20250921 - compte rendu VISITE TGC - jep2025 - racines du 93 - généalogie & histoire locale
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20250921 enregistrement de la VISITE du TGC, guidée par Julien SALLES
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NB: à l'attention du lecteur qui tomberait dessus sans avertissement préalable, la transcription automatique a été suivie d'une 1ère relecture & correction par "racines du 93"; pas de relecture par J. SALLES, donc pas de garantie de l'exactitude des propos. Le texte ci-dessous n'a pas d'autre valeur que celle d'une prise de notes en cours de conférence
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Alors, première partie.
Je vais commencer par la bâtisse extérieure.
Donc, comme vous le savez ici, avant que ce soit communément appelé le théâtre du garde-chasse, salle des fêtes.
À l'origine, la famille de Paul de Kock, donc romancier, écrivain, qui a résidé à cet emplacement ici.
Alors, ce n'était pas sa maison, la maison que vous voyez là, mais sa maison d'origine en 1845.
Et sachez que le jardin que vous voyez ici, plus le square, appartenait à la ville de Romainville avant 1867.
Donc, c'était le jardin qui lui appartenait.
Donc, propriété vraiment privée.
Et pourquoi je cite Paul de Kock?
Tout simplement parce que, après son décès, les héritiers de sa famille ont cédé la maison, et surtout la parcelle de terrain, en 1897 à la mairie des Lilas.
Du coup, à partir de, entre 1900 et 1902, Eugène Decros, donc à ce moment-là, premier mandat de la ville des Lilas, décide, bien sûr avec l'accord du conseil municipal,
de marquer le sceau de la ville avec un patrimoine conséquent et important, surtout culturel, social, à tout bout de l'île.
Donc, l'idée de cette salle des fêtes.
Alors, comme vous l'avez pu le remarquer, tout est fait en pierre de taille.
Alors, avec justement des travées horizontales au niveau des poutrelles, ainsi que des travées latérales
qui se terminent au niveau des corniches supérieures, notamment ici, et de l'autre côté.
Sachant que Léopold Bévière, qui avait été désigné justement suite à un concours de la ville des Lilas, donc architecte de cet édifice, a fait bâtir entre 1903 et 1904
pour un budget à peu près, je crois, de l'époque de 400 000 francs.
Voilà.
Notamment en marquant le coup, justement, sur les ardoises et le zinc, 1903-1904, donc la période où il a été bâti.
Liberté, égalité, fraternité, comme vous le savez si bien, les devises de la République datant de 1880, donc toutes les institutions nationales,
sont marquées de ce sceau.
Et bien sûr, la ville des Lilas, qui est là, avec bien sûr les ornements républicains françaises, ici et juste en dessous, pareil, au niveau incrusté dans la pierre de taille..
Surtout, la partie intéressante, ce sont ces arcades de vitrées qui ont une source plus ou moins italienne.
Parce que Léopold Bévière, qui avait notamment travaillé au Jardin de Versailles, s'est inspiré du Grand Trianon.
Vous regardez le Grand Trianon à Versailles, c'est exactement la réplique au niveau de ces littros.
Sachant qu'en plus, Léopold Bévière, nonobstant d'avoir réalisé cet édifice, était à l'origine de la mairie d'Aubervilliers, du Théâtre de Puteaux, du Collège Anatole-France au Pré-Saint-Gervais.
Il a collaboré aussi avec Formiger, il a collaboré au renouveau des arènes de l'UTS du Champ de Mars.
Et dernière création de Léopold Bévière, parce que c'était celle que vous connaissez tous, la piscine Georges Valerey
C'est lui qui est à l'origine, mais ça s'appelait le stade nautique des Tourelles.
Et donc, il a été aussi à partir de cette...
Après juste avoir construit cet édifice, il a été désigné architecte voyer de la ville des Lilas.
Donc, architecte voyé ou non pas voyé, parce que tout ce qui est décision technique, administrative,
donc tout ce qui est architecture et urbanisme.
Son fils lui a succédé jusqu'en 1962.
Voilà pour Léopold Bévière.
Donc, la bâtisse est bien sûr d'origine, avec bien sûr une Parisienne qui a été rajoutée par la suite et vous avez les balustrades, les bandes d'accès, les marches, tout en pierre de taille.
Heureusement, depuis 1904, le bâtiment tient toujours debout.
Voilà, il est bien sûr.
Ça suffit, bref, on vous prétend, c'est le jeu qui est fini.
Après l'édifice, justement, à la fin de la construction de ce bâtiment.
Donc, il y a eu l'inauguration de ce bâtiment.
En plus, du square et de l'école Val-des-Crousseaux, qui n'oubliez pas qu'à l'époque était une école de garçons.
Alors, bien sûr, la famille de Paul de KOCK voulait nous faire mativer au sein de la mairie l'ensemble de Paul Lecoq, ce que la mairie refusa.
Ils voulaient simplement l'appeler salle des fêtes.
Donc, inauguration avec le préfet de la Seine à l'époque, le maire Eugène DECROS, fanfare marseillaise, balle et course cycliste.
Vous voyez qu'à l'époque, on ne faisait pas les choses à moitié.
Donc, à partir de là, sachez que 1907, donc on arrive à la date clé.
C'est pour ça que je vais arriver à la deuxième partie dans le plafond.
Il faut savoir juste un petit détail, c'est qu'à partir de cette marche où vous êtes, ne bougez pas.
À la libération finale du bâtiment, à partir de la première marche jusqu'ici, l'entrée se faisait expôtièrement.
C'est-à-dire qu'ici a été croisé un soubassement qui permet la rénovation moderne.
Donc, ce qui fait que l'entrée était ici, donc là, vous pouvez y venir.
Donc là, vous arrivez dans le hall principal moderne.
Sachez que ce hall a toujours existé, sauf qu'il y avait déjà un premier soubassement pour rez-de-chaussée, donc ici, par rapport ici à l'étage.
Ça, c'est un deuxième soubassement qui est venu du côté moderne.
Alors, vous montez, vous suivez. Tout doucement, vous gérez un oeil ici à ces esquisses.
Elles sont accrochées dans vos clapons.
N'hésitez pas à vous les mémoriser.
Voilà, vous les photographiez.
Après, vous décidez par les voies latérales, vous en avez d'autres qui sont en haut de l'escalier.
Vous les mémorisez et vous allez vous rendre compte pourquoi.
Vous les photographiez.
Vous pouvez circuler à droite ou à gauche, en vous donnant des ordres.
Là, vous avez quelques petits traits de détenir.
C'est mieux.
Et vous avez une autre esquisse.
Voilà, j'y reviendrai par la suite.
Donc là, quand je vous parlais de premier sous-vassement, c'est celui-ci.
Donc, on part d'ici de qu'un pied.
Ça, c'est vraiment d'origine.
Donc, nous arrivons donc à la période du 107.
C'est là que le chirurgien, avec un corps, a décidé de lancer un concours ouvert pour les artistes et surtout pour les peintures grande nature, surtout peintures de fresques, avec un concours organisé au Palais des Beaux-Arts de Paris.
Donc, c'est là que Victor Tardieu sort lauréat de ce concours avec la condition suivante.
Donc, il devait symboliser des images de fêtes, de liaises, de rassemblements de la ville des Lilas.
Et comment dirais-je ?
