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Florence Mury est docteure en géographie. Depuis 2023, elle est en postdoctorat au CNRS à la Maison des Sciences de l’Homme du Pacifique (Tahiti). Elle assure le co-pilotage du SOSI « Observatoire des héritages du Centre d’Expérimentation du Pacifique » et est rédactrice en cheffe du Dictionnaire historique du CEP [en ligne]. Ses publications actuelles portent sur les mobilités en Polynésie française depuis l’implantation du CEP et les asymétries mémorielles liées aux essais nucléaires.
https://hal.science/search/index/?q=*&authIdPerson_i=1234320
Camille Bouko-Levy est doctorante contractuelle à l'Institut d'études politiques de Toulouse, en droit public, rattachée au Laboratoire des Sciences Sociales du Politique. Ses recherches actuelles portent sur la justice environnementale dans les territoires ultramarins français à partir du cas des pesticides de synthèse, sous la direction de la Professeure Christel Cournil. Elle analyse la manière dont la norme relative aux pesticides de synthèse est fabriquée (ou non), appliquée (effectivité) et réceptionnée (efficacité, contentieux, politiques publiques) dans les "outre-mers". Diplômée de deux masters, en droit de l'environnement et en sciences politiques (transition écologique, risques, santé), elle a précédemment écrit un mémoire de fin d'études portant sur le chlordécone et les enjeux relatifs à la notion de réparation.
Eirann Cohen est doctorante en littérature française à l’Université de New York (NYU). Ses recherches portent sur les représentations du jardin créole dans la littérature et l’art des femmes-écrivaines et artistes de la Caraïbe française. En croisant la pensée féministe et décoloniale, sa thèse considère les diverses formes de résistance dans l’espace du jardin créole. Elle effectue également ses recherches à l'Université des Antilles à Schœlcher, Martinique au Laboratoire PHEEAC (Pouvoirs, Histoire, Esclavage, Environnement, Atlantique, Caraïbe). Eirann est co-créatrice du projet numérique Ecologies Entrelacées, ressource collective qui thématise le lien entre environnement et genre dans la Caraïbe française.
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Catherine Benoît est professeure d’anthropologie à Connecticut College (États-Unis) et chercheure affiliée au laboratoire CeRCLeS/EHESS Marseille. Ses travaux les plus récents portent sur les nécropolitiques migratoires aux frontières des départements ultramarins français en particulier dans la Caraïbe (Guyane, Saint-Martin) et l’archipel des Comores.
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Blandine Salla est doctorante en anthropologie à l’EHESS, rattachée au Centre de recherche sur les circulations, les liens et les échanges (CeRCLEs). Sa recherche actuelle porte sur les circulations et les pratiques économiques associées aux remèdes à base de végétaux en Guadeloupe. A travers ces pratiques, elle interroge les implications sociales et politiques des remèdes sur le territoire. Ce travail s’inscrit dans la continuité d’une précédente recherche menée entre 2018 et 2020 sur le secteur des produits thérapeutiques en Haïti.
Marc-Alexandre Tareau est ethnobotaniste et anthropologue de la santé, en poste au CHU de Guyane. Ses recherche portent principalement sur les ethnomédecines des populations afro-descendantes du Plateau des Guyanes et de la Caraïbe. Il aborde ces pharmacopées sous l'angle de leurs dynamiques, notamment en contexte d'interculturalité, de transfrontalité et d'urbanité. Il est également le co-président de l'association Mélisse (associationmelisse.org) qui œuvre dans le champ de la transmission culturelle et de la vulgarisation scientifique.
Clarisse Ansoe-Tareau est médiatrice culturelle et en santé en Guyane. Petite-fille de chef coutumier ndjuka, elle est fortement engagée au sein de l'association Mélisse (associationmelisse.org) qu'elle co-préside et où elle mène un véritable combat pour préserver et transmettre les modes de relationnalité qui existent entre les Businenge et leur milieu végétal (pratiques, savoirs et représentations ethnobotaniques).
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Ricardo Poiwi est est patient dialysé, d'origine Kanake, résidant à la Foa en Kanaky-Nouvelle Calédonie.
Samuel Tracol est agrégé d'histoire, doctorant à Sorbonne Université (CRHXIX). Sa thèse porte sur les agents de l'administration pénitentiaire en Guyane, incluant les médecins et officiers de santé affectés aux bagnes. Il est co-fondateur du groupe de recherche international et pluridisciplinaire CoPALC, Colonisation Pénitentiaire en Amérique latine et aux Caraïbes.
Alexandre Getenet est doctorant contractuel en histoire moderne à Sorbonne université, rattaché au Centre Roland Mousnier.
Ses recherches portent sur l'histoire coloniale et l'histoire sociale de la santé dans l'empire colonial français d'Ancien régime, dans le cadre d'une thèse intitulée "Administrer la santé dans l'empire colonial français 1630-1789" sous la direction de François-Joseph Ruggiu et Isabelle Robin, mobilisant des sources normatives et des correspondances d'administrateurs pour déterminer le rôle de l'Etat monarchique dans la constitution des systèmes de santé des colonies ultramarines aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Marie Brualla Challet est attachée temporaire d'enseignement et de recherche en histoire contemporaine à l'Université de Montpellier Paul-Valéry et chercheuse associée au laboratoire CRISES.
