Production Association Migr'Arts | migrarts[@]gmail.com
Marie Lasserre +33 678 494 092
Artistes, intervenants
Marie LASSERRE, Chercheuse-anthropologue - Amaia HIRIART, Chant, violoncelle - Karen JUAN, Danse, Chant - Thierno NDIAYE, Danseur - Franck ASSEMAT, Musicien - Yoann SCHEIDT, Musicien - Niko RAGHOONAUTH, Voix, Ecriture - Alain BRUEL, Musicien
Poursuivre et partager ces chemins, ces aventures humaines, artistiques, politiques... à travers une création grand format .
Défricher des chemins, en découvrir de nouveaux.
La première expérience Initié par Franck Assémat durant le Festival d'Uzeste a réuni 35 stagiaires durant 3 jours lors d'un stage-création-laboratoire. Danseurs, musiciens, récitants, chanteurs, enfants, ados, adultes, amateurs, initiés, débutants, chacun peut participer à sa mesure à cette aventure.
Pour ne pas fermer les yeux ni se laisser endormir, métamorphoser les créations artistiques créer à partir du travail de thèse de Marie Lasserre. Explorer un exercice de création en collectif et bousculer ses certitudes.
Marie LASSERRE, Chercheuse-anthropologue - Thierno NDIAYE, Danseur - Franck ASSEMAT, Musicien - Yoann SCHEIDT, Musicien
Invités occasionnel : Amaia HIRIART , Chant, violoncelle - Niko RAGHOONAUTH, Voix
TRAVERSES est le prolongement de TRAVERS .
Traverses est une mise en visibilité artistique et scientifique des routes migratoires qui sillonnent l’ouest africain, le Sahara, le Sahel, la Méditerranée, parfois jusqu’à l’Europe. Traverses, c’est plus encore rendre visible des gens, passant.es, circulant.es, migrant.es qui traversent, parcourent, transgressent, transcendent ces routes. C’est s’intéresser à la complexité de leurs passages au cœur de ces routes. Traverses improvise ses chemins artistiques.
TRAVERS
Duo - 40 min
Marie LASSERRE, Chercheuse-anthropologue - Thierno NDIAYE, Danseur
Ce spectacle pluridisciplinaire connecte Sciences Humaines (Anthropologie) et Arts (danses sénégalaises et afro-contemporaines, piano classique, chants, bongo, djembe, théâtre). Basée sur la thèse de doctorat en anthropologie (intitulée Des traversées de frontières aux quotidiens transmigratoires. Effets du genre et phénomènes relationnels pour des Sénégalaises et Sénégalais au Maroc) de Marie Lasserre, il évoque les transmigrations des Sénégalais-e-s vers le Maroc. Ce spectacle artistico-anthropologique, vulgarise, questionne et complète le travail de recherche de Marie Lasserre, ses démarches et méthodes. Longue, complexe et peut-être éloignée de leurs attentes, cet oeuvre est offerte aux personnes qui y participent ou y ont participé, s’accompagne, dans une démarche déontologique, de cet outil restitutif plus accessible. Les personnes migrantes peuvent s’y reconnaître individuellement et collectivement, se souvenir et s’approprier les (leurs) cheminements migratoires étudiés, se retrouver dans les tableaux proposés. D’autre part, la diversité visuelle, sonore et linguistique (français, wolof, arabe) ainsi que la pluralité des données artistiques et scientifiques de ce support, proposent aux publics non initiés et provenant de différents territoires et milieux, des codes variés et plus universels, des grilles de lecture et de compréhension mieux adaptées.
MÉDIATION
De Travers à Traverses en médiations
Travers et Traverses sont d’abord le fruit de la rencontre et de la vie commune à travers divers pays (Maroc, Mauritanie, Sénégal, Gambie, France) entre un danseur transmigrant, Thierno, et Marie, chercheure étudiant les transmigrations, entre un homme et une femme, un Sénégalais et une Française, un Noir et une Blanche, un artiste professionnel et une pianiste amatrice, entre deux personnes dont les pays sont liés par l’Histoire (colonisation et esclavage notamment), entre deux personnes qui voyagent inégalement, pour des raisons distinctes et avec des risques différents, entre deux personnes dont les modes de transmission et représentations du Monde sont variés. Traverses émerge ensuite d'une rencontre à 4 au sein de la Cie Lubat, entre Thierno, Marie, Franck Assémat et Yoann Scheidt, musiciens pluri-instrumentistes et à l’improvisation de génie, et de leurs traversées de frontières communes, qu’elles soient géopolitiques, territoriales, sociales, raciales, genrées, étudiantes, et bien sûr scientifiques et artistiques.