Et aussi, quelque part, symboliser aussi Paul de KOCK, mais surtout la ville des Lilas.
Donc, à ce moment-là, on lui alloue un budget de 25 000 francs.
Et c'est là que la particularité de cette fresque est un peu assez riche, notamment au niveau de ses inspirations.
Donc, vous avez à peu près la fresque en comptant la cimaise centrale, les cimaises latérales.
Ensuite, les grisailles viennent par la suite. Vous avez à peu près 160 mètres carrés.
Alors, il s'inspire notamment parce qu'il était surtout la partie de cette fresque qui s'inspire du naturalisme du XIXe siècle.
Mais lui, étant donné qu'il était très attaché à la Troisième République, donc dans la texture et dans le choix de ses dessins, c'est, si vous voulez, une texture à peu près académique.
C'est la raison pour laquelle il mélange cet académisme avec ce qu'on appelle des canons de l'Antiquité que vous retrouvez notamment avec ce personnage-là.
Ces personnages-là et celui-ci, notamment dans le contour des personnages.
Ensuite, il mélange aussi, c'est ça qui est intéressant, des touches impressionnistes, notamment avec cette cimaise.
Vous voyez ce qu'on appelait la fête des lampions.
Donc là, vous avez un lampion jaune et vous avez aussi la couleur jaune, des couleurs claires, des couleurs vives qui ressortent à travers cette cimaise.
Mais aussi, il y a ça aussi, la troisième particularité de cette fresque, et c'est ce que j'adore,
c'est l'emprunt à la peinture baroque du XVIIe, XVIIIe siècle, notamment à travers les travaux de Giambattista Tiepolo,
c'est-à-dire les exercices de contre-plongée, vous voyez ici, partout au niveau des personnages, ici.
Les personnages vous regardent, nous, spectateurs, nous les regardons en plongée.
C'est pour ça que je vous dis, je ne m'en lâche jamais.
Et à partir de là, aussi, la deuxième particularité, c'est que Victor Tardieu symbolise aussi plusieurs allégories.
La première allégorie est ici, c'est-à-dire l'abondance.
Donc, vous voyez cette dame avec ce panier assez conséquent.
Vous avez aussi la renommée avec ce personnage qui détient une lyre dans la main gauche.
Et vous avez aussi les arts qui sont symbolisés ici, principalement avec la flûte, l'harpe, le violoncelle, le violon.
Alors, je vous demandais de mémoriser parce que le tableau que vous voyez ici, vous le retrouvez ici.
Là, vous avez, bien entendu, Caroline Lugini, épouse de Victor Tardieu, harpiste de son état, professeur de harpe, élève de Camille Saint-Saëns.
Ensuite, vous avez ici la littérature que vous retrouvez dans les esquisses en bas.
Là, alors, on ne voit pas très bien.
Il faudra vous rapprocher.
Vous avez une sorte de troubadour qui est aussi dans le plafond à l'intérieur.
Et, bien entendu, les dames que vous voyez ici.
Pareil, que vous retrouvez aussi dans les voies latérales.
Voilà. Après, je vous laisse retrouver tout le reste quand même.
Je ne veux pas vous gâcher le plaisir.
Alors, ensuite, non seulement à travers ces allégories, c'est-à-dire que la musique tutoie aussi les marionnettes, vous voyez,
avec cette dame Katie et le fameux polichinelle du théâtre de Guignol et qui côtoie aussi la danse, vous voyez, avec ces deux couples qui sont ici.
Voilà.
Donc, surtout, l'image de fête de liesse de rassemblement de la ville, mais c'est surtout à travers...
Tardieu s'en inspire beaucoup, à travers aussi les écrits de Charles Baudelaire, notamment la vie moderne.
Des balles, des guinguettes, des fêtes, vous voyez.
C'est-à-dire que l'allégorie aussi se mélange aussi avec la musique.
Donc, vous voyez.
Et surtout, quand je vous disais qu'une peinture académique est la naturalisme du XIXe siècle, c'est que vous avez que tous les personnages sont en mouvement.
Alors, vous avez l'impression qu'ils sont figés, mais en fait, ils ont l'impression à la fois qu'ils sont en inaction, mais ils sont aussi en totale interaction les uns avec les autres.
Voilà.
Donc, vous voyez, il y a plusieurs sources d'inspiration qui se mélangent.
Et bien sûr aussi, alors, ce n'est pas une allégorie, mais ce qui mélange aussi, par exemple, vous avez aussi l'aboutissement des...
On peut aussi la mélanger avec l'allégorie de la fortune et la renommée, avec cette cheminée en édifice qui se construit au fur et à mesure.
Et la dernière allégorie qui est la plus intéressante, enfin, parmi les plus intéressantes, celle-ci.
Vous voyez.
Vous voyez ce personnage qui tient quoi ?
Une branche de lilas.
Une branche de lilas, forcément.
Et qui côtoie, petit clin d'œil, avec aussi la petite feuille de laurier.
Et en fait, qui fait référence aussi au fameux blason de la ville.
J'étais fleur, je suis cité.
Que vous pouvez retrouver sur la mosaïque de l'école Romain-Roland, qui est perpendiculaire à l'école Romain-Roland et la rue Raymond de Salez.
Et alors, bien sûr, donc là, la fête des Lampions que je vous ai décrite ici.
Voilà.
Faites attention si vous voulez bien me suivre.
Moi, j'ai passé par là le 2 février.
Vous avez vu cette fameuse grisaille.
Pas cette grisaille, pardon cette fameuse cimèse.
Donc là, c'est la dernière partie.
C'est ce qu'on appelle, en fait, c'est inspiré de l'opérette d'André Messager de 1898, Véronique.
Ou intitulée aussi va petite âne.
Où vous voyez, justement, Florestan aussi, courtisant Véronique, sur l'âne en question.
Voilà.
Bien sûr, dans un cadre aussi,
qui rappelle aussi la fête, mais dans un cadre intimiste, aussi le bois des lilas.
Vous le voyez tout autour.
Alors là, je profite que vous soyez ici.
La cimaise centrale et la cimaise latérale sont aussi ponctuées par des grisailles.
Ici, vous avez le printemps.
Autrement dit, qui symbolise les amours naissants.
Vous avez aussi l'été avec la pêche et la baignade.
L'hiver, l'amusement et les boudins.
Le neige.
Et l'automne, tout au fond, avec les vendanges.
Voilà.
Aussi symbolisant, pareil, l'attachement de la Troisième République.
Vraiment, à laquelle Victor Tardieu était très attaché.
Bien sûr, comme vous avez peut-être remarqué, les ornements nationaux.
Ainsi que les stucs.
Toujours pareil.
Et les boiseries.
Et surtout aussi, ce petit passage, c'est que vous voyez ici.
Voilà.
Le symbole de la famille.
Le père, la mère et l'enfant.
Voilà.
Et pour couronner le tout, vous avez ici, centrale avec l'écharpe multicolore, Eugène Decros, qui, à sa gauche, Victor Tardieu et Léopold Bévière, l'architecte et le peintre, en train de consulter les plans de l'édifice.
Et à leur droite, le préfet de Sèvres et les conseillers municipaux.
Voilà.
Donc ça, il ne faut pas oublier, donc, que Victor Tardieu a peint ça entre 1908 et 1910.
Sachant que, bon, c'était une date butoir, il devait faire très attention.
