L’Amerique Vaincue-1re partie : L’Amérique, une colonie israélienne

https://www.darkmoon.me/2019/lamerique-vaincue-par-dr-lasha-darkmoon/

Cet article vient de paraître sur rense.com ainsi que sur un certain nombre d’autres sites SANS que l’auteur en ait été avisée et SANS son autorisation préalable. Le Dr Darkmoon n’a pas soumis cet article à aucun de ces sites. Un autre s’en est chargé — visiblement un ami qui me voulait du bien ! Voici la version personnelle de l’auteur, complète avec images et liens intégrés, que nous proposons à nos lecteurs et que les autres sites sont invités à reproduire s’ils le souhaitent. — John Scott Montecristo, rédacteur en chef.

« Je me moque de savoir si les Américains pensent que nous dirigeons les médias d’information, Hollywood, Wall Street ou le gouvernement », écrivait le chroniqueur juif Joel Stein dans le Los Angeles Times en décembre 2008. « Ce qui m’importe c’est que nous continuions à les diriger. »

La candeur insouciante de Mr Stein à reconnaître que les juifs dirigent l’Amérique allait lui coûter son poste au LA Times.

Si les Américains ont abandonné leur pays aux mains des organisations juives, ils l’ont fait lentement et imperceptiblement. En réalité, la plupart des Américains n’ont toujours pas conscience que leur pays ne leur appartient plus. Ils croient fermement qu’ils vivent encore en démocratie. Cette prise de contrôle n’est toutefois pas sans précédent. Elle a eu lieu en Allemagne. Elle a eu lieu en Russie. Elle a lieu aujourd’hui en Amérique.

Prenez l’Allemagne et la Russie.

L’Allemagne, qui n’est plus que l’ombre de ce qu’elle aurait pu être ; c’est aujourd’hui une nation vaincue et démoralisée, complètement sous la coupe des juifs et terrorisée par leurs maîtres en Israël. Sans aller trop loin, on pourrait dire que l’Allemagne est devenue la vache à lait d’Israël.

Il n’y a rien de particulièrement discutable dans cette remarque. Elle a été faite par Eustace Mullins il y a plus de vingt ans :

Pour financer l’Etat d’Israël, dont la création a été le résultat direct de la victoire des juifs sur les nations chrétiennes dans la Deuxième Guerre mondiale, les juifs (…) ont maintenant imposé des « réparations » colossales au peuple allemand conquis. A cette heure, ils ont extorqué plus de 35 milliards de dollars aux travailleurs allemands, somme qui a été récoltée à la pointe des baïonnettes, non pas des baïonnettes juives mais des baïonnettes de l’armée américaine qui est maintenue comme force d’occupation en Allemagne de l’Ouest depuis près de quatre décennies, uniquement afin de fournir un pouvoir militaire derrière le gouvernement fantoche allemand dont la fonction première est de débourser de l’argent pour l’Etat parasite d’Israël.

En décembre 2009, les Israéliens exigèrent de l’Allemagne encore un milliard d’euros ($1,4 milliard de dollars). Curieusement, les survivants de l’Holocauste semblent augmenter en nombre avec le temps. C’est ce qui poussa la mère de Norman Finkelstein à poser la question cynique suivante après s’être fait escroquer son argent des réparations par les rabbins qui géraient le Fonds de l’Holocauste : « Si tous ceux qui prétendent être des survivants en sontréellement, alors, qui Hitler a-t-il tué ? »

Mullins n’exagère pas quand il dit que les troupes américaines imposées à l’Allemagne après la Deuxième Guerre mondiale étaient en réalité une « force d’occupation » : c’était une armée qui, en outre, agissait au nom, et à la demande, des organisations juives.

C’est le Plan Morgenthau, spécialement conçu par le vindicatif Henry Morgenthau contre le peuple allemand comme punition collective pour les crimes d’Hitler, qui allait faire de l’Allemagne d’après-guerre « le plus grand camp de concentration du monde ».

Encore en 1991, les chanceliers allemands étaient encore tenus, comme les vassaux asservis sous l’Empire romain, de signer un « acte de soumission » à l’égard de leurs conquérants alliés.

« Le juif Morgenthau veut faire de l’Allemagne « un champ géant de pommes de terre », se lamentait amèrement Goebbels. Il avait raison. Il arrive aux antisémites d’avoir raison.

La Russie, elle aussi, comme l’Allemagne, devait tomber sous la domination juive.

D’après Soljenitsyne dans L’Archipel du Goulag, 66 millions de chrétiens russes furent mis à mort sur les ordres de la Tchéka, ou police secrète russe. Ceux qui concevaient les tortures et donnaient les ordres de violer et tuer les Russes de souche étaient pour la plupart des juifs. La phrase candide de Yuri Slezkine que cite l’historien Leonard Shapiro est trop connue pour être rejetée avec désinvolture : « Toute personne qui avait le malheur de tomber entre les mains de la Tchéka avait toutes les chances de se voir confrontée à, et éventuellement fusillée par un enquêteur juif. »

Sur les 388 membres du nouveau gouvernement révolutionnaire en Russie, seuls seize étaient de vrais Russes. « Mis à part un Nègre », nous dit-on, « les autres étaient des juifs ».

