Situation 2015 : extensions et étalement

Après le constat d'huissier que nous avons dû faire pour prouver la présence de l'herbier de Najas, le Conseil Général se voit contraint par la DDT (VOIR COURRIER) de modifier son projet initial.

Le ponton ne sera rallongé que de 17m au lieu des 34m prévus initialement.
Nous sommes fiers d'avoir entravé le projet de destruction des Najas, Car l'herbier bien connu des habitants, fut occulté et dénié par le CG.

Le système de fondations béton a lui aussi évolué, en abandonnant les piliers en béton pour fonder les pontons sur des pieux métalliques qui seront battus en profondeur.

Novembre 2013 : nourrissage perturbé

Malgré les travaux, les oiseaux se nourrissent dans leur herbier vital. 

Octobre 2013 : brassage interdit

Les promesses habituelles du CG ne sont pas suivies d'effets réels. Nous ne pouvons que regretter encore et encore, la légèreté du suivi de chantier. 

Nous avions l'assurance écrite de la DREAL (Préfet de Région) que le chantier ne serait mené qu'à partir du rivage et surtout pas au dessus de l'herbier. Que celui-ci serait balisé par un repérage bouées garantissant sa protection....etc... VOIR COURRIER. 

Et voilà : un simple constat vidéo du 12 octobre 2013.

Septembre 2013 : Attention herbiers

Alerte rouge !!! Les travaux commencent sur le lac, les corps-morts s'acheminent au fond de l'eau avec une barge énorme.  L'herbier d'espèces protégées, encore et toujours nié par le conseil général (étude d'impact et même au tribunal devant le juge de référé) est pourtant bien là, comme chaque année. 

Ce déni caractérise, selon nous, l'intention de faire comme s'il n'existait pas.
Nous sommes contraints de produire un constat d'huissier pour être entendus, d'alerter la DDT afin de tenter un sauvetage in extremis, avant que le béton n'écrase ce précieux massif.

Mai 2013 :

Avez-vous observé les plans du ponton dans les documents de l'enquête publique ?

Nous disons que ce n'est pas adapté à une plage d'hôtel-restaurant. 

Quant au béton supplémentaire, il n'est pas souhaité ni  pour le lac ni pour sa végétation lacustre.

Avril 2013 : constat plus réaliste, car original bien triché

Nous proposons ici un peu plus de réalisme, pourtant basé sur les vues d'avion des publications du Conseil général très édulcorées et faites avec une volonté évidente d'amoindrir les impacts pour un rendu plus "acceptable" (?).

Alors, les bouées sont ici re-symbolisées pour être réellement visibles sur l'image. On a comme l'impression aussi que les bobines d'enroulement (tourets) ne sont pas illustrées.
Donc, vous pouvez encore ajouter de gros cubes de 1m3 sur les pontons car les bobines sont bien prévues (voir étude d'impact de l'enquête publique).

La rallonge du ponton initial est prévu en finalité de 36m (ce fut 36, puis 34).

Le petit ponton de bois sur la plage a, lui, bien disparu ici (destruction prévue ?).

Février 2013 : 

le dernier plan du nouveau bassin vient d'arriver.
Nous actualisons notre simulation d'impact sur la plage privée (la propriétaire n'est pas véritablement informée).

C'est pire encore ! Les 6 lignes d'eau viennent s'accrocher jusqu'au mur du bord de plage.

Le bassin serait définitif, c'est à dire monté pour une durée pouvant atteindre 60, 90 jours, voire 120 jours par an.

Voilà (très grossièrement car nous ne sommes pas des pros), la transformation que voudrait offrir à la clientèle du lieu, nos élus. 

Le petit ponton de bois pittoresque au sud de la plage sera détruit. Car il va gêner, paraît-il !?!!.