Sur cette page je relate les signes que j'ai reçus sans demander quoi que ce soit.
Les détails ne seront pas exhaustifs du fait qu'il y en a certains qui font partie de ma vie privée et bien qu'ils méritent de l'intérêt, pour le moment il en sera ainsi.
Deux mois après le décès de ma mère au moment de Pâques je fais un rêve, il ne s’agit que d’un rêve mais comme le fait suivant me fait revenir sur ce rêve de par les indications de Mireille T, secrétaire de direction et astrologue du PDG du Groupe pour lequel je travaille, je vais le relater :
Je suis en voiture et transporte un cercueil, il est a moitié ouvert et l’on peut apercevoir un corps verdâtre, aussitôt après je suis dans la petite cuisine familiale du quartier du petit Bosc à Villenave d’Ornon, je suis seule, le téléphone sonne, je décroche et ma mère me dit trois fois au téléphone, « ma chérie, Maman est toujours là ! ».
Etait-ce ma Mère qui me rassurait ? Je le pense.
Je dors habituellement le bras droit tendu.
Un an après le décès de ma mère, une nuit je sens que l’on me tient la main, ce qui me réveille évidemment et je dis en pensée : « maman, si c’est toi, serre moi la main ! » le résultat ne se fait pas attendre, on me serre la main très fort, je sens des présences dans le noir à ma droite (j’étais à Paris) et je suis terrorisée parce que tout mon corps est pris d’un tremblement intérieur qui me paralyse pendant cinq minutes environ. Cinq minutes qui m’ont semblées très longues du fait que je ne pouvais émettre aucun son, ni me débattre, mais je dis en pensée avec insistance plusieurs fois d’affilées : « non Maman, je ne peux pas venir, ce n’est pas le moment ».
Puis arrêt brutal.
Ouf, que m’arrive-t-il ?
Autant dire que cette expérience est particulièrement éprouvante, je ne comprends pas pourquoi alors que je dormais, je me réveille en ayant cette conscience de dire à ma mère des choses que je ne contrôle pas.
Y aurait-il donc une partie du cerveau dont nous n’aurions pas conscience et qui serait branchée sur l’au-delà ?
C’est ce que j’en ai déduit.
Peut-être ma mère voulait-elle m’avertir de quitter la personne avec laquelle j’étais et que j’ai quittée d’ailleurs peu de temps plus tard.
Je n’ai plus dormi pendant quelques temps le bras tendu par peur.
Comme j’ai relaté cet évènement à Mireille, c’est elle qui m’a dit : « c’est Pâques, la résurrection et qui a fait le rapport entre celui-ci et le précédent».
Date anniversaire du décès de ma mère, quatre ans après, le 25 février 1986, je rencontre Lise-Marie, originaire avec sa mère de l’Alsace, infirmière et anesthésiste de métier, possède des dons de voyance, de magnétisme et fait des prédictions mondiales à ses proches. Est Mystique.
Issue d’une famille de religieux et de musiciens.
J’avais acheté un mois avant sa rencontre un disque de Maurice Ravel : pavane pour une infante défunte, rapsodie espagnole …. Chef d’orchestre : Charles Munch.
Après l’avoir rencontrée, je lui montre le dernier disque que j’ai acheté, Lise-Marie me révèle à son étonnement que Charles Munch est son grand oncle.
Pendant onze ans, Lise-Marie me fascine, me conseille sur des lectures de grands mystiques comme le Padre Pio, Marthe Robin, le Curé d’Ars et autres illustres personnages de Saints et Saintes comme Sainte Rita, Thérèse de Lisieux, magnifique Basilique de Lisieux ou je suis allée avec Lise-Marie et ma grand-mère paternelle.
Lise-Marie me parle de Mère Teresa, l’Abbé Pierre, Soeur Emmanuelle. Bernard Kouchner aussi.
M’engage à lire aussi un livre : « le désert intérieur » de Marie-Madeleine Davy, que je n’ai pas encore lu, mais je me doute qu’il doit y avoir un lien avec ma vie.
Me fait connaître les livres et les expériences de Maguy Lebrun.
Me dis « tu feras partie des élus » ; « un jour tu verras quelque chose mais je n’ai pas le droit de te le dire » ; « tu sais un jour dieu a demandé à un homme de quitter son métier pour être magnétiseur » ; « que ferais-tu si tu voyais Jésus ? » ; « Tu auras du magnétisme en vieillissant ».
Toutes ces paroles dictées à des moments différents me révèlent que j’ai certainement quelque chose à faire mais j’attends le feu vert, je n’en ai pas les moyens pour le moment, j’habite au 4ème étage sans ascenseur et je me vois mal recevoir des gens dans un appartement.
Et puis comment les faire venir, je n’en ai pas le pouvoir ?
Peut-être dans une partie d’église, de monastère, si je dois le faire serait plus appropriée.
Je me verrais davantage recevoir des gens dans un lieu de culte, des murs de pierre, lieu de prières.
Ce sont encore des questions sur lesquelles je n’ai pour le moment pas de réponse.
Chaque chose en son temps, je ne suis pas pressée.
Et si ma mission était de transmettre au monde ce message du visage de Jésus, elle est remplie.
J’habitais Boulogne-Billancourt et je devais aller voir mon frère et ma belle-soeur à Villenave d’Ornon pour quelques jours, Lise-Marie qui habitait Neuilly m’accompagna pour ce petit séjour pour qu'elle fasse connaissance avec ma famille et la belle région bordelaise. Nous nous installâmes ensemble dans le salon car c'était une petite maison.
Elle était à mon frère, nous l’avions convenu ainsi après le décès de ma mère.
La deuxième nuit où nous dormîmes ensemble dans le canapé réversible, Lise-Marie et moi furent réveillées à 3 h du matin, j’ouvris les yeux, j’étais éveillée d’une façon très claire, c'est-à-dire sans aucune fatigue et j’écarquillais les yeux, je me trouvais sur le dos puis une lumière au plafond attira mon regard, il n’y avait qu’elle, je fermais les yeux et les rouvrais pour bien me rendre compte de ce qui se passait.
Une lumière ronde venant de nulle part de la maison, les volets étaient clos et la nuit était noire, se trouvait là au plafond, fixe, elle ressemblait à une lumière que l’on envoie avec une lampe électrique mais sans faisceau.
Cette lumière était juste en face de mes yeux.
Comme je voyais cette lumière qui perdurait je me mis à dire à Lise-Marie que je sentais réveillée : « Tu vois ce que je vois ? » Elle me répondit « oui, je vois une lumière ». Nous restâmes ainsi pendant cinq minutes environ à la contempler, puis la lumière s’agrandit un peu et ensuite rapetissa doucement pour disparaître. Lise-Marie et moi discutâmes et nous nous rendormîmes, le lendemain matin Lise-Marie me dit : « j’ai demandé à ta Maman si cela lui faisait plaisir que je sois dans sa maison ».
La lumière montra son approbation, c'est ce qu'elle m'expliqua.
Lise-Marie l’avait estimée à deux fois plus grande en surface que moi, je l’ai estimé faire 30 cm de diamètre.
J’étais revenue auprès de ma grand-mère dans la région de Bordeaux, à Andernos plus exactement.
Ma grand-mère vivait à Villenave d'Ornon.
