Il permet de revoir les exercices pour se recaler dessus selon les priorités.
Il ne peut servir à établir un diagnostic ou à l'évaluation d'une situation donnée.
Cela ne peut être fait qu'en entretien individuel.
Les écrits et podcasts permettent une compréhension de situations et de problématiques définies, et pour illustrer une réflexion plus générale.
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Les dépassements de l’amour sont le signe de sa véracité. Ses dépassements nous indiquent précisément sa nature. L’amour est absolument original et il implique une liberté que rien ne peut ou ne doit limiter.
Le premier moment où ce dépassement intervient est dans l’aspect matériel. Il va y avoir un dépassement de la prudence pour poser un acte qui ne rentre pas dans le raisonnable pour être en présence de l’autre. On ne compte pas. De fait, quand on aime une personne, on va vouloir construire quelque chose avec cette personne même si au départ il n’y a aucune visibilité ou sécurité matérielle. Il y a une volonté de faire quelque chose au-delà de ce qui est visible immédiatement. Si on n’est pas près à ce dépassement, l’amour n’est pas assez fort. On voit cela quand par exemple deux personnes vivent à des endroits différents. Quand il y a un amour véritable les personnes vont vouloir être au même endroit pour une intention de vie commune.
Le second moment est le dépassement de la justice. C’est du côté du pardon. La personne peut m’avoir blessée, mais par amour pour elle je dépasse cette limite en lui pardonnant. C’est la miséricorde. Je sors donc du cadre de la justice, qui est dépassée par la miséricorde. Cela suppose de se regarder en vérité pour ne pas juger l’autre. Il y a un mouvement de don au delà de la blessure, c’est le pardon…
Le troisième lieu est celui de la vérité de l’amour. Quand l’amour est vrai, il ouvre les yeux. Il fait tout voir avec une absolue limpidité. On ne se regarde plus. Il permet de dépasser le regard que l’on a sur soi. Il fait voir au-delà. L’amour donne la lumière sur tout. Il fait voir au-delà des apparences sans jamais décoller de la réalité. En étant totalement présent à l’autre, il fait voir au-delà des apparences. Il conduit à un dépassement des faits pour voir ce qui est derrière, ce qui agit. On est dans une expérience qui est d’une intensité sans mesure, sans référence antérieure. Cette expérience est tellement intense qu’elle est première sur tout. Rien ne peut la bloquer, la nier ou la mesurer. C’est elle qui passe avant tout et mesure tout. Elle montre que les faits passent avant toutes idées ou conceptions intellectuelles ou religieuses. Elle montre que la réalité passe avant l’idée. Elle montre ce qu’est la vérité. L'amour fait passer la réalité d’une situation avant nos opinions et nos idées, ce qui permet de s'écouter et donc dialoguer. Il établit la relation. Nous n’interprétons pas. L'inverse est clair : dès que nous n'aimons plus, nous avons des idées et des interprétations sur l'intentionnalité morale de l’autre. On le juge.
En résumé, l’amour nous fait tout comprendre de l’intérieur. Il éclaire tout au delà de l’apparence. Il donne un sens à tout ce que nous sommes et ce que nous faisons. Nous voyons la réalité dans une limpidité parfaite en comprenant le sens des choses de notre vie. Cela passe avant les idées, les à priori. La réalité s’impose comme première et me permet d’établir une relation avec elle. Elle me fait dépasser la peur et entrer dans la confiance.
Le quatrième lieu c'est le dépassement de la mort par la vie. L'amour nous conduit à vouloir se sacrifier pour l’autre, donner sa vie pour l’autre. Nous portons un mal pour l’autre que nous aimons. Nous acceptons une pénibilité pour soulager l’autre. Nous acceptons une souffrance par amour de cette personne.
L’amour dans sa nature implique une circulation et une croissance. Pour mieux le comprendre il faut donc regarder les lieux où il va circuler et où il va créer la croissance.
