Pour écouter, un clic sur le bouton vert et pour télécharger les textes des chansons, un clic sur le titre La chanson des PériPattes Sur nos gambettes Sans les nommer La gadoue
La chanson des PériPattes
sur l'air de "La Chenille"
(La Bande à Basile)
Les PériPatt’s, bien peinards,
Sont en ligne pour le départ ;
Bien plantée sur ses panards,
V’là la chenill’ qui se prépare !
Attache ton sac à dos,
Nous démarrons moderato ;
Pressons le pas peu à peu,
En restant à la queue leu leu.
Qui march’ toujours content,
Avec nous tout le temps,
C’est notre Jacquou le Trottant,
Le fils du Père Igor,
D’une mèr’ qu’il adore :
Mar Chapied qui trottine encore.
Et quand on se repose,
Qu’enfin on fait la pause,
Nombreux PériPattes proposent :
Gingembre et fruits confits,
Dattes, figu’s et biscuits,
Qui nous redonn’nt de l’énergie.
Les PériPatt’s, bien peinards,
Sont en ligne pour le départ ;
Bien plantée sur ses panards,
V’là la chenill’ qui se prépare !
Attache ton sac à dos,
Nous démarrons moderato ;
Pressons le pas peu à peu,
En restant à la queue leu leu.
Qu’on soit sous les feuillages,
Sur un vert pâturage,
Ou dans les rues d’un p’tit village,
Notre gaie farandole,
Tout en marchant, rigole…
Grand merci à nos bénévoles !
Fi de la performance,
On marche avec confiance
Dans le Périgord et en France ;
On n’ se prend pas la tête,
On a l’esprit en fête,
Dit’s le vous, saperlipopette !
La chenille, la chenille,
La chenille, la chenille,
La chenille, la chenille,
La chenille, la chenille,
Les PériPatt’s, bien peinards,
Sont en ligne pour le départ ;
Bien plantée sur ses panards,
V’là la chenill’ qui se prépare !
Attache ton sac à dos,
Nous démarrons moderato ;
Pressons le pas peu à peu,
En restant à la queue leu leu.
Sans les nommer
sur l'air de "Sans la nommer"
(Georges Moustaki)
Je voudrais, sans les nommer,
Vous parler d'elles,
De ces rondes programmées,
Habituelles,
Dans la senteur des forêts,
Des pâturages,
Dans les lieux les plus secrets
Des p’tits villages !
Ce sont ell’s que l'on attend,
En espérant le beau temps,
Ce sont ell’s qui nous maintiennent
En forme, pour la semaine,
Ce sont ell’s qui, Dieu merci,
Allègent tous nos soucis,
Qui, des tracas, nous délivrent,
Qui donn’nt envie de poursuivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans les nommer,
Leur rendre hommage,
À ces heures animées
De bavardages,
Quand la troupe bien plantée
Sur ses deux jambes,
Déambule, en liberté,
Où bon lui semble !
Ce sont ell’s que l'on attend,
En espérant le beau temps,
Ce sont ell’s qui nous maintiennent
En forme, pour la semaine,
Ce sont ell’s qui, Dieu merci,
Allègent tous nos soucis,
Qui, des tracas, nous délivrent,
Qui donn’nt envie de poursuivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans les nommer,
Vous parler d’elles,
Par temps clair ou embrumé,
Toujours très belles,
PériPatt’s, l’aviez, pardi,
Bien deviné :
C’est l’ dimanch’, mardi, jeudi,
Nos randonnées !