Elle s’était fâchée après moi parce que j’avais vendu mon appartement, mais pour moi, l’amour que j’avais pour ma grand-mère était plus fort qu’un appartement et lorsque je veux faire quelque chose je me moque du matériel, pour moi le matériel doit servir à quelque chose et non à m’entraver dans mes actions.
Comme je n’avais pas de travail en arrivant je n’ai pas pu racheter autre chose même avec un petit crédit que j’aurais pu largement rembourser car les banques sont comme la fourmi de Jean de la Fontaine.
Enfin qu’à cela ne tienne j’ai loué une maison en proposant une année de loyer cash, les propriétaires ont ainsi pu améliorer leur maison avec un chauffage central et lambrisser la véranda, ce qui m’a permis d’apprendre à poser du lambris en observant les hommes travailler. Tout est utile.
J’ai eu du travail plus tard à la cafétéria de Bordeaux III en tant que Responsable par des circonstances favorables.
Une nuit je me réveille, je tourne la tête à gauche et je m’aperçois que j’ai en face de mes yeux la fenêtre de la chambre, la nuit était éclairée par la lune, ce qui me permettait de bien voir la fenêtre.
Je réalise en une fraction de seconde que je ne suis pas à la bonne place dans mon lit et je me dis « qu’est-ce que je fais là ? » à peine avais-je terminé ma pensée que je remonte à toute vitesse dans mon corps, tellement rapidement que j’ai cru que j’allais traverser le mur. Un cri est sorti de ma bouche malgré moi.
En effet quand on dort dans un lit, la fenêtre est au centre du mur et non à la tête du lit, enfin dans cette maison il en était ainsi.
C’était ma première expérience de demie sortie consciente du corps éthérique.
J’ai pu en parler avec des personnes coutumières de ce fait qui m’ont expliqué que cette nuit là j’ai tout simplement mal réintégré mon corps puisque, à ce qu’il paraît, nous quittons notre corps pendant la nuit.
Heureusement par cet incident, j’ai pris connaissance de ce que j’ignorais jusqu’alors et j’ai pu me rendre compte que ce corps éthérique on le sent comme étant son corps physique, et de ce fait, ce que l’on croit être la sensation de son corps physique, est en réalité son corps éthérique.
D’où les personnes qui ont un membre coupé physiquement sentent quand même leurs doigts ou leurs pieds. Ceci explique cela.
Trois semaines avant le décès de ma grand mère, j’étais auprès d’elle car elle avait besoin de moi, je savais qu’elle préférait mourir chez elle et malgré son souhait elle mourut à l’hôpital.
Elle avait la foi, elle mourut un dimanche.
Donc trois semaines avant alors que j’étais avec elle dans la chambre, Mamie me dit : « je vois le visage de Claude (sa fille, ma mère) ici, elle me montra avec sa main à sa gauche, et puis je vois des fleurs magnifiques, elle me les montra sur sa droite, avec de belles couleurs, et puis je vois des fils qui nous relient.
« ha bon ! » lui dis-je, et comment sont-ils ces fils Mamie ?
- « Ils sont blancs et ils s’en vont vers le ciel et puis je vois un fil rouge qui nous relie ».
A ce moment là le téléphone sonne, c’est une cousine éloignée de Paris qui demande des nouvelles.
Cela nous a coupé le fil de la discussion bien évidemment et lorsque je suis revenue dans la chambre de ma grand-mère pour la reprendre, elle m’a répondu que cela devait être des hallucinations.
Moi je pense que ma grand-mère commençait à voir l’au-delà du fait de la fin de sa vie, elle n’avait aucun don particulier lié au paranormal.
Ces fils, j'ai trouvé trace dans des écrits, de leur existence.
Je me réveille en sentant un tremblement intérieur, je suis paralysée, même phénomène que lorsque j’ai senti ma main être serrée par une force étrangère.
Cela dure un moment, cinq minutes à peu près, la personne qui partage le lit avec moi ressent la même chose, je ressens ce que cette personne ressens, je ressens son âme (ou corps éthérique) étant dans le même état que la mienne.
Je ressens également un poids sur ma jambe, je ne peux ni parler, ni appeler, ni me plaindre ou tout juste je peux émettre un gémissement qui a du mal à sortir.
Au bout de ces cinq minutes, tout cesse.
La personne qui partage cette expérience a ressenti ma grand-mère venir, s’allonger en travers sur nous et lui dire : « c’était bon de vivre ou c’est bon de vivre ». Elle n'a pas pu définir si c'était à l'imparfait ou au présent, nous en avons déduit que nous ne devions pas le savoir.
Effectivement on ne va pas tout nous révéler.
Nous nous levons quelques minutes plus tard, moi ne sachant pas exactement ce qui s’était passé et pourtant je me sentais libérée et joyeuse. Une culpabilité d'être aussi bien m'envahit tout de même.
Nous nous levons, je reçois une demi-heure après un coup de téléphone de l’hôpital Robert Piqué, une infirmière m’annonce le décès de ma grand-mère.
En fait ma grand-mère était libérée et nous avait rendue visite avant de partir.
Après avoir hérité de ma grand-mère, j’ai décidé d’acheter une maison à Bègles car celle-ci me plaisait, je n’en avais pas visité beaucoup mais j’ai eu comme un coup de foudre, elle me convenait.
Ma voisine était charmante et m’a aidée à l’acquérir puisqu’elle connaissait les enfants héritiers du propriétaire et le dernier propriétaire (le père) récemment décédé bien entendu.
C’est après quelques temps que j’ai confié à Rébecca O, ma voisine, que c’était suite au décès de ma grand-mère que j’avais pu acheter cette maison. Lorsqu’elle me demanda la date du décès, nous avons pu constater que l’ancien propriétaire de ma maison était décédé à l’hôpital Robert Piqué, le 17 novembre 1989 et ma grand-mère également à l’hôpital Robert Piqué le 19 novembre 1989.
C’est vérifiable évidemment. Il s'agissait de Monsieur Chabanne (Maurice) si mes souvenirs sont exacts pour le prénom.
Quelques temps après le décès de ma grand-mère je me reposais sur mon lit, à demi assise, et puis je fermais les yeux.
Tout d’un coup je vis à l’intérieur de mes paupières une vision panoramique d’un grand champ de lys blancs illuminé de soleil, il y avait au beau milieu de toutes ces magnifiques fleurs un cercueil en bois clair en vernis brillant. Tout était étincelant.
Ensuite je vis plein de visages qui me regardaient avec insistance, là j’ouvris mes yeux et tout disparut.
Ma grand-mère devait être dans la lumière, c’est ce que j’en ai déduit.
Cette expérience était vraiment très agréable et j'aurais bien souhaité en avoir d'autres de ce genre mais il n'y en a pas eu d'autres depuis.
J’étais au chômage du fait que j’avais terminé mon contrat à la cafétéria et je me réinscrivis aux assedic, comme je ne peux pas m’asseoir avant d’être reçu par l’employée, j’attends debout et observe les gens puis mon attention se concentre sur cette dame de l’accueil.
Cette dame se trouve assise et regarde l’assemblée qui attend, là une pensée arrive dans mon esprit : je l’imagine décrocher son téléphone et dire : « Michel tu peux descendre il y a du monde ?». Environ trois secondes après, cette dame décroche son téléphone et dit :
« Michel tu peux venir il y a du monde ? ».