Car le tout devait être inauguré, conjointement parlant avec le square et l'aspect extérieur, en 1911.
Donc, de 1911 à 1993, Eugène DECROS et tous les maires successifs de la ville se sont servis de ce bâtiment pour des raisons bien précises.
Alors, attention, je vais préciser, notamment.
C'est que.
Pour des représentations philanthropiques et surtout décoratives, c'est-à-dire remise de prix, compétition sportive, manifestation de théâtre, de bal, c'est-à-dire que sous la première mandature de Eugène Decros, les représentations politiques y étaient exclues.
Après, les autres maires successifs, eh bien non, on en décidait autrement.
N'oubliez pas que c'est une propriété municipale libre à la municipalité de s'en servir en tant que telle.
Surtout, et le petit détail, c'est qu'en 1990.
L'intégralité de la fresque, des grisailles, des boiseries et des stucs ont été classés dans l'inventaire des monuments historiques.
L'inventaire supplémentaire des monuments historiques et qu'en 1996, M.Jean-Jacques Sable, qui est à l'origine de la transformation, je vais y venir, qui a été maire en 1983 et 2001, avec l'accord d'unanimité du conseil municipal, a décidé en 1996 de retrouver et d'acquérir les fameuses esquisses de Victor Tardieu que je vous ai montré dans le hall inférieur et dans les escaliers latéraux, qui sont en fait des reproductions à l'identique de ce que vous voyez sur le plafond.
L'éclairage a été bien sûr rénové 1920-1921 et la fresque a été complètement rénovée en 1972 et en 1993-1994 a été restructurée par certains endroits.
Sachant que, comme vous le savez si bien, en 93-94, M. Jean-Jacques Sable a décidé, après avoir équipé tous les services municipaux de cette ville, notamment en les modernisant, bon, je ne vous cache pas, le lycée Paul Robert, Anglemont lycée Paul Robert, etc., etc., je ne vais pas m'attarder là-dessus, et le théâtre du garde-chasse, pourquoi ? Alors, c'est très simple, il voulait garder surtout
l'esprit de polyvalence, c'est-à-dire spectacle et cinéma.
Pourquoi théâtre du garde-chasse, le nom théâtre du garde-chasse ? C'est surtout, pour deux raisons, en hommage à la comtesse marquise de Maintenon, qui employait, donc, sous sa tutelle, un garde-chasse, parce que, comme vous le savez si bien, avant 1800, c'était la première municipalité de la ville des Lilas, tout le périmètre que vous connaissez, c'est-à-dire tout, à peu près, la rue de Paris, derrière nous, tout appartenait à Romainville.
Donc, tout était aussi, à ce moment-là, la propriété de Paul de KOCK, il baptisait île de Calypso son petit jardin de Romainville, parce que, aussi, il allait se promener dans les alentours, et surtout, c'est que la comtesse marquise de Maintenon, vous connaissez tous le fort de Romainville, c'est là où elle habitait, c'était ce qu'on appelle un castelet, petit château.
Donc, du coup, le garde-chasse n'avait pas long à faire.
Pour pouvoir sécuriser tout son périmètre.
Puis, le garde-chasse, comme vous le savez si bien, la rue qui est parallèle à l'avenue Waldeck Roussseau.
Et, donc, bien sûr, l'école et le square, tout était prêt à ce moment-là.
Donc, vous voyez, on a commencé par l'extérieur, pour finir par cette bâtisse-là.
Donc, ça veut dire qu'en février 1995, le théâtre du garde-chasse ouvre ses portes, c'est une nativité depuis, dont vous connaissez, bien sûr, toutes les manifestations.
La particularité, justement, de cette salle, qui a été conçue exprès pourcCette ville.
Je ne pense pas qu'on puisse retrouver pareil en Seine-Saint-Denis.
C'est que vous avez...
Alors, restez ici.
Là, en plus, vous avez la meilleure perspective.
Donc, vous avez deux gradins.
Deux parties.
La première partie, ici, le premier gradin.
Et le deuxième gradin, c'est pareil.
Vous avez la première chaude virtuelle, qui est de 308 fauteuils assis.
Donc, là, vous ne pouvez pas voir l'intégrale.
Il y a une rangée qui a été condamnée.
Et, bien sûr, pour une régie.
La particularité, c'est que tout a été préservé par rapport au parquet d'origine, qui est ici.
C'est-à-dire, comme je vous l'ai expliqué antérieurement, sachez que de 1911 à 1993, on circulait de cette façon.
Là, vous êtes devant les enceintes cinéma.
Vous avez une arrière-scène.
Ici, il n'y avait rien.
En fait, c'était cloisonné.
Donc, on a dû tout casser pour permettre, justement, un accès technique.
Montes, charges, entrepôts de matériel.
Par contre, l'entrée n'a pas bougé.
C'est juste qu'a été aménagée une régie technique pour permettre, justement, le projecteur et des régies spectacles.
Donc, le principe est comme ça.
C'est que tout a été...
Les espaces au milieu du fauteuil ont la particularité d'être démontables et amovibles.
On soulève ici un caisson.
Donc, le caisson...
Donc, en fait, le couvercle.
Le caisson à l'intérieur.
On rabat une première fois le fauteuil.
Vous avez des loquets de sécurité qui sont ici, en noir.
Là.
On les décroche.
On rabat le fauteuil.
On rabat le couvercle.
Tout a disparu.
Mais ce n'est pas tout.
C'est-à-dire que...
Ici...
Donc, vous avez vu le premier soubassement pour la salle d'origine.
Le deuxième soubassement qui est ici, qui a été creusé.
Comme vous voyez, c'est une sorte de fosse.
Mais quand vous êtes dans le hall principal, vous avez juste ça au-dessus de vos têtes.
C'est-à-dire, en fait, ce que vous avez au-dessus de vos têtes, quand vous êtes dans le hall principal, ce sont ces fosses avec tous les fauteuils.
Vous avez ici des barrières de sécurité en bas et en haut qui se démontent comme des dominos.
La particularité, c'est que Pierre Constol, qui a été architecte à ce moment-là, avait, avec l'accord de M. Jean-Jacques Salle, fait demander à des designers et à des concepteurs et des forgerons d'acier de faire travailler, en fait, des danseuses qui sont jetées à travers toutes les barrières.
Et notamment, ces danseuses que vous voyez scriptées, vous les retrouvez sur les rampes d'accès.
La porte d'entrée, le mur des toilettes, l'ancienne billetterie, tout est raccord.
Et bien sûr, dessinées dans le marbre dans le hall principal.
Merci.
Donc, tout ça, à ce moment-là, on démontre.
Et à ce moment-là, vous avez exactement un jardin.
Et à peu près ici, là, vous avez une prise, un petit boîtier de télécommande avec une petite manivelle.
Et à ce moment-là, vous avez des moteurs qui sont en dessous et toute la structure descend, descend, descend, descend, descend, pour ensuite arriver à ce statut-là.
Ça, c'est la première jauge.
Alors, pourquoi ?
Et la deuxième jauge, pourquoi ?
Parce qu'on peut faire disparaître cette partie-là, laisser l'autre et inversement.
Ce qui fait que vous avez à peu près 159 personnes qui peuvent être assises et 400 debout.
Et après, vous avez la dernière jauge intégrale.
C'est-à-dire qu'on met la salle complètement à plat.
