ACCUEIL au presbytère :
MAISON PAROISSIALE SAINT MARTIN - 34 rue Jacques BLOUET - Guichen
Tél : 02 99 57 01 30
site internet : http//www.paroisseguichen.fr
VISITE DES PERSONNES SEULES OU MALADES
Contact :
Guignen, Mme Claudine Delachaux 06 22 73 32 53
Bourg des Comptes, Mme Elisabeth Bourges 06 17 40 90 58
"Mais il y a d’autres portes qui ne doivent pas non plus se fermer. "
Tous peuvent participer de quelque manière à la vie ecclésiale, tous peuvent faire partie de la communauté, et même les portes des sacrements ne devraient pas se fermer pour n’importe quelle raison. Ceci vaut surtout pour ce sacrement qui est “ la porte”, le Baptême.
L’Eucharistie, même si elle constitue la plénitude de la vie sacramentelle, n’est pas un prix destiné aux parfaits, mais un généreux remède et un aliment pour les faibles (Pape François, Exhortation apostolique Evangelii Gaudium, sur la joie d'annoncer l'Évangile dans le monde d'aujourd'hui).
Tu es un adulte ou un jeune, mais tu n'es ni baptisé ni confirmé. Rien n'est perdu .....
Nous sommes là pour t’aider. Si tu veux, contactez-nous : contact@paroisseguichen.fr ou pawel_samara@wp.pl
Spes non confundit
BULLE D’INDICTION DU JUBILÉ ORDINAIRE DE L’ANNÉE 2025
14. Les personnes âgées méritent des signes d’espérance, elles qui font souvent l’expérience de la solitude et du sentiment d’abandon. Valoriser le trésor qu’elles sont, leur expérience de vie, la sagesse dont elles sont porteuses et la contribution qu’elles sont en mesure d’offrir, est un engagement pour la communauté chrétienne et pour la société civile, appelées à travailler ensemble à l’alliance entre les générations.
J’adresse une pensée particulière aux grands-pères et aux grands-mères qui représentent la transmission de la foi et de la sagesse de la vie aux générations plus jeunes. Ils doivent être soutenus par la gratitude des enfants et par l’amour des petits-enfants qui trouvent en eux enracinement, compréhension et encouragement.
15. J’invoque de manière pressante l’espérance pour les milliards de pauvres qui manquent souvent du nécessaire pour vivre. Face à la succession de nouvelles vagues d’appauvrissement, il existe un risque de s’habituer et de se résigner. Mais nous ne pouvons pas détourner le regard des situations si dramatiques que l’on rencontre désormais partout, pas seulement dans certaines régions du monde. Nous rencontrons des personnes pauvres ou appauvries chaque jour et qui peuvent parfois être nos voisins. Souvent, elles n’ont pas de logement ni la nourriture quotidienne suffisante. Elles souffrent de l’exclusion et de l’indifférence de beaucoup. Il est scandaleux que, dans un monde doté d’énormes ressources largement consacrées aux armements, les pauvres constituent « la majeure partie [...], des milliers de millions de personnes. Aujourd’hui, ils sont présents dans les débats politiques et économiques internationaux, mais il semble souvent que leurs problèmes se posent comme un appendice, comme une question qui s’ajoute presque par obligation ou de manière marginale, quand on ne les considère pas comme un pur dommage collatéral. De fait, au moment de l’action concrète, ils sont relégués fréquemment à la dernière place ». [7] Ne l’oublions pas : les pauvres, presque toujours, sont des victimes, non des coupables.
17. Un anniversaire très important pour tous les chrétiens tombera au cours du prochain Jubilé. En effet, cela fera 1700 ans que le premier grand Concile œcuménique, le
Concile de Nicée, a été célébré. Il convient de rappeler que, depuis les temps apostoliques, les pasteurs se sont à plusieurs reprises réunis en assemblée pour traiter de questions
doctrinales et disciplinaires. Dans les premiers siècles de la foi, les synodes se sont multipliés tant en Orient qu’en Occident, montrant l’importance de préserver l’unité du
Peuple de Dieu et la fidélité à l’annonce de l’Évangile. L’Année Jubilaire pourrait être une occasion importante pour concrétiser cette forme synodale que la communauté
chrétienne perçoit aujourd’hui comme une expression de plus en plus nécessaire pour mieux répondre à l’urgence de l’évangélisation : tous les baptisés, chacun avec son
charisme et son ministère, coresponsables pour que de multiples signes d’espérance témoignent de la présence de Dieu dans le monde.