J’étais interloquée d’avoir eu sa pensée dans ma tête et de vérifier sa véracité.
Il m’arrive de ressentir la pensée des personnes que j’ai en face de moi mais là j’ai eu confirmation immédiate car en principe on ne dit pas la vérité sur ce que l'on pense.....
Depuis quelques années je n’avais pas vu mon frère et je savais qu’il avait deux enfants, nous étions en froid jusqu’au jour où il est revenu me voir pour me présenter Jean-François et Mélanie.
Le temps adoucit les choses.
Ils devaient venir dans l’après-midi mais je ne savais pas à quelle heure.
Ce matin là j’avais pris une éponge pour ôter la poussière du buffet de ma grand-mère dont j'avais hérité, il n’y en avait pas mais j’avais une pensée obsédante de faire cette action.
Au moment où je finis de passer cette éponge, la pendule style napoléon, qui ne marchait plus depuis belle lurette se mit à sonner cinq fois, d’une sonnerie très aigüe comme on les faisait tinter autrefois.
Je me demande ce qui se passe car le buffet ne peut pas subir de vibration étant donné qu’il faut quatre hommes pour le soulever d’un centimètre.
Le déjeuner passe, et en fin d’après-midi j’ai la joie de revoir mon frère et ma belle soeur accompagnant leurs deux enfants.
Nous nous retrouvons avec plaisir puis après qu’ils soient restés quelques heures je les accompagne à la porte, contente de cette entrevue.
C’est le lendemain que je réalise qu’on m’a avertie de l’heure à laquelle ils devaient venir car il était 17 h exactement.
Ma famille décédée vraisemblablement (on m’a souvent dit que mon grand-père maternel me protégeait).
J’en parle à Lise-Marie qui se trouvait un peu plus tard assise dans cette pièce et lui dit avec empressement et passion : « j’aurais aimé que tu sois près de moi lorsque la pendule a sonné, c’est la première fois que ça m’arrive et c’est vraiment extraordinaire » je me suis exclamée en lui racontant, tant est si bien que la pendule à sonné un coup et aussitôt après cela je lui ai dit : « tu vois ! »
Ce fait m’a beaucoup amusée.
Je n’ai pas eu d’autre expérience de cet ordre jusqu’à présent.
Je pars de chez moi (Bordeaux) avec précipitation car l’ambiance est très mauvaise et je suis en désaccord avec la personne qui partage ma vie.
Je roule, je suis en voiture, je suis très en colère, il est tard, je m’arrête à un hôtel près du futuroscope il est 22 h 30.
Je repars le lendemain matin sans aucune destination en tête sinon de rouler vers le nord, je rumine ma colère et au fil de la route celle-ci commence à s’estomper, il a fallu quelques heures tout de même, puis je me dis « tiens je vais aller en Bretagne, je vais y trouver quelque chose » quoi ? je n’en sais rien encore, c’est la surprise.
Enfin j’arrive à Saint-Brieuc, il est 18 h, et je trouve un hôtel à Plérin, il ne manque plus qu’un e pour faire pèlerin.
Tu parles d’un pèlerinage !
Je ne me souviens plus du nom de l’hôtel qui se trouvait à 100 m de la Manche mais je me souviens du numéro de la chambre, c’était la chambre 11.
En face il y avait un petit bistrot avec restaurant tout simple pour les voyageurs de commerce. Restaurant pour VRP et routiers.
Je prends un petit repas, je me trouve seule dans la salle, tranquille, puis reste un peu en fin de soirée dans la partie bar à réfléchir mais là, comme il y a un homme qui commence à faire le zouave pour épater la galerie : la seule femme c'est-à-dire moi, et comme c’est le genre de comportement que je fuis, je souhaite une bonne soirée à tout le monde et je regagne ma chambre.
Je précise que je n’ai pas appelé chez moi car je n’ai pas envie de dire où je suis, ni ce que je fais, bien mal m’en a pris !
Là je me déshabille et m’installe confortablement dans le lit, j’allume la télévision, ce soir là je regarde l’émission « bouillon de culture » puis comme je sens le sommeil arriver j’éteins la lumière, la TV et m’endors paisiblement après tous ces kilomètres parcourus.
Au milieu de la nuit je suis sur le lit les bras en croix et je subis tout d’un coup une attaque sur le haut thorax qui me réveille, j’ouvre les yeux et ne vois rien sinon que je subis je ne sais quel arrachement dans la partie haute de mon corps comme si l’on voulait tirer mon coeur.
Je suis parfaitement réveillée, il ne s’agit absolument pas d’un rêve, je déguste pendant bien cinq minutes, je suis complètement paralysée, je ne peux donc ni fuir ni appeler, heureusement je peux encore penser, c’est la seule et unique faculté qui me reste hormis la souffrance que je ressens et qui me fais penser que c’est ma dernière heure, les assauts se font de plus en plus forts. Je pense que je vais mourir et ne peut rien tenter, même pas me défendre.
Je réalise que c’est une force inconnue jusqu’à ce jour qui veut s’emparer de moi et j’appelle en pensée Dieu, Jésus, Marie, Joseph, tous les saints du ciel, tout le monde à mon secours, tous ceux qui voudront bien me secourir, rien n’y fait jusqu’au moment où j’ai la bonne idée de dire et puis de promettre : « je rentre à la maison, oui je rentre, je vais rentrer le plus tôt possible » il a fallu que je le répète en pensée au moins pendant 3 minutes, ce qui paraît très long dans ce genre de situation, pour qu’enfin cela s’arrête brusquement. Vous parlez d’une partie de plaisir !!!
J’avais très soif mais j’avais une telle trouille que je n’osais même pas sortir du lit pour prendre un verre d’eau, moi qui ne suis pas peureuse.
Il m’a fallu du temps pour me rendormir, la gorge sèche, mais j’ai enfin pu reprendre le sommeil qui m’a fait plonger dans un cauchemar : je rêve que je subis des attaques par un démon invisible qui me griffe le derrière des mollets et que j’appelle des gens dans le couloir de l’hôtel à mon secours, les gens voient mes griffures rouges et disent : qu’est-ce que c’est que ça, on n’a jamais vu ça ! et ne me portent pas secours, et je me réveille brusquement en sueur.
Après ce cauchemar je pense avec contrariété mais le mot n'est pas assez fort : décidément pas moyen d’avoir du repos !!!
Je prends mon courage à deux mains au bout d’un long moment d’autosuggestion pour me décider physiquement à sortir du lit, m’asseoir tout d’abord, ce fut très difficile, la peur ne me quittait pas, pourtant le jour commençait à poindre, je réussis à m’asseoir. Rien ne se passe.
Puis en m'asseyant sur le côté droit du lit, j’ôte une plume noire que je vois sur le haut de ma poitrine, au milieu très exactement.
Je me lève, j’arrive enfin au lavabo, je mets la plume sous le robinet et pense que cette plume va être noyée dans je ne sais quel égout, berk ! et je bois un bon et même deux bons verres d’eau.
Qu’elle nuit d’horreur ! C'est peu de le dire.
Autant dire que j’étais loin de m’attendre à ce type de nuit !!!!
