Les Canadiens à DIEPPE PARADE MILITAIRE DE LA 2IEME Division CANADIENNE LE 3 SEPTEMBRE 1944
Canadiens Les Marins utilisent l'avion pour se rendre dans leur unité - marins canadiens de Shearwater à Halifax.
jeudi 29.09.2011, - La Voix du Nord
Trois gerbes de fleurs ont été déposées lors de la cérémonie du souvenir en commémoration de la liberté retrouvée.
|Outreau fut libéré le 22 septembre 1944 par les forces alliées du régiment Stormont Dundas et les Glengarry Highlanders. Le maire, Thérèse Guilbert, le conseil municipal et les anciens combattants ont participé à une cérémonie du souvenir ponctuée par trois dépôts de gerbes.
Le cortège officiel s'est d'abord recueilli devant la plaque commémorative, où l'harmonie municipale a interprété l'hymne canadien. La deuxième halte eut lieu dans le cimetière communal, au pied des vingt-trois tombes de soldats du Commonwealth tombés au champ d'honneur.
Devant le monument aux morts, une minute de silence fut observée en hommage au sacrifice des soldats des forces alliées et françaises libres, des résistants, des justes et des victimes civiles. Voir aussi Outreau et nos villes pendant la seconde guerre mondiale
Equihen Plage Hommage aux Canadiens libérateur de la cité article Voix du Nord septembre 2011
Wimereux commémoration du 22 septembre 1944 article de la Voix du Nord
canadien Monument Les Fusiliers Mont Royal Cimetière des Canadiens Les Vertus à Saint Aubin sur Mer
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lundi 08.11.2010 - La Voix du Nord
René Lacheré évoque ses souvenirs de jeunesse. PHOTO «LA VOIX»
| BOURNONVILLE |
Approchant son quatre-vingtième anniversaire qu'il fêtera en 2011 et selon ... son expression, « sentant venir le froid éternel », René Lacheré se remémore la journée du 17 juin 1944 qui comptera énormément tout au long de son existence.
Ce jour-là, dans la ferme familiale de Jules Lacheré, un événement important en ces temps de guerre s'est déroulé. Il était 11 heures du matin. Quelques heures auparavant, un avion allié touché par la défense antiaérienne ennemie s'était abîmé à la limite des communes de Menneville et de Bournonville. Le jeune garçon qui avait alors 13 ans était parti, armé d'une fourche pour chercher du fourrage pour les animaux de la ferme. Son attention a alors été attirée par un morceau de veste qui dépassait du tas de paille. En soulevant la paille, il découvrait un aviateur. C'était un de ces Canadiens qui dans la soirée du 15 juin avait échappé à la mort.
« Mon premier réflexe a été de m'assurer qu'il n'y avait pas de soldats allemands dans les parages et ensuite de m'entretenir avec lui, plus par gestes que par des paroles, car nous ne parlions pas la même langue », se souvient René Lacheré. Malgré son âge, l'adolescent avait très vite compris la situation, d'autant plus que quelques heures plus tôt il avait assisté à la scène de ce bombardier touché par la DCA allemande au dessus de Boulogne qui s'était abîmé dans une pâture toute proche du domicile paternel.
L'avion en flammes a explosé
« L'avion en flammes a rapidement explosé en touchant le sol, mais auparavant, plusieurs aviateurs avaient eu le temps de s'éjecter.
» Autre détail, qui alerta l'adolescent de l'époque « le passage des patrouilles allemandes qui avaient ameuté toutes les populations des alentours du point de chute ».
Après avoir averti sa mère, le jeune René est revenu vers l'aviateur afin de lui remettre un frugal repas préparé avec les produits de la ferme. Autre détail, des vêtements civils accompagnaient ce geste. L'aviateur était blessé au poignet. « En effet, ajoute-t-il, son parachute était resté accroché à un arbre et en se libérant il avait heurté violemment le sol. J'ai passé, l'après-midi et une partie de la soirée en sa compagnie. Par la suite, mon père m'a interdit de lui rendre visite, préférant s'occuper de lui tout seul. Il est resté une bonne semaine à la ferme et venait prendre le repas du soir à la table familiale. » Un soir, René Lacheré n'a plus revu l'aviateur. Son père l'avait tout simplement conduit à Saint-Martin-Choquel ou la résistance le dirigea vers Longfossé, sa destination finale jusqu'à la Libération. En évoquant ces souvenirs, René Lacheré frémis encore à la pensée : « que serait-il advenu de moi et toute la famille de 6 enfants, si les allemands l'avaient découvert dans la grange ! » •
OUTREAU
Ce fut le 19 septembre 1944 que le régiment Stormont, Dundas and Glengarry Higlanders de la 33ème division canadienne s’attaqua au Mont Soleil en venant d’Outreau. Voici en quels termes le colonel Stracey raconte cette
attaque « Campagne de la Victoire », volume III de l’histoire officielle de l’armée canadienne 1944-1945 (Ottawa, 1960) :
« Entre Outreau et la Manche, s’élevait une colline, haute de 250 pieds (en réalité 65 mètres), surmontée d’une batterie allemande de six pièces de 88 et de quatre de 20. L’examen des lieux, plus tard allait révéler que l’un des 88 et deux des 20 avaient été endommagés par le bombardement , plus un 88 mis hors d’usage par notre artillerie.
