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Paru dans L'Est Républicain du 22/02/2019
Martine Albert, infirmière retraitée de l’hôpital de Montbéliard, anime à présent des ateliers de sophrologie pour « cultiver le bien être au quotidien ». Dans l’exercice de son métier, Martine tenait à la qualité de sa relation avec les malades. « Limiter le travail à exécuter des soins techniques ne me suffisait pas. J’ai réalisé que j’aimais écouter les patients. Je me suis alors formée à la relation d’aide, à la communication non-verbale, à l’écoute active. Puis j’ai eu recours à la sophrologie pour gérer une situation personnelle, ça a été pour moi un grand soutien et j’ai trouvé une approche qui correspondait à ma philosophie de vie », explique-t-elle.Martine Albert a alors fait le choix de se former à l’école de sophrologie de Colmar ; elle permet à toutes les personnes intéressées de bénéficier de sa pratique lors d’ateliers à Issans et à Laire ou lors de séances individuelles à son cabinet.La sophrologie est de plus en plus présente, jusque dans les hôpitaux pour faire face à des moments difficiles, pour accompagner les personnes confrontées à la maladie, à la douleur… « Les exercices sont simples, et après quelques séances, chacun se les approprie et peut les pratiquer au quotidien. Les participants me font part d’un mieux-être au quotidien, de leur capacité à mieux gérer leur stress dans certaines situations et d’une amélioration de leur sommeil. »
Ateliers à Laire : lundi et mardi à 18 h 15 ; à Issans, jeudi à 17 h 45. Tél : 06 31 90 66 02
Un Coucou est à l'honneur dans l'Est Républicain du 15 décembre 2016.Jean De Conto est né le 25 novembre 1956 à Belfort. Il est pupille de la nation : son papa, mutilé de guerre, était titulaire de la Légion d’honneur après avoir été arrêté et torturé par les Allemands.En 1957, Jean effectue son service militaire de 30 mois. Après un an en Allemagne, où il est inscrit au tableau et nommé premier canonnier, il prend la direction de l’Algérie. Il a été décoré de la médaille commémorative des opérations de sécurité et maintien de l’ordre, la médaille du Combattant en Algérie avec agrafe, la médaille du Djebel et la médaille de vermeil du Souvenir français.En 1960, il épouse Annie Klopffer une jeune fille d’Onans. Ils auront trois garçons. Le couple réside à Belfort puis à Nommay, avant de s’installer à Issans.Jean travaille chez Peugeot puis chez Comafranc comme représentant. En 1977, il crée son entreprise en négoce de matériaux de construction à Pont-de-Roide. En 1994, il entre chez Bois Ouvrés à Nommay. Il prendra sa retraite à 62 ans. Jusqu’à ses 76 ans, il travaillera chez Ucar à temps partiel.Toute sa vie, il a fait du bénévolat, notamment à CAP emploi comme administrateur. Il participera aussi à la crèche vivante du marché de Noël à Montbéliard. À la demande de Jean-Pierre Rudenko, maire de l’époque à Issans, il reforme le comité d’animation du village et s’occupe des commémorations.Il commence une seconde vie en s’affiliant aux anciens combattants, au Souvenir français et à l’UNC de Pont-de-Roide, avant de passer à Bavans où il sera nommé porte-drapeau suppléant du Souvenir français. Depuis 2015, il a la fierté de porter le drapeau de la Légion d’honneur. Tous les deux ans, avec son épouse, ils prennent la direction de Lourdes afin de participer au pèlerinage des anciens combattants d’Algérie. Là, il retrouve 450 porte-drapeaux et 20 000 pèlerins anciens d’AFN.Depuis 2015, Jean De Conto a l'immense honneur de porter le drapeau de la Légion d'Honneur qui lui a été remis par le président des décorés.
Voeux du maire 01/2019 Est Républicain du 20/01/2019