de Dabo, au nord-nord-est du rocher du Schlossberg.
Le passage en revue ou PER consistait, boussole en main, dos au rocher de Dabo invisible une fois au pied des trois rochers, à relever sur la pierre de gauche, une première date 1747 gravée dans la roche, et sur la pierre verticale de droite encadrant en haut et en bas le texte : MARTINSTEIN assorti de deux autres dates : 1828 et 1750.
EST-CE QUE TOUS LES CHIFFRES COMPOSANT 717... SONT VISIBLES SUR LE VISUEL DE LA 650 ? ARTHUR
CA, VOUS DEVREZ LE DECOUVRIR VOUS-MEME. MAIS BRAVO, JE CROIS BIEN QUE C'EST LA PREMIERE FOIS QU'ON ME POSE CETTE QUESTION !
ELLE EST INTERESSANTE, MEME SI JE NE PEUX PAS Y REPONDRE.
Incroyable !
Max Valentin répond par écrit : BRAVO.
Douze chiffres constituent les trois dates, pour seulement huit chiffres dans le livre.
Peu importe l'ordre des trois dates relevées, il fallait imaginer de filtrer, comme le ferait un peigne, pour isoler les quatre chiffres : 4, 8, 8 et 1, absents du visuel du livre, lesquels une fois additionnés donnaient le nombre 21.
Une fois le nombre 21 obtenu par addition des 4 chiffres résiduels, le chasseur devait définir le barycentre exact des trois rochers, à l'aide d'une ficelle ou de tout autre outil.
La distance à parcourir était de 21 "mesures" (l'unité utilisée tout au long du livre), soit 6,93 m (21 x 0,33).
Une direction, sujette à caution, était inscrite en clair dans le cahier des charges publié sur le tard :
Maintenant tu as des ailes.
Prends ton essor et envole toi
Nord Nord Est 11 degrés.
8000 mesures plus loin,
les trois sentinelles t'attendent.
Ces 11 degrés sont en contradiction avec la version officielle du livre : Dos au Ponant.
Max Valentin a toujours affirmé que la première sentinelle, celle à 8000 mesures, dos au ponant, depuis le "point LA", était censée être située dans un secteur angulaire compris entre est-nord-est (ENE = 67,5°) et est-sud-est (ESE = 112,5°).
Une explication sur cette contradiction doit être levée et devra figurer dans les solutions écrites,
La chouette était enterrée à 6,93 mètres du centre du triangle formé par les rochers de la Borne St Martin, dans le prolongement de l'axe passant par celle-ci et le rocher de Dabo (Moselle), soit boussole en main une direction de 11 degrés.
Le titre de l'énigme 650 est : QUAND TOUT EST REVELE et la fin du texte dit explicitement : Trouve-les, il te faut les passer en revue.
Le passage en revue, dernière action à effectuer pour le chasseur parvenu aux bornes St-Martin en ayant suivi une direction contestée : nord-nord-est de 11 degrés en provenance du parvis de la Chapelle St-Leon au sommet du rocher de Dabo consistait à poursuivre le mouvement dans la même direction et progresser jusqu'à la cache depuis le point de repère à matérialiser au centre du triangle formé par les trois rochers, sur une distance de 6,93 mètres, obtenue après relevé d'une date gravée sur le rocher de gauche et de deux dates sur celui de droite.
Le verrou de cette chasse au trésor est le visuel de l'énigme 650 avec ces 8 chiffres.
Cette solution à base de tamis à appliquer sur les 3 dates à relever sur les bornes sentinelles de la forêt de Dabo est simple, imparable et incontestable.
Ces chiffres ne peuvent pas s'appliquer en un autre lieu et à d'autres sentinelles.
De nombreux éléments du livre restent inexpliqués, à commencer par les mots : Vérité et les limites de l'ETERNITE censés être dévoilés lors du parcours final.
Un scénario, certes plutôt improbable, d'un second niveau de résolution de toutes les énigmes qui donnerait le même point de chute aux bornes St-Martin, mais avec une autre valeur de la mesure, permettrait, une fois le tamis 71721075 appliqué aux sentinelles, avec un repère final inchangé : le centre du triangle formé par les trois rochers, de produire une autre distance et sans doute un autre axe de référence que celui contesté de 11°.
