L'ASSOMMANT SOMMAIRE
[1] Cher lecteur...
[2] Pourquoi parler de ses propres compositions ?
[3] Au début était le verbe [I]...
[4] Au début était le verbe [II]...
[5] Ridicule.
[10] D'où le trou du cul.
[12] Enfance(s).
[13] Comment parler de ses propres compositions ?
[14] Arrêt sur texte.
[15] Le trône et le chardon [I].
[16] Le trône et le chardon [II].
[17] Les mots de la faim.
[19] Les mots de la fin.
[20] Remerciements.
Autopsie de Minuit, ou comment le roman Minuit se livre de lui-même à la mise en pièces ordonnée de son corps, et à sa dissection, sous le scalpel et l’œil aiguisés de son propre auteur,
avec, en aimables contributeurs,
Jean-Pierre, Gustave, Henri, Émile et Edgar, respectivement Melville, Flaubert, Verneuil, Zola et Poe,
René et Honoré, d'un côté de Ceccatty, de l'autre de Balzac,
les trois Georges, à savoir : Clemenceau, Perec et Simenon,
Arthur et Denis, en l'occurrence Rimbaud et Diderot,
les trois Paul, comme suit : l'apôtre, Verlaine et Valéry,
Marcel et Marcel : d'une part Pagnol, de l'autre Proust,
Dante, Umberto, Michelangelo, Italo et Agatha, tout bonnement Alighieri, Eco, Buonarroti, Calvino et Christie,
François, Marshall et Michael, de leurs patronymes Rabelais, McLuhan et Mann,
sans oublier William et Gilles, l'un Shakespeare, l'autre Moraton,
l’auteur, ce faisant, au fil des Carnets, distribuant généreusement les baffes à d’édifiants et non moins sinistres personnages, apparaissant bien malgré eux, et uniquement à leur désavantage, dans le filigrane d’AUTOPSIE DE MINUIT.
[le dimanche 22 février 2009, à minuit moins une, heure de Combes, France, AUTOPSIE DE MINUIT a revêtu les habits du dimanche, pour ne plus les quitter - version revue, augmentée et définitive -, parée pour l'occasion, avec la complicité de L'AUTEUR LUI-MÊME, de son plus bel atour, en effeuillage libre et consentant : AutopsieDeMinuit.pdf]