Même si les photos, ou les vidéos, ne rendent pas compte de ce que peut être la vie au quotidien, car le problème de base est le bruit, elles donnent une idée des problèmes.En effet, les terrasses qui débordent ce sont plus de personnes, et non seulement plus de personnes c'est plus de bruit, mais le bruit n'est pas ajouté mais multiplié : les gens se croient plus protégés et autorisés à faire n'importe quoi quand ils sont plus nombreux.Le bruit empêche de vivre, de dormir, et la santé de tous les riverains en subit les conséquences. Tous âges, toutes caractéristiques sociales, tous niveaux de vie.
Et puis l'encombrement des trottoirs, l'impossibilité de passer, quelle qu'en soit la cause, font du quotidien un enfer et un danger.
Ceux qui, du haut de leur mandat politique ou de leur chaire de patron de commerce, qui clame que les riverains n'ont qu'à partir ou sont des privilégiés, habitent, eux, dans des lieux calmes et peuvent dormir tranquillement.
Ils osent dire à ceux souffrent du non-respect de la loi par des gens avides d'argent et méprisants envers les autres, qu'ils ont tort ?
Mais, comme par hasard, ils ne déménagent pas là où ils disent à ceux qui y vivent ce qu'ils doivent faire.
Ce sont eux les "bobos" qui prônent pour les autres une vie d'enfer, alors que pour eux et leurs enfants ils prennent garde à ménager leur cadre de vie.
A droite : Autorisations maximales possibles, sauf cas particulier plus restrictif. Extrait du règlement des étalages et terrasses (arrêté du maire 6/5/2011)