La patronne me demande lorsque je descends prendre mon petit déjeuner : « avez-vous bien dormi ? » Je réponds poliment : « oui madame » et je me dis, si elle savait ! Je n’en menais pas large. Je me sentais anéantie. Le silence était le bienvenu dans la salle. C'était un silence lourd.
Je me demandais si c’était arrivé à une autre personne qui avait logé dans cette chambre mais je me voyais mal raconter ma nuit à la patronne, j’étais encore sous le choc. C’était comme un viol. Et pour ce genre de situation on ne peut même pas se plaindre à qui que ce soit en plus, je parle de quelqu’un de physiquement vivant.
Le lendemain, sagement, je téléphone chez moi pour dire où je suis et avertir que je rentre tout de suite. J’étais mal.
Il a d’ailleurs fait un temps superbe pour mon retour qui s’est passé comme une lettre à la poste, un ciel bleu immaculé tout au long de la route et de l’autoroute jusqu’à chez moi. Aucun obstacle. Très peu de circulation. Fluidité complète.
Cette expérience très désagréable m’a fait comprendre une infime partie de ce que peuvent vivre certains mystiques et j’ai pu prendre conscience que les forces occultes existent bel et bien : du mal comme du bien.
Quant à cette expérience, peut-être aussi était-ce Dieu qui m’ordonnait de rentrer vite à la maison, car j’ai pris des renseignements et l’on m’a assuré qu’il ne s’agissait pas de la personne qui partageait ma vie à ce moment là qui ait pu agir à distance de la sorte.
Deux amies m’ont emmené voir un spécialiste de ces phénomènes après mon récit.
Je vends ma maison de Bègles pour tourner une page, parallèlement je souhaitais mettre depuis cinq ans à peu près les photos de mes dessins sur internet, c’était une démarche qui me tracassait et j'envisageais de me servir de mon capital pour monter quelque chose, j'en avais assez d'être tributaire des aléas de la conjoncture.
Je loue un appartement meublé le temps de me retourner et placer le produit de cette vente.
Je consulte une société qui crée des sites internet et qui me fait un devis de 15.000 Francs, je trouve que c’est beaucoup trop cher pour quelques dessins et m’en remet à Dieu pour trouver une solution adéquate.
Dans l’immeuble où je loue ce studio meublé, au bout de quinze jours je m'aperçois que les seuls et uniques voisins sur le palier sont ingénieurs en informatique, Pauline et Bertrand, tout récemment arrivés du Canada pour s’installer en France. Sont là pour deux mois comme moi, sympathisent avec moi et me créent mon site pour le tiers de la somme initiale.
Il n’y avait personne d’autre dans l’immeuble car il était en pleine rénovation pour recevoir plus tard nombre de locataires.
Depuis j’ai fait du chemin en informatique et cette aide est arrivée au bon moment.
Juste avant ce formidable concours de circonstances j'avais fait photograpier mes dessins par un photographe professionnel que j'avais trouvé du premier coup dans les pages jaunes et la photographe, sa femme, qui m'a reçue et à laquelle j'ai raconté cette extraordinaire coup de bol m'a dit : "il n'y a pas de hasard et je vous conseille de lire le livre de K.O. schmidt "Le hazard n'existe pas". que j'ai acheté assitôt après.
Depuis plus de vingt ans j’avais quitté mes amis de Bordeaux puisque je suis partie de la région.
A Paris il m’arrivait de temps à autre de me demander où se trouvait Jaquie que j’avais connue à l’âge de 18 ans, ce qu’elle devenait, etc…. Je ne l’ai pas fréquenté longtemps mais je me posais souvent la question.
J’achète deux appartements à Bordeaux, j’ai 41 ans, sans chercher vraiment, je prends les deux premiers que l’on me propose, un à la cité du Grand Parc et celui où j’habite sur Bordeaux, près du Cours de la Somme.
Cet appartement n’est pas cher et je le prends pour le rénover moi-même, je me mets aux travaux, je pose du lambris, je n’avais pas réellement envie de faire tout ce travail mais n’ayant pas un capital assez important je me mets un coup de pied au …. et je commence.
Ma voisine du dessus vient me voir pour faire connaissance et discuter un peu.
Nous parlons pendant une heure environ et la nuit j’ai un flash, je me dis je connais cette personne et je trouve enfin, c’est …… Jaquie ……
Effectivement après trente ans on change et nous ne pouvions pas nous reconnaître immédiatement.
Elle aussi n’en revient pas de nos retrouvailles, elle est mariée et vit depuis vingt ans environ au premier étage.
Comme quoi tout est possible.
A cette époque je cherchais du travail et comme j’avais un peu de capital, puisque je ne trouvais pas dans ma branche, j’avais eu l’idée d’aller voir une voyante pour lui demander conseil car je ne savais pas trop vers quoi me diriger étant donné qu’il n’y a pas grand-chose à inventer de nouveau dans notre société qui a tout ce qu’il faut.
N’ayant pas d’idée novatrice ni le capital de toute façon, il me fallait tout de même faire quelque chose.
Elle me conseilla d’ouvrir un salon de thé – voyance, me disant que cela se faisait à Paris et que cela marchait bien.
Je trouvais l’idée bonne et commençais à chercher un local, malheureusement il était très difficile avec peu de capital d’ouvrir ce genre d’établissement, cela m’occupa pendant trois mois.
Comme il me fallait trouver un ou une voyante, j’eus l’idée de mettre une annonce dans le journal de petites annonces gratuites pour trouver des personnes susceptibles de venir à ce salon de thé dont je ne trouvais toujours pas le local.
Il y en avait bien un cours d’Alsace et Lorraine mais les travaux du tramways étaient en plein et donc je ne le pris pas à cause de cela.
Je reçus plusieurs personnes chez moi leur demandant de me faire une voyance pour les tester, j’en reçus au moins une vingtaine, toutes plus aimables les unes que les autres. Toutes ne venaient pas pour proposer leur candidature mais également par curiosité.
Le résultat fut que je devais réussir pour 16 d’entre elles et pour les quatre autres, deux m’avaient dit que je changerais de projet, deux m’avait dit qu’il faudrait faire attention à la location du local. Enfin toutes voyaient une réussite.
Comme je ne trouvais pas ce local je dis à Gabrièle de Bordeaux que je ne pouvais pas faire un salon de thé et elle me dit : « mais tu n’as qu’à faire un cabinet de voyance ».
En fait avant de la consulter il n’était pas question que je crée un cabinet mais comme je n’avais pas d’autres projets je me mis à aller jusqu’au bout me disant : « qui ne tente rien n’a rien ».
En plus comme j’aime bien aller au fond des choses et vérifier même à mes dépends, j’entreprends ma recherche de local pour le cabinet. Je trouve un local en face de la place de Tourny et je le prends.
J’avais trouvé une personne qui était douée et qui m’avait fait une voyance juste avant de prendre le local pour le cabinet, Florence P, les cartes n’étaient plus bonnes pour le cabinet un soir avant de louer le cabinet…. Elle ne comprenait plus elle-même car elle m’avait vu la réussite.
Là je lui dis je ne comprends pas car toutes les personnes que j’ai reçues me voient la réussite, tant pis je fais et puis on verra.
Je signe le contrat du local, me déclare, fais de la publicité sur un journal gratuit puis dans les boîtes aux lettres que j’avais payées 20.000 francs, pour en tout et pour tout récolter une vingtaine de clients.
