Grâce à nos recherches nous en concluons que « la fausse » l’observation de
flaques d’eau sur la route en été est dû à un mirage inférieur. Les routes
échauffées créent une différence de température qui modifie la propagation de
la lumière dans l’air, elle prend alors une forme courber remontant vers le haut
sans toucher le sol et arrive jusqu’à l’observateur. Habitué à ce que la lumière
prenne toujours le chemin le plus court, le cerveau pensera que la lumière est
arrivée en ligne droite. En regardant le sol, il voit donc la lumière venue du ciel
et interprète que cette lumière vient du sol, il voit donc le ciel sur le sol et cette
image étant déformer elle ressemble a de l’eau.