On a vu que le tamis produit le nombre 21 qui est le coefficient multiplicateur à appliquer à la mesure.
Ce nombre 21 marque les deux chiffres du centre sur le visuel : 7 1 7 2 1 0 7 5
Une autre analyse du livre qui vous est présenté ci-après délivre un déroulement logique de parcours qui donne une Spirale à Quatre Centres alternative, puis une Nef Encalminée alternative en Côte d'Or (21), à partir de laquelle un trait à ne pas regretter (TANPR) permet d'arriver dans le même secteur de Dabo, sans pour autant pointer sur le rocher de Dabo.
Régis Hauser, plus connu sous son pseudonyme "Max Valentin", choisi juste avant l'impression du livre, nous présente son langage, assorti d'une écriture particulière : textes en français, nombres, codages en alphabet latin, c'est son moyen de communication que nous devons assimiler, il nous renvoie à la compréhension des différents systèmes d'écriture, à la phonétique et à la sémantique des signes linguistiques.
Numeri Et Literi, litt : des chiffres et des lettres constitue le préambule de ce qu'il y'a à comprendre dans un niveau d'analyse éloigné des solutions officielles, avant de s'intéresser aux énigmes proprement dit.
Deux émissions d’Arte en 2019 : L’odyssée de l’écriture et l’odyssée des chiffres sont particulièrement éclairantes sur le sujet car elles nous apprennent d’où viennent nos 26 lettres latines et nos 10 chiffres indo-arabes.
La page en suivant intitulée Numeri Et Literi (des chiffres et des lettres) constitue le préambule de ce qu'il y'a à comprendre avant de s'intéresser aux énigmes proprement dit.
L’écriture est un moyen de communication qui représente le langage à travers l'inscription de signes sur des supports variés.
C'est une technique qui s'appuie sur les mêmes structures que la parole, comme le vocabulaire, la grammaire et la sémantique, mais avec des contraintes supplémentaires liées au système de graphies propres à chaque culture.
C'est d'une certaine façon « l'intégration de la langue des hommes au visible ».
Le résultat de l'écriture est généralement un texte dont le destinataire est le lecteur. (source wikipedia)
Les écritures, alphabets grecs et latins et leurs symboles et phonétiques, associées aux cinq modes de numération occidentaux : la notation décimale en chiffres indo-arabes (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0), les chiffres romains la formulation en mots français, l'art de compter à l'aide de ses doigts, et la figuration par des points (morse, dés, etc..) permettent de décoder les énigmes.
La pierre de Rosette est un fragment de stèle gravée de l'Égypte antique portant trois versions d'un même texte qui a permis le déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion.
L'inscription qu'elle comporte est écrit en deux langues (égyptien ancien et grec ancien) et trois écritures : égyptien en hiéroglyphes, égyptien démotique et alphabet grec.
Nos alphabets actuels ont tous pour origine l'adaptation des hiéroglyphes phonétiques par principe acro « phonique », et le fait d'épeler les mots vient du latin.
Cette dérivation phonétique incluant homophones, allitérations, assonances, phonèmes constitue une des bases de travail de cette chasse au trésor, en lien avec les alphabets gréco-latins et les chiffres indo-arabes.
La pierre de Rosette de nos alphabets actuels est le « sphinx de Serabit », visible au British Museum.
Il y’a 4000 ans, un groupe de migrants du Neguev est venu travailler dans le temple égyptien Sérabit el-Khadim situé au sud-ouest de la péninsule du Sinaï.
La coexistence d’égyptiens et de migrants va donner à ces derniers l’idée d’un système d’écriture visant à adapter à leur langue les hiéroglyphes par simple imitation.
La transcription d'un système à l'autre a été retrouvée gravée sur une sphinx en pierre dans les ruines du temple, la statuette porte une double dédicace « À Ba'alat, déesse de la turquoise », sous forme hiéroglyphique et d'alphabet linéaire.
Ce texte sera déchiffré par l'égyptologue britannique Alan Gardiner.