Le premier moment porte sur l’objet de l’amour. Est-ce que la personne m’aime pour moi ou pour autre chose ? Cette première interrogation va purifier l’intention. Il va séparer l’avoir et l’être. Dans sa nature il porte sur la personne elle même et rien de secondaire. Nous sommes au cœur de l'identitaire. L'amour est sur ce qui est premier dans la personne. Quelque part il nous révèle qui nous sommes.
Le second aspect de cet amour est qu’il se vit au présent. Il n’y a jamais d’acquis. Il me met dans un état de pauvreté total pour pouvoir le vivre. Chaque fois il doit être nouveau, comme un premier amour qui recommence sans cesse. Le passé n’est plus et le futur pas encore. L’amour me plonge dans le présent en exigeant cette intensité totale. Il me dépouille totalement pour pouvoir le vivre maintenant, car il implique une relation actuelle, et rien d’autre qu’elle.
Le troisième point est que cet amour est unique. Il est absolument original et unique pour chacun. Il ne peut subir aucune contrainte ou rentrer dans un cadre strict et défini. Au contraire, il est l’expression d’une liberté totale et de l’originalité unique de chaque individu. C'est du reste pour cela qu’il ne peut être compris que par les personnes qui le vivent. Seules les personnes de la relation peuvent comprendre l’amour vécu. Aucune personne extérieure ne peut en comprendre la teneur et la nature d’un amour entre les deux personnes.
La quatrième aspect est que l’amour rend source, source pour l’autre et source de vie. Il n’est pas une fonction à accomplir. Il ne se définit pas dans quelque chose à faire. Il implique d’être source pour l’autre, de l’amour et de la vie. Le fait d’être source est la conséquence du don qu’implique cet amour. Il va avoir une fécondité naturelle par la vie donnée, et il vient rendre père et mère dans la dimension morale. Il implique donc absolument la confiance. Effectivement, cette confiance dans l’enfant va le rendre libre, sans que la peur le paralyse. On retrouve donc la dimension de la liberté exprimée dans la confiance et permettant à l’amour de circuler. C'est cela qui va donner l’autonomie intérieure à l’enfant.
Le cinquième moment est l’engagement. La responsabilité morale pour l’autre. La présence à l’autre sans retour sur soi. L'amour me rend responsable de l’autre. J’assume pour lui tous les aspects de la vie. Là encore, c’est l’effet d’être source. Je porte la responsabilité par le don à l’autre sans retour sur moi-même justement parce que je l’aime. Il passe avant moi. Je décide et je choisis librement en toute conscience mon engagement pour l’autre. Je deviens source dans la dimension de la responsabilité morale.
On voit donc les différents points : l’objet de l’amour, son vécu au présent, son originalité absolue pour chacun au-delà de tout cadre, il rend source, et il demande un engagement total dans une responsabilité morale.
Si on regarde maintenant ce qui bloque dans la relation amoureuse, on retrouvera tous ces points en négatif :
On m’aime pour une chose particulière et non pas pour moi même.
On est dans une relation où on justifie son amour par ce que l’on a fait pour obtenir un mérite.
On me dit que cela doit se passer de cette façon et pas d’une autre en me disant donc ce qu’il faut faire ; on m’impose ainsi une modalité sans me reconnaître.
On joue un rôle sans spontanéité ; la personne n’est pas source, elle est dans un travail en vue d’un idéal à atteindre et elle juge. Il n’y a donc pas de confiance.
Enfin la personne est dans une fuite et ne veut ou ne peut pas s’engager. Elle n’est pas dans le présent qu’implique une relation de don.
On veut expliquer que l’attirance pour une personne trouve souvent des racines dans la ressemblance avec le parent de sexe opposé. On constate aussi que cela peut intervenir alors que l’on peut avoir eu des problèmes avec ce même parent. Mais il devient alors étonnant qu’une personne ayant eu un problème relationnel avec son père ou sa mère soit attirée par un individu ayant les mêmes traits de caractère…On explique cela par un biais psychologique, et si les deux individus de la relation sont dans ce format, on parle même de pathologies complémentaires.