Et là, tel que le musette, on peut tenir 900 personnes.
900 personnes ici avec, bien sûr, le plateau.
Donc ça, c'est vraiment l'accueil public.
L'accueil bublic est très simple.
Donc, comme vous le constatez, là, vous êtes en mode cinéma.
Donc, vous avez les trois enceintes qui sont derrière vous.
Les enceintes stéréo partout comme dans un sac classique.
L'écran démontable à mauvaise vitesse qui se lève et qui descend.
Donc, là, on est en mode cinéma.
Imaginez, on veut passer en mode spectacle.
C'est très simple.
Vous voyez, je vous l'ai fait en plus à moitié.
On soulève l'écran.
Là, vous pouvez regarder.
Vous avez des ponts ici qui montent et qui descendent.
On descend tout.
On enlève les enceintes.
On met des projecteurs.
En fait, en matière de spectacle vivant, on peut tout faire.
C'est-à-dire, one man show, théâtre, art, opéra, musique.
Voilà.
Tout est démontable et amovible.
Ainsi que, bien sûr, les pendrillons qui sont fixés un peu partout.
Alors, après, comment on fait ?
Très simple.
Imaginez, on a un théâtre avec des décors très conséquents.
On ouvre les portes.
Une rampe d'accès.
Ils montent par les escaliers.
Ils arrivent tout de suite.
Ou surtout, on monte charge pour la musique.
Voilà.
Bien sûr.
Et puis, vous avez, bien sûr, une arrière scène qui a été construite avec, bien sûr, la coursive.
Donc, de l'autre côté, face.
Face.
Avenue Paul de Kock.
Pour permettre, justement, de circuler et d'évacuer.
Voilà.
Et qui donne, bien sûr, la lumière du jour.
En raccord avec, justement, les façades italianisantes du bâtiment.
Voilà.
J'ai essayé d'aller au plus vite. Je suis même allé très, très vite.
Donc, comme vous pouvez le constater, ce bâtiment en question, malgré les affres du temps, a un peu souffert.
Bon, après, il faut vraiment voir. C'est très intéressant. Oui.
C'est très intéressant au niveau des occultations mécaniques.
Puis, bon, vous savez très bien que quand on construit d'une option du vieux, le bâtiment travaille.
Donc, comme je vous l'ai expliqué, le bâtiment a quand même plus de 120 ans.
Alors, la particularité aussi, pour terminer, pour l'aspect moderne, vous avez ce qu'on appelle, en rouge, les occultations mécaniques.
Ces occultations ont la particularité que ça permet aux techniciens, notamment pour les beaux jours, ils peuvent travailler à la lumière du jour.
Ils soulèvent les occultations.
Ça permet des économies d'électricité.
Ils travaillent sur le plateau.
Bien sûr, vous avez aussi à l'arrière.
Voilà.
Bien sûr, aussi, comme vous le savez si bien, la saison professionnelle, nous faisons donc une semaine de cinéma, ponctuée par un spectacle professionnel.
Et bien sûr, tous les spectacles associatifs que vous connaissez si bien, qui se produisent en fin d'année, conjointement aussi avec l'Étoile d'or des Lilas, qui est la plus vieille association de la ville.
Paul de KOCK a écrit notamment Le barbier de Paris, Le fils de la laitière, Le mari de la femme et l'amant, Le cocu.
Donc, c'est à peu près.
Il a quand même.
Il a fait à peu près.
Il était aussi chansonnier.
Et on retrouve d'un point de vue de la postérité de son œuvre.
On retrouve souvent ses écrits dans les œuvres de Dostoïevski et de Maupassant.
Voilà.
Donc, il était très attaché.
Alors aussi, un petit détail que j'ai, que j'ai remis, pardon, c'est que la famille Paul de KOCK qui a cédé le terrain, notamment que vous voyez ici, à André Patrelle, qui symbolisait aussi l'usine Patrelle.
Des arômes et colorants.
Voilà.
Qui était aussi très connu et qui, justement, possédait toute toute cette toute cette parcelle de terrain.
Et ensuite, la famille Patrel a cédé à la ville des villages entre eux.
Voyons voir, voyons voir, voyons voir.
Excusez moi, je suis vraiment allé très vite.
Je pense pas avoir quelques détails.
Voilà, je vous ai carrément dit l'essentiel.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas.
Moi, j'ai une petite question.
Oui, pardon.
En fait, je n'ai pas compris comment ça a marché et comme ça me fait.
Je refais.
En fait.
Là, le couvert qui est ici.
Les couverts qui sont là.
Là où je marche.
Donc ça, vous le soulevez.
D'accord.
Ah ok.
Et comme ça, à la verticale.
On rabat le couvert une première fois.
Vers l'arrière.
Voilà.
Donc il se couche.
Parce que le caisson, en fait, est ici.
Je vais vous faire juste comprendre.
Ah ok.
C'est le truc le plus facile.
C'est comme ça.
Donc le couvert qui se souleve.
Voilà.
Par la verticale.
Vous poussez le fauteuil ici.
Boum.
Donc il est rabattu ici.
Là, vous avez ce qu'on appelle les loquets de sécurité.
Voilà.
Et des petits machins là.
Clac.
On l'étire.
Et à ce moment là, ils sont complètement cloisonnés dans le caisson.
Et ensuite, on rabat couvert un deuxième.
Voilà.
