Sur cette page je relate les signes que j'ai reçus suite à des questions que j'ai posées directement à Dieu.
Les détails ne seront pas exhaustifs du fait qu'il y en a certains qui font partie de ma vie privée et bien qu'ils méritent de l'intérêt, pour le moment il en sera ainsi.
Neuilly.
Comme je l'ai indiqué dans les commentaires de mon blog Lise Marie qui était infirmière anesthésiste de métier, possédait ce don de voyance, de prédiction et des dons de guérison, que j’ai pu vérifier par le témoignage de personnes de mon entourage et par moi-même, je raconterai les détails. A été mise sur ma route pendant quelques années par Dieu pour m'éclairer, était et est toujours très mystique, nous avons vu ensemble le visage du Christ sur une petite plaque de cuivre en 1986, j'avais donc 29 ans, c'était à propos d'une question très importante et très personnelle qui demandait une réponse impérative. Notre amitié a duré 11 ans et demi, nous nous sommes perdues de vue.
Comme je ne voulais pas déplaire à mon créateur et protecteur, ma question avait absolument besoin de l’assentiment de Dieu.
Le visage ressemblait exactement au Saint Suaire et avait une taille deux fois plus grande que le dernier qui s'est matérialisé.
Je dois ajouter que je n'ai pas questionné fortement Dieu sur des sujets futiles.
Bordeaux
Je venais d'être licenciée d'une société pour laquelle j'étais attachée commerciale pour insuffisance de chiffres d'affaires alors que je m'étais démenée pour créer la clientèle d'un secteur inexploité (le grand Sud-Ouest) pour la gamme proposée, j’étais 3ème sur 22 en tant que commerciale de la société et comme j'avais un représentant de la maison mère qui me faisait concurrence avec une gamme plus importante que la mienne, je ne savais pas si je devais ou non mettre le PDG aux prud'hommes.
C'était pour moi une question qui me pesait sur la conscience contrairement à la maison de retraite pour laquelle je n'ai pas hésité un millième de seconde, il me fallait une réponse absolument dans le mois qui suivait le licenciement, c'était le délai que je m'étais donné pour trancher.
J'ai l'habitude de décider seule de mes actes mais là la balance était bloquée au milieu si je puis dire donc comme cette question devait se résoudre je m'en remis à Dieu, par la pensée toujours en m'intériorisant et en lui expliquant le pourquoi, le comment, tous les détails, mes hésitations etc....
Evidemment j'avais réfléchi pendant plusieurs jours et j'attendais un signe. Je me demandais bien comment Dieu allait pouvoir me répondre étant donné que je ne fais pas de voyance, je n'ai pas utilisé d'autres moyens, j'ai attendu.
Une fois que j'ai posé ma question à Dieu, j'ai lâché prise avec ce problème me disant que j'aurais bien un signe quel qu'il soit mais il est vrai que je me disais que sans une personne douée de faculté.... Enfin j'ai préféré que ce soit entre Dieu et moi.
Quelques jours passèrent.
Thérèse R.E la veille d'un week-end me dit : "j'aimerais que nous allions à la fête de la pomme de terre, est-ce ça te dirait ?" Thérèse aimait beaucoup les fêtes et le monde, moi moins mais cela me sortait un peu. L'été était là il fallait respirer.
Nous partons, elle habite à Gradignan, la fête se trouvait vers Eysines ou à côté, je ne me souviens plus très bien de l'endroit exact du fait que je ne connaissais pas très bien cette commune de la CUB de Bordeaux. C'était au début de notre millénaire en juillet ou août.
Mon licenciement datait du 5 juillet.
Nous arrivons et trouvons le lieu de la fête mais nous étions arrivés bien trop tôt.
Thérèse me dit j'ai une amie qui habite à côté nous pourrions passer la voir, "oui, oui, pourquoi pas !" lui dis-je. Elle l'appelle avec son téléphone portable et son amie nous invite à passer.
E nous ouvre la porte, je fais sa connaissance et nous prenons l'apéritif.