Pourtant, si on regarde ce qu’est l’amour, il y a une autre explication. L'autre qui m’attire est source d’amour, mais aussi de vie là où je suis mort. En effet, L'amour dans ce qu’il est implique une circulation et va dès lors visiter tout ce qui empêche cette circulation, les lieux de blocage. Ainsi la personne qui m’attire parce qu’elle est ressentie comme bonne pour moi, l’est également dans les lieux qui ont été souffrance. Elle devient porteuse de vie, de libération là où je suis bloqué, paralysé et dans la douleur intérieure. Elle me sort de moi même, car elle me transcende. Elle permet de refaire la circulation en lâchant ce qui est bloqué en moi. On voit alors que l’amour ressuscite une personne au-delà des définitions psychologiques…
Il est difficile de savoir rapidement et de façon claire l'orientation à prendre pour une carrière professionnelle. Les méthodes classiques répondent de façon partielle, car le discernement regarde la forme et non pas le fond.
Nous parlons ici de ce qu'il y a de plus radical dans la personne, ce qui la motive, ce qui l'attire, ainsi que la façon dont elle réfléchit. De fait, quel que soit ses choix, sa manière de penser ne changera pas. C'est ici qu'il faut de la finesse pour mettre en lumière l'originalité de la personne, sa structure propre.
Grâce à cela, le choix de l'orientation va devenir évident, car on sépare l'essentiel, du secondaire et de l’accidentel.
Beaucoup de jeunes ont essayé avec succès notre approche. Cela leur a permis de réorienter leur choix ou au contraire de les affirmer dans des moments de doute
Nous avons vu les 7 expériences fondamentales de la personne humaine. Nous en avons explicité les finalités pour chacune d'elles, c'est-à-dire ce que la personne poursuit à travers elle, son but. Voyons maintenant les étapes qui permettent d'atteindre ces différents buts, car c'est le troisième élément qui est impliqué. Pour chacun des objectifs, que ce soit dans le travail, dans la relation morale ou dans la communauté, il y a forcément des étapes à passer pour atteindre le but poursuivi. Par exemple, pour réaliser un travail dans une autonomie, il faut avoir l'idée de ce qu'il faut faire. C'est impossible sans expérience au départ. Il y a ainsi une sorte d'ordre génétique des expériences. L'expérience de la matière, l'idée de ce qu'il faut faire, et enfin sa réalisation concrète. Mais pour la réalisation, il faut des moyens matériels et une compétence. Ainsi, à chaque étape de la réalisation, il y a des qualités nécessaires pour passer à l'étape suivante. En éthique, dans la relation à l'autre, c'est la même chose. Pour s'engager avec une personne, il faut la choisir de façon lucide. Concrètement, Il faut bien la connaître avant, ce qui va demander du temps. Et pour s'engager avec elle, il va falloir acquérir soi-même les qualités qui permettront une vie commune. Il faudra donc une maturité. On retrouve donc ces étapes à passer quelles que soient les expériences. Ces étapes sont absolument incontournables pour atteindre le but poursuivi. Apparemment, ces explications sont des évidences, mais c'est justement là l'intérêt. Tant que l'on est dans le réel, la réalité, l'expérience objective permet ces évidences, et donc des repères immuables. À une époque où tout est relatif, où la vérité est question d’opinion, il est bon de revenir au réel pour constater que lui ne l'est pas : il est, et il ne change pas. Il rythme notre vie réelle, et c’est à nous de nous appuyer sur lui pour que nous ayons la stabilité que nous recherchons dans toutes nos expériences afin atteindre nos objectifs
La méthode Vittoz intervient pour éduquer notre réceptivité objective à l'égard du réel pour ensuite interagir librement avec lui.