prend une journée de travail c'est le montage comme le démontage c'est toute une journée parce que la structure est relativement lourd surtout cette partie là voilà donc et bien sûr a été aménagé c'est comme vous savez avec le poids du temps l'érosion des métaux du cher sur toute cette partie là voilà donc et bien sûr a été aménagé j'essaie d'éviter justement les contrefous le choc parce qu'on ne veut plus de la structure pour pouvoir la ressortir voilà et donc pareil un sort de petit moteur qui existe ici avec une petite télécommande alors je me cache pas il m'est arrivé chaque année bien sûr vous êtes tous mon guide portable et chaque année voyez entre chaque allée mais à peu près même pas 5 à 6 cm les jambes pauvres les portes ça tombe là ça tombe dans le moins évident c'est surtout par le premier grade parce que le premier grade 1 effectivement donc comme ça ça ça descend crescendo la hauteur c'est même pas ça donc quand vous voyez que les gens me perdent là dedans c'est un nid à poussière je fais je suis carrément à la mode spiderman pour aller les chercher surtout que les fondations à l'intérieur sont aussi dangereuses qu'ici voilà donc ça en général faut éviter allez petite anecdote j'ai fait une petite cascade très sympathique un jour juste pour l'étoile
d'or si ça vous amuse donc les gens sont en panique je comprends pas trop je monte et en fait il ya un monsieur qui a trouvé le moyen de mettre des clés ici je sais pas comment il s'est alors il est là en panique oui quoi qu'est ce qu'on peut faire machin non je dis monsieur très simple c'est vos clés dès qu'au moment des clés j'arrive à ce niveau là vous me dites stop oui regardez un peu les yeux gaillis donc j'ai juste enlever mes clés machin je me suis avec les deux sites avec les jambes ses bras j'ai descendu à la jason bourg je leur donnais ses clés m'a regardé voilà la fresque mais je ne pouvais pas m'empêcher du quand même dénumérer la première partie c'est à dire l'édifice parce que les ils sont étroitement lié à un petit anecdote perso donc un peu que je vous ai oublié de vous dire c'est qu'avant que le théâtre du guerre de chasse donc la salle des fêtes il ya eu énormément leurs caisses nationales de france s'est beaucoup produit ici dans cette salle ainsi qu'aussi deux pièces de théâtre beaucoup de balles et puis aussi des je vous dis des conférences et des re des remises de prix littéraires philanthropiques et sportifs et la petite anecdote alors à la fournir tout à l'heure je me sens ça part sur tous les sens on croit que c'est un virage moi peut-être qu'une fois que vous allez mémoriser la circonférence n'est pas simple emplacement
Petite anecdote personnelle votre serviteur arpente seigneur déjà depuis 54 ans donc qui est mon âge et surtout que ma chère mère était ici voilà moi dans le tiroir et là le premier gradin un ring avec des catcheurs donc voilà pour le titre et mon cher frère qui s'a fait une chute phénoménale dans le polygone qui à l'intérieur du square qui était à l'époque une fontaine voilà donc c'est un c'était juste pour la petite histoire et donc voilà moi donc le japon de ses murs depuis 54 ans j'y travaille depuis 29 ans et quand je vous avais cité monsieur jean jack SALLES qui était maire de cette ville de 83 2008 effectivement donc c'était son projet dernier et huit par malheureusement dernier ultime projet pourquoi parce que contrairement beaucoup de maires qui étaient en arrière-rocaine ils avaient déjà une petite histoire, ils avaient une petite histoire enrière-rocaine , ils avaient un grand travail, ils avaient plus de tâches, ils avaient un grand travail, ils avaient un grand travail, ils avaient des autres projets, ils avaient une bonne réussite, des autres projets de développement et des autres projets de développement et des autres projets de développement, donc je dirais que c'est peut-être une réussite mais c'était une réussite et une réussite de développement de son époque, dès qu'il avait des subventions, il les prenait. Je peux vous dire que la plupart de ces projets municipaux, qui ont heureusement abouti, pratiquement zéro, aux contribuables lilasiens. Vous savez très bien que les impôts locaux ici, voilà.
Pourquoi ? Parce que le conseil de la subvention du conseil général de la Seine-Saint-Denis, subvention du conseil régional de France, dont il était vice-président chargé de la culture, et donc c'est la raison pour laquelle l'Orchestre National de France s'est énormément produit ici.
Voilà. Et un petit dividende du ministère de la Culture. Donc c'était vraiment son dernier grand projet, après avoir créé le centre sportif Floréal, le centre culturel d'Anglemont, le lycée Paul Robert, le club des Hortensias, la halle sportive de l'avenir, etc.
Voilà. Mais je n'ai aucun mérite, car c'est grâce à lui que j'ai pu démarrer ici, car c'était mon père.
Voilà. Je rends à César ce qui est à César.
Enfin, puis n'importe quelle maire, j'aurais cité pareil.
Euh, voilà. Si vous avez des questions, n'hésitez pas. Oui, jeune homme, je...
Alors, le théâtre du gare de chasse, comme je te l'avais mentionné dernièrement, peut-être que tu es arrivé sur le tard, c'est pour ça, il n'y a pas de problème. Théâtre du gare de chasse, donc, pour deux raisons.
La première, donc, référence à la rue du gare de chasse. Tu vois, là, quand tu rentres ici, c'est la déballement du chasse. Et surtout... Et... Donc ça, c'était pour le théâtre du gare de chasse.
Et qu'est-ce que je... Excusez-moi, parce que je me suis un peu surpouillé. Oui, c'était... Vous avez d'autres questions ?
Non, non.
Voilà, à peu près. Oui, donc, je vous ai dit que le... Romainville, Pantin, Bagnolet, je vous dis, c'était comme on dit, là, c'était vraiment la pompe à l'eau. Vraiment, la campagne n'a pas plu. Alors, bien sûr, aussi, peut-être en hauteur.
Voilà, à peu près. Donc, voilà. Je vous dis, je suis allé vraiment au plus vite.
On a encore un petit peu le temps, pas de problème.
Donc, je pense ne pas avoir blacklée. Oui, chère madame ?
Pardon ?
Ah, vous voulez dire au-dessus du plafond ? Ah, vous risquez péril.
Par contre, je peux vous montrer comment on y accède.
En fait, c'est juste derrière. Vous avez l'arrière scène. En fait, il y a une trappe.
Voilà. Bon, il n'y a pas vraiment d'intéressant.
Sauf pour la vue. C'est-à-dire qu'en fait, quand je vous ai monté à travers des travées horizontales et latérales, on peut circuler tout autour.
Mais c'est comme ça, parce que vous avez la toiture, du fait en zinc, voilà, c'est relativement glissant, puis surtout, on a des projecteurs.
Donc, je suis, entre guillemets, avec les techniciens, le seul à s'inviter.
Je ne prendrai pas le risque de vous faire monter, là. Ça demande quand même une certaine agilité. Surtout que quand je vous ai dénigré, la corniche supérieure qui est avenue Waldeck Rousseau a été ménagée, justement, pour permettre des échelles de secours et accéder au niveau des combles pour permettre d'installer une machinerie électrique, des poutres d'acier et surtout, des tunnels
de soufflage et d'extraction pour l'incendie.
Alors, pourquoi l'incendie ? Parce que là, vous l'ignorez peut-être, ici, ici, ici, ici, principalement, ici et ici, vous avez ce qu'on appelle des moteurs de désenfumage.
Voilà. Ce qui permet, en fait, au niveau des comptes, comme vous m'avez mentionné, c'est-à-dire que vous avez en fait des grosses conduites d'aération, c'est-à-dire que je déclenche ces moteurs, c'est pour permettre, justement, l'évacuation des fumées. Alors, le petit problème inhérent que j'entends souvent, oui, quand il y a du vent, on entend un bruit pas possible dans le... C'est normal.
Malheureusement, c'est normal.
Pourquoi ? Parce que au niveau, au-dessus des combles, donc, bien sûr, comme je vous ai expliqué, vous avez des tunnels de soufflage, des tunnels d'extraction pour permettre, justement, le soufflage, l'extraction des fumées, mais vous avez aussi des trappes qui sont sur le temps. Il faut bien évacuer la fumée en question. Le problème qu'il y a sur ces trappes, c'est que vous avez des volets qui sont comme ça, à l'air libre.
Ce qui fait que, passé 40 km heure, là, là, là, là, ça tape.
Alors, effectivement, je peux faire cesser ce bruit. Je les cloisonne.
Mais, paradoxalement, je prends un risque. C'est-à-dire que s'il y a un départ de fumée ici, très conséquent, je vais pouvoir évacuer la première moitié des gens, ici, mais il y a quand même une autre qui va mourir à ce pied.
Bah oui, parce que les fumées vont rester cloisonnées.
Donc, le temps qu'il y a un appel d'air, voilà. Donc, je ne peux pas prendre ce risque.
Voilà. Ça, c'est pour le côté sécurité incendie.
Voilà, voilà. Et alors, bien sûr, au niveau, oui, au niveau cinéma, je vous l'avais expliqué.
Ah, bien sûr, je vous dis, c'est la particularité, c'est que tout a été conçu, vraiment, pour que tout soit amovible, en fonction des spectacles qu'on veut produire. Voilà. Après, bon, bien sûr, ça demande une masse de travail.