E nous dit qu'elle en attend M qui ne va pas tarder à arriver.
Thérèse et E discutent car elles se connaissaient de longue date, nous échangeons des idées etc... M n'arrive pas.
Trois quarts d'heure environ passent et Thérèse demande : "mais au fait que fait M dans la vie ?" E répond "M est avocat au barreau de Bordeaux". "Ha bon !" dis-je, à mon grand étonnement. "Et avocat dans quelle spécialité ?" E répond "aux Prud'hommes". Interloquée je réalise immédiatement "Alors là, ça tombe bien lui répondis-je, je ne connais pas d'avocat des prud'hommes et j'ai justement une affaire en cours !". Je pris son nom et ses coordonnées bien sûr. Nous partîmes quelques minutes plus tard.
Je n'ai pas connu M ce soir là mais lors du premier rendez-vous en son étude.
Voyez-vous comment j'ai eu ma réponse ?
En plus nous ne sommes pas allées dîner à cette fête, nous avons changé notre programme en cours de soirée.
Comme quoi tout est possible, c’est le génie de Dieu.
Je rajoute également que je rencontrais rarement du monde et n'avait pas l'occasion de me faire de nouvelles connaissances dans ce niveau social.
C'est après que j'ai trouvé un livre sur les synchronicités fort intéressant de Alain Brêtes. Il existe d'autres auteurs à découvrir.
Mon avocat a gagné et j’ai eu des dommages et intérêts.
C'est avec ce genre de situations que j’ai réalisé au fil du temps que Dieu avait mis plusieurs signes sur ma route pour mon apprentissage et des épreuves pour me tester.
Je mettrais à la suite de ces récits une autre page avec les signes que j’ai reçus sans demande de ma part.
Bordeaux
Je me trouvais dans ma dernière place où une personne de ma hiérarchie mal intentionnée avait eu une attitude très déplacée de par sa position envers moi, aussi poussant cette personne dans ces derniers retranchements j’ai pu à mon désavantage constater sa malhonnêteté morale.
Comme cela m’affectait et que je ne comprenais plus rien à ses façons d’agir, j’ai demandé à Dieu si je devais ou non voir une voyante pour avoir plus d’information car je ne souhaitais plus avoir de relation avec une personne qui me disait mon avenir alors que je ne lui demandais rien, cela me déplaisait.
J’avais mon propre ressenti mais avais besoin d’une aide pour affirmer ou infirmer.
J’avais bien une autre personne que je connaissais qui avait un don excellent mais j’hésitais pour le coût de la visite et donc je préférais attendre et m’en remettre à la décision de Dieu.
Ma question revenait dans mon esprit car l’arnaque était de taille et m’avait mise dans une très mauvaise posture.
Quelques jours passèrent, Annie P me téléphone pour me dire qu’elle part quelques jours en congés et ne peut assurer la permanence de l’association dont nous faisons partie et me demande si je peux la remplacer. Annie à besoin qu’on la remplace une fois par an. Je ne bougeais pas de chez moi car je ne sortais pas en dehors des courses alimentaires, j’accepte de lui rendre ce service.
J’arrive à la Maison des Femmes de Bordeaux et je m’installe, il n’y avait personne et j’attends. Une personne plus âgée que moi arrive et nous commençons à dialoguer, nous parlons de l’association, de quelques sujets puis elle me dit qu’elle a des problèmes financiers et que heureusement elle a ses cartes…. « Ha bon, quelles cartes lui dis-je ? », et elle me répond qu’elle a des dons de voyance…. Puis une autre personne arrive et nous cessons la discussion, puis une troisième seulement.
Vous avez compris, moi aussi.
J’ai pu savoir que la personne en question avait bien eu des mauvaises intentions envers moi car c’était une manipulatrice, chose que je ne connaissais encore au travail, j’étais loin de penser à cela car je l’avais prise en sympathie, elle avait tout fait pour. Qu’il faudrait que je me méfie d’elle et ne pas être en sa présence sans témoin car elle serait capable de me faire un coup monté pour me porter préjudice.