Ces révolutionnaires firent de leur mieux pour cacher leur identité juive en prenant de nouveaux noms. Lénine s’appelait à l’origine Oulianov, pour Trotski c’était Bronstein, un des Zinoviev s’appelait Apfelbaum, l’autre Radomyslsky, Sverdlov était Solomon, Radek était Sobelsohn, Litvonov était Wallach, Kamenev était Rosenfeld, Parvus était Helphand, Martov était Zederbaum, Bohrin était Nathanson. Aucun de ces révolutionnaies juifs n’était prêt à agir sous son vrai nom ni à être identifié comme juif. Sous Staline, le simple fait d’appeler l’attention sur le fait que des fonctionnaires impopulaires étaient juifs, c’était encourir la peine de mort.

Il y a une autre petite information piquante que les historiens de cour préfèrent passer sous silence : un grand nombre de ces juifs qui soutenaient le nouveau gouvernement bolchevique, qui se régalaient à donner des instructions pour torturer et exécuter les chrétiens russes, étaient en fait des juifs qui avaient été expédiés depuis l’East Side de New York. Rien, là, de surprenant. Après tout, l’homme qui avait aidé à financer la Révolution russe depuis sa base à Wall Street – à hauteur de 20 millions de dollars –, c’était le banquier juif américain Jacob Schiff.

Dans un célèbre journal français, L’Illustration, on pouvait lire, dans son édition du 14 septembre 1918 :

Quand on vit en contact avec les fonctionnaires qui sont au service du gouvernement bolchevique, un fait frappant s’impose à l’attention : ce sont tous, ou presque tous, des juifs. Je ne suis nullement antisémite, mais je dois constater ce qui saute aux yeux : partout, à Pétrograd, à Moscou, en province, dans tous les commissariats, dans les bureaux de quartiers, à Smolny, dans les anciens ministères, dans les soviets, je n’ai rencontré que des juifs et encore des juifs.

L’Allemagne… La Russie… L’Amérique. Toutes sont tombées sous l’hégémonie juive. Elles ont eu leur heure au soleil, et puis elles ont eu leur éclipse.

C’est à présent le tour de l’Amérique.

Le président George W. Bush et son entourage juif

« Une fois que nous aurons pressé tout ce que nous aurons pu des Etats-Unis, ils pourront se dessécher et aller se faire foutre. » — Le premier ministre Benjamin Netanyahou, 2002. (Largement diffusé, voy. ici.)

Israël, albatros de l’Amérique

Dans la première partie de mon article Goodbye, America, j’avais traité des problèmes auxquels est confrontée aujourd’hui l’Amérique et suggéré que ces derniers sont beaucoup plus graves que ne l’étaient ceux de l’Allemagne nationale-socialiste des années 1930. Des sept problèmes que j’avais énumérés, les quatre les plus insolubles sont les suivants :

(1) Le fait que l’Etat d’Israël dispose de l’arme nucléaire et son plan Samson, l’un et l’autre n’existant pas et ne représentant donc pas une menace pour la paix avant l’installation de l’Etat sioniste à la suite de la Deuxième Guerre mondiale ;

(2) La présence de 60 millions de chrétiens sionistes en Amérique qui sont main dans la main avec nos nouveaux Maîtres, qui les aident et les encouragent à violer la loi internationale et à poursuivre le génocide du peuple palestinien ;

(3) L’existence en Amérique d’un réseau tentaculaire d’organisations juives, telles que l’ADL (Anti-Defamation League) et l’AIPAC (America-Israel Public Affairs Committee), qui maintiennent la totalité du pays en otage ; en particulier, ses politiciens mercenaires dénués de moralité ;

(4) L’arme mortelle du mulculturalisme, une arme qui ne peut être utilisée contre l’Allemagne ou la Russie mais qui est brandie aujourd’hui avec des effets dévastateurs contre la majorité euro-américaine de l’Amérique. « Les élites mondiales voient dans le monde blanc occidental l’obstacle principal à la mise en place d’un futur gouvernement mondial », phrase qu’aurait prononcée Pat Buchanan dans un discours de 2004 et qui a été largement reprise. « Le multiculturalisme est un outil utilisé par ces élites pour démanteler la civilisation blanche occidentale. »

Vu que les juifs se sont débrouillés pour obtenir le contrôle presque complet de l’Allemagne et de la Russie même avant la création de l’Etat juif en 1948, il doit être certainement évident que leur pouvoir d’action a crû de manière exponentielle avec l’acquisition d’une base militaire au Moyen-Orient, armée jusqu’aux dents avec les ogives nucléaires les plus meurtrières, dont un bon nombre pointées sur les capitales européennes et quelques-unes peut-être sur les Etats-Unis. Il serait insensé de penser qu’un pays qui a tué de sang-froid des Américains dans l’attaque du USS Liberty puisse avoir le moindre scrupule à le faire sur une bien plus grande échelle si jamais l’Amérique devait devenir l’objet de leur haine.