Ces deux performances connectent, reflétant de la sorte ces traversées de frontières et rencontres, danses contemporaines, africaines et afro-contemporaines, piano classique, saxophone, batterie, guitare, xylophone, bongo (entre autres instruments), chants (francophonie mise à l'honneur au milieu de l'arabe et du wolof), récits migratoires, analyses scientifiques et poèmes. Ces deux créations rendent visibles les gens, passant·es, migrant·es, qui parcourent, transgressent et transfigurent les frontières traversées entre Afrique de l'Ouest, Maghreb et Europe. Cheminement d'amitiés et d'amour entre les 4 protagonistes du spectacle, le processus de création et les recherches artistico-scientifiques qui l'entourent représentent à plusieurs niveaux et étapes une expérimentation de collaboration entre artiste et chercheure qui se sont rencontré·es et travaillent ensemble aux confins de migrations Sud-Sud, Sud-Nord et Nord-Sud. Ou comment évoquer des traversées de frontières multiples en traversant les frontières disciplinaires. Ou comment médiatiser à la fois une recherche scientifique et un processus de création artistique.
En tant que traductions sensibles d’une recherche scientifique en Anthropologie, ces deux spectacles transmettent certaines questions, données, résultats et analyses du contenu de la recherche doctorale citée, dont la thématique principale, « frontières et migrations », est aujourd’hui incontournable dans les programmes de l’éducation nationale. Ils questionnent l’étude anthropologique, la confrontent, la complètent et la transcendent à travers une démarche de recherche-création artistico-scientifique innovante et sous quelques aspects, inédite. Ces deux spectacles, qui rendent accessible à tous et toutes une étude sensible et complexe de l’actualité, ont été travaillés pour être accessible aux adultes, adolescent·es et enfants, aux initié·es et non initié·es à la recherche, aux francophones et non francophones, à des personnes ayant difficilement accès à la culture et à l'Art, aux personnes éloignées de ces thématiques ou à celles concernées de plein fouet.
Le travail de restitution d'une recherche scientifique n’est pas anodin et les difficultés associées à son partage sont multiples. Elles sont par exemple liées à la transmission de théories ou de phénomènes qui peuvent apparaître abstraits, à l’utilisation d’un vocable technique complexe et lourd ou encore à une certaine appréhension du public. Notamment, dans des formes d’auto- censure, d’auto-restriction et d’auto-dévalorisation, beaucoup de gens pensent à tort ne pas être « assez ceci ou cela » pour saisir de telles recherches et oser se les approprier. Dans Travers et Traverses, les instruments de médiation artistique utilisés peuvent annihiler certains de ces freins et de ces peurs en complémentant l’enseignement scientifique dispensé dans les écoles, universités et institutions académiques. Ceci grâce à un mélange des genres, une variété de supports, de rythmes et d'émotions. Cette diversité sensible, visuelle et sonore, à dimension hautement heuristique, ainsi que la pluralité des données proposées, peuvent offrir à des publics provenant de différents territoires, milieux et générations, des codes variés et plus universels. Ainsi, Travers et Traverses se veulent réflexifs, pédagogiques et évolutifs pour être au plus près des parcours migratoires étudiés dans la recherche, via des regards et des moyens d’expression transdisciplinaires, pluriels, issus de recherches autant artistiques que scientifiques et largement basées, sur scène, sur la magie de l'improvisation et sur l’apport de critiques et de regards extérieurs.