Elle m’a également dit ce qui se passait à la maison de retraite et des mouvements pendant mon absence que j’ai pu vérifier, tout était exact.
Et puis d’autres choses que je garde pour moi évidemment.
J’ai remercié cette personne qui m’a aidée gratuitement et Dieu comme toujours de m’avoir mise en garde par son intercession dans ma vie.
Ensuite étant plus argentée je l’ai aidée à ma façon et avec mes modestes moyens.
Bordeaux
Courant 2006, toujours à ce même travail, étant moralement malmenée par trois personnes et ayant été embauchée avec des conditions louches au sujet d’une employée (je ne peux pas tout dire sur ce site évidemment) j’ai un entretien avec la direction, constituée de deux personnes, suite à une vive discussion avec l’une des deux.
La direction ayant exprimé son argument, je voyais la mise en scène bien huilée, je dis clairement et fortement une phrase à la directrice qui, à la réflexion n’était pas pleinement responsable de cet état de chose puisqu’elle avait un supérieur hiérarchique, mais n’en pouvant plus, je lui répète plusieurs fois la phrase en question en la regardant droit dans les yeux :
« on n’embauche pas une personne pour …….. »
phrase que je lui ai écrite sur un courrier et qu’elle a dû bien mémoriser.
Nous terminons l’entretien à la fin de ma phrase et je vais m’installer dans le hall puisque mon (bureau) était dans le hall d’entrée et je pense fortement : « mon Dieu j’ai eu raison de le lui dire tout de même ! » à la fin de ma pensée, assise sur ma chaise, contrariée mais restant digne, Melle Josette S qui se promenait autour de mon poste de travail, résidante de la maison de retraite vient vers moi, toute frêle, je précise que ma place dans le hall est à 10 m dudit bureau qui était fermé durant l'échange verbal, Melle Josette S souffrait de la maladie de parkinson, s’approche de moi tout doucement, à petit pas, me regarde dans les yeux, me tend ses deux mains toutes fines et fraîches que je prends délicatement dans les miennes et me dit de sa petite voix deux fois avec un large sourire sur un ton affirmé mais tendre « vous avez un don, vous avez un don »….
Jamais je n'avais eu de contact physique avec cette personne mais simplement des rapports courtois, sinon une fois seulement quelques temps auparavant alors que je l'avais rassise sur son fauteuil dans sa chambre suite à une chute à terre et que personne n'était allé la secourir. Heureusement que je passais porter un courrier près de là, sa petite voix ne portait pas bien loin et elle ne pouvait atteindre la sonnette.
Cette personne est maintenant disparue, paix à son âme.
Je n’en revenais pas, j’avais l’assentiment de Dieu quelques secondes après, je m’en trouvais toute chose, comme on dit dans le Sud-Ouest.
Ma vie est parfois difficile mais tellement riche.
Bordeaux Novembre 2006. C’étaient mes questions sur le visage de Jésus et ma signature, puis la question sur ce que je devais faire du visage du Christ matérialisé à laquelle j’ai eu pour réponse la phrase 33. Tout le récit est sur mon blog.
Je précise que j’ai eu le visage du Christ le 11 novembre et que j’ai été licenciée le 29 novembre sans avoir à effectuer de préavis, ce qui m’a soulagé de cette ambiance néfaste.
Bordeaux
Début 2007 les Témoins de Jéhovah sonnent à ma porte, les deux jeunes femmes me parlent un moment et pour ne pas leur être désagréable j’accepte leur petit livre qui a dû coûter cher à la secte me dis-je. Je le range.
Quelques jours plus tard, je pars à la laverie m’occuper de mon linge n’ayant pas de machine, je prends le livret pour m’informer sans a priori tout en sachant que je n’adhère pas du tout, mais je lis pendant que les deux machines à laver tournent.
Le temps du lavage passe, je n’avais rien trouvé de spécial dans ma lecture et je me questionne, je pense à Dieu et lui dit, en pensée évidemment "Mon Dieu est-ce que ce livret est une bonne retranscription de la Bible ?" Puis je prends mon vélo que je charge des deux sacs de linge sur le porte-bagages.
