Il permet de revoir les exercices pour se recaler dessus selon les priorités.
Il ne peut servir à établir un diagnostic ou à l'évaluation d'une situation donnée.
Cela ne peut être fait qu'en entretien individuel.
Les écrits et podcasts permettent une compréhension de situations et de problématiques définies, et pour illustrer une réflexion plus générale.
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Il est difficile de savoir rapidement et de façon claire l'orientation à prendre pour une carrière professionnelle. Les méthodes classiques répondent de façon partielle, car le discernement regarde la forme et non pas le fond.
Nous parlons ici de ce qu'il y a de plus radical dans la personne, ce qui la motive, ce qui l'attire, ainsi que la façon dont elle réfléchit. De fait, quel que soit ses choix, sa manière de penser ne changera pas. C'est ici qu'il faut de la finesse pour mettre en lumière l'originalité de la personne, sa structure propre.
Grâce à cela, le choix de l'orientation va devenir évident, car on sépare l'essentiel, du secondaire et de l’accidentel.
Beaucoup de jeunes ont essayé avec succès notre approche. Cela leur a permis de réorienter leur choix ou au contraire de les affirmer dans des moments de doute
Nous avons vu les 7 expériences fondamentales de la personne humaine. Nous en avons explicité les finalités pour chacune d'elles, c'est-à-dire ce que la personne poursuit à travers elle, son but. Voyons maintenant les étapes qui permettent d'atteindre ces différents buts, car c'est le troisième élément qui est impliqué. Pour chacun des objectifs, que ce soit dans le travail, dans la relation morale ou dans la communauté, il y a forcément des étapes à passer pour atteindre le but poursuivi. Par exemple, pour réaliser un travail dans une autonomie, il faut avoir l'idée de ce qu'il faut faire. C'est impossible sans expérience au départ. Il y a ainsi une sorte d'ordre génétique des expériences. L'expérience de la matière, l'idée de ce qu'il faut faire, et enfin sa réalisation concrète. Mais pour la réalisation, il faut des moyens matériels et une compétence. Ainsi, à chaque étape de la réalisation, il y a des qualités nécessaires pour passer à l'étape suivante. En éthique, dans la relation à l'autre, c'est la même chose. Pour s'engager avec une personne, il faut la choisir de façon lucide. Concrètement, Il faut bien la connaître avant, ce qui va demander du temps. Et pour s'engager avec elle, il va falloir acquérir soi-même les qualités qui permettront une vie commune. Il faudra donc une maturité. On retrouve donc ces étapes à passer quelles que soient les expériences. Ces étapes sont absolument incontournables pour atteindre le but poursuivi. Apparemment, ces explications sont des évidences, mais c'est justement là l'intérêt. Tant que l'on est dans le réel, la réalité, l'expérience objective permet ces évidences, et donc des repères immuables. À une époque où tout est relatif, où la vérité est question d’opinion, il est bon de revenir au réel pour constater que lui ne l'est pas : il est, et il ne change pas. Il rythme notre vie réelle, et c’est à nous de nous appuyer sur lui pour que nous ayons la stabilité que nous recherchons dans toutes nos expériences afin atteindre nos objectifs
La méthode Vittoz intervient pour éduquer notre réceptivité objective à l'égard du réel pour ensuite interagir librement avec lui.
Après avoir catégorisé l'expérience, il faut maintenant regarder sa finalité propre. C'est-à-dire ce que la personne poursuit à travers elle, ce qu'elle attend, quel est son objectif, son but, sa finalité. Effectivement, l'attente dans le travail n'est pas la même que dans la relation à l'autre ou dans une coopération à plusieurs. Ainsi chaque expérience type se distingue par sa finalité propre. Il y a donc 7 objectifs, 7 finalités différentes.
La première dans le travail est d'accomplir, de réaliser une œuvre, une tâche en transformant une matière réelle ou virtuelle à partir d'une idée que l'on a.
La seconde dans l’éthique est d'être avec l'ami, la personne aimée. Il s'agit de rechercher et de conserver sa présence.