L'alpha romain est le descendant du hiéroglyphe décrivant la tête du taureau, phonétiquement prononcé alif, les phéniciens reprennent ce signe en l'orientant différemment car l'image, symbole de la tête de taureau ne leur sert plus.
Les romains retournent le signe à 90 degrés dans le sens horaire pour donner l'alpha romain.
Le B latin dérive du hiéroglyphe en forme de rectangle ouvert décrivant la maison, simplifié par les cananéeens, puis les grecs
Les romains le retournent selon une symétrie horizontale pour l'amener au B.
Le M romain est un héritage du mu grec, déformation du hiéroglyphe définissant l'eau.
Max Valentin nous invite par ailleurs à assimiler phonétiquement l'eau avec la lettre O et l'air avec la lettre R, ceci complique la tâche de compréhension.
Le hiéroglyphe associé au serpent montre toujours 2 reptiles dressés pour bien marquer le sifflement.
Il a donné le Nv (nu grec) puis le N latin assimilé au nord de la boussole, lequel peut "mentir".
Quand il est couché, mon Cinquième ronfle : un N couché est Z, et vice-versa.
Mon Dixième uN « U », N = nv est une liaison phonétique .
Lettres utiles :
Alpha, (capitale Α, minuscule α, en grec ἄλφα) est la première lettre de l’alphabet grec.
Pi, (capitale Π, minuscule π ou ϖ, en grec πῖ) est la seizième lettre de l’alphabet grec. (BOUSSOLE)
Nu, (capitale Ν, minuscule ν, en grec νῦ) est la treizième lettre de l’alphabet grec.
(CHARADE 470 : liaison phonétique : Mon Dixième uN « U », N = nv )
Mu, (capitale M, minuscule µ, en grec μῦ) est la douzième lettre de l’alphabet grec. (MESURE 500)
En numération grecque : alpha vaut 1, pi vaut 80, nu vaut 50 et mu vaut 40. (MESURE 500)
Les capitales sont la forme normale de cet alphabet, les minuscules sont tardives et utilisées non pas par contraste avec les majuscules mais comme système graphique indépendant.
Les lettres J, U et W ne font pas partie de l'alphabet romain.
Parmi les innovations de l'alphabet latin par rapport à son modèle (indirect) grec, on peut compter le nom des lettres.
Alors que les lettres grecques portent des noms sans sens dans leur langue car hérités directement des langues sémitiques et, surtout polysyllabiques (alpha, bêta, gamma, delta), ce sont des monosyllabes en latin.
Les romains n'ont pas cherché à donner un nom réel à leurs lettres, ils les désignaient comme elles se prononçaient, ce qui ne pouvait bien fonctionner qu'avec les continues et les voyelles (qu'on prononçait vraisemblablement longues). On trouve donc deux groupes de lettres :
celles prononçables sans support : les voyelles /aː/, /eː/, /iː/, /oː/, /uː/ et les continues /fː/, /lː/, /mː/, /nː/, /rː/ et /sː/ (on disait donc « la consonne /ffff/ » en prolongeant le son autant que nécessaire) ;
celles qu'on devait articuler avec une voyelle d'appui, /e/ chez les Romains : /beː/, /keː/ (lettre c), /deː/, /geː/, /kaː/ (lettre k, qu'on employait initialement devant a ou une consonne puis qui n'a été conservée que dans de rares mots), /peː/, /kuː/ (lettre q, qui ne s'emploie que devant un u), etc.
Le fait d'épeler les mots vient du latin.
Un chiffre est un élément d'écriture.
Pour dire un nombre, on n'utilise pas de chiffres.
Le nom du nombre est une abstraction, il varie selon les langues.
Un nombre désigne une quantité.
La numération est le principe de représentation des nombres, que ce soit à l’écrit, dans le langage oral, par la gestuelle ou en informatique.
Pour effectuer des opérations sur les nombres, on a inventé des systèmes de numération qui permettent de les écrire rapidement, en chiffres.
L'usage des chiffres pour l'écriture des nombres est lié à la pratique du calcul.
C'est l’alphabet étrusque en non grec qui a été emprunté et adapté par les Romains.
Les symboles I, Λ, X, ?, 8 et ⊕ deviendront I, V, X, L, C et M.