Il est important, au point où nous en sommes, d’examiner les faits cachés qui entourent la fondation de l’Etat d’Israël, ne serait-ce que parce que cela peut nous aider à obtenir une meilleure perspective du problème juif.

Israël a été donné aux juifs à la condition tacite que la plupart d’entre eux iraient vivre là-bas, laissant ainsi le reste du monde judenfrei ou débarrassé des juifs. Mais ils ont renié cette promesse collective – faite implicitement en leur nom par leurs dirigeants de l’époque Theodor Herzl et Chaïm Weizmann – et ils préfèrent aujourd’hui voir Israël comme un deuxième foyer, comme un lieu de refuge si leur situation devenait périlleuse ailleurs.

Le premier président d’Israël, Chaïm Weizmann, écrit dans ses mémoires :

Chaque fois que le nombre de juifs, quel que soit le pays, atteint le point de saturation, ce pays réagit contre eux… [Cette] réaction… ne peut être considérée comme de l’antisémitisme dans le sens ordinaire ou vulgaire du terme ; c’est un événement à la fois social, économique et universel concomitant à l’émigration juive et nous ne pouvons pas nous en affranchir. — Chaïm Weizmann, Trial and Error (1949). Cité dans The Jew Accused, d’Albert S. Lindemann, 1991 (p. 277).

Herzl lui-même était déjà arrivé à la même conclusion bien plus tôt. L’antisémitisme, écrivait-il, est « une réaction compréhensible devant les défauts des juifs ». Et dans son journal il ajoutait : « Je trouve que les antisémites sont parfaitement dans leur droit » (Voyez ici).

Ayant reçu une patrie à la condition tacite d’aller y vivre, les juifs avaient clairement l’obligation de le faire. Sinon l’objet de l’exercice s’effondre. Alors comment se fait-il que 58 % des 14 millions de juifs dans le monde vivent aujourd’hui en Amérique et en Europe et seulement 37 % en Israël ? Il faut certainement se poser la question : pourquoi les Palestiniens ont-ils été chassés de leur propre pays pour laisser la place à un autre peuple qui dans sa majorité choisit de vivre ailleurs ?

Une Palestinienne est attaquée par des colons juifs

« Rien ici, en Amérique, ne peut se comparer aux horreurs de la Palestine… Les femmes sont violées par les militaires israéliens… Les enfants palestiniens sont aspergés d’essence et on y met le feu pour divertir l’IDF [les forces armées israéliennes]. » — Jonathan Azaziah, Mizrahi juif américain.

Tout le monde, ou presque, pensait, puisque les médias sont entre les mains des juifs, que c’étaient les Nations unies qui avaient créé Israël et que tous étaient ravis lorsque cela s’est produit. C’est faux, et on peut le démontrer. Même le gouvernement – ou 99 % d’entre eux – était farouchement opposé à la fondation d’Israël. Par exemple, l’ancien sous-secrétaire d’Etat Dean Acheson a fait partie de ceux qui ont élevé de sévères protestations contre la reconnaissance de l’Etat juif par l’Amérique, en prédisant que « l’Occident le paierait cher ». En dépit de tous ces pressentiments, les juifs ont obtenu leur Etat.

En réalité [remarques de Alison Weir], lorsque l’Assemblée générale des Nations unies a recommandé la création d’un Etat juif dans une partie de la Palestine, cette recommandation était non-contraignante et n’a jamais été ratifiée par le Conseil de sécurité.

Deuxièmement, l’Assemblée générale n’a adopté cette recommandation seulement une fois que les partisans d’Israël eurent menacé et soudoyé de nombreux pays afin de gagner les deux tiers des voix requis.

Troisièmement, l’administration américaine a appuyé la recommandation pour des raisons électoralistes nationales, et a pris cette position malgré de vives objections de la part du Département d’Etat, de la CIA et du Pentagone.

En dépit de la mince patine de légalité que ses partisans ont soutirée de l’Assemblée générale, Israël est né sans tenir compte de l’opposition des experts américains et des gouvernements du monde entier, qui s’y étaient opposés pour des motifs à la fois pragmatiques et moraux.

(Souligné par moi)

Le fait que les sionistes accapareurs de terres soient aujourd’hui tenus en aussi haute estime en Amérique et ailleurs, et que leurs victimes palestiniennes ne recueillent à chaque occasion que des crachats et du dédain s’explique facilement.

Mis à part les médias de masse aux mains des juifs, qui sont parvenus à rendre séduisant et à donner une lueur teintée de rose à son monstre Frankenstein, la réponse tient en un mot : Holocauste. Les sionistes ont réussi à convaincre le monde qu’ils sont les légataires moraux des victimes de l’Holocauste. En tant que tels, ils restent les Victimes Suprêmes.

Comme Finkelstein, nous sommes en droit d’exprimer notre préoccupation devant l’exploitation bon marché de la souffrance juive. C’est un fait indéniable que l’Holocauste est une industrie importante et qu’il est utilisé comme moyen de chantage moral et comme carte blanche [en français dans le texte] pour des crimes monstrueux.