Ce sont ell’s que l'on attend,
En espérant le beau temps,
Ce sont ell’s qui nous maintiennent
En forme, pour la semaine,
Ce sont ell’s qui, Dieu merci,
Allègent tous nos soucis,
Qui, des tracas, nous délivrent,
Qui donn’nt envie de poursuivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Ce sont ell’s que l'on attend,
En espérant le beau temps,
Ce sont ell’s qui nous maintiennent
En forme, pour la semaine,
Ce sont ell’s qui, Dieu merci,
Allègent tous nos soucis,
Qui, des tracas, nous délivrent,
Qui donn’nt envie de poursuivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout,
Jusqu'au bout, jusqu'au bout,
Jusqu'au bout, jusqu'au bout…
La gadoue
sur l'air de "La Gadoue" (Petula Clark)
Depuis des jours, il pleut beaucoup ;
On appréhend’, on vous l’avoue,
De randonner dans la gadoue
La gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue.
Ça nous fatigue les genoux,
En trébuchant, on crie boudiou,
Tel’ment ça gliss’ dans la gadoue
La gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue.
Voilà qu’il pleut
À qui mieux mieux
Sortons nos cap’s de pluie
Puis
Couvrons nos sacs,
Et dans les flaques,
Nous voilà repartis !
On doit ruser comme des sioux,
Bien viser les petits cailloux,
Ne pas s’ vautrer dans la gadoue
La gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue
Des guêtres serv’nt de garde boue,
Mais faudrait des chaussur’s à clous
Pour bien s’ancrer dans la gadoue
La gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue.
Les femmes ne font pas la moue
Quand se tend vers ell’s, tout à coup,
La main secourabl’ d’un gars doux
D’un gars doux, d’un gars doux,
d’un gars doux,
Hou, d’un gars doux, d’un gars doux
Voilà qu’il pleut
À qui mieux mieux
Sortons nos cap’s de pluie
Puis
Couvrons nos sacs,
Et dans les flaques,
Nous voilà repartis !
On sait qu’au prochain rendez-vous,
On sera là à tous les coups,
Mêm’ si l’on march’ dans la gadoue
La gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue, la gadoue
Hou, la gadoue, la gadoue… (ad libitum)
Sur nos gambettes
sur l'air de "La Bicyclette"
(Yves Montand)
Nous PériPatt's, en randonnée,
De journée ou demi-journée,
Sur nos gambettes,
Il nous faut marcher alignés,
Tell’s des chenill’s, sans rechigner,
Et ne mêm’ plus voir dépasser
Un’ seule tête ;
Il faut, armés d’un grand courage,
Être à l’heure au covoiturage,
Sur nos gambettes,
Vu que sur les chemins de terre,
On a souvent vécu l’enfer,
Menés de façon militaire…
À la baguette
Et tout d’un coup la débandade,
Voilà que partout ça gambade,
C’est la cueillette,
La mise en sac de provisions,
De noix, de figu’s, de champignons :
De cèp’s et de pieds de moutons…
Et de trompettes…
On cueille des bouquets de houx,
De primevèr’s et de coucous,
De pâquerettes…
Pour mettre fin aux va-et-vients,
Il faut reprendr’ la troupe en main,
Ressortir en un tournememain…
La chèr’ baguette !
Soudain la paus’, qu’on apprécie,
On court soulager sa vessie
Dans sa cachette ;
D’aucuns contempl’nt le paysage,
Prêtent l’oreille au doux ramage,
Parlent de leur dernier voyage,
De leurs emplettes ;
D’autres surveillent leur vitesse,
Lorgnent l’écran du GPS,
Dès qu’on s’arrête ;
Vienn’nt les annonc’ tant redoutées Longueur, horair’, dénivelé…
Combien de petites montées,
De côtelettes ?
Des gens sympas, lors des randos,
Nous offrent des petits gâteaux
Et ça c’est chouette ;
On se retrouv’ le coeur chantant,
Attablés, à chaque printemps,
Pour travailler, en mastiquant,
De la fourchette ;
Que les Jacquous et les Jacquottes,
À jamais, sur les chemins, trottent,
Le coeur en fête ;
Qu’encore longtemps nous randonnions,
Même si c’est… en rang d’oignons,
Au sein de notre association…
Sur nos gambettes.