Les caractères I, V, X, L, C, D, M représentent les formes anciennes des chiffres, ils sont empruntés à diverses écritures, par ressemblance.
Les chiffres romains ne sont pas acronymiques : par exemple, C n’est pas, au départ, l’abréviation de centum (écrit CENTVM).
Les romains ne connaissaient pas le zéro, ce qui rendait les calculs très compliqués.
Zéro est à la fois un chiffre et un nombre, noté sous forme d’une figure fermée simple : 0.
Zéro est une transcription de l’arabe ṣĭfr (صفر) pour le « vide » ou l'espace vide.
Ce mot arabe a donné en français le mot : chiffre.
Les Grecs de l'Antiquité n'avaient pas de symbole pour le zéro ( μηδέν, prononcé « midén » signifie : rien ) et n'utilisaient pas de symbole numérique.
En 1485, l’italien apportent le : zero, contraction de zefiro, mot issu du latin médiéval zephirum.
En tant que chiffre, il est utilisé pour « garder le rang » et marquer une position vide dans l’écriture des nombres en notation positionnelle.
Le système doit son nom au fait qu'il est apparu en Inde et qu'il est parvenu en Europe par l'intermédiaire de mathématiciens et comptables de langue arabe.
La variante graphique la plus répandue sont les chiffres utilisés en Europe, communément appelés chiffres arabes.
Originaire de l'oasis de Chiva en Ouzbekistan, le savant Al-Khwârizmî né dans les années 780, donc à l'époque de Charlemagne et de Roland, est un mathématicien, géographe, astrologue et astronome persan.
Le mot algorithme est tiré de son nom et le mot algèbre est tiré d'un de ses ouvrages, mais ce qui nous intéresse, c'est le fait qu'il soit le premier vulgarisateur du système décimal positionnel » qu’il emprunte à la culture indienne.
En Occident, les chiffres arabes (sans le zéro) apparurent une première fois dans le contexte de l'abaque.
Citons Gerbert d'Aurillac (940–1003) et le pape Sylvestre II qui intégrèrent les sciences et techniques islamiques sans parvenir à imposer les chiffres arabes tant la notoriété des chiffres romains était restée prépondérante ainsi que l'ignorance de l'importance de la numération de position qu'apportera le zéro.
Il parait aujourd'hui évident pour tout un chacun que neuf + un égale dix, je pose : zéro et je retiens un qui passe dans la colonne des dizaines : 10
Leonardo Fibonacci ou « Léonard de Pise » (vers 1170 à Pise - vers 1250) est un mathématicien italien réputé.
Il étudia auprès de professeurs musulmans à Béjaïa (dans l'actuelle Algérie) et découvrit le fait que les pêcheurs locaux avaient une manière moderne de compter.
Ses écrits revêtent une importance considérable car il faudra attendre l'année 1202 et la publication du Liber Abaci pour que nos chiffres indo-arabes (0 - 9) intègrent définitivement les mathématiques de l'Occident.
La diffusion des chiffres arabes s'est heurtée aux habitudes traditionnelles, et leur apprentissage a été progressif et a mis beaucoup de temps à s'imposer.
À Florence, il fut d'abord interdit aux marchands de les employer dans les contrats et les documents officiels.
En 1299, ils sont partout interdits, y compris dans la comptabilité privée des banquiers et marchands florentins.
Tant que les opérations restent simples, l'abaque pour le calcul et les chiffres romains pour la représentation graphique suffisent.
À partir de la Renaissance, avec le développement exponentiel du commerce et de l'astronomie et de la balistique, la nécessité d'un système de calcul puissant et rapide s'impose : les chiffres indo-arabes écartent définitivement leurs prédécesseurs romains.
Leur tracé définitif, normalisé, est attesté dès le XVe siècle et ce système aujourd’hui s’impose dans le monde.
note :
Une spirale à quatre centres n'est pas une spirale de Fibonacci, ni une spirale d'Archimède bien qu'elle puisse être considérée comme une approximation de cette dernière, c'est une spirale décorative. (source wikipedia)
Les chiffres jouent par rapport aux nombres un rôle similaire à celui des lettres par rapport aux mots.