Donc, bon, en espérant que ce lieu perdure.
Et le tour.
Tu viens de se soucier, il y a deux, trois ans.
Oui, alors, effectivement, alors, le... Alors, ok, alors que...
Et je reviendrai. Juste avant, gardez votre question. Alors, bien sûr, avec l'accord de municipalité, nombre de tournages de pièces de théâtre ont été joués ici. En 2015, Fred Cavaillé, qui tourne Radin, avec Day Boon. Pourquoi vous tournez ici, dans cette partie-là ?
Parce qu'il y a une séquence où, avec un orchestre, où, justement, Dany Boon arrivent en état d'ébriété, tout se passe ici.
C'est-à-dire que quand vous arrivez en bas, alors, par contre, avec l'accord de la production, ils ont été gentils. Comme ils avaient repeint en rouge, en bas, dans le foyer des artistes, ils ont gardé la couleur. Parce que quand vous avez des productions cinéma, ils demandent aux gens qui sont
propriétaires des établissements ou des endroits où ils veulent tourner,
on vous remet comme c'était, ou alors, on garde comme nous, on a tourné.
Nous, on a un peu gardé. Il y a ça.
Ici, là, avec l'année centrale, un épisode de Joséphine en ange gardien, où Mimi Maty rentre et sort.
Pas très loin...
Bonjour, bonjour, bonjour.
Pas très loin,
les corps gris jugefliques, avec une séance de cascade au niveau de la rue du Tapis Vert, là où il y a le Syringa.
Le Syringa, qui, bien sûr, avant, s'appelait le Café des Poètes. Avant, le Café des Poètes, il y avait un autre nom.
Et puis, surtout, quand Jean Cocteau, pourquoi ? Parce qu'il y a eu une partie, quand vous voyez la plage Charles de Gaulle, le fameux Café des Poètes, a été tourné, une bonne partie d.
Est-ce que ça vous dit quelque chose ?
Non ?
Alors, tout va bien ? Ok.
A été tourné, hors fait, avec Jean Marais.
Donc, sur la plage Charles de Gaulle.
Voilà. Entre autres, hein, puis bon, il y a...
Alors, aussi, comme vous avez pu remarquer, vous avez l'affiche aussi Porte des Lilas. Mais alors, Porte des Lilas, en particularité, bon, pourquoi ? Parce que c'est ce qui rapproche, je sais plus, de la ville des Lilas.
Mais sachant que ce film qui a été tourné par René Clerc, c'est 57, rien n'a été tourné à Porte des Lilas.
Tout est en celui-là. Voilà.
Donc, c'est juste pour la petite histoire.
Après, bien sûr, vous pouvez retrouver dans la fameuse station Porte des Lilas, Georges Brassens, en mosaïque, direction Châtelet. C'est fini, ça.
Hein ? C'est fini, ils les ont cassés.
Ouais, ils sont cassés. C'est malheureux.
Mais on continue le combat. Ouais, ouais, d'accord.
Ok, super. Bon, voilà.
Donc, bien sûr, aussi, par exemple, toujours, Léopold Bévière, avec l'accord de Jeanne de Gros, toujours, les ornements de la les ornements de la Troisième République, toujours, ici, là, ainsi, que vous retrouvez ici, que vous retrouvez ici, pareil, ici, rien n'a été laissé au hasard.
Voilà, mesdames, messieurs.
J'ai fait... Oui, madame ?
Il y a un livre qui est reproduit, la fresque.
Alors, parmi toutes les sources d'inspiration, notamment au niveau de la fresque, au niveau du bâtiment, ainsi que tous les autres bâtiments de la ville, je vous conseille la Bible de Jean Huret,
qui a été lIlasien, et à son âme, et non plus de ce monde, une des bibles les plus conséquences de la ville des Lilas.
Il a écrit un ouvrage qui s'appelait « Quand les Lilas.. », que vous pouvez vous procurer, notamment en lecture dans la bibliothèque d'Anglemont, et bien sûr, vous pouvez l'acheter à la mairie des Lilas.
Donc là, il a fait des recherches de titans...
Pardon, excuse-moi ?
Il le donnait hier à la mairie des Lilas, justement, au cadre du week-end, je ne sais pas si...
C'était exceptionnel, il vaut 25 euros, sinon.
Oui, voilà.
Ah oui, d'accord, c'est tout.
Voilà.
Eh oui.
Voilà, à peu près.
Et donc, en plus de tous ces tournages, vous m'avez demandé...
La structure du toit.
Donc, au-delà des combles, en fait, vous êtes sur un fait, avec des trappes, et c'est juste des armoises et des...
Donc, on peut marcher dessus, mais il n'y a rien du tout, quoi.
Alors, pourquoi...
Oui, oui, c'était ça.
Pourquoi les soucis ?
En 2022, très simple, parce que, malheureusement, avec le poids du temps, donc, quand je vous dis, on comblie du neuf avec du vieux, c'est-à-dire que toutes les poutres en bois, parce qu'il y a une partie malheureuse, et là, c'est là où je suis le plus vigilant, c'est que la partie qui est en forme de...
Au niveau des coursives, parce qu'une fois que vous montez une première trappe, il y a encore une deuxième coursive, et là, j'ai du bois, j'ai de la paille, j'ai de la mousse, des matériaux très inflammables.
Mais surtout, c'est qu'au niveau, donc, toute la partie des combles,
toutes les poutres commençaient à vaciller.
Et surtout, c'est que,
au niveau des coursives,
au niveau des incrustations, ça commençait un peu à travailler.
Notamment à cause des poutres en acier, du poids des structures.
Donc, à ce moment-là, le directeur technique, Arnaud Crouy, qui a travaillé momentanément ici, a décidé, avec l'accord de la mairie, de fermer totalement le théâtre pour des raisons de sécurité.
Donc, pour reconsolider toute cette partie-là, enlever tout ce qui était ferraille, reconsolider avec un moulage en acier les poutres en bois.
Oui, oui.
Donc, normalement, là, je vous dis ça qu'un.
Pourquoi ?
Parce qu'effectivement, imaginez, on s'en est allé, on s'y, bien sûr, moi, mes collègues techniciens, lui, par la suite, n'avons pas vérifié, n'avons pas fait un état des lieux.
Imaginez, vous êtes assis tranquillement, tout s'écroule.
Alors, le plafond fout le camp, la structure vous tombe sur la tête, et là, c'est dommage, voilà.
Bon, pour éviter...
Ah, ça ne serait pas arrivé, peut-être, cette année ou la même l'année prochaine, mais un jour ou l'autre, oui.
Voilà.
Ça répond à votre question, monsieur ?
Si vous en avez d'autres, n'hésitez pas.
Bon, voilà.
Excusez-moi, je suis allé quand même un peu vite, mais je pense que j'ai gardé le principal.
C'est nickel ?
Alors, je ne dis pas sur Google, ne mettez pas d'avis, quoi que ce soit, mais on n'a rien à voir.
Moi, je suis allé...
Vous pouvez faire la fin, là ?
Non, deux.
Le spectacle de la petite seconde de fin, c'est bon, on doit mettre des bons avis.
Non, non.
Alors, sachez aussi que...
Alors, aussi, deux petites remarques.
Là, bien sûr, c'est dans les cadres des visites du Journée du Patrimoine, mais vous venez quand vous voulez, toute l'année.