Travers et Traverses s’inscrivent dans une dimension de médiation et de démocratisation de la recherche scientifique mais aussi dans une médiation du processus de création à l'œuvre. Toujours poursuivis de bords de scène et d'invitations à de plus amples rencontres avec les publics, voire, sur des projets plus longs comme le propose Culture En Herbe, à des reformulations et réappropriations à travers les regards, critiques et participations des publics, ces performances et le projet global qui les entourent diminuent écarts entre chercheur·es, artistes et publics et peuvent conduire à de nouvelles créations. En effet, grâce à et à travers ces interactions, réflexions et actions précieuses, il émerge souvent un nouveau processus d'écritures croisées qui peut aboutir à de nouvelles formes de spectacle vivant autour de ces deux performances.
Aujourd'hui professionnalisée, Travers en duo et Traverses en quartet se déclinent aussi, dans le cadre de chantiers artistiques en résidence menés en Aquitaine depuis sa première au festival d'Uzeste, en version XXL avec environ 45 artistes sur scène, danseurs·ses, musicien·nes, poètes et chanteurs·ses. Individualités féminines et masculines y sont égalitairement mises à l'honneur sur scène, comme celles amatrices et professionnel·les, jeunes et moins jeunes, migrant·es et non- migrant·es, francophones ou non : l'inclusion et la valorisation de l’individuel, du collectif et du dialogue des différences comme moteurs.
Enfin, Travers et Traverses, et le passage d’une forme à l’autre, entre l’une et l’autre, ont à cœur de créer des points et passages entre différents registres, domaines, mondes et publics, et c’est sûrement pour cela qu'il est souvent aussi joué dans des lieux non-dédiés (extérieurs, médiathèques, bibliothèques, salles de conférences, cours de récré, gymnases, châteaux, chapiteaux, foyers de Mineur·es non accompagné·es, cantines scolaires, salles de classes, gymnases...) : en plus d'une démarche complète de décloisonnement de l'Art de la Recherche et de projets de sortie des Sciences hors des murs de l'Université et de sortie des Arts hors des lieux affiliés, il s’est toujours agi pour nous de le diffuser et de le réfléchir en fonction des territoires, des lieux où on allait et des gens que nous rencontrions.
Pistes pour les ateliers :
« La danse comme catalyse, le geste comme histoire, le corps et le mouvement comme une trace qui se décline individuellement ou en grand groupe cisaillant l’espace et le temps ». À partir de données et supports variés (récits migratoires, chants, analyses scientifiques et surtout débats autour de Travers), nous proposerons (Thierno et Marie) des situations immersives sensibles et sensorielles afin de chercher une forme interactive de chorégraphie collective autour de marches dansées, pas et chorégraphies préparées. Des formes d’ ensembles seront créées à partir de ce qu’on apprend et expérimente ensemble. Des chants et temps de silences réfléchis viendront amplifier et mettre en valeur les mouvements. Au cours de ce processus issu des premières rencontres autour de la résidence du spectacle « Travers », nous articulerons :
- médiation scientifique simple autour des mouvements/cheminements corporels avec participation/ questions des adolescent·es et rapports avec leurs situations de vie plus quotidiennes ;
- expériences de performance immersive à travers le corps et les déplacements contraints et libres
- analyse de l’expérience par les élèves et adultes de leur corps en mouvement avec dimension sensible et émotionnelle
Puis, autour de la résidence et de la représentation initiale du spectacle Traverses, continuité et adaptation de Travers, ces ateliers immersifs engageront des temps de pratique musicale, où il sera question d’écoute, d’amusement, d’individu, de collectif, d’identités, de créer du lien avec le propos chorégraphique déjà exploré.
Les notions musicales de base sont le son et le rythme. Avec ces deux ingrédients cultivés à travers des jeux d’improvisation, de composition et de discussion, l’objectif sera de créer une œuvre musicale liée au contenu du spectacle, au récit corporel choisi, aux regards des adolescent·es sur les deux créations qu’ils·elles auront regardées. On aimera faire développer ou découvrir la pratique musicale et instrumentale collective, en s’appuyant sur un parc d’instruments mis à disposition et sur ceux de notre corps, pour construire en commun des interventions sonores, au service et en collaboration avec le récit de la nouvelle création produite.
Grâce à ces interactions, réflexions et actions précieuses, il s’agira de faire émerger un nouveau processus d'écritures croisées pour aboutir à de nouvelles créations de spectacle vivant issues de Travers et Traverses.