Cette position formidable , désignée sur le plan sous de « Buttercup » était attaqué le 19 par les Glengarrians, avec un gros appui d’artillerie. Suivant de prés le barrage, l’infanterie se répandit sur la colline attaquant à la baïonnette et à la grenade dès avant la chute des derniers obus. La prise de « Buttercup » fit entrer encore 185 prisonniers dans les parc déjà encombrés de l’arrière… »
Outreau fut libéré le 22 septembre 1944
Outreau le 22 Septembre 2010
Les Anciens Combattants ...Les Porte-drapeaux d'Outreau
Aprés le dépôt de gerbe sur la plaque commémorative en hommage aux Canadiens
Les Porte-drapeaux et l'Harmonie municipale d'Outreau se dirigent vers le monument
Aux Morts pour la France pour le dépôt de la gerbe et le discours du Maire d'Outreau
Ce fut le 19 septembre 1944 que le régiment Stormont, Dundas and Glengarry Higlanders de la 33ème division canadienne s’attaqua au Mont Soleil en venant d’Outreau. Voici en quels termes le colonel Stracey raconte cette attaque « Campagne de la Victoire », volume III de l’histoire officielle de l’armée canadienne 1944-1945 (Ottawa, 1960) :
« Entre Outreau et la Manche, s’élevait une colline, haute de 250 pieds (en réalité 65 mètres), surmontée d’une batterie allemande de six pièces de 88 et de quatre de 20. L’examen des lieux, plus tard allait révéler que l’un des 88 et deux des 20 avaient été endommagés par le bombardement , plus un 88 mis hors d’usage par notre artillerie.
Cette position formidable , désignée sur le plan sous de « Buttercup » était attaqué le 19 par les Glengarrians, avec un gros appui d’artillerie. Suivant de prés le barrage, l’infanterie se répandit sur la colline attaquant à la baïonnette et à la grenade dès avant la chute des derniers obus. La prise de « Buttercup » fit entrer encore 185 prisonniers dans les parc déjà encombrés de l’arrière… »
Outreau fut libéré le 22 septembre 1944
A Outreau, au Mont Soleil, lieu situé à 67 mètres les allemands avaient installé une redoudable défense.
LA BATTERIE FLAK DU MONT SOLEIL.
Notre petite montage de verdure, avec ses jeux, ses étangs et ses lieux de détente fut un endroit occupé par les allemands et leur batterie FLAK durant la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui le bruit du feuillage, les cris de joie des enfants, le chant des oiseaux ont remplacé les coups de tonnerre des canons, des bombardiers... Et les nombreux massifs, la verdure, tout cela donne de jolies couleurs qui changent et apaisent les pages noires de cette terrible période.
Mais ne jamais oublier de se souvenir et garder la mémoire de nos villes meurtries....
Notre colline d’Outreau dominant la mer et le Portel avait déjà été exploitée sous Napoléon, elle était gardée par les troupes du camp de gauche ; durant la seconde guerre mondiale sous l’occupation de notre ville les allemands de 1940 à 1944 trouvèrent là un endroit idéal de défense juste en face de l’Angleterre. Ils utilisèrent les anciennes forteresses sur une partie plus importante et la construction de blockhaus et y établirent une batterie lourde de Flak ( défense contre avions )
Cette batterie de Flak établie au Mont Soleil était l’une des deux batteries de la Luftwaffe défendant le ciel de Boulogne. La position du Mont Soleil avait pour nom de code « StP 256 Wegerich » qui veut dire plantain.
Batteries Flak (dont le célébre 88 mm