Je vous le fais à titre personnel, c'est-à-dire que vous trouvez un créneau d'une demi-heure entre chaque séance de cinéma, vous venez, je vous refais la même.
Parce que moi, c'est avant tout un plaisir.
C'est dans mes fonctions, mais c'est aussi un plaisir.
Et si l'œuvre de Victor TARDIEU vous intéresse ultérieurement, profitez aujourd'hui, Journée du Patrimoine, Mairie de Montrouge, l'aile sud qui est juxtaposée à la salle des mariages, il a refait aussi une fresque, mais alors avec une autre allégorie, c'est-à-dire l'allégorie des âges, l'enfance, l'âge mûr et la vieillesse.
Quand vous le regardez, c'est étonnant, j'ai eu l'occasion d'aller le voir, je me suis dit, ah ouais, j'ai regardé ça, j'ai dit, trop de similitudes avec cette fresque-là.
Donc ça, c'était en 1920.
Donc, dix ans après, la fin de ce travail.
Et après, il est parti en Indochine en 1921, et là, il a créé l'École des Beaux-Arts d'Indochine.
Et quand vous regardez la fin de ses œuvres, c'est pratiquement les bassins du Mekong, des jonques, des villageois, tout ça, donc voilà, il est toujours dans cet esprit-là.
Alors, il a été formé à l'École nationale des Beaux-Arts de Lyon et de Paris.
Tout comme Léopold Bévière a été aussi formé aux Beaux-Arts.
Donc, vous voyez qu'Eugène Decros, malin comme un singe, il n'a rien laissé aux Indes.
Donc, il a bien pris des bonnes personnes.
Et du coup, comme je vous l'avais expliqué antérieurement, il a mélangé plusieurs inspirations.
Moi, ma préférée, c'est le baroque italien.
Les contre-plongées.
À chaque fois que je me promène ici, j'ai l'impression d'être observé.
Je ne me permets pas de me soutenir, je ne vais pas lever la tête.
Comme ça, vous n'êtes pas seul.
Alors, vous ne croyez pas si bien dire, madame.
Mais là, attention, je prends énormément de gants.
Moi, je suis très, très ouvert sur le paranormal et la spiritualité.
Je peux vous dire que depuis la création de ce bâtiment, les esprits défunts se travaillent.
Ça circule énormément.
Mais vraiment.
Je ne sais plus pourquoi, vous allez me dire pourquoi.
Il est un peu ma boule, ce gars-là.
Il m'est arrivé de rester très tard dans ce bâtiment.
Je peux vous dire qu'il y a des bruits très, très insolites, que vous ne pouvez pas entendre le reste de la journée.
Notamment au niveau des combles et de l'arrière du bâtiment.
Donc moi, je sais qu'il y a de la bidille.
C'est ma conviction. Je ne la partage pas, je ne vous l'influence pas. Mais croyez-moi.
Et je vais même ponctuer, je ne devrais pas le dire, mais j'ai déjà eu des visites de mon père, qui est mort en 2009.
Mais je sais qu'il m'a déjà rendu visite. Moi, j'en suis convaincu, parce que moi, on m'a apporté, si vous voulez, une preuve concrète.
Alors, attention, quand je vous dis ça, je prends des gants. Pourquoi ? Parce que j'étais cartésien au niveau rationnel. Je me dis, c'est n'importe quoi.
Au bout d'un moment, vos convictions s'expriment, jusqu'au jour où, boum, j'ai eu une preuve personnelle qui, là, je me dis, ça, c'est pas possible.
Votre père ?
Oui. Mais c'était chez moi.
Voilà. Vous voulez que je vous le dise ?
Oui. Ça vous intéresse ? Bon, alors, c'est très simple.
Alors, on sort du cadre, désolé.
C'est pour vous dire que pour moi, ça existe.
Le 17 février 2024.
C'est-à-dire, pourquoi ?
Je suis chez moi, donc je descends, je dis bonjour à ma chère mère, tout va bien, et au moment où je descends au rez-de-chaussée, il y a un portrait de mon père, en pleine action, dans un discours, bref.
Le 17 février, pourquoi ? Parce que c'est sa date de naissance.
Donc, je me suis dit, tiens, j'ai une pensée pour lui.
Je pense à lui. Mais vraiment.
Tout va bien.
Et surtout, c'est que dans l'escalier, il avait gardé des gravures, des esquisses, des gravures anciennes de l'Algérie.
Parce que mon père, il est en Algérie.
Donc, je suis fils de pied-noir à l'époque.
Et les villes principales, justement, d'Algérie, Oran, Constantine, et Algérie. Oui, Oran, Constantine et Algérie.
Qui étaient les départements français à l'époque, n'oubliez pas, entre 1830 et 1962.
Donc, des tableaux qui sont accrochés.
C'est-à-dire qu'à moins que vous, vous les bougiez, ça ne bouge pas.
C'est sur des... Voilà, c'est accroché.
Tout va bien, dis-lui. Voilà, tout va bien.
Voilà, je vous vois avec mes petits yeux.
Qu'est-ce qui va me sortir ?
Je monte, pour me préparer, normal.
Et là, j'attends.
Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Ma mère a follé. Je dis, qu'est-ce qu'il y a ?
Je vais dans l'escalier, il y avait un cadre qui était tombé.
Il avait explosé, avec la vitre.
Et ce cadre, je lui dis, si vous ne le bougez pas, il ne bouge pas. Et ça faisait 30 ans qu'il était là.
Et là, je fais, ok.
Déjà, petit doute.
Ce n'est pas ça.
Je reviens le soir, et ma mère a fait une mine décomposée.
Et là, accident familial.
Mon frère qui est hospitalisé.
Entre la vie et la mort. Donc là, voilà.
En fait, conclusion, il m'a envoyé un signal.
Et là, je n'ai plus aucun doute.
Mais là, c'est mieux.
Comment ? Comment ça peut arriver, ça ?
Vous voyez, là, là, là.
C'est la force de l'esprit défunt qui a réussi à bouger ça.
Et la personne qui a réussi à m'en convaincre m'a dit, c'est normal, il est à 1, il a envoyé un signal.
Il m'a dit, il est tellement dans la lumière, là-haut, que...
Et vous ne croyez pas si bien dire, parce que lors de l'oraison funèbre à l'ancienne église, qui était le rosaire d'Ila, mais qui a été démoli, comme vous le savez si bien, pendant l'oraison funèbre, son plus proche collaborateur, qui était son premier adjoint, M. Claude Faramand, qui a été instituteur à l'école de garçons, quand il a décrit, en fait, l'oraison funèbre, moi, j'ai eu un écho tout de suite
d'en fait, ce qu'il fait là-haut.
En fait, en gros, mon père, là où il est, il n'arrête pas de bosser.
Il continue.
Voilà.
Après, bon, c'était très poétique, parce que c'était inspiré notamment de Charles Péguy.
Donc, voilà.
Vous voyez, tous les bâtiments anciens, imaginez la tour Eiffel, imaginez le château de Versailles, imaginez l'Elysée, ça doit...
Après, libre à chacun de croire ou pas croire.
Attention, je n'influence personne.
Mais moi, qui étais totalement profane à ce niveau-là, enfin, j'ai dit « Ouais, n'importe quoi, je vais arrêter. »
Là, non.
