The Burning Desire in a Dollar Bill shows how the special interests of media conglomerates and their parent companies mould our latent desires at a young age, later leaving us confused as to whether we are lusting after the sexually charged imagery or the products being advertised. The film argues that the act of purchasing is the strongest aphrodisiac in a capitalist society, leaving open the possibility that a solution to toppling capitalism is to shift our sexual desires from consumerism to political action. The film was created during a residency at Signal Culture using a modified Paik-Abe Raster Manipulation Unit. A running VHS tape was manipulated using a voltage-controlled eurorack modular synthesizer, allowing the object of desire to be distorted, picked apart, and reveal its true form of capitalist allure.

The Burning Desire in a Dollar Bill montre comment les intérêts particuliers des conglomérats médiatiques et de leurs sociétés mères façonnent nos désirs latents dès le plus jeune âge, nous laissant plus tard dans la confusion quant à savoir si nous désirons l'imagerie sexuellement chargée ou les produits faisant l'objet de la publicité. Le film soutient que l'acte d'achat est l'aphrodisiaque le plus puissant dans une société capitaliste, laissant entrevoir la possibilité qu'une solution pour renverser le capitalisme consiste à déplacer nos désirs sexuels du consumérisme vers l'action politique. Le film a été créé lors d'une résidence à Signal Culture à l'aide d'une unité de manipulation de trames Paik-Abe modifiée. Une bande VHS en cours d'exécution a été manipulée à l'aide d'un synthétiseur modulaire eurorack contrôlé par tension, permettant à l'objet du désir d'être déformé, décortiqué et de révéler sa véritable forme d'allure capitaliste.