La laverie n’est qu’à 400 m de chez moi. Je roule tranquillement car avec le poids je ne risquais pas de foncer, puis comme il faut que tourne à gauche, j’étais dans le Cours de la Somme, je tends le bras à gauche, m’installe au milieu de la chaussée de droite, et alors que je n’avais personne dans le sens inverse pour traverser, je m’apprête à tourner, un autobus à 20 m derrière moi me klaxonne avec insistance alors que j’étais dans mon bon droit, la femme me dit d’une voix poissarde « j’ai des personnes dans le bus, vous m’obligez à freiner (en plus elle devait s’arrêter à l’arrêt qui se trouvait au même niveau que moi) !!!!!!».
Là je descends de ma selle pour dialoguer, elle continue de plus belle, je laisse tomber car les gens obtus sont ingérables, puis un jeune à pieds traverse devant moi, il n'avait pas l'air net, et me rouspète dessus alors qu’il n’avait rien à voir dans cette histoire …... Je le regarde et suis des yeux sa marche, éberluée.
Comment pouvais-je en tournant à gauche être responsable de la conduite de cette femme ? Tout le monde sait que c’est celui qui est derrière qui doit maîtriser son volant. A vélo on ne peut guère piler en roulant à cinq à l’heure avec un bras hors du guidon….. Visiblement elle devait avoir la tête en l’air, ne m’avait donc pas vue, et voulait aux yeux des passagers me mettre sur le dos la responsabilité de sa distraction d’où son coup de frein tardif, on ne me la fait pas.
J’avais donc deux personnes qui me mettent le grappin dessus alors que j’étais dans mon droit, je rentre chez moi, contrariée, je descends mes sacs du porte-bagages, je range mes affaires en réfléchissant à la scène de l’autobus et du jeune homme, je m’assieds sur mon vieux fauteuil crapaud conforama, je me questionne : « comment ça se fait, ça ne m’arrive jamais ce genre de truc, je suis prudente et en plus deux personnes sur le paletot », je commençais à faire la relation entre l’altercation et le livret, enfin je rouvre le livret et la première phrase sur laquelle je tombe est une phrase qui me fait bondir : « et la femme doit être soumise à l’homme…. » alors là, la phrase en plus du reste, je déchire le livre et je le jette hâtivement…. (quand on s'aime on s'apporte réciproquement et non par obligation, cette phrase est l'ouverture à tous les abus y compris et surtout sexuels).
Je comprends le message, habituellement lorsque je traverse une rue on me laisse passer, on s’arrête même ce qui est surprenant, on me parle, me sourit, on me demande souvent le chemin etc….
C’était la première fois qu’un fait pareil se produisait dans ma vie, ce jour là j’eus un nouveau signe.
Le plus surprenant c’est que la réponse est de plus en plus rapide.
Tout le monde a des signes et il faut être à l’écoute pour savoir les reconnaître.
Bordeaux
Mes productions de dessins ou peintures.
J’ai plusieurs oeuvres que j’ai faites durant une trentaine d’années et mon amie Lise Marie m’avait dit il y a vingt ans maintenant, tu vendras tes dessins, tu as deux siècles d’avance, en France ils ne seront pas capables de voir ton talent, c’est par l’étranger que tu réussiras et ils se vendront comme des petits pains. Hum… Bon …. nous verrons.
Moi à l’époque je peignais pour mon plaisir personnel et je ne me voyais pas vendre mes œuvres, m’en séparer, parce que j’y tiens tout simplement.
Celle sur laquelle le visage de Jésus s’est matérialisé de la façon que vous connaissez, je l’avais exposée chez une coiffeuse à Arcachon, une cliente voulait me l’acheter 1.500 Francs il y a 20 ans mais je n’ai pas souhaité m’en séparer, c’est un de mes dessins préférés et je l’avais installé il y a cinq ans à peu près à la droite de mon lit, il y est toujours où que j'habite.