La troisième dans la coopération et la recherche d'un bien commun pour tous et de chacun en particulier.
La 4e, la vie, est de vivre pleinement et de pouvoir croître, de connaître et comprendre son fonctionnement et ses limites.
La 5e est le mouvement. C'est particulier ici, car sa finalité est le mouvement lui-même. Pour l'homme, c'est d'intégrer le devenir permanent du monde dans lequel il vit, la nature, la matière où tout bouge et où il doit connaître ce mouvement et ses lois, c’est le fonctionnement de la matière et de la nature.
La 6e expérience est le fait d'exister. C'est la perception de son originalité et de sa différence avec un autre que lui. Il y a en chacun une individualité propre, une identité spécifique, une existence que lui seul perçoit et qui est unique.
La septième dimension est la transcendance. Sa finalité c'est l'adoration religieuse. L'homme, quelles que soient les cultures, exprime des croyances qui traduisent la dépendance à l'égard d'un être premier, d'une cause première qui explique tout et conduit tout.
Tout ce que nous faisons et vivons se résume à 7 expériences fondamentales. Ce sont les points de départ de tout le discernement pour comprendre ce que nous vivons. En permanence nous cherchons à comprendre, à être sûr ou plus efficace. Le point de départ de toutes ces interrogations est l'une de ces 7 expériences. Nous abordons la réalité par l'une de ces 7 portes. C'est pourquoi quand une personne se pose une question sur elle-même, ses choix, ses talents et ses objectifs, la première chose est de repérer précisément dans quel type d'expérience, dans quel domaine nous sommes. Souvent en effet il y a un flou pour la personne elle-même, ce qui suscite en elle doutes et questionnements.
Quelles sont donc ces 7 expériences qui structurent notre vie ?
La 1ere expérience et celle du travail, enfant c'est le jeu.
La 2nde, c’est l'éthique, la relation à l'autre, l'amitié et l'amour.
La 3ème, c’est la coopération, comment à plusieurs nous pouvons poursuivre un bien commun, en famille, en société, ou au niveau d'une nation. C’est la politique.
La 4eme, c'est la vie elle-même, notre corps, nos opérations vitales, leurs spécificités, leurs fonctionnements et leurs limites
La 5eme, c'est le mouvement : l’environnement, dans lequel nous évoluons sa dynamique, sa dimension matérielle, ses lois.
La 6eme c'est l'être, notre existé propre, notre identité notre originalité, notre individualité, notre être existant dans son originalité, et différent d'un autre.
Enfin la 7eme est la dimension religieuse avec la transcendance, ce sont les croyances que l'on retrouve dans toutes les cultures et les civilisations quelques soient les époques.
Comment sommes-nous fait ? Nous recherchons un mieux, un état meilleur, quelque chose “de plus”. Il y a en nous un mouvement vers quelque chose qui nous attire et qui produit en nous un état sans cesse meilleur, un état de plus en plus parfait. Cet état meilleur que nous recherchons, nous l'atteignons que grâce à un autre. L'amour n'est possible que grâce à l'être aimé. Savoir et connaître n'est possible qu'en observant et en étudiant la réalité qui nous entoure. Vivre n'est possible que grâce à l'air que nous respirons et à l'aliment que nous mangeons.
Ce mouvement vers le meilleur, vers cet état de plus en plus parfait qui nous attire n'est possible que parce qu'il y a une réalité autre que nous, extérieure à nous, qui nous permet de l'atteindre. Nous allons donc naturellement vers cet autre. Pour y arriver, c'est donc le mouvement inverse de l'introspection et de la méditation, c'est l'écoute…
Vous voulez aimer ? Vous voulez connaître ? Vous voulez vivre ? Vous voulez bouger ? Vous voulez être ? Ce sont les 5 modalités de ce que nous recherchons tous. Cela nous attire, c'est plus fort que nous. Irrésistiblement, nous allons vers cela. Mais sur notre route nous rencontrons des obstacles et nous devons les dépasser. On est face à des limites qui nous obligent à trouver des solutions pour dépasser ces blocages. Mais s'il y a des blocages et des limites, c'est qu'il y a un ordre à suivre. Sans ce cadre, cela ne se fait pas. Le cadre est ce qui permet la relation, la rencontre, la vie. Le point de départ est que l'ordre préexiste. Dès que nous ouvrons les yeux, l'ordre apparaît : le ciel et la terre, le haut et le bas. C'est la première représentation d'un cadre et d’un ordre. Il montre l'existence de règles et de lois que l'on doit suivre pour comprendre le monde extérieur, entrer en relation, et y vivre. Sans cela, c'est impossible. L'éducation va consister à transmettre ces règles pour que l'enfant ait la prudence, et donc la connaissance pour être un adulte autonome dans ce monde extérieur.