L’écrivain israélien Ari Shavit l’a fort bien résumé avec ces mots : « Nous pouvons tuer impunément, parce que le musée de l’Holocauste est avec nous. »

L’Ennemi à l’intérieur

On peut affirmer, de manière indiscutable, à l’aide d’une foule de citations, que la présence de juifs en grandes quantités dans un pays donné a toujours entraîné des conséquences catastrophiques pour ce pays. (Voyez les citations de Weizmann et de Herzl ci-dessus). La communauté juive organisée a étendu partout son influence, avec l’internet, les journaux, les magazines et les livres. Hollywood, leur agent de hasbara le plus efficace, répand sa propagande empoisonnée partout dans le monde, en offrant aux masses mal-éduquées ses mensonges et distorsions et sa moralité sexuelle freudienne du laissez-faire [en français dans le texte]. Pendant ce temps-là, l’industrie pornographique, dominée par les juifs, favorise la démoralisation d’un nombre incalculable de millions de gens, en en faisant, même chez les enfants, des dépendants sexuels et conduisant beaucoup de ses victimes au désespoir et au suicide.

Avec le triomphe des juifs vient l’assujettissement et l’asservissement de l’ensemble du monde non juif. Le christianisme devient la première victime, l’unité de la famille la deuxième. L’homosexualité et le féminisme radical deviennent plus agressifs dans leurs attitudes et plus extrémistes dans leurs demandes, ouvrant ainsi une Boîte de Pandore de maux : l’encouragement à la normalisation de la pédophilie, par exemple, et la corruption systématique des enfants par le biais de la promotion de la pornographie juvénile dans les salles de classe.

Nous sommes dans une situation critique. Ce n’a jamais été la Palestine en soi que voulait la communauté juive organisée. La Palestine devait seulement servir de base d’opérations pour la conquête du reste du monde. D’après Israel Shamir :

La Palestine n’est pas le but ultime des juifs : leur but ultime, c’est le monde. La Palestine n’est que l’endroit où doit être implanté le quartier général de l’Etat mondial… Les juifs entendent faire de Jérusalem la capitale suprême du monde et, de son temple reconstruit, le point focal de l’Esprit sur Terre… Le christianisme aura disparu, l’esprit aura abandonné les nations, dans notre partie du monde, et notre démocratie actuelle, aussi douteuse soit-elle, aura été supplantée par un vaste Etat théocratique… Dé-spiritualisés et déracinés, apatrides et seuls, les Maîtres du Monde d’hier [les WASPs] deviendront des esclaves mais sans en avoir le nom… Certes, l’univers juif est bon – pour les juifs. Mais pour les autres c’est une malédiction… Aux Etats-Unis, où l’influence juive croît continûment depuis 1968, la vie des gens du peuple ne cesse de se dégrader… Une époque propice pour les juifs ne saurait être une période propice pour le reste de l’humanité… La bénédiction des juifs est une malédiction pour les autres… Les régimes qui sont « bons pour les juifs » sont rarement bons pour quelqu’un d’autre.

Les runes sont assez faciles à lire. De la domination de l’Allemagne et de la Russie, les juifs se sont arrangés pour sauter à la domination de l’Amérique.

Nous voyons à travers un verre sombre, mais ce que nous voyons au travers de cette obscurité croissante, c’est le spectre sinistre d’une dystopie américaine : un pays du Tiers-Monde où il ne fait guère bon vivre pour la majorité euro-américaine en rapide diminution.

Il en coûte au contribuable américain 12 millions de dollars de l’heuresimplement pour maintenir les troupes américaines en Afghanistan, un pays que l’Amérique a décidé d’envahir à la suite d’une montagne de mensonges des néoconservateurs. Dans un livre récent Gilad Atzmon fait ce commentaire d’un ton cassant : « Les néocons transforment l’armée américaine en une force d’intervention israélienne. »

Ce qui est incroyable, c’est qu’à ce jour Israël n’a pas envoyé un seul soldat pour contribuer aux guerres de Washington en Irak et en Afghanistan. Et la présence de juifs américains – sans parler de leur héroïsme – n’a pas non plus été particulièrement remarquée au sein des forces combattantes. Et pourtant ils se battent vaillamment avec leurs plumes, loin du vacarme de la bataille. Ce sont eux qui battent le tambour le plus fort, qui profitent le plus de ces massacres aveugles d’innocents, et qui « font combattre et mourir les autres pour eux. »

Les jours de vin et de roses, c’est fini. Le Rêve américain est mort. Tout comme l’Allemagne et la Russie avant elle, l’Amérique se retrouve vaincue.

NOUS SOMMES LES NOUVEAUX MAÎTRES !

« Le but pour lequel nous avons lutté si concrètement pendant trois mille ans est enfin à notre portée … Je peux sans risque vous promettre que notre race prendra sa place légitime dans le monde, avec chaque juif un roi et chaque Gentil un esclave. » — Rabbin Emmanuel Rabbinovitch, discours prononcé lors d’une conférence spéciale des rabbins européens à Budapest, le 12 janvier 1952.

Dirigée par une élite juive et ses sous-fifres ou Shabbat goys, loin des normes du droit international et détestée du monde entier, l’Amérique est aujourd’hui une colonie israélienne en tout point sauf le nom.

