Bienvenue dans mon univers 

Petite note en guise de préambule : j’adore les fleurs et les plantes, mais je déteste jardiner. 

Je m’appelle Claude Lalao RAKOTOBE. Je vis à Toamasina, sur la côte est de Madagascar. En ce 11 mai 2024, j’ai 41 ans. Dans les petites classes, j’aimais énormément une matière intitulée « Expression écrite ». Au lycée, je suis féru de dissertation. Le bac en poche, je me cherche très longtemps, des années. J’accumule les boulots qui ne m’enthousiasment guère. Je multiple les formations que je suis toujours avec ennui et nonchalance. Puis, en 2009, c’est le déclic. Je sais enfin ce que je veux faire : écrire. Oui, l’écriture m’exalte, me transporte, me passionne, m’enivre. Mais pas l’écriture littéraire. Je ne souhaite pas devenir écrivain. D’ailleurs, autant j’aime écrire, autant je déteste lire. En cet avril 2010, ma décision est prise : je vais verser dans l’écriture et devenir rédacteur. Le destin, lui, a voulu que je sois web rédacteur. Et c’est ainsi depuis 14 ans.

En 2010, je me mets à mon compte sans trop mesurer les risques financiers auxquels je m’expose. Ce qui importe pour moi, c’est de vivre de ma passion en toute liberté, en toute indépendance. Nous sommes en 2024 et j’ai tenu bon malgré des hauts et des bas. J’ai frôlé la faillite. J’ai failli me retrouver sans domicile. J’ai franchi le seuil de moult services contentieux.  J’ai perdu des amis. Des connaissances ont fini par m’ignorer. Mais je suis toujours là, droit dans mes bottes, contre vents et marées. J’ai changé : j’ai vieilli, je me suis adouci, j’ai appris l’empathie, j’ai goûté aux joies de la tolérance et de l’abnégation. Je me suis initié à la méditation pour pouvoir contrôler mes accés de colère, apprivoiser ma susceptibilité, dompter mon hypersensibilité. Moi qui faisais du mensonge mon arme de persuasion, j’ai fini par l’exécrer.  Je suis heureux de manifester mon authenticité : en étant authentique, je n’aurai de compte à rendre à personne plus tard. Je ne cache rien à quiconque souhaite savoir. En un sens, je me suis amélioré. Surtout, j’attends ma mort avec impatience. Et parce qu’elle peut survenir à tout moment, je fais mienne cette phrase de Marc Aurèle : « Voici la morale parfaite : vivre chaque jour comme si c’était le dernier. ». Donc, je vis chaque instant intensément. Il n’y a plus de place pour l’hésitation, pour la procrastination, la colère, le mécontentement, la fatigue, la paresse, la rancune, la frustration, la jalousie. La peur, elle, est toujours présente. C’est normal, c’est humain. Mais c’est sans peur qu’en 2024 je décide de devenir officiellement un spécialiste du Data processing, un rêve que je caressais depuis 2015. Pas de diplôme, pas d’attestation ni de certificat. Juste la passion et l’expérience pour parvenir à mener à bien, dans la confidentialité, chaque mission.

La mort de mes parents, survenue à trois mois d’intervalle le 1er novembre 2021 pour papa et le 05 février 2022 pour maman, a exacerbé cette envie d’embrasser la mort. Car je n’attends plus rien de la vie. Patricia Kaas décrit très bien cette impression : « J’ai vu ce qu’il fallait voir, tout le reste est dérisoire ». Je me donne jusqu’à 45 ans pour quitter ce Monde et dire enfin adieu à la vie. Jusque-là je veux faire des choses exceptionnelles, des choses qui marqueront agréablement l’esprit de mes clients, des choses qui leur feront regretter mes services et leur feront dire « où trouver un prestataire comme lui ? ».

 Conclusion :

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