Cette simple explication montre comment toutes les théories refusant un cadre ou un ordre préexistant conduisent automatiquement un isolement. Au lieu de l'amour, la personne se retrouve seule, au lieu d'une vérité objective elle navigue dans des vérités relatives ou rien n'est vrai et bascule petit à petit dans l’angoisse. Sa vie est diminuée car les mécanismes physiques ne sont pas respectés : elle fait n’importe quoi et le corps lui renvoie la note. Sa dynamique est bloquée, car elle n'a plus de sens. La personne devient passive. Elle perd également son identité et son originalité. La lumière s'éteint petit à petit..
Il faut donc revenir au réel par l'expérience concrète et remettre l'ordre préexistant en soi pour s’ajuster à l’autre dans l’environnement. C'est la méthode Vittoz…
Nous ne parlons pas de ce qui est important pour nous. Il y a un secret dès que quelque chose a de l'importance dans nos vies. Quand nous aimons une personne, le lien avec elle n'est compris que par nous deux seulement. C'est exclusif, c'est secret. Pour les deux personnes qui le vivent, c'est unique. L'amour implique donc un secret qui lie les deux personnes qui s'aiment. Une personne malveillante, elle, veut toujours connaître les secrets des autres. C'est une sorte d'obsession. On retrouve cela à tous les niveaux. Or l’effet du secret c'est le silence… Et c'est encore le silence qui se manifeste quand nous aimons la personne en étant simplement avec elle, en sa présence. On ne parle plus, on écoute. Aussi, dès que l'on revient au présent, et que l'on rentre dans l’écoute de la réalité, elle nous livre ses secrets. Ceux qui ont fait le travail en Vittoz en témoignent. Ils découvrent qui ils sont et ils rentrent dans la dimension secrète de leur intériorité. Il y a une véritable relation de complémentarité qui s’établit avec le réel, et qui n’est comprise que par celui qui l’écoute. La personne ne livre plus ses secrets, et va avoir une force nouvelle. De fait, on voit aujourd'hui que tout le monde dévoile sa vie sans retenue. Il n'y a plus de pudeur, on livre ses secrets. Psychologiquement, les personnes deviennent fragiles, car en livrant leur secret, elles se livrent elle-mêmes. Elles perdent leur force, leur identité. Tous éprouvent un profond mal-être, témoignent être sans dynamique réelle autre qu’une agitation.
La rééducation de la réceptivité par la sensation va permettre de refaire l’unité, retrouver son identité propre et sa force, gérer son intériorité pour la relation stable…
Je voudrais montrer aujourd'hui un aspect un petit peu particulier de la vie au présent. Plus nous sommes réceptifs à la réalité qui nous entoure, plus notre alignement intérieur est en place. Cela va ouvrir sur le choix et l'engagement. Vittoz décrit cela lorsqu'il traite des mécanismes de la volonté. On ne peut vouloir que ce que l'on connaît. Tout le mécanisme de la mise en place de l'acte volontaire passe donc par l'ajustement de la réceptivité pour saisir précisément l'objet du vouloir. C'est l'apprentissage de la méthode avec ses trois étapes, réceptivité, concentration et volonté. On va découvrir que le sommet de la présence est lié à la responsabilité morale de la personne. Effectivement, lorsque nous aimons une personne, nous recherchons sa présence et nous voulons lui être présent. Le sommet est l'engagement du mariage, car au-delà du changement quotidien et des aléas de la vie, nous portons un choix absolu et définitif sur une personne précise. C'est le plus haut niveau de présence possible: c'est l’effet de l'amour. De plus, celui qui aime découvre son identité propre en aimant, car l'être aimé lui révèle qui il est. C'est la complémentarité au niveau identitaire.
