04 énigmes à élucider

Cette page est destinée à demander l'aide des lecteurs de ce site :

- soit pour résoudre des cas posant problème en l'état actuel de nos connaissances.

- soit de rechercher les "PAUZAT", pour lesquels nous souhaitons des informations, ainsi que celles de leurs éventuels descendants.

Parfois, la solution est très simple … une fois que l’on en a pris connaissance, par exemple le cas ci-dessous :

Signification de "Pauzat-us-safa" dans l'extrait d'un bulletin n°6 (1877) de l'Université d'Harvard, page 103, voir ci-dessous :

Cette énigme n’était qu’une erreur de typographie, un P au lieu d’un R, l’origine étant a priori ce livre sur la bible de l’Islam

Mais il reste encore les cas suivants, non encore élucidés :

a) signification du mot précédant celui de PAUSAT. Si c'est un prénom, quel est-il ? (réf. acte de baptême à Arveyres en 1608, page 12)

est-ce le prénom du père, de la mère..... ?

réponse indiquée aimablement par un lecteur de ce site : ce prénom est certainement Jacques, donc celui du père.

b) quel est le prénom de la marraine Pauzat citée dans cet acte de baptême, en 1647 à La Barboutie (Dampniat) ? :

Adrienne ?

réponse proposée : peut-être Estienette

c) blason d'une famille en Irlande : quelle est cette famille ?

d) recherches d'individus :

TECLA PAUZAT BAYLONG

Cette femme fut l'ultime compagne du peintre espagnol Serafín AVENDAÑO (né à Vigo en 1838 - décès à Valladolid en 1916) qui vécut à Gênes, voyagea dans de nombreux pays dont la France, avant de rentrer en Espagne vers la fin de sa vie. I l eut une fille Anita dont on ne sait pas si Tecla est la mère.

BERNARDO PAUZAT

Sur une photo carte postale, montrant Jean Sylvain PAUZAT (probablement vers 1913, à cette époque il était chauffeur à la Villa Bergerie - Quartier du Gaz à Biarritz) au volant d'une voiture, on trouve au verso, dans un espagnol approximatif, le nom et la fonction du destinataire : "Señor Bernardo Pauzat, Inspector de Exploitation".

Qui est ce Bernardo?

Signalons que sur le côté supérieur gauche de la carte, on peut lire verticalement "FYLABA" et dessous "Mesón de Paredes, 33";

Or, il existe une rue portant ce nom à Madrid : C/ Mesón de Paredes, 28012.

Que signifie le mot "FYLABA"? (ancienne écriture du mot SYLLABE en espagnol).

Jean Sylvain PAUZAT était-il un parent, plus ou moins lointain, de Bernardo PAUZAT qui vivait alors à Madrid et qui était à cette époque Inspecteur d'exploitation aux chemins de fer espagnol où il a fait carrière de 1909 à 1927 environ.

Remarque : ce Bernardo est-il un descendant de Bernard PAUZAT, l'oncle de Jean Baptiste PAUZAT que ce dernier est parti rejoindre à Cadix en 1786 pour y faire du commerce avec le Nouveau Monde ? Cette branche du berceau béarnais serait-elle restée en Espagne lors du départ des français de Cadix en 1793, suite à la déclaration de guerre entre la France et l’Espagne, et se serait réfugiée à Madrid ?

Jean PAUZAT

Qui est ce Jean PAUZAT, né probablement vers le milieu du 18e siècle, qui s'est trouvé " prisonnier des Antilles en Angleterre en 1795 " et qui devait être un planteur de cannes à sucre installé à Ste Lucie.

" Il faut savoir que cette île a été disputée pendant cent cinquante ans, entre le XVIIe et le XVIIIe siècle, entre la France et l'Angleterre. Durant ce temps, l'île a changé quatorze fois de mains !

À cette époque, Sainte-Lucie était une colonie française bien établie, avec une population comprenant 17 992 esclaves, 1 588 gens de couleur et 2 198 blancs, pour un total de 21 778 habitants. Le 1er avril 1794, les Anglais débarquent dans l'île et saisissent les propriétés qui sont ensuite vendues aux enchères. Pire, ils acceptent des paiements de propriétaires saisis, mais les déportent néanmoins."

Est-ce là le sort vécu par ce Jean PAUZAT dont nous ignorons les racines ?

remarque : signalons que le nom de cet individu est cité dans une liste nominative des principaux planteurs et négociants de l'île, arrivés à bord de navires anglais qui devaient les déposer à Saint-Malo, selon les accords franco-anglais, mais qui furent en fait enfermés dans les prisons de Portchester en Angleterre.

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