Après avoir catégorisé l'expérience, il faut maintenant regarder sa finalité propre. C'est-à-dire ce que la personne poursuit à travers elle, ce qu'elle attend, quel est son objectif, son but, sa finalité. Effectivement, l'attente dans le travail n'est pas la même que dans la relation à l'autre ou dans une coopération à plusieurs. Ainsi chaque expérience type se distingue par sa finalité propre. Il y a donc 7 objectifs, 7 finalités différentes.
La première dans le travail est d'accomplir, de réaliser une œuvre, une tâche en transformant une matière réelle ou virtuelle à partir d'une idée que l'on a.
La seconde dans l’éthique est d'être avec l'ami, la personne aimée. Il s'agit de rechercher et de conserver sa présence.
La troisième dans la coopération et la recherche d'un bien commun pour tous et de chacun en particulier.
La 4e, la vie, est de vivre pleinement et de pouvoir croître, de connaître et comprendre son fonctionnement et ses limites.
La 5e est le mouvement. C'est particulier ici, car sa finalité est le mouvement lui-même. Pour l'homme, c'est d'intégrer le devenir permanent du monde dans lequel il vit, la nature, la matière où tout bouge et où il doit connaître ce mouvement et ses lois, c’est le fonctionnement de la matière et de la nature.
La 6e expérience est le fait d'exister. C'est la perception de son originalité et de sa différence avec un autre que lui. Il y a en chacun une individualité propre, une identité spécifique, une existence que lui seul perçoit et qui est unique.
La septième dimension est la transcendance. Sa finalité c'est l'adoration religieuse. L'homme, quelles que soient les cultures, exprime des croyances qui traduisent la dépendance à l'égard d'un être premier, d'une cause première qui explique tout et conduit tout.
Tout ce que nous faisons et vivons se résume à 7 expériences fondamentales. Ce sont les points de départ de tout le discernement pour comprendre ce que nous vivons. En permanence nous cherchons à comprendre, à être sûr ou plus efficace. Le point de départ de toutes ces interrogations est l'une de ces 7 expériences. Nous abordons la réalité par l'une de ces 7 portes. C'est pourquoi quand une personne se pose une question sur elle-même, ses choix, ses talents et ses objectifs, la première chose est de repérer précisément dans quel type d'expérience, dans quel domaine nous sommes. Souvent en effet il y a un flou pour la personne elle-même, ce qui suscite en elle doutes et questionnements.
Quelles sont donc ces 7 expériences qui structurent notre vie ?
La 1ere expérience et celle du travail, enfant c'est le jeu.
La 2nde, c’est l'éthique, la relation à l'autre, l'amitié et l'amour.
La 3ème, c’est la coopération, comment à plusieurs nous pouvons poursuivre un bien commun, en famille, en société, ou au niveau d'une nation. C’est la politique.
La 4eme, c'est la vie elle-même, notre corps, nos opérations vitales, leurs spécificités, leurs fonctionnements et leurs limites
La 5eme, c'est le mouvement : l’environnement, dans lequel nous évoluons sa dynamique, sa dimension matérielle, ses lois.
La 6eme c'est l'être, notre existé propre, notre identité notre originalité, notre individualité, notre être existant dans son originalité, et différent d'un autre.
Enfin la 7eme est la dimension religieuse avec la transcendance, ce sont les croyances que l'on retrouve dans toutes les cultures et les civilisations quelques soient les époques.
Comment sommes-nous fait ? Nous recherchons un mieux, un état meilleur, quelque chose “de plus”. Il y a en nous un mouvement vers quelque chose qui nous attire et qui produit en nous un état sans cesse meilleur, un état de plus en plus parfait. Cet état meilleur que nous recherchons, nous l'atteignons que grâce à un autre. L'amour n'est possible que grâce à l'être aimé. Savoir et connaître n'est possible qu'en observant et en étudiant la réalité qui nous entoure. Vivre n'est possible que grâce à l'air que nous respirons et à l'aliment que nous mangeons.