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2e partie :L’Amérique sous domination juive

Traduit par Bocage

AMERICA VANQUISHED, by Dr Lasha Darkmoon : Part 2

« Quand le monde regarde l’Amérique, ce qu’il voit c’est une colonie israélienne. »— Paul Craig Roberts.

On s’est emparé de l’Amérique.

Lentement et imperceptiblement, dupés par les mensonges et bercés dans la complaisance, les Américains ont laissé glisser leur pays entre les mains d’une cinquième colonne : celles d’une élite ethnique hostile dont la principale allégeance va à Israël, un pays construit sur des terres volées et engagé dans un génocide systématique.

C’est lui, l’Etat voyou vraisemblablement responsable du plus grand meurtre de masse de l’histoire : la catastrophe du 11-Septembre. Ne serait-ce qu’à partir des preuves scientifiques et de la logique médico-légale, Israël doit être dans cette affaire considéré comme le suspect n° 1, vu son passé ininterrompu de terrorisme et ses violations sans fin du droit international. Un pays capable d’orchestrer un crime aussi spectaculaire et en toute impunité – tout en réussissant d’une certaine manière à faire porter le blâme sur dix-neuf Arabes munis de cutters – est certainement une force dont il faut tenir compte.

Plus de 200 militaires de haut rang, officiers de renseignement et membres des forces de l’ordre, y compris deux généraux, contestent aujourd’hui le rapport de la Commission sur le 11-Septembre. Ils ont été rejoints par plus de 1 500 architectes et ingénieurs de haut niveau, 250 pilotes et spécialistes de l’aviation, 400 professeurs d’université et 250 survivants et leurs familles. David Ray Griffin, auteur de onze livres sur le 11-Septembre et professeur émérite distingué, a conclu de façon absolue : « Il semble que tous les éléments avancés pour prouver que l’Amérique a été attaquée par des musulmans le 11 septembre aient été fabriqués. »

Le Dr Alan Sabrosky, ancien directeur du Army War College, a mis la barre plus haut et identifié clairement Israël comme le coupable. « Il faut nous lever et déclarer que non seulement ils [les Israéliens] ont attaqué le USS Liberty, mais qu’il est 100 % certain que le 11-Septembre a été l’œuvre du Mossad. »

Toutefois, s’il fallait une preuve supplémentaire de l’abject asservissement de l’Amérique aux intérêts sionistes, ce serait l’humiliation d’Obama de la part du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou au début de l’année. Cette humiliation s’est produite à trois occasions diverses : en septembre 2009, en juillet 2010 et encore récemment en mai dernier. Le chroniqueur du Washington Post, Dana Milbank, écrit presque avec jubilation d’Obama qu’il bat « le pavillon blanc de la reddition » à la Maison-Blanche – où il se tenait assis, « dérouté et humilié ».

Quel était le crime d’Obama ?

Il avait demandé aux Israéliens de respecter le droit international et de stopper la construction de colonies sur les terres palestiniennes. Il les avait suppliés de revenir aux frontières de 1967, conformément à la résolution 242 des Nations unies – ce qui était une demande plutôt raisonnable que tous les présidents américains qui l’avaient précédé avaient demandé aux Israéliens d’envisager dans l’intérêt de la paix.

Quelle fut la réponse du premier ministre israélien ? — « Israël ne retournera PAS aux frontières indéfendables de 1967 ! »

Alors comment se fait-il que cet « allié » grossier et récalcitrant de l’Amérique continue encore à recevoir ses 3 milliards de dollars de subvention chaque année ? L’Amérique est-elle à ce point folle d’amour pour l’Etat juif qu’elle ne soit pas capable de dire « Non » ? La question est idiote. Puisqu’elle repose sur l’hypothèse de Chomsky selon laquelle l’Amérique est toujours le seigneur et maître et le petit Israël la colonie qui en dépend.

Le mystère est facilement résolu si l’on inverse l’hypothèse de Chomsky : la communauté juive organisée, qui s’est emparée de l’Amérique, en a fait une colonie israélienne. Les 8,2 millions de dollars que le contribuable américain paie chaque jour à son maître juif n’est pas une subvention. C’est un tribut. C’est une taxe ou un impôt imposé à un peuple vaincu par ses conquérants.

Lisez ces mots de mépris tenus à l’égard de son propre président dans cet extraordinaire récit de l’humiliation d’Obama aux mains de Netanyahou, son vainqueur juif :

Netanyahu s’en est pris à Obama comme à la cinquième roue du carosse ; il a joué avec lui comme sur un violon ; il l’a martelé comme on martèle un grand tambour de cuivre. Le premier ministre d’Israël a dominé de la tête et des épaules son adversaire arrogant et professoral. Le premier ministre s’est servi de notre gars comme d’une serpillière….Bibi l’a réduit en lambeaux …montrant par là au monde entier que le premier ministre d’Israël a nettement plus de soutien à la fois de la part de la Chambre et de la part du Sénat que le président des Etats-Unis. [Souligné par moi]

Je crois que ça veut tout dire. Pauvre Obama ! Il a été symboliquement châtré, enfoncé jusqu’au cou dans des excréments. Ces 29 ovations reçues par Netanyahou au Congrès étaient comme un crachat au visage du président.