Il ne m’a pas fallu plus de deux mois pour comprendre que tout cela risquait de mal finir et j’ai donc vite stoppé l’entreprise qui me coûtait cher. Je me suis fiée à mon intuition et il valait grandement mieux que je m’écoute.
Vu de l’extérieur pour quelqu’un qui ne cherche pas à comprendre, pourrait dire :
« évidemment quelle idée d’aller voir des voyants etc…. » mais moi je voulais savoir si c’était viable et vrai, et le vérifier. De plus il ne s’agissait pas d’un ou une voyante mais de plusieurs ce qui est d’autant plus inquiétant.
Et enfin comme je n’avais pas d’autre alternative à ce moment là, il n’y avait pas de travail donc j’ai tenté quand même.
Dans cette affaire, j’ai perdu 60.000 Francs mais je ne les regrette absolument pas car une fois de plus il m’est arrivé des circonstances exceptionnelles.
Par une personne ayant des dons qui est venue chez moi mais qui ne pratiquait pas la voyance à titre lucratif car elle faisait autre chose qui n’a rien à voir, j’ai eu le nom de l’expert-comptable qui s’est occupé de mes comptes et déclarations. C’était curieux d’ailleurs, elle n’avait pas envie de proposer sa candidature mais était venue m’a-t-elle dit parce que l’annonce l’a attirée…..
Par cet expert-comptable j’ai eu le nom d’un avocat, Maître Lionel R qui se situait du côté de la Place des Quinconces.
Par chance le contrat signé était caduc car le responsable de l’agence immobilière s’était trompé et m’avait fait signer un contrat pour une entreprise commerciale alors que cette activité était considérée comme une profession libérale.
Enfin lorsque je suis allée voir l’avocat en dernier recours à cause du bail, Maître Lionel R, celui-ci m’a bien écoutée, connaissait la voyance, s’en méfiait, suivait des cours sur la bible, enfin avait sur son bureau une coupelle en bois avec le même crucifix que le mien, copie conforme. Quand on sait qu’il existe des centaines de modèles…..
J’avais mon crucifix et lui ai montré, nous avions donc été mis en rapport volontairement. Le clou est que cet avocat avait fait ses études avec le propriétaire du local que je louais, il était huissier de justice.
Maître Lionel R a obtenu la compréhension totale de ce propriétaire et combien je l’en ai remercié, cela m’a coûté une consultation.
J’ai donc pu tout stopper sans ennui.
C’est ainsi que je peux affirmer que la voyance est une faculté que peu de personnes possèdent et qu’il faut avoir une rigueur de vie et de piété pour la maîtriser, ou du moins en être digne.
Pour ma part, il y aura peut-être une réussite car on la voit encore mais ce n’était certainement pas dans un salon de thé ou un cabinet de voyance.
Déjà pour moi le visage du Christ est une réussite.
Je préfère de loin une réussite spirituelle à une réussite matérielle et si je devais en avoir une elle serait au service des pauvres.
On m’avait offert une table de salon bien trop grande pour mon petit appartement de Bordeaux, seul et unique maintenant puisque l’autre je l’avais vendu.
Comme je voulais vendre cette table qui m’embarrassait, j’avais besoin d’argent à ce moment là d’urgence, j’ai eu l’idée de téléphoner à un antiquaire qui avait mis une annonce dans un journal de petites annonces gratuites pour la vendre.
Il vint et comme il vit d’autres choses qui l’intéressait, il me fit des offres.
J’avais un tableau qui me venait de ma grand-mère, était abîmé mais l’antiquaire le souhaitait quand même.
A la fin de la transaction il me demanda de remplir un papier avec les libellés des objets qu’il emportait et au moment de mettre la date, je réalisais tout à coup devant lui que nous étions le 19 novembre…. Date de décès de ma grand-mère.
Sans commentaire.
Thérèse vint me voir chez moi à Bordeaux et nous décidâmes d’aller faire un tour rue Sainte Catherine, le temps était au beau, Thérèse arrive, je lui offre un décaféiné puis avant de sortir, une idée insistante vient à mon esprit, celle d’aller chercher une banane dans le coffre de ma voiture (le petit sac que l’on attache autour de la taille) pour y ranger mes papiers et mon porte monnaie.
Quelle idée ? me dis-je, je ne vois pas pourquoi j’aurais une banane dans le coffre de ma voiture ? J’en parle à Thérèse et lui dis : « je ne sais pas pourquoi j’ai cette idée, je suis sûre de ne pas avoir de banane dans le coffre, je pense que si j’ai une banane potable elle doit être sur une étagère, en plus je n’ai pas l’intention d’emmener mes papiers dans une banane mais dans une de mes poches de veste ».
La pensée persiste et là je dis à Thérèse : « écoute, cette idée me tracasse il faut y aller parce qu’il faut que j’aille vérifier, enfin c’est bizarre ».
Je n’avais pas pris ma voiture depuis 3 semaines environ car lorsque je fais des courses je prends le plus gros et le reste je l’achète chez proxi ou au lidl en vélo pas loin de chez moi.
Donc nous prenons la rue, descendons, tournons à droite car en ville les places sont chères et pas toujours devant notre porte.
Nous arrivons non loin de ma voiture, et là qu’est-ce que je vois : un accident.
Les gens étaient en train de remplir leurs constats, il y avait deux voitures arrêtées dans la rue un peu embouties puis j’approche de ma voiture qui était emboutie par ricochet, un agent était là pour constater.
Grâce à cette suggestion d’aller à ma voiture j’ai pu remplir moi aussi mon constat et le faire signer par celui qui avait touché ma voiture, le coffre était sérieusement enfoncé. Sinon j’en aurais été pour mes frais.
Ce fut un signe, de qui, je ne sais, mais c’était une protection.
J’avais connu Martine Q, voyante et chanteuse qui avait exercé le magnétisme et la voyance à Albi. Nous avions sympathisé. Martine devait aller à New York car elle avait une attirance pour cette ville des Etats-Unis. Elle avait quelques contrats avec des Etablissements pour y chanter.
Nous nous perdîmes de vue et quelques années plus tard je me demandais ce qu’elle était devenue, elle n’avait plus son appartement à Talence il était donc difficile d’avoir de ses nouvelles.
Je me dis : j’aurais bien de ces nouvelles un jour ou l’autre, je suis sûre que je la retrouverai.
Un midi alors que je regardais France 3, je vis un mini reportage sur les SDF de Bordeaux il y avait un cours extrait d’une annexe des restos du coeur de la Gare Saint-Jean et je vois une femme assise derrière la personne interviewée dudit resto. Je crois reconnaître Martine.
J’attends l’édition du soir pour revoir cet extrait de 30 secondes environ et pour bien fixer mon attention sur la personne en question.
L’édition repasse et je reconnais Martine qui ne passe que 3 secondes.
C’est ainsi que j’ai pu la retrouver en appelant cette annexe et nous nous sommes rencontrées ayant des tas de choses à nous raconter.
Martine a une foi très importante mais comme elle est une écorchée vive, cela dénature son fond par ses réactions quelquefois imprévisibles et inquiétantes, c’est dommage car elle est très attachante.
Comme j’avais trouvé un livre permettant de comprendre les effets de la prière, la prière force, j’avais envie de faire ma propre enquête.