Et en plus, ça a ouvert des petites marocques personnelles chez moi.
Donc, j'ai découvert aussi, par le truchement de ma famille, des petits...
Je vous avais attendu de parler des rebouteux.
Voilà.
Alors,
rebouteux, dans les termes vrais, on appelle ça du magnétisme animal.
J'ai la faculté de pouvoir passer mon énergie sur d'autres corps.
C'est-à-dire que si ils m'étaient arrivés...
Attention, j'en fais pas étalage parce que je suis très, très prudent à ce niveau-là.
Libre aussi de ne pas y croire parce que c'est Ernst Messmer, qui était un essayiste autrichien, je crois,
qui avait justement élaboré cette théorie.
Alors, à l'époque, on le prenait pour un fou.
En fait, c'est le magnétisme animal. On y a recours uniquement quand l'homéopathie ou la médecine traditionnelle ne peut plus rien faire.
Donc, on n'autorise pas. C'est pas vraiment légal.
Il n'y a pas non plus d'interdiction.
Mais on autorise souvent des rebouteux dans les campagnes ou des magnétiseurs pour pouvoir...
Voilà. Alors, attention, je n'ai pas la prétention de guérir, mais juste de soulager. Vous voyez ?
Alors, ça va de pair aussi avec mes prorogatives
de SIAP. Étant donné que je fais de l'assistance à victimes, vous savez, tout part par le dialogue.
Le dialogue, le regard et bien sûr, les gestes.
Alors, le magnétisme animal, ça m'est arrivé de soigner des petits trucs comme ça.
J'ai une collègue qui, un jour, est venue en panique parce que son gamin, il avait une verrue comme ça.
Hop ! Petit coup de magie, plus de verrue. Et ça fait 20 ans que ça dure.
Voilà.
Parfois aussi des maux de tête, des migraines, parfois aussi quelques soucis psychologiques.
J'ai une dame assez âgée, telle que vous, madame, qui un jour a fait une petite chute en bas.
Pop, pop !
Hop, elle est repartie sur ses... Voilà.
Alors, après, voilà, c'est libre à chacun de... Voilà.
Je m'interdis, par exemple, de faire ça sur des gens avec des traitements médicaux.
Si vous êtes sous chimio...
Voilà.
Bon, là, je sors définitivement du cadre, mais j'ai ouï dire
que Steve Jobs, qui était atteint d'un cancer du pancréas, avait consulté un magnétiseur qui a accéléré sa déchéance physique.
Voilà. Donc, ça a fait cassure avec son traitement médical et... Voilà.
Faire très attention, ce sont des énergies. Nous sommes énergie.
Énergie, énergie partout.
Vous êtes énergie. Voilà.
Alors, le plus marrant, c'est quand vous vous êtes intéressé, vous voyez l'ancienne billetterie ?
En bas, hein ? Donc, j'étais derrière. Donc, dernière séance...
De cinéma, je suis tout seul en permanence.
J'ai cinq personnes, exactement positionnées comme les dames.
J'envoie juste une décharge ici sur ma dame. Et la cinquième personne qui a fait un bon... C'est le principe du Reiki. On se perd des dames.
Voilà. Voilà, je m'arrête là.
Merci pour l'appel.
Non, non, mais c'est un plaisir. Et puis, je vous dis, j'ai plus d'une corde à mon arc. Parce que quand j'ai démarré ici, je vous dis, ma qualification, je suis adjoint du patrimoine.
Mais je marche surtout au plaisir, l'envie. J'arrive à un âge où je vais me transmettre.
Mais surtout, c'est que je suis extrêmement polyvalent. Je suis capable d'aller à peu de choses près, sauf la trésorerie, d'occuper tous les postes ici. J'ai été militaire. Je parle anglais, lu, écrit pour aller couramment. J'ai fait des arts martiaux.
Je sais formation de SIAP.
Montage, démontage, plateau avec les techniciens de l'UNA. Je fais chargement, déchargement de camions, diffusion de trac, de l'un, de l'autre.
Sinon, si on se contente du peu qu'on a, je me serais ennuyé très, très vite.
Mais surtout, je suis amoureux d'un, de cette fresque. Je m'en lâche jamais. Entre deux séances, je suis là.
De temps en temps, je suis ici, puis je suis là. Puis je médite.
Mais je ne m'en lâche pas. Je vous dis, ça fait un demi-siècle que je parcours ces murs. C'est incroyable. C'est une mine d'or.
Très bon. C'est dur.
Comme vous l'avez fait, mon cher père, il faut avoir le coup d'œil américain.
Regardez là où les gens ne regardent pas.
Et si vraiment vous avez le coup d'œil américain, vous faites le là.
Mais c'est des petits détails. Bon, là, vous voyez, au niveau des occultations, vous voyez, les coutures un peu se barrent, se barrent un peu en sucette.
Bon, voilà. Parce qu'à force aussi que les outils les plus récents, vous les manipulez, à force, ça...
Voilà. Je vous remercie de m'avoir écouté. Merci.
Surtout, le plus principal, c'était le bâtiment et surtout la fresque. Parce qu'en fait, je pense n'avoir rien oublié.
Ah oui, en plus, le budget, je ne sais pas si je vous l'ai dit, oui, alors, la mairie est plus avec un...
La mairie, s'était un peu quand même endetté sur 10 ou 20 ans.
C'était 400 000 francs de l'époque pour la bâtisse et 25 000 francs or pour l'intégralité de la fresque.
Donc, imaginez. 25 000 francs or, c'est... Voilà. Après, bon, ne pas convertir en euros parce que c'était de l'or. Donc, il faut savoir le prix de l'or à l'époque.
Alors, c'était des entreprises Taillefer qui ont rénové en 1972. Alors là, par contre, le budget, je peux vous retrouver ça, mais bon, c'était pas des sommes non plus astronomiques, mais bon, quand même conséquent.
Voilà. Mais comme je vous dis, c'était une rénovation. Donc, voilà. Après, il y a eu des petites perspectives de retouches avant l'inauguration, notamment ici, à peu près ici. Là, en fait, vous ne voyez pas très bien, mais en fait, on perçoit encore, il y a des légères petites fissures.
Voilà. Parce qu'effectivement, ça a fait du travail. Et aussi, des retouches ici.
L'intégralité en 1972 et les petites retouches en 1993 et 1994.
Alors, par contre, ce qui est étonnant, et vraiment très étonnant, c'est les parties qui tiennent magnifiquement le coup, ce sont les grisailles.
Ça, ça n'a pas bougé. Mais alors, vraiment, je ne sais pas. Ils ont à peine retouché en 1972, mais vraiment à peine.
Alors, bien sûr, aussi, ce qui a été rajouté, les perroquets.
Ce qu'on appelle les perroquets, les barbeurs.
Les retours, les lumières, ils sont...
Ne vous inquiétez pas, c'est extrêmement solide.
Ça ne peut pas tomber trop.
Voilà. J'ai fait le tour.
En gros, je pense que ça, voilà. Je vous ai
survu le... Je vous ai aussi dit, vraiment, le principal.
C'est vraiment... Le reste,
c'est surtout...
Je marche surtout, comme je vous l'ai dit. C'est le plaisir.
Voilà. Merci de m'avoir écouté.
Merci.
20250921 - compte rendu VISITE TGC - jep2025 - racines du 93 - généalogie & histoire locale
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