Darumanu

Je suis tatoueur depuis plus de 20 ans, j'exerce ma passion du tatouage japonais au cœur de Paris à deux pas des Arts et métiers dans mon atelier privé.

En quelques mots, ma passion pour le tatouage est née très vite dès mon adolescence.

Mon premier tatouage m'a donné l'envie d'embarquer dans la profession.

Mon premier tatouage a été réalisé sur ma cuisse droite. Je l'ai fait en Thaïlande après un combat de boxe, ça a duré toute une nuit, au moins 7:00 de tatouage ! Il représente un dragon et des nuages avec une apparition du buste de Hanumān, je l’ai recouvert depuis...

Quand je suis rentré de Thaïlande, j’ai été incorporé aux 13ème RDP, je voulais devenir béret rouge. C’est à l’armée que j’ai commencé à tatouer avec du matériel acheté avec mon premier solde !

Je me suis fasciné pour le l'Horimono dès que je me suis intéressé au tatouage

Il est à mon sens le plus beau et le plus adapté à la morphologie et à toute une vie d’un corps humain. Il est intemporel.

J’ai eu l’occasion d’aller au japon et de rencontrer un des maîtres de l’Horimono, Horiyoshi III.

Il faut étudier l’art du Japon, son histoire et l’ensemble des motifs ainsi que les thématiques abordées dans le tatouage japonais, sans oublier le fait de savoir agencer précisément les motifs et les fonds qui seront arborés par le tatoué.

J’aime le tatouage japonais pour la variété de ces thématiques, j’adore dessiner les fleurs, dragons, serpent , guerriers ainsi que les fonds qui sont primordiaux dans l'horimono

J’aime tous les projets que j’ai réalisés, en choisir un serait trop difficile !

Je m’inspire des peintres, dessinateurs et graveurs japonais comme Hokusai, Kuniyoshi, Kyosai etc.

Je me plonge dans les vieux livres de tatoueurs japonais pour étudier leur travail.

Appelle moi et on en parlera.

Bien écouter son tatoueur afin qu’il n’y ait pas d’erreur sur le sujet qu’il soit en accord avec le reste…

Parfois il m’arrive de dire non à mes clients, je ne fais pas pour les contrarier, certains motifs ne sont pas adaptés au tatouage de plus le traditionnel japonais est très codifié, certaines associations ne sont pas possibles.

J’aimerai tatouer, la voleuse de perle Tamatori-hime, chassée par le roi des dragons sur le dos d’un de mes futurs clients ou d’une de mes futures clientes.