Ma voisine du dessus et amie n’était pas de bonne humeur depuis quelques temps et se disputait souvent avec son mari, elle n’était pas à prendre avec des pincettes à ce moment là et m’avait même agressée verbalement parce que je souhaitais qu’elle utilise une clef pour la porte d’entrée d’une serrure supplémentaire que j’avais installée pour plus de sûreté.
Voyant son manque de volonté et son refus catégorique, je n’ai pas insisté.
Quelques jours plus tard je me mis à prier pour que son couple s’apaise et qu’ils trouvent tous les deux un terrain d’entente, que les soucis s’aplanissent, enfin qu’elle soit mieux dans sa peau.
J’ai prié longtemps en une fois.
Puis quelques temps plus tard, Jaquie me dit bonjour, comme j’avais l’air étonné, elle me dit qu’elle ne savait pas pourquoi elle s’était fâchée comme ça après moi et qu’elle le regrettait, je lui demandais si tout allait bien avec JJ son mari, elle me répondit que tout allait mieux et qu’elle ne comprenait pas pourquoi elle s’était emportée au sujet de cette serrure.
Autant dire que je ne voulais pas remettre le sujet sur le tapis pour éviter d’abîmer cette réconciliation.
Elle rajouta sur un ton ravi :
« et puis je ne sais pas pourquoi, quelque temps après mettre fâchée j’ai eu comme un déclic, je me suis dit, mais pourquoi tu t’es fâchée avec Caroline surtout que je t’aime bien, tu le sais ! ».
Le mot déclic m’a fait penser à ma prière qui avait dû faire son chemin…..
Dieu a créé des lois qui s’appliquent à tout le monde et d’autant plus vite lorsque Dieu aime ses sujets.
C’est ce qu’un voyant m’a dit en 2001 : « Dieu n’aime pas que l’on fasse du mal à ses médiums ».
En 2004 j’avais loué mon petit appartement de Bordeaux, je voulais le louer à un prix raisonnable c'est-à-dire 380 Euros à une jeune fille qui m’avait fait pitié et ce sans agence.
Quinze jours après qu’elle ait loué, j’avais des problèmes de tout à l’égout, et pour cause il n’y en avait pas, il s’agissait d’une fosse septique.
Bien sûr je n'ai pas poursuivi la jeune fille qui a fui sans rien dire.
C’est après le passage de plusieurs hommes de métier que j’ai pu savoir qu'il n'y avait pas de canalisation s'écoulant à l'extérieur car nous avions des doutes.
Moi j’avais acheté un appartement qui avait un tout à l’égout, on me l’avait certifié et en fait il n’y en avait pas.
Comme la jeune fille ne s’entendait pas avec la voisine et que je venais de lui louer elle ne m’a pas appelé au téléphone de peur de représailles et c’est par ma voisine Jaquie que j’ai su qu’il y avait un problème et pas des moindres.
Comme ces deux femmes ne s’entendaient pas et s'étaient heurtées à plusieurs reprises, Jaquie et JJ n'ont cessé de tirer la chasse d’eau pendant un mois malgré les dégâts causés en bas, c’est-à-dire dans mon appartement, tout se déversait dans l’appartement, c’était une véritable porcherie.
Moi je n’avais pas d’argent et Ch m’a aidée en me prêtant de quoi faire les débouchages et faire creuser le tout à l’égoût grâce à un de ses amis avec lequel j’avais sympathisé, qui avait des dons de voyance et m’avait dit avoir vécu la passion du christ.
Enfin grâce à ses relations puisqu’il faisait des travaux dans son château en Gironde, m’avait envoyé ce plombier qui savait tout faire, tous les corps de métier du bâtiment, heureusement pour moi.
Cet entrepreneur m’avait fait un prix car les autres prenait 24.000 Francs et lui 12.000 Francs, je préfère ne pas parler en Euros ce sera plus compréhensible. Il m’a fait un travail excellent sans casser la baignoire car il fallait creuser dessous, ce qu’il a fait au marteau piqueur très proprement.
Ensuite comme j’ai eu un remboursement de l’assurance je me suis remise au travail, j’ai rénové moi-même mon appartement alors que je m’en serais passé.
C’est vraiment un appartement dans lequel j’ai mis la sueur de mon front. J’ai refait le lambris derrière l’armoire car avec l’humidité il avait gravement gondolé, raboté les deux portes qui avaient gonflé également, repeint, changé les plinthes, le carreau cassé de la fenêtre et tout lasuré une nouvelle fois.
Le propriétaire du dessus ne voulait rien entendre alors que nous étions tous les deux copropriétaires…. Je passe sur les détails.
Ce propriétaire était mauvais coucheur et inexistant.
Il était propriétaire à ma connaissance de 6 ou 8 sociétés du bâtiment, de sa maison certainement et de je ne sais combien d’appartements. Habitait à Morcenx.
Il n’a pas voulu participer au paiement ni venir voir les dégâts, ce qui lui a valu un procès par l’entrepreneur qui m’a fait les travaux car la loi exige que les travaux des parties communes soient partagés.
En bref un sale type, j’ai dit à Dieu : « mais vraiment quel sale type, n’avoir même pas daigné se déplacer pour m’épauler ni lever le petit doigt pour alléger ma peine, je l’ai maudit en pensée en demandant à Dieu de me pardonner d’être aussi en colère après lui. »
Pendant ces quelques jours de travaux par ce plombier Jaquie accepte enfin de ne plus tirer sa chasse d’eau pendant une à deux semaines à peu près.
Ensuite j’ai reloué à d’autres locataires étudiants, je voulais le laisser à 380 Euros mais l’agence immobilière m’a entraîné à le louer 400 Euros, si elle avait pu le louer plus cher elle l’aurait fait.
C’est en voyant cette façon de se comporter que j’ai pu comprendre d’où venait les augmentations des loyers et prix de l’immobilier.
Il ne faut pas chercher plus loin pourquoi les loyers sont devenus si chers et les prix de l’immobilier par voie de conséquence.
Et oui les prix augmentent, ils n’augmentent pas tous seuls les prix. On peut dire merci aux agences immobilières et au gouvernement de l'époque de n'avoir rien fait pour laisser s'aggraver la situation.
Après ce problème très pénible de dégâts des eaux :
- Trois mois plus tard le propriétaire du dessus à eu un très grave accident lors d’un rallye pendant l’été, il s’est retrouvé plusieurs mois après en rééducation, il est paralysé du bras droit maintenant et d'ailleurs je l'ai eu au téléphone au mois de juin 2008, il est devenu plus humain.
- Jaquie et JJ ont eu une panne de chasse d’eau pendant trois ans, par manque de moyen pour la faire réparer.
Sans commentaire.
Pendant deux ans, j’ai vécu des moments difficiles avec quelqu’un et pour des raisons d’ordre privé je ne rentrerai pas dans le détails mais cette expérience était basée sur la vérification d’une voyance d’une amie qui se disait très forte et que j’avais rencontrée suite à ma prospection de 2001, cette voyante était une femme de mon âge pour la simple et bonne raison qu’elle était née le même jour que moi du même mois et de la même année, ça crée des liens....
Cette voyante je l’appelai Me et la personne je l’appellerai Ch.