À l'écrit, les nombres sont représentés par une juxtaposition de chiffres, de même que les mots sont représentés par une juxtaposition de lettres.
Les voyelles (« o »et « u ») concaténées dans l'énigme 530 cherchent leur chemin pour former l'adverbe de lieu interrogatif : où ?
Ainsi, 13 (« treize ») est un nombre qui, en base dix, s'écrit avec les chiffres « 1 » et « 3 ».
Les arrangements de lettres ne forment pas forcément un mot, alors que dans les systèmes de numération positionnelle, toute suite de chiffres peut s'interpréter valablement comme un nombre entier.
Le système de numération indo-arabe est un système de numération de base dix employant une notation positionnelle et dix chiffres, allant de zéro à neuf, dont le tracé est indépendant de la valeur représentée.
Dans ce système, la représentation d'un nombre correspond à son développement décimal.
Les décodages sélectionnés ci-dessous exploitent des noms communs ou des noms propres n'excédant pas SEPT caractères élémentaires.
1 2 3 4 5 6 7
P O U R
T R O U V E R
M O N
T O U T
I L
S U F F I T
D E T R E
S A G E
1 2 3 4 5 6 7
C A R
L A
V E R I T E
E N
V E R I T E
N E
S E R A
P A S
A F F A I R E
D E
D E V I N
Cette mise en forme des lettres sur 7 colonnes, une fois les 4 premières colonnes isolées, révèlent sur les 3 dernières les 2 mots VERITE et ETERNITE.
Un calibrage précis des mots et de leur LONGUEUR a donc été anticipé par l'auteur qui veut nous faire comprendre l'utilité de positionner les mots et les indexer.
Pour obtenir ETERNITE, il lui était nécessaire de répéter le mot VERITE afin d'en extraire deux fois la syllabe : TE
Deux syllabes TE produisent le mot TETE que l'on retrouve dans le mot ETERNITE et le mot chouETTE.
Il est amusant d'extrapoler sur des toponymes exploitant le mot TETE : dans les Vosges, de nombreux sommets portent l'extension KOPF qui signifie TETE en langue germanique.
1 2 3 4 5 6 7
B O U R G E S
B O U R G E S
B O U R G E S
1 2 3 4 5 6 7
A B C D E F G
A B C D E F G
Voyelles
Les 3 voyelles de B O U R G E S accolées donnent un sens différent à la recherche : où E = où trouver E ?
La voyelle E, mon sixième aux limites de l'E T E R N I T E se cache et se place à la sixième position de mon TOUT ici : B O U R G E S
Consonnes
Les consonnes de B O U R G E S sont aux positions : 1,4,5,7 que l'on peut associer aux lettres : A, D, E et G de l'alphabet latin.
L'anagramme de OUVERTURE est TROUVER EU. où Eu est une homophonie de où E
EU est une commune de Seine Maritime (76).
ADEG est une anagramme de AGDE (commune de l'Hérault, 34)..
Le mot « sage » concerne uniquement l'énigme 530 : l'anagramme de DETRE SAGE donne : RESTE AGDE
Si on relie Eu (76) et Agde (34), la ligne obtenue passe par l'ouverture BOURGES (18), voir rubrique : cartographie
1 2 3 4 5 6 7
A R V I E U X
V I X
La lumière est basée sur le système de numération additive utilisé par les Romains, à partir du 1er siècle avant J.-C. pour écrire les nombres entiers jusqu’à 4 999, à partir de seulement 7 lettres : I, V, X, L, C, D, et le M.
énigmes :
470 : Mon 8ème a le goût du laurier : V = victoire = 5
420 : la lettre V n'a pas été associée à Venus, la flèche d'Apollon aboutit à Arvieux (04). Les 3 signes V,I,X associés au 347ème jour du calendrier grégorien révèlent le prénom Lucien, Lucie tiré du mot latin : lux
560 : V,I,X concaténés donnent le toponyme : VIX. 2 villes portent ce nom : VIX (85) et VIX (21).
La Nef Encalminée est le vase de VIX (21) encalminé au musée de CHATILLON S/SEINE (21).
Les chiffres indo-arabes et la numération romaine associée aux lettres latines servent à défaire les nœuds.
Bibliographie