Un mot sur Igor Cynober, l'auteur de Premiers Doutes

Un mot sur Igor Cynober,

auteur de PREMIERS DOUTES

Igor Cynober

L'auteur travaille dans l'industrie pharmaceutique, et depuis toujours la science-fiction est sa passion de par son goût pour la science et l'anticipation. Ses maîtres sont Isaac Asimov et Philippe K. Dick, Frank Herbert, William Gibson, Aldous Huxley, George Orwell...

Après son Doctorat en pharmacie et Diplôme d'enseignement supérieur spécialisé de pharmacocinétique, il entre dans l'industrie pharmaceutique où il se spécialise en recherche clinique. Durant ses études, son premier manuscrit de Science-Fiction a vu le jour après plusieurs années de réflexion.

Ce qui avait été pensé comme un scénario de film voire de jeu vidéo, est disponible en version livre de poche (In libro Veritas) et en ebook.

Si un réalisateur est intéressé pour adapter cette oeuvre, merci de contacter Igor Cynober sans hésiter ! ;-D (voir la page scénario).

"Premiers Doutes" est Inspiré par les grands maîtres de l'art de la Science-Fiction (Isaac Asimov, Philipp K. Dick, Frank Herbert...) et plus particulièrement par certaines oeuvres Cyber-Punk (William Gibson, Walter Jon Williams, ...). Il mèle culture cyberpunk, hardscience, space opera, cyberspace opera et d'autres facettes de la science-fiction... Le manuscrit fut achevé en 1993 et le compuscript en 1994, ce roman fut imaginé 10 ans (et plus) avant. Bien avant donc des films comme "Total recall", "Passé virtuel", "Existenz" ou encore "Matrix" !

Depuis l'anticipation a été rejointe par la réalité du présent. Ne vous étonnez donc pas que certains passages passent davantage pour de l'uchronie que pour de la "Science-Fiction" (*) ou peut-être vous étonnerez vous que par-ci par-là l'on puisse trouver quelques anachronismes...

... à moins que cela ne soit fait exprès ? Lisez donc le roman jusqu'au bout, vous comprendrez !

(*) exemple l'auteur anticipe en 1983, le téléphone portable tenant dans le creux de la main pour avoir lieu dans son futur "1997". Aujourd'hui on est habitué de voir les gens parler dans la rue, on se doute qu'ils sont au téléphone, la même scène en 1983 aurait fait passer le propriétaire du téléphone pour un fou aux yeux des passants.

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