Ce mouvement vers le meilleur, vers cet état de plus en plus parfait qui nous attire n'est possible que parce qu'il y a une réalité autre que nous, extérieure à nous, qui nous permet de l'atteindre. Nous allons donc naturellement vers cet autre. Pour y arriver, c'est donc le mouvement inverse de l'introspection et de la méditation, c'est l'écoute…
Vous voulez aimer ? Vous voulez connaître ? Vous voulez vivre ? Vous voulez bouger ? Vous voulez être ? Ce sont les 5 modalités de ce que nous recherchons tous. Cela nous attire, c'est plus fort que nous. Irrésistiblement, nous allons vers cela. Mais sur notre route nous rencontrons des obstacles et nous devons les dépasser. On est face à des limites qui nous obligent à trouver des solutions pour dépasser ces blocages. Mais s'il y a des blocages et des limites, c'est qu'il y a un ordre à suivre. Sans ce cadre, cela ne se fait pas. Le cadre est ce qui permet la relation, la rencontre, la vie. Le point de départ est que l'ordre préexiste. Dès que nous ouvrons les yeux, l'ordre apparaît : le ciel et la terre, le haut et le bas. C'est la première représentation d'un cadre et d’un ordre. Il montre l'existence de règles et de lois que l'on doit suivre pour comprendre le monde extérieur, entrer en relation, et y vivre. Sans cela, c'est impossible. L'éducation va consister à transmettre ces règles pour que l'enfant ait la prudence, et donc la connaissance pour être un adulte autonome dans ce monde extérieur.
Cette simple explication montre comment toutes les théories refusant un cadre ou un ordre préexistant conduisent automatiquement un isolement. Au lieu de l'amour, la personne se retrouve seule, au lieu d'une vérité objective elle navigue dans des vérités relatives ou rien n'est vrai et bascule petit à petit dans l’angoisse. Sa vie est diminuée car les mécanismes physiques ne sont pas respectés : elle fait n’importe quoi et le corps lui renvoie la note. Sa dynamique est bloquée, car elle n'a plus de sens. La personne devient passive. Elle perd également son identité et son originalité. La lumière s'éteint petit à petit..
Il faut donc revenir au réel par l'expérience concrète et remettre l'ordre préexistant en soi pour s’ajuster à l’autre dans l’environnement. C'est la méthode Vittoz…
Nous ne parlons pas de ce qui est important pour nous. Il y a un secret dès que quelque chose a de l'importance dans nos vies. Quand nous aimons une personne, le lien avec elle n'est compris que par nous deux seulement. C'est exclusif, c'est secret. Pour les deux personnes qui le vivent, c'est unique. L'amour implique donc un secret qui lie les deux personnes qui s'aiment. Une personne malveillante, elle, veut toujours connaître les secrets des autres. C'est une sorte d'obsession. On retrouve cela à tous les niveaux. Or l’effet du secret c'est le silence… Et c'est encore le silence qui se manifeste quand nous aimons la personne en étant simplement avec elle, en sa présence. On ne parle plus, on écoute. Aussi, dès que l'on revient au présent, et que l'on rentre dans l’écoute de la réalité, elle nous livre ses secrets. Ceux qui ont fait le travail en Vittoz en témoignent. Ils découvrent qui ils sont et ils rentrent dans la dimension secrète de leur intériorité. Il y a une véritable relation de complémentarité qui s’établit avec le réel, et qui n’est comprise que par celui qui l’écoute. La personne ne livre plus ses secrets, et va avoir une force nouvelle. De fait, on voit aujourd'hui que tout le monde dévoile sa vie sans retenue. Il n'y a plus de pudeur, on livre ses secrets. Psychologiquement, les personnes deviennent fragiles, car en livrant leur secret, elles se livrent elle-mêmes. Elles perdent leur force, leur identité. Tous éprouvent un profond mal-être, témoignent être sans dynamique réelle autre qu’une agitation.
La rééducation de la réceptivité par la sensation va permettre de refaire l’unité, retrouver son identité propre et sa force, gérer son intériorité pour la relation stable…
Podcasts exercices Vittoz