J’aurai autre chose à raconter au sujet de la première exposition de mes œuvres sur internet mais cela fera partie du chapitre suivant, cela vaut aussi.
Pour en revenir à mes peintures, sur papier je précise, car pour le moment je ne peins pas à l’huile du fait que je trace le squelette si je puis dire à la plume, il ne peut donc en être autrement, je parle à une de mes connaissances que j’aimerais faire quelque chose avec mes œuvres, du genre expositions ou autres, et elle me répond quelques heures plus tard qu’une amie lui indique que je peux aller le samedi 31 mars et le dimanche 1er avril 2007 à une manifestation artistique à Bordeaux vers la place de Tourny, c’était très gentil de sa part, il faut dire qu’elle travaille au musée à Bordeaux alors elle ne peut qu’aimer l’art. Elle m’indique qu’il y avait une association à laquelle il fallait se présenter, payer un droit d’accès et être parmi les premiers pour bénéficier d’une place je ne sais où.
Ce dimanche là je n’avais pas envie de sortir, en plus pas d’argent pour encadrer mes dessins de toute façon, alors je préférais rester chez moi devant la télévision pour me reposer car je créais le site et le blog du visage de Jésus et travaillait sans cesse même le dimanche, j’avais besoin de faire relâche. Je n’ai pas respecté le jour du Sabbat …. Comme Jésus dont je m’occupais.
Je demandais à Dieu depuis quelques jours entre deux travaux informatiques sur les sites de Jésus, si je devais ou non continuer à dessiner et peindre et si j’allais un jour faire quelque chose avec ce don qu’il m’a offert, car de toute façon il me fallait trouver un travail, un revenu. J’ai 51 ans maintenant et je me donne vingt ans encore pour que ça se décide si cela doit être.
Entre nous je ne compte pas sur l’art pour vivre, j’ai la tête sur les épaules, mais quand on ne tente rien on n’a rien… L'inertie n'est pas non plus une solution.
Je me dis tant pis pour la manifestation culturelle, et puis en plus j’ai horreur de la compétition depuis ma petite enfance, ce jour là j’étais vraiment fatiguée.
Le dimanche matin donc, j’étais assise confortablement contre mes deux oreillers sur mon lit à regarder la télévision le jour du seigneur pour me tenir au courant de l’actualité religieuse. J’avais entrouvert mes volets légèrement pour laisser passer un filet de jour car je n’aime pas que l’on me voie du fait que j’habite au rez-de-chaussée, j’entends deux personnes qui parlent dans la rue, je ne reconnais pas ces voix, je ne connais personne dans ma rue à part mes voisins et amis du dessus. J’entends les pas de ces personnes, puis j’entends un bruit de carton qui tombe au sol et enfin 3 secondes après je vois et j'entends le carton en question glisser entre les volets. Là je me dis : il faut être gonflé pour se débarrasser de ses affaires entre mes volets. Je ne bouge pas, je poursuis mon idée en regardant la télévision.
Après mon émission, une demie heure plus tard, je me dis il faudrait peut-être que je m’occupe d’ôter ce carton du volet. Je le prends, et au fur et à mesure que je le tire je m’aperçois que c’est un rouleau de papier épais, il était légèrement sali, je le déroule et qu’est-ce que je vois, une affiche de Kandinsky.
Kandinsky était un peintre abstrait, et après recherche du signe du sagittaire comme moi !!!!
J’ai constaté qu’il y avait un fond rouge prédominant, j’avais commencé à mettre du rouge dans mes œuvres juste avant de faire les sites de Jésus.
Était-ce une invitation à continuer ? Je le pense. Peindre à l’huile ? je ne sais, et puis l’huile ne m’attire pas particulièrement car elle met un temps fou pour sécher. Je verrai.
C’était fort comme réponse et ce n’était pas une blague bien que cela se soit passé le dimanche 1er avril 2007. La personne qui m’a donné le tuyau pour l’exposition dans Bordeaux ne connaît pas mon adresse et mes voisins ne sont pas amateurs d’art. La Place de Tourny est à 2 km à vol d’oiseau de chez moi.
