1482–1960, presque 500 ans : on ne sort point indemne d'une situation de si longue cohabitation avec ces prétendues «civilisations supérieures», prédestinées à apporter la lumière partout où elles n'ont rencontré que «barbarie et ténèbres».
Il ne paraît pas vain pour l' historien de venir scruter la mémoire coloniale à travers le prisme de la déstabilisation sociale et de la déstructuration politique, économique cultuelle et culturelle d'un pouvoir hérité des ancêtres et des génies tutélaires de l'un des môles humains les plus anciens du Bassin congolais; le tout pour le compte d'un avenir qu'il faudrait désormais partager de façon plus responsable, plus équitable et surtout plus respectueuse des valeurs de toutes les civilisations.
Ce livre est disponible sur le site de l'éditeur, Edilivre