A la fin de l'acte I, le public comprend que l'intrigue de la pièce sera celle d'une rivalité amoureuse entre deux prétendants. Ce thème, souvent traité au théâtre depuis le XVIIe siècle, et cependant traité par Eugène Labiche sur un ton particulièrement léger.
Jeune Homme à sa fenêtre, Gustave Caillebotte, 1875