D’après l’expert politique Philip Giraldi, c’était « la première fois dans l’histoire qu’un petit pays de moins de huit millions de citoyens subjuguait un pays infiniment plus grand, d’une population de plus de 310 millions d’habitants. »

La sionisation de l’Amérique est complète, avec l’AIPAC qui nomme le gouvernement et 60 millions de chrétiens-sionistes prêts à mourir pour leurs nouveaux maîtres à Jérusalem.

L’Amérique est aujourd’hui l’esclave d’Israël.

QUI DIRIGE L’AMÉRIQUE ?

« Je n’ai jamais vu un président s’opposer à eux. Ils obtiennent toujours ce qu’ils veulent. Si le peuple américain comprenait quelle prise ces gens ont sur notre gouvernement, il se lèverait en armes. » (Amiral Thomas Moorer, ancien président du comité des chefs d’état-major des armées américaines, 1983)

A ce stade, je ressens la nécessité de présenter mes excuses pour cette image du rabbin en train de remuer le doigt qui se trouve à la fin de la première partie de cet essai ainsi que pour les propos incendiaires qu’il est censé avoir prononcés à propos du désir qu’ont les juifs de dominer le monde. J’entends mes critiques m’interpeller : « Espèce d’idiote, qu’est-ce que tu as à débiter toutes ces sornettes Protocoliennes ? Ne sais-tu donc pas que les Protocoles des Sages de Sionsont un faux antisémite ? »

Oui, dois-je avouer avec un soupir, j’ai souvent entendu prononcer le mot de « faux » comme argument pour ne pas lire ce brillant traité de politique, qui se place tout de suite après la République de Platon sur le plan de la profondeur.

Mais ce que je suis en train de dire n’a rien à voir avec les Protocoles.

Je ne suis pas une théoricienne du complot. Je suis une historienne qui s’intéresse uniquement aux faits. Seule la vérité m’anime le cœur.

Jetons un autre coup d’œil rapide sur le sionisme.

Dans un essai récent intitulé Why Palestine is Important [Pourquoi la Palestine est importante], Israel Shamir présente une image qui met en perspective toute cette absurdité Protocolienne :

La Palestine est importante parce qu’elle est considérée comme une pièce maîtresse de l’Empire, l’un des points clés indispensables pour contrôler le monde. Telle était la conviction des bâtisseurs de l’Empire britannique au XIXe siècle, style Rhodes… Au départ il s’agissait d’une théorie secrète développée par H.J. Mackinder, puis elle est devenue une force conductrice derrière la théorie du mondialisme … Mackinder avait projeté de soumettre la planète entière au joug de l’Empire … Napoléon [déjà] avait caressé l’idée d’implanter les juifs en Palestine pour servir d’infanterie à la France, mais les juifs n’avaient pas marché. Les Britanniques ont réussi là où les Français avaient échoué.

En d’autres termes, selon un point de vue exprimé récemment par Shamir, le sionisme a été d’inspiration britannique et constitue un outil dans l’arsenal de la Pax Britannica. C’était le moyen pour les Brits de conquérir le monde. Ils auraient flanqué les juifs indésirables en Palestine pour leur servir de mandataires. Israël, en effet, devait être une colonie britannique. Et Lord Balfour, lorsqu’il rédigea la fameuse Déclaration Balfour en 1917, avait une lueur qui brillait dans son petit œil perçant. Il se préoccupait plus de faire progresser les desseins de l’Empire britannique que d’être agréable aux juifs.

Si tout cela est vrai – et c’est ce que je crois – on voit ce qui s’est passé ensuite. En 1948, l’Empire britannique s’était effondré, il était en ruines. Il n’était plus en situation de se servir d’Israël comme marionnette. Mais une autre nation, une nation montante et principale bénéficiaire de la Deuxième Guerre mondiale, elle, le pouvait. C’était l’Amérique. Pourtant, déjà dès 1948, l’Amérique était largement contrôlée par ses juifs. Leur influence, qui allait se développer à pas de géant après 1967, était déjà énorme en 1948.

Ce sont les juifs qui ont forcé la main du président Truman et ont obtenu de lui qu’il donne son plein appui à leur Etat naissant. Ce sont les juifs encore qui, par l’intermédiaire du vindicatif Morgenthau, devaient, comme je l’ai indiqué dans la première partie de cet essai, faire de la vie des Allemands vaincus un enfer au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Les juifs étaient toujours à l’arrière-plan, semble-t-il, ceux qui sont tapis dans l’ombre du cours de l’histoire.

Cette colonie que les Brits n’avaient pas réussi à acquérir au Moyen-Orient, Israël, ce fut l’Amérique qui en hérita. Alors, après tout, Chomsky avait raison. En tout cas, pour commencer, Israël devait être le porte-avions de l’Amérique au Moyen-Orient. Les Américains allaient s’en servir comme gigantesque base militaire pour piller le pétrole arabe. Ils n’allaient pas non plus avoir de problèmes avec les rêves de Ben Gourion d’un Grand Israël s’étendant du Nil à l’Euphrate. Après tout, pourquoi ne pas donner aux juifs ce qu’ils voulaient ?