19. « Je crois à la vie éternelle » : ainsi professe notre foi. L’espérance chrétienne trouve dans ces mots un pilier fondamental. Elle est en effet « la vertu théologale par
laquelle nous désirons comme bonheur [...] la Vie éternelle ». Le Concile œcuménique Vatican II affirme : « Lorsque manquent le support divin et l’espérance de la vie
éternelle, la dignité de l’homme subit une très grave blessure, comme on le voit souvent aujourd’hui, et l’énigme de la vie et de la mort, de la faute et de la souffrance reste
sans solution. Ainsi, trop souvent, les hommes s’abîment dans le désespoir ». Nous, en revanche, en vertu de l’espérance dans laquelle nous avons été sauvés, en regardant le
temps qui passe, nous avons la certitude que l’histoire de l’humanité, et celle de chacun, ne se dirige pas vers une impasse ou un abîme obscur, mais qu’elle s’oriente vers la
rencontre avec le Seigneur de gloire. Vivons donc dans l’attente de son retour et dans l’espérance de vivre pour toujours en Lui. C’est dans cet esprit que nous faisons nôtre
l’émouvante invocation des premiers chrétiens, par laquelle se termine l’Écriture Sainte : « Viens, Seigneur Jésus ! » ( Ap 22, 20).
20. Jésus mort et ressuscité est le cœur de notre foi. Saint Paul, en énonçant en peu de mots - avec seulement quatre verbes - ce contenu, nous transmet le “noyau” de notre
espérance : « Avant tout, je vous ai transmis ceci, que j’ai moi-même reçu : le Christ est mort pour nos péchés conformément aux Écritures, et il fut mis au tombeau ; il est
ressuscité le troisième jour conformément aux Écritures, il est apparu à Pierre, puis aux Douze »( 1 Co 15, 3-5). Le Christ est mort, a été mis au tombeau, est ressuscité, est
apparu. Il a traversé le drame de la mort pour nous. L’amour du Père l’a ressuscité dans la puissance de l’Esprit, faisant de son humanité les prémices de l’éternité pour notre
salut. L’espérance chrétienne consiste précisément en ceci : face à la mort, où tout semble finir, nous recevons la certitude que, grâce au Christ, par sa grâce qui nous est
communiquée dans le Baptême, « la vie n’est pas détruite, elle est transformée » pour toujours. Dans le Baptême, en effet, ensevelis avec le Christ, nous recevons en Lui,
ressuscité, le don d’une vie nouvelle qui brise le mur de la mort et en fait un passage vers l’éternité.
Et si devant la mort, séparation douloureuse qui nous oblige à quitter nos affections les plus chères, aucune rhétorique n’est permise, le Jubilé nous offrira l’occasion de
redécouvrir, avec immense gratitude, le don de cette vie nouvelle reçue dans le Baptême, capable de transfigurer le drame. Il est important de penser à nouveau, dans le
contexte du Jubilé, à la manière dont ce mystère a été compris dès les premiers siècles de la foi. Pendant longtemps, par exemple, les chrétiens ont construit les fonts
baptismaux en forme octogonale et, aujourd’hui encore, nous pouvons admirer de nombreux baptistères anciens qui conservent cette forme, comme à Rome, à Saint-Jean-de-
Latran. Cela indique que, dans les fonts baptismaux, un huitième jour est inauguré, le jour de la résurrection, le jour qui dépasse le rythme habituel marqué par l’échéance
hebdomadaire, ouvrant ainsi le cycle du temps à la dimension de l’éternité, à la vie qui dure pour toujours. Tel est le but vers lequel nous tendons dans notre pèlerinage
terrestre (cf. Rm 6, 22).
Pour participer financièrement aux dépenses de la paroisse : sur quete.catholique.fr ou via l'application : appli-laquete.fr (détail dans l'onglet "l'actualité de la paroisse")
Paroisse Saint-Martin en Pays de Guichen, 34 rue Jacques Blouet, 35580 Guichen
tel : 02 99 57 01 30 courriel : contact@paroisseguichen.fr
BOURG DES COMPTES : tous les mardis à 10h30
GUIGNEN : Tous les lundis à 10h45 (sauf vacances scolaires)
LASSY : lundi 16 juin à 18h30 (1 lundi sur 2)