Voici l’histoire :
Je cherche quelqu’un par l’intermédiaire d’internet car je ne souhaite pas sortir en boîte, les sites de rencontre d’internet sont plus ciblés et donc on a plus de chance de trouver quelqu’un et au moins d’après ses critères.
Je contacte Ch et échange des propos sur nos recherches respectives, nous sympathisons par écrit puis nous stoppons parce que nous sommes en désaccord sur un point.
J’en parle à Me quatre mois plus tard qui me dit : « c’est dommage parce qu’avec Ch vous pourriez vivre un très long chemin ensemble ».
Comme a l’époque je souhaitais rencontrer une personne pour une union durable comme ça a toujours été mon désir, je tente de rattraper les choses avec Ch, je doutais tout de même de la voyance de Me car moi je ne l’avais pas ressenti ainsi.
Mais elle insiste : « tu passes à côté de quelque chose, recontacte cette personne, tu verras ce que je te dis » je lui réponds que je ne préfère pas, mais elle insiste fortement, ce fâchant presque.
Elle me fait donc douter de moi-même et comme elle est persuadée d’avoir raison, je fais le nécessaire pour recontacter Ch.
Ch avait du mal à revenir vers moi mais la curiosité étant là, m’a dit par la suite avoir ressenti une force d’attraction à laquelle elle ne pouvait lutter, puis accepte de me rencontrer, nous dînons et nous tombons sous le charme réciproquement, s’ensuit une vie commune avec deux ruptures de la part de Ch et une, la dernière, de ma part. Une histoire qui dure deux ans.
Effectivement le caractère et le comportement de Ch n’est pas rassurant pour moi et donc je ne deviens pas rassurante non plus.
La première rupture :
Comme j’avais mon appartement loué, je ne pouvais pas le regagner donc je demande à Me de m’héberger mais au bout d’une semaine je pars car sa façon de vivre ne me convient pas.
En plus je lui dis qu’elle s’est trompée sur sa voyance mais ne veut pas en démordre me rétorquant qu’avec Ch il faut marcher sur des oeufs, que la voyance ça change (sic).
Me retire les cartes et me montre par ses cartes qu’il y avait une solution pour que tout aille mieux. Je doute toujours.
J’étais bien ennuyée car je n’avais pas de toit où aller, je téléphone à un couple d’amis qui malheureusement reçoit quelqu’un à ce moment là et ne peut me dépanner.
Ce jour là j’avais absolument envie de partir de chez Me et il me fallait trouver dans les heures qui suivait une solution.
J’étais dans la rue pour téléphoner avec mon portable à Daniel et Chantal, et je poursuivis ma route à pieds dans les rues de Bordeaux, réfléchissant à mon problème et demandant à Dieu de m’aider.
Comme Me habitait non loin de la Place des Capucins, je me dirige à pieds vers Saint-Michel, je ne connaissais personne d'autre à appeler, ni dans le quartier, et puis en marchant dans une rue, je vois une personne qui avait participé à une randonnée pédestre avec moi quelques mois auparavant, elle me voit, je l’accoste pour la saluer et lui demander de ses nouvelles, elle me demande comment je vais et je lui raconte que je suis reçue chez une amie mais que je ne supporte plus sa façon de vivre.
Cette personne qui s’appelle Françoise R, me propose sans équivoque ni tergiversation de m’héberger. Ouf, me voilà rassurée et sauvée par une aide sur ma route. Je la remercie de tout coeur bien entendu et Dieu de l’avoir mise sur mon chemin parce qu’en plus elle me dit qu’elle n’avait pas l’habitude d’être dans la rue à cet endroit et à cette heure là….. Je précise qu’elle ne me connaissait pas et qu'elle n'était pas du genre à héberger des inconnus.
J’ai trouvé son aide vingt minutes après le coup de téléphone à mes amis.
Je suis restée chez Françoise deux ou trois semaines environ, j’ai partagé ses frais d’électricité, de gaz etc, ce qui était normal, et nous nous sommes très bien entendues, du reste, nous avons gardé une solide amitié.
Puis comme cela faisait quelques jours que je m’étais éloignée de Ch, je me dis qu’il fallait tout de même que je puisse retrouver mes affaires et peut-être arriver à un compromis.
Je me promène dans les rues de Bordeaux et comme je passe par la rue Ravez, je m’arrête à l’église, il n’y avait personne, je peux donc m’asseoir sur un banc dans le calme, sortir mon carnet de prières que j’ai choisies et recopiées, et enfin m’intérioriser dans la prière, demandant à Dieu évidemment une solution à tout cela.
J’étais profondément attristée de l’éloignement.
A la fin de mes prières, au bout d’une demie heure, le prêtre de l’église passe à ma gauche, était habillé de blanc et rentre dans une pièce de l’église au fond à droite, je le suis des yeux et me baisse un peu, puis qu’est-ce que je vois sur le banc, juste le banc de devant à trente centimètres à droite ? Un petit nounours.
Comme j’ai aussi une âme d’enfant, je me lève, je fixe le nounours, interloquée, il n’y avait personne dans l'église, je le prends, il était marron, très doux, il faisait 10 cm et portait sur sa poitrine un petit coeur rouge. Je suis agréablement étonnée. Je le garde.
Comme les auspices paraissaient bons avec ce nounours imprévu, après quelques minutes de marche et de réflexion, j’envoie un sms à Ch qui me répond, puis nous nous reparlons et au fil de la discussion, nous nous réconcilions.
Les mois passent, l’entente est bonne mais il y a des comportements de la part de Ch qui m’indisposent et donc je lui fais ressentir ce qui occasionne une deuxième décision de rupture.
Deuxième rupture.
Là je décide de m’éloigner et trouve en quelques minutes une solution, comme j’étais au chômage, je connaissais une restauratrice qui avait besoin fréquemment d’employés car les conditions de travail se trouvaient assez rudes, donc je l’appelle et elle décide de m’embaucher en tant que serveuse, puis comme il me fallait une chambre meublée je trouve une seule et unique adresse et devinez quoi, la propriétaire de cette chambre a des dons de voyance et me dit au fil du mois que je passe chez elle qu’elle ne voit rien de bien encourageant quant à la durée de l’union de Ch et Caroline. Hummmmm.
Je pensais rester à cette place mais au fil des jours, je pensais à Ch d’autant plus qu’il y avait sans arrêt la Radio Nostalgie qui passait dans ce restaurant.
Au bout d’un mois, comme je faisais le service et le ménage, en balayant la terrasse, il faut dire que j’étais à l’air pur car c’était sur le bassin d’Arcachon au bord de l’eau, donc j’étais bien entourée, Geneviève, ma patronne, un peu plus âgée que moi, me confiait sa vie et moi la mienne. J’étais dans de bonnes mains.
Donc sur la terrasse, après que les derniers clients du repas de midi soient partis, je balayais la terrasse et en ramenant les miettes de pain et autres, je vois devinez quoi, un petit nounours en matière plastique de 6 cm, c’était un nounours de porte clef qui n’avait plus sa partie métallique.
A ce moment, le manche à balai dans une main et ce nounours dans l’autre, je repense au nounours de l’église.
Après mon service, je passe un sms à Ch qui me répond et nous nous réconcilions.