Si on a ici l'état de présence le plus parfait, c'est lui qui va également donner la lumière sur ce qu'est à contrario l'état imparfait. En effet, si le sommet de l'engagement moral va être la recherche de la présence, inversement, un problème de présence va signaler une fuite morale sous-jacente. Il s'agit bien d'une fuite de la responsabilité morale. Mais il faut en saisir ici la particularité. La fuite de la responsabilité morale n'est pas de se défiler devant ses responsabilités personnelles d’individu dans une communauté donnée, mais c'est la difficulté d’assumer une responsabilité morale pour un autre. On est incapable de s'engager. C'est comme si il y avait une peur, ou comme si on se sentait indigne.
La particularité quand cela vient bloquer la vie au présent dans tous ses aspects, c'est que l'on n'arrive plus à entrer en relation avec son environnement. Il y a une blessure en amont qui verrouille cette présence à l'autre dans les diverses modalités de la responsabilité.
Il y a donc un lien entre la qualité de la présence et la responsabilité morale qui implique l'engagement.
Selon l'âge auquel a eu lieu le blocage, la personne éprouve diverses difficultés à vivre dans le présent et à établir une relation avec l’autre.
La méthode Vittoz va permettre de rétablir le lien avec réel dans le présent pour faire sauter le verrou qui empêchait la relation et générait un profond mal-être.
Dès que je suis présent à la réalité, que j'ai conscience d'être ici et maintenant, je prends conscience de plusieurs informations. D'abord de la réalité, le fait qu'elle existe. Puis que je suis présent, que j'existe face et dans cette réalité. Être conscient implique cette saisie au départ de ces deux informations, l'existence de l'autre et l'existence de soi au même moment. Faites l'expérience d'être conscient, présent à ce que vous faites et vous aurez ces deux points, l'autre et vous.
L'effet va être de prendre conscience de la séparation entre l'autre et vous. Vous allez sentir qu'il y a un espace, une distance entre l'autre et vous. C'est grâce à cette prise de conscience que peut avoir lieu la dėfusion émotionnelle. On le voit avec l'âge de raison où l'enfant prend conscience de son existé propre et commence à sentir sa responsabilité. Le mécanisme est donc le suivant : en posant des actes conscients, on prend conscience de la différence entre la réalité et soi-même. Cela ouvre sur la perception de sa propre liberté, et sur le ressenti de sa liberté intérieure. Cette prise de conscience de l'autre et de soi, de la séparation entre les deux, va donner la lumière sur la partie émotionnelle qui est vécue dans une expérience donnée. C'est-à-dire qu’en ayant conscience de la séparation d'avec l'autre, vous allez avoir également conscience de votre projection affective. Donc en percevant la distance entre l'autre et vous vous allez défusionner, et pouvoir resituer dans le temps un vécu affectif lié à une expérience particulière. C'est-à-dire un cliché affectif passé qui vient perturber votre liberté dans l’expérience actuelle.
Le travail en Vittoz est donc de mettre en place les actes conscients pour que la vie en présent soit vécue pleinement.