Le Grand Israël devait simplement être une extension de l’Amérique : son 51eEtat.

Les choses ne se passèrent pas comme prévu. Les plans les mieux conçus des souris et des hommes, dit-on, avortent bien souvent. Les rôles ont été inversés aux dépens des Américains naïfs. Les juifs étaient beaucoup plus fûtés que leurs maîtres WASP [blancs, anglo-saxons et protestants] ne pourraient jamais l’être. Grâce à trois mille ans d’expérience amère ils avaient acquis l’art de la duplicité et de la ruse. Leur patrimoine génétique, c’était l’astuce. Ils étaient les Survivants Suprêmes.

Il faut faire aux juifs cette justice. Les opprimés d’hier décidèrent de devenir les oppresseurs. Les anciennes victimes décidèrent de prendre le rôle des prédateurs. La marionnette décida de devenir le marionnettiste.

En bref, les juifs s’emparèrent de l’Amérique et en firent une colonie juive. C’est aussi simple que ça. Pour leurs hôtes américains c’était l’arroseur arrosé.

Mais pourquoi s’inquiéter ? Les juifs américains sont des Américains, n’est-ce pas ? S’ils sont assez futés pour s’emparer de l’Amérique, comme ils l’ont manifestement fait, pourquoi ne procéderaient-ils pas à l’étape logique suivante et ne s’empareraient-ils pas du monde – oui, dominer le monde au travers de l’Amérique ? Personne ne niera que tel est le but de l’Amérique : la domination complète. Par conséquent, si les juifs contrôlent l’Amérique et que l’Amérique contrôle le monde, ne s’ensuit-il pas en toute logique que les juifs contrôlent le monde ? Cette logique est imparable.

Vue à travers ce prisme historique, la domination du monde par les juifs prend une perspective différente. Ici, pas de « théories du complot ». Pas de juifs au nez crochu en train de saisir le globe entre leurs serres cruelles. Pas d’Illuminati essayant de sodomiser vos enfants et de boire leur sang. Juste de la logique. Juste de l’histoire. Juste l’Amérique qui lutte pour la domination intégrale du monde avec des juifs en tête du peloton.

On pourrait dire que les rêves les plus fous des Protocoles se sont enfin réalisés, mais pas comme l’avaient prévu leurs concepteurs à l’origine.

Que nous réserve l’avenir… ?

Qu’on me permette de présenter ici le témoignage d’Eustace Mullins, ne serait-ce que parce qu’il illustre de façon si frappante les terreurs endurées par des millions de chrétiens russes dans la Russie bolchevique lorsque cette dernière était sous hégémonie juive. Faudrait-il voir là le sort réservé aux chrétiens américains dans un proche avenir ?

Il y a dans l’histoire trop de massacres bien documentés dans lesquels les juifs ont torturé et massacré leurs victimes avec la plus grand joie, en jubilant devant des pratiques barbares comme celles consistant à arracher les cœurs des femmes et des enfants et se barbouiller le visage de leur sang.

L’orgie de meurtres, de tortures et de pillages qui succédèrent au triomphe des juifs en Russie [après la Révolution de 1917] n’a pas son égale dans l’histoire du monde. Les juifs furent libres de s’adonner à leurs plus ardentes fantaisies de meurtre de masse de victimes sans défense.

Des chrétiens furent tirés de leur lit, torturés et tués. Certains furent carrément découpés en morceaux, petit à petit, tandis que d’autres étaient marqués au fer rouge, les yeux arrachés pour leur infliger une douleur insupportable.

D’autres furent mis dans des boîtes… et des rats affamés étaient alors disposés dans ces boîtes pour ronger leurs corps. D’autres furent cloués aux plafonds par les doigts ou les pieds et laissés suspendus jusqu’à ce qu’ils meurent d’épuisement.

D’autres furent enchaînés au sol et on leur déversait du plomb bouillant dans la bouche. Beaucoup furent attachés à des chevaux et traînés à travers les rues de la ville, tandis que la foule leur lançait des pierres et les tuait à coups de pied.

Des mères furent amenées en place publique et on leur arrachait des bras leur bébé … le bébé [était] lancé en l’air tandis qu’un autre membre de la foule se précipitait pour le recevoir sur la pointe de sa baïonnette.

Des chrétiennes enceintes furent enchaînées à des arbres et leur bébé arraché de leur ventre. (Voyez ici).

« On ne devrait jamais oublier ce qui s’est passé en URSS à une époque où les juifs constituaient une élite hostile », note tristement le professeur Kevin MacDonald. « La détestation et le mépris du peuple et de la culture traditionnels russes furent des facteurs majeurs de cette participation acharnée des juifs au plus grand crime du XXe siècle. »

Le Pr MacDonald se réfère au meurtre systématique de plus de 50 millions de Russes sous Lénine et Staline : une période de meurtres massifs qui s’étend sur 36 années (1917-1953).