Quelques mois plus tard je me rends compte que je suis détachée de Ch, comme parallèlement les locataires sont partis de mon appartement, et du fait que j’estime que je n’ai plus à devoir vivre avec Ch, je décide de rentrer CHEZ MOI, cela s’est fait in extremis car d’autres locataires devaient signer le jour où j’ai appelé l'agence et repris enfin mon appartement.
Cette année là en 2006, année particulièrement éprouvante alors que j'étais seule, j’ai trouvé un gros nounours dans le cours de la Somme en allant à l’épicerie Proxi, contre un carton, il devait partir à la poubelle, je l’ai lavé car il était particulièrement sale et je l’ai installé sur une étagère dans ma pièce principale. Puis quelques temps plus tard, un mickey au coin de ma rue sur la chaussée, propre, que j’ai installé avec le gros nounours.
Et un mois après une peluche de l'autre côté de la rue, dans un petit carton, en portant un sac poubelle dans un bac, qui ressemble à un petit extra terrestre, de couleur rouge foncé, pas vert non, propre également.
Je me suis demandé à ce sujet comment des enfants pouvaient se séparer de leurs nounours, fallait-il qu’ils en aient autant pour ne pas s’y attacher ?
A l’époque de mon enfance un nounours était un compagnon dont on ne se séparait absolument pas !
Les deux premiers nounours sont dans une boîte en bois.
Les trois autres sur une étagère : le gros nounours est assis et tient dans ses pattes le mickey et le petit extra terrestre.
A ce récit on pourrait croire que je suis d’un autre monde, c’est justement ce que me disait Ch : « toi tu n’es pas de cette terre, tu dois être d’un autre monde ».
Je pense en fait que je suis à cheval entre les deux.
De ma vie je n’ai jamais trouvé de peluche avant cette histoire, et pour l’instant je n’en ai pas trouvé plus depuis l’année 2007 ….
En tout état de cause, j’ai dit à Me que sa voyance n’était pas exacte mais comme c’était une femme qui souffrait je n’en ai pas rajouté, c’était inutile et puis je ne regrette rien de ce que je fais car si je ne vivais pas ces expériences je ne ferais pas de découvertes supplémentaires.
Et tout compte fait peut-être fallait-il que je la vive quand même cette relation.
Je ne regrette pas d’avoir vécu avec Ch non plus car tout un chacun a ses qualités et ses défauts, moi y compris.
Nous n’étions pas effectivement du même monde c’est tout ce qu’il y a à dire (je ne parle pas du niveau social qui n’a rien à voir).
Et pour faire de l’esprit je pense que Ch avait une foi fragile.
En tout cas je n’ai pas eu besoin de grimper sur des montagnes pour avoir des sensations fortes dans mon existence car j’ai vécu ce que j’avais envie de vivre. Ces expériences m’ont appris à atteindre mes limites et celles de l’invisible.
C’est la raison pour laquelle au sujet de la voyance il faut être très prudent, ce que j’ai pris pour parole d’évangile et du moins voulu le croire mais le vérifier, j’ai pu constater que peu d’êtres humains possèdent ce don, il y en a qui s’en approchent, d’autres qui s’en croient dotés mais peu qui le possèdent vraiment. C’est comme la sainteté.
Toutefois il y a tout de même de très bons voyants mais à trouver par de bonnes relations éclairées.
J’arrive tout juste à Toulouse. M et moi allons en ville, me dit de prendre un ticket de métro, je le prends et M s’aperçoit et me dit : « tu aurais dû prendre un ticket aller et retour, je me rends compte effectivement que je me suis trompée n’étant pas habituée au métro de Toulouse, nous discutons un peu et trente secondes après, alors que le hall était bondé de gens et bruyant, un jeune homme de 20 ans environ monte l’escalier et en me croisant me tend un billet aller et retour en me disant : « le voulez-vous, je n’en ai pas l’utilité ? (du retour)» ….
« oui, lui répondis-je toute heureuse et ravie de la situation »
M s’exclame avec euphorie :
« c’est ton ange gardien !!! ».
Pour toute action venant de l'autre dimension, ne jamais oublier de remercier, c'est une forme de respect mutuel.
Alors que j’avais prospecté par téléphone j’ai trouvé une galerie dans Toulouse pour proposer mes oeuvres, la personne, une dame charmante de la galerie Concha de Nazelle, Madame Concha de Nazelle en personne, regarde mes dessins et me dit qu’elle est prise pour un certain temps et que le restaurant d’à-côté cherche des oeuvres d’artistes peintres. M'encourage à aller voir le patron.
J’y vais donc de ce pas puisque j’avais quatre oeuvres sous la main encadrées, le restaurateur en a choisi trois qu’il expose dans son établissement, le quatrième était celui que je mets au mur de l’appartement que j’occupe, je l’ai donc remis à sa place initiale.
Après cela, j'ai remercié immédiatement Concha.... et mon protecteur spirituel.
Une journée bien orchestrée…..
Voilà, il y a eu des petits détails mais tous ces récits suffiront à faire réfléchir à l'existence d'influences protectrices ou punitives.
Pour les personnes qui ont des manifestations, qu’elles cherchent avec des personnes de foi à en trouver les explications car tout s’explique.
Pour terminer une des meilleures voyantes que j’ai rencontré sur mon chemin était Lise-Marie que j’ai eu au téléphone il y a peu pour lui annoncer mon visage de Jésus, ce qui l’a surprise d'autant plus qu'il est matérialisé.
Vu qu’elle m’en avait touché quelques mots il y a plus de dix ans et que c’est avec elle que j’ai vu le premier sur une plaque de cuivre, je ne pouvais pas la laisser sans ignorer cette nouvelle extraordinaire.
Ce que je peux rajouter c’est que son don comme elle me l’a dit s’est amplifié et que Dieu lui donne de plus en plus.
La seule prédiction qu’elle m’avait donné dans les années 90 concernant le monde était :
"Lorsque Mère Teresa, l’Abbé Pierre et Jean-Paul II ne seront plus de ce monde,
il se passera des choses très graves".
Elle n’a pas voulu m’en donner les détails mais à seulement rajouté : « si tu voyais ce que je vois !!! ».
A l’heure actuelle il y a des abus de toutes sortes, les prix qui augmentent, les capitalistes n’en font qu’à leur tête et je pense personnellement que c’est maintenant que les choses s’aggravent et que sa prédiction débute.
Elle m’avait parlé également des microbes qui seraient de plus en plus virulents et nombreux.
Qu’il y aurait un Sida des os, elle avait vu le sida du sang dix ans avant (une maladie grave du sang, car elle n’avait pas vu le nom que l’on donnerait à la maladie, cela va de soi).
On peut constater que les catastrophes sont de plus en plus dévastatrices.
Je peux dire également qu’une autre de mes amies, voyante, est partie de France pour aller au Portugal il y a deux ans car elle m’a dit :
« les choses vont aller en s’aggravant en France, les prix vont augmenter et je préfère partir ».
Alors à ceux qui ont le pouvoir je leur demande de bien réfléchir si toutefois ils tombent sur mes écrits car il y a une comptabilité à laquelle nul ne peut échapper.
Dieu voit tout et ses lois n’ont pas d’exception ou sinon de sa propre initiative.
L’argent n’a de pouvoir que sur celui qui le possède et qui en est l’esclave.
Il est bon d’en avoir mais le gagner honnêtement est préférable et encore mieux de ne pas l’amasser au détriment des autres.
A bon entendeur…..