Docteure en histoire, ses travaux porte sur l'histoire de la médecine et de la santé en Océanie française aux XIXe et XXe siècles, et s'attachent à mettre en lumière les effets de la situation coloniale sur la construction et la diffusion de savoirs médicaux et sur les pratiques sanitaires et les politiques de santé publique. Ses projets de recherche entendent interroger l'idée d'un "panocéanisme sanitaire" post 45 à travers l'étude de l'intégration des anciennes colonies françaises du Pacifique, devenues territoires d'outre-mer, dans des réseaux de recherche médicale régionaux et internationaux et dans un contexte où se mêlent impérialisme français, influence américaine et décolonisation.
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Lucile Hervouet est sociologue de la santé. Ses travaux documentent les politiques publiques, les pratiques professionnelles et les expériences des personnes concernées.
En Polynésie française, elle a travaillé sur les violences intrafamiliales, sur le pluralisme thérapeutique ou sur la prévention des maladies chroniques. Son regard se porte sur les mécanismes d'altérisation et de culturalisation des comportements de santé.
Actuellement elle est chercheuse contractuelle à la Maison des Sciences de l'Homme du Pacifique (Université de la Polynésie française).
Constance Rullier-Maugüé est une ancienne étudiante du master Territoires, Espaces, Sociétés (TES) de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS). Pour son mémoire de Master, elle a étudié la campagne "1, 2, 3 bass", une politique de limitation des naissances déployée dans le territoire ultra-marin de Mayotte entre 1996 et 1998. Elle cherche aujourd’hui à obtenir une bourse de thèse en géographie de la santé afin d'effectuer une recherche sur les inégalités de santé périnatales sur le territoire de Mayotte.
Victor Campolo est doctorant en histoire à l'EHESS, affilié au Centre Alexandre Koyré. Ses recherches actuelles portent sur les enjeux démographiques et sanitaires en Guyane française et dans le Territoire de l'Inini, en faisant une généalogie des discours sur l'extinction des peuples autochtones et en travaillant à une histoire sociale des savoirs de gouvernement. Son travail doctoral rend compte des implications des politiques de contact menées parallèlement par les agents de l'Etat, notamment les médecins, et les missionnaires catholiques en direction des populations amérindiennes et businengue. Il étudie aussi les stratégies politiques et territoriales de ces sociétés envers le monde colonial entre 1925 et les années 1960.
Jim Sion est doctorant en histoire et sociologie des sciences et techniques (STS) à l'Université Paris Cité. Ses recherches actuelles portent sur les transformations agricoles et alimentaires de l’île de La Réunion depuis la "départementalisation" (1946). Il analyse les visions d’avenir qui ont façonné le système agri-alimentaire, à travers l’étude de la recherche scientifique et des politiques publiques. Diplômé en études créoles et en ethnomédecine, il a précédemment conduit une enquête ethnographique sur l’évolution des discours et des pratiques liés aux savoirs "traditionnels" sur les plantes médicinales.
Alice Servy est maîtresse de conférences en anthropologie sociale et culturelle au laboratoire SAGE, à Strasbourg. Ses recherches en Océanie, plus précisément au Vanuatu et en Polynésie française, visent principalement à comprendre la manière dont se produisent et se transforment les discours et les pratiques liées à la santé (prévention des infections sexuellement transmissibles, expériences des cancers et des évacuations sanitaires, etc.). A l’Université de Strasbourg, elle enseigne notamment dans la formation sciences sociales et santé, pour des étudiants souhaitant accéder aux études de santé.
Dimitri Béchacq est chargé de recherche CNRS en anthropologie sociale et ethnologie, membre de l'UMR 8053 PHEEAC (Pouvoirs Histoire Esclavages Environnement Atlantique Caraïbe) en Martinique, et pilote du concours Ma Thèse en Manga. D’abord consacrées à l’analyse des pratiques du vodou en Haïti et dans la diaspora, ses recherches portent sur l’histoire sociale et politique des expériences migratoires haïtiennes dans la Caraïbe, dont les Antilles françaises, et, plus largement, sur l’articulation entre les questions de mobilité, d’immobilité et les problématiques environnementales et sanitaires. Il travaille actuellement sur la pensée de l’hérédité et la politisation de la race à partir du séjour du couple Césaire en Haïti en 1944, et sur une analyse de la gestion de la migration haïtienne dans la Caraïbe à partir des archives diplomatiques.
Liam Lancreot est médecin de santé publique, travaillant pour l'Agence Régionale de Santé PACA.
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Ancienne militante associative, Charlotte Floersheim est doctorante en anthropologie à l'Ideas-CRNS-Aix Marseille Université et au Sesstim-INSERM-Aix Marseille Université. Ses recherches portent sur la lutte contre le sida en Guyane et en France hexagonale. Elle traite des questions de santé, de genre, de colonialité, de violences et des mobilisations associatives.
Ary Gordien est anthropologue, chargé de recherche au CNRS (URMIS). Ses travaux portent sur les usages sociaux et politiques du nationalisme, de la race et de l'ethnicité en Guadeloupe et en Jamaïque et aux sociabilités festives et militantes LGBT+ antillaises d'île-de-France et afrodescendantes de Marseille.
Rubis Le Coq est anthropologue de la santé. Son travail document les expériences citoyennes de la santé et les héritages coloniaux dans la manière s'organise la santé et les rapports de pouvoirs entre individus.
Elle a notamment conduit une recherche doctorale documentant l'expérience populaire de l'épidémie d'Ebola en Guinée Conakry.
Actuellement elle est postdoctorante dans un projet interrogeant les liens entre chlordécone et cancer de la prostate en Martinique et en Guadeloupe.
Elle est basée en Martinique et est rattachée à l'IRISSO (Paris-Dauphine).