Il sera intéressant de faire vivre et valoriser les lieux phares qui feront vivre le projet en proposant plusieurs formes de restitution au cœur de ces lieux. Nous imaginons par exemple des performance-visite où nous pourrions représenter, avec une, plusieurs ou toutes les classes la ou les nouvelles créations. Cela pourrait fonctionner comme une visite déambulatoire valorisant ces espaces. Les nouvelles créations pourraient aussi se jouer, sous d’autres formes et selon d’autres modalités de rapport à l’espace, dans des espaces culturels connus des territoires et qui font sens pour le projet.
Nos qualités et pratiques créatrices tout autant que nos expériences d’encadrement nous permettent de répondre aux objectifs du projet « Culture en herbe », qui lui, viendrait répondre à nos attentes en termes artistiques et humains dans ces projets de créations croisées et évolutives, Travers et Traverses.
Quelques expériences communes
● Parcours EAC Chemins et territoires avec la Cie Lubat auprès de 16 structures du Sud Gironde, 2019-2022 : trois saisons, une vingtaine d’ateliers de pratiques artistiques et performances immersives auprès de primaires, collèges, lycées et structures ITEP et Prado. Documentaire « Petits Cailloux », sur ces parcours : https://vimeo.com/717508123 https://www.youtube.com/watch?v=TpgTVaFRK00 https://fr.calameo.com/books/006319443e8088602dd77
Les objectifs :
- sensibiliser les participant·es à la création artistique par des actions de médiation, de pratique, de création, de découverte d’un lieu culturel et de rencontres avec des artistes et leurs oeuvres.
- proposer ces actions à des publics variés (scolaires, adultes, hors cadre scolaire ...)
- permettre la collaboration entre ressources du territoire : culturelles, éducatives, naturelles, patrimoniales, sociales
Le projet se décline ainsi :
- Temps de formation : 3 temps de formation de 3 h chacune pour les équipes encadrantes et
pédagogiques
- Ateliers de pratiques artistiques 6 h/classe ou groupe : 8 artistes de la Cie Lubat, de formation artistique différente (danse, musique, vidéo, atelier d’écriture, théâtre) et/ou de formation scientifique, interviennent à plusieurs, proposant une grande offre de possibilités. Ces ateliers permettent aux participant·es d’utiliser des techniques d’expression, de les placer dans un processus de pratique et de création artistique. Ils sont co-construits selon les affinités de chaque groupe en lien avec la démarche artistique d’un binôme d’artistes de disciplines différentes.
- Visite guidée d’un lieu culturel, spectacles, rencontres et échanges avec les artistes
- Restitution des ateliers
● Projet recherche-création Le Chemin mené par F. Assémat, T. Ndiaye, M. Lasserre auprès de/avec jeunes mineurs non-accompagnés des foyer MNA (Mineur·es Non Accompagné·es, 13-18 ans) de Saint-Macaire et La Réole (2018-2019)
Ce projet artistique se veut inclusif et transdisciplinaire et se décline avec des écoles primaires, la class jazz du collège de Monségur, 25 artistes amateurs·rices et professionnel·les (enfants, ados, adultes) du grand Kabarov et du Grands Minus Band
Avec Y. Scheidt (batterie), T. Ndiaye (chorégraphie, danse, chant, verbe), M. Lasserre (verbe, chant, mise en scène) 2019 : 4 mois de rencontre, 2 représentations avril/août
● Projet recherche-création La Commune au Présent, tiré du livre de l'historienne L. Bantigny dirigé par F. Assémat (mise en scène, musique, voix) : projet spectacle voix, musique, danse, mixte et intergénérationnel, avec 25 musicien·nes amateurs·rices et professionnel·les (ados, adultes, enfants du Grand Kabarov et des Grands Minus Band), 2 comédien·nes, 3 danseurs. (regard artistique : M. Lasserre, chorégraphie : T. Ndiaye) : résidence de 6 jours avril et août 2021, 2 représentations
● Nuit de la Création, Lycée Jean Renou : immersions artistiques d’une nuit entière avec des lycéen·nes, création éphémère et restitution le lendemain, lors de la Journée Portes Ouvertes du Lycée : danses, orchestre improvisé, chants, Arts et Migrations
Marie Lasserre et Thierno Ndiaye
Parcours DAAC Exil et migration : commandé par le Rectorat de Bordeaux, collaboration avec le Rahmi, auprès de 2 classes de lycéen·nes de la CUB et 2 classes de collégien·nes (Vérac et Lormont, niveau 4eme), 2021 à 2023
Itinéraires Culturels (« De quel genre tu danses ? ») 2 classes 5 et 4e college Dupaty, Blanquefort et collège de Mios : découverte de différentes dimensions de l’art et de la culture (métiers, pratiques, opportunités d’expression, de créativité, d’épanouissement), intégrer art et culture dans la vie des établissements scolaires et dans les pratiques de la communauté éducative ; ouverture des collèges sur leur environnement culturel, social et local : avril/mai 2022 et avril-juin 2023 24 h d’atelier, restitution.