La nouvelle élite américaine – comme je l’ai fait remarquer dans la première partie de cet article, « L’Amérique colonie israélienne » – est une élite juive. Exactement comme l’était l’élite de la Russie bolchevique et de l’URSS de Staline. Et c’est essentiellement une élite hostile qui « déteste les nations qu’elle dirige. »

Il nous faut donc prendre garde.

Parce que ce qui est arrivé à des millions de Russes dans la première moitié du XXe siècle – un génocide systématique – pourrait bien arriver à des millions d’Américains dans un proche avenir.

« Il est fort possible », médite Kevin MacDonald, « que nous entrions dans une dystopie raciale d’une cruauté inimaginable. »

Un jeu appelé Survivance

La réussite extraordinaire des juifs, qui ne représentent que 2,5 % de la population américaine, peut s’attribuer à la méticulosité de leur organisation, de leur coordination et de leur réseau de contacts. Cette cohésion bénéfique dérive d’une caractéristique de l’évolution des juifs : un ethnocentrisme exceptionnellement fort qui leur a permis d’infiltrer pratiquement tous les organismes qui auraient pu les menacer en tant que groupe. En Amérique, des juifs très doués dont la loyauté première va à Israël ont réussi à s’introduire dans des positions stratégiques clés, dont le Département du Trésor et le Département d’Etat, le Pentagone, le Conseil national de sécurité et la Maison-Blanche.

Au cours des 24 derniers mois, pas un des décideurs politiques [nous dit James Petras] n’a émis la moindre critique à propos des crimes les plus odieux d’Israël, depuis les violentes attaques contre Gaza jusqu’au massacre de la flotille humanitaire et le développement de nouvelles implantations à Jérusalem et en Cisjordanie… Un grand nombre des principaux décideurs sionistes ont accédé au pouvoir grâce à une stratégie délibérée d’infiltration du gouvernement afin de façonner une politique favorisant les intérêts d’Israël d’abord et avant les intérêts de la population américaine.

Si les goyim ont abandonné aux juifs le jeu de la vie et leurs libertés chèrement gagnées, c’est d’abord parce qu’ils ne savaient tout simplement pas qu’ils jouaient à un jeu. Un jeu avec des risques considérables.

Un jeu qui s’appelle la Survivance.

Conclusion

Le monde qui nous attend, si nos Nouveaux Maîtres l’emportent, sera une sombre dystopie. Ce sera un désert spirituel dans lequel une élite sans scrupules se moquera éperdument des masses grouillantes. Ce sera un mode cruel d’exploitation, d’obscurité morale et d’une brutalité indicible.

« La mort résout tous les problèmes », raillait cyniquement Staline. « Pas d’homme, pas de problème. » Quand l’extermination massive devient le remède miracle, on peut s’attendre à des moments passionnants.

Dans une étude d’Otto Friedrich très bien accueillie par la critique, The Kingdom of Auschwitz [Le Royaume d’Auschwitz], un survivant de camp de concentration dit :

L’existence en camp de concentration nous a appris que le monde entier est réellement comme un camp de concentration. Le monde n’est dirigé ni par la justice ni par la moralité. Le crime n’est pas puni, la vertu pas récompensée. Le monde est dirigé par le pouvoir. Nous posons les fondations d’une nouvelle civilisation, unecivilisation monstrueuse.

Victime innocente de cette « nouvelle civilisation monstrueuse », un enfant palestinien, le bras arraché par un colon israélien pour avoir jeté une pierre. (Voyez ici)

Alors voilà où nous en sommes : dans l’œil du cyclone.

Naguère une démocratie, l’Amérique est aujourd’hui un pays crypto-dictatorial dirigé par une élite financière et cosmopolite. « En Amérique il n’y a pas de liberté, pas de démocratie et pas de responsabilité devant le peuple, c’est un Etat dictatorial », conclut tristement Paul Craig Roberts dans l’un de ses récents essais.

Réalisant les rêves les plus fous évoqués dans les Protocoles, les juifs sont là à contempler les champs de la mort du monde qu’ils ont conquis. L’Irak et l’Afghanistan sont en ruines, grâce à leurs machinations. L’Iran est dans la ligne de mire, dans l’attente de son sort fatal. Et pendant ce temps-là, en Amérique, alors que les avions rapportent les sacs mortuaires de l’étranger et que le sinistre cirque du pain et des jeux se déroule implacablement, on n’a plus beaucoup de raisons de vivre, hormis le sexe et la mort.

Les bourreaux volontaires de Staline, les juifs, sont aujourd’hui l’élite dirigeante de l’Amérique. Tout comme dans l’Allemagne de Weimar, ce sont les juifs qui gagnent le plus d’argent et qui contribuent à créer une culture de néo-paganisme et de nihilisme, de décadence et de désespoir. Rien n’a changé, sauf le pays.

La Russie, l’Allemagne, l’Amérique – toutes se sont écroulées, l’une après l’autre, comme des quilles.

TEL SERA L’AVENIR

“Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain… éternellement.” — George Orwell, Nineteen Eighty-Four

Le Dr Lasha Darkmoon (écrivez-lui) est une universitaire hautement diplômée en études classiques. Elle est également poète et traductrice. On trouvera quelques-uns de ses articles ici et ses poèmes ici.