Dès que nous observons la réalité qui nous entoure, nous y découvrons un rythme, une vitesse particulière dans la façon dont la vie et les choses se déroulent. Tout semble bouger et se compléter dans une même dynamique. Il y a une sorte de cohérence globale. Si on regarde de plus près, nous voyons par exemple que notre vitesse d'assimilation est constante. Nous respirons à une vitesse régulière, et nous assimilons un aliment avec une période de digestion fixe. Nous avons des cycles de sommeil réguliers. La méthode Vittoz met en lumière ces cycles de façon particulière en travaillant sur la vitesse et la qualité d'assimilation des informations que nous saisissons par nos sensations. Elle montre qu'une vitesse trop rapide ne permet pas de sentir, ni de ressentir toutes les informations disponibles. De même, si la vitesse est trop lente on bascule alors dans une crispation. La difficulté est dans la connexion de nos sensations avec notre affectivité, qui elle peut varier en intensité et en rythme. Ainsi, l'effet d'une émotion va se ressentir dans le rythme du corps. Cela produira par exemple une accélération de la respiration, un cycle de sommeil différent, plus court ou plus long, une assimilation digestive plus complexe. Ici on voit comment l'intensité va modifier ce rythme de façon ponctuelle tant que l'émotion n'est pas redescendue. Puis le corps reprend son rythme normal, la base naturelle sur laquelle il est calé. On voit que le rythme peut donc changer pour deux causes normales, un effort physique et une émotion. Mais de la même façon qu'un effort physique peut être trop important et dangereux, une émotion peut être trop forte et avoir des conséquences. Elle bloquera un retour à la normale du rythme naturel du corps, et il y aura une perte de repères. Cela s'explique de façon très simple : puisque la sensation est calée sur une vitesse définie, s’il y a accélération trop rapide la personne ne peut plus sentir son état correctement. Elle sera calée sur une perception basique, mais elle n'aura pas conscience des degrés de sensibilité. Tout sera flou. Elle manquera de netteté dans ses ressentis. Et petit à petit, elle glissera dans un état de torpeur sans saisir le mécanisme et la cause qui est derrière. Le thérapeute Vittoz va donc permettre à la personne de recaler sa vitesse de réceptivité pour que son écoute naturelle partant de la sensation retrouve toute sa richesse, et que l'équilibre pensée corps et affectivité soit retrouvé. L’unité refaite, la personne pourra de nouveau entrer en relation dynamique avec son environnement pour choisir et s’engager.
Je voudrais parler aujourd'hui de l'effet de la présence. Dès que nous sommes en présence d'une réalité existante nous la saisissons sous trois dimensions. Par notre intelligence dans le fait qu'elle existe, par notre corps par l'expérience physique, et par notre émotionnel qui entre en résonance avec les informations affectives que cette réalité nous fait vivre. Nous saisissons ces trois informations ensemble.
L'effet de cette réalité sur nous est donc de permettre l'unité de nos trois niveaux de vie en nous, le mental, l'affectif et le physique. Ils vont donc être unis grâce et face à cette réalité, autre et différente de nous. Cette expérience tout à fait unique se fait dans différents domaines : dans l'environnement, la nature, dans la relation avec une personne, dans un travail, dans la vie quotidienne, etc.
À chaque fois l'effet de la présence est de nous permettre de vivre quelque chose d’unique, et que je ne peux pas vivre sans cette réalité existante autre que moi.
Il y a ainsi deux aspects fondamentaux. Le premier est que seule la présence d'une réalité autre que moi me permet de vivre pleinement toutes les dimensions de ma personne, c'est à dire le mental, l'affectivité et le physique.
La seconde est que cette réalité fait une unité en moi. Sans elle, je suis comme éparpillé, dispensé, les différentes dimensions vivant sur différents niveaux sans communiquer..
On voit donc que ce n'est pas l'instant présent mais la présence, et la présence à une réalité quelle qu'elle soit, qui produit en moi l’unité de toutes mes dimensions. Et c’est cette unité qui va ensuite me permettre de m'orienter, choisir et m'engager.
La méthode Vittoz permet de refaire l'unité en nous grâce au retour au réel par la présence à l'autre. L'importance du travail fait sur les sensations est centrale, car se sont elles qui vont être le canal de l’expérience pour ce retour au réel.
Cette unité permet ensuite un positionnement et un engagement dans la réalité autour de nous.
On comprend à l'inverse que si cette unité n'est pas là, le positionnement et l'engagement n'est plus possible.
La personne ne voit pas, ne sent pas, hésite et reste passive avec l'impression de subir sa vie…
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