Itinéraires Culturels (« Exils et migrations »), classe de 5e, Collège de Mios, 12 h atelier et restitution
Projet danse, musique et chants : Découverte d’un pays (Sénégal) par la pratique artistique : 2 mois avec CM1-CM2, école Saint-Morillon, restitution, 2020
Si j'étais toi : exils d'hier et d'aujourd'hui : ateliers d’anthropologie, performances immersives, danses et création, restitution, classes de 4e générale et Segpa, collège Dupaty, Blanquefort : mai/juin 2019 – continuité avec Biennale des Littérature d'Afrique Francophone
Commémoration Abolition Esclavage, Bordeaux, 10/05/21, avec la Cie Fabre/Sénou, collaboration avec des classes de 3e et 2nde (ateliers de création réflexive en rapport à l’Histoire : 3 rencontres) T. Ndiaye : danseur-interprète ; Marie Lasserre : regard scientifique
Cours de danses africaines et chants, adolescent·es : Saint-Morillon, La Réole : 2018-2023
Franck Assémat
Traverses au collège, classe jazz du Collège de Monségur, liens artistiques avec la création Traverses autour d’un orchestre de collégien·nes, 2022-2024
Le Grand Kabarov, orchestre pour tous, ateliers réguliers, performances, bal, fête de la musique, stages, créations
Les Grands Minus Band, orchestres enfants et ados, Saint-Macaire, ateliers et représentations, performances et créations
Ultimo Cielo, reconstitution de la pièce de Battista Lena, harmonie La Réole, 2017, après la direction en 2014 à Paris de cette création pour orchestre d’harmonie.
Ateliers création et composition musicale, lycée Jean Renou, La Réole, depuis 2016 auprès de classes de 2e, 1e, Te, participation Festival des Lycéens, Rocher Palmer, Bordeaux
Ateliers artistiques école primaire Saint Macaire autour de l’installation du plasticien Patrick Deletrez
Projet MatchAller/MatchRetour, l’improvisation comme mode d’expression en partenariat avec l’association L’autre Sens et le Conservatoire des Landes
Yoann Scheidt
Porteur du Projet MatchAller/MatchRetour Ateliers d'improvisation musicale en partenariat avec le conservatoire des Landes : publics adolescents, collèges - 2021/2022
Performances en Instituts médico-éducatifs IME (Carcassonne, Pennautier, Cenne Monestier ) - Cie 3X2+1 : publics enfants et adolescents - depuis 2015
Ateliers de pratique musicale avec l’Organik Orkeztra (Lausanne, Tourcoing, Boulazac, Université Bordeaux Montaigne, Bénin) - Cie LagunArte : publics enfants et adolescents, musiciens amateurs et professionnels
Atelier danse / musique pour enfants et adolescents au Centre Lafaurie Monbadon (Castillon de Castets 33) - 2015
Intervention pédagogique, projet Cheminement (Aude/ Franche Conté / Pays Basque) : publics enfants, ados, adultes – 2010 à 2021
Ateliers, stages, concerts pédagogiques avec Le Trio d’en bas (Gironde, Aude, Herault, Pyrénées Orientales, Bretagne) - 2008 à 2015
Les imagin’actions Eductactives de Cie Lubat et le Conversatoire d’Uzeste : ateliers de rythme, improvisation dans cadre et hors-cadre, collectage et montage sonore sur ordinateur : pour enfants, adolescents (ateliers donnés en collèges) et adultes. 1998 à 2005