Pour le moment je m’occupe à l’écriture, je poursuivrai mes œuvres après, si Dieu m’en donne le temps et les moyens. Je ne suis pas pressée. Et je ne rêve plus, je n’en ai plus besoin. J’ai une attitude assez bouddhiste sans l'être. En effet j'ai appris seule à pratiquer le lâcher prise. Un matin, j'avais entre 45 et 50 ans, je me suis réveillée et je me suis dit, mais oui j'ai trouvé, le bonheur c'est de ne plus le chercher....
Cela permet aussi d'avoir des surprises, il ne faut pas se fermer non plus !
Bordeaux
En terminant le plus gros du travail des sites pour Dieu et Jésus, mes deux patrons, je demande à Dieu d’avoir quelqu’un dans ma vie, car la solitude me pèse et je souhaiterais avec de la compagnie journalière. Un chien se serait bien me disais-je mais cela ne remplace par l’humain.
A ce moment là j’étais seule et il est vrai que pour faire le travail demandé il valait mieux car j’aurais été complètement absente, je travaillais 12 à 16 heures par jour sur mon ordinateur. Il me fallait me concentrer dans le silence.
Il m’a fallu deux mois pour faire le plus gros, maintenant j’agrémente au fur et à mesure lorsque je reçois l’inspiration, le souffle de Dieu mon blog principal et mon portrait, mon histoire.
Début mai je me suis dit : à tous les coups lorsque je vais avoir bien avancé mes sites de Jésus je vais rencontrer quelqu’un.
Cela n’a pas tardé, le 1er juin 2007 j’ai rencontré la personne qui partage ma vie, et nous avons les mêmes chiffres en numérologie ce qui est extrêmement rare. Expression (avec tous nos prénoms) 7 et chemin de vie 9. C’est vérifiable avec nos cartes d’identité, c’est matériellement prouvable. Cette personne ne connaît rien à la numérologie, d'ailleurs je n'avais rien communiqué non plus avant notre premier contact.
C'était mon souhait (en plus) de rencontrer une personne dont la numérologie pourrait être compatible.
Sa mère qui est très croyante comme un fait exprès, elle est oblate, m’a dit : « c’est Dieu qui vous envoie ! » Elle à 87 ans, vit de façon équilibrée et possède une excellente santé.
Lise Marie m’avait dit, plus tard tu t’occuperas de quelqu’un.
Cette personne est malentendante depuis qu’elle est bébé suite à des otites à répétition et à la prise d'un médicament plus tard retiré du marché.
Je passe au-dessus de son handicap qui ne l’empêche pas bien au contraire d’avoir de grandes qualités humaines, elle est de bonne compagnie, ce qui me fallait.
Lise Marie était très forte et faisait des prédictions, une société secrète l’avaient sollicitée il y a longtemps mais elle ne souhaitait pas être « le toutou de service, comme elle disait » Elle préférait vivre hors de tout groupe quel qu’il soit. Elle avait un nombre d’expression 7 et un chemin de vie 1. Nous étions sur la même longueur d'onde.
Elle m'avait fait des prédictions pendant le temps de notre amitié qui se sont avérées vraies. Certaines se sont produites, il y en a d'autres qui arriveront.
Je l'ai informé dernièrement de l'image de Jésus que j'ai reçue.
J'ai donc relaté les principales réponses de Dieu jusqu’à ce jour. (page écrite en 2011)
Merci mon Dieu et Merci Jésus.
FIN du Chapitre.
Aujourd'hui 1er janvier 2018 je peux dire que depuis que j'ai écrit cette page, il s'est passé énormément de choses, des bouleversements
dans ma vie qui m'ont prouvé encore que Dieu me protège. J'ai eu des preuves mathématiques.
Dès que je le pourrais je raconterai ce qui s'est passé et pourrai montrer la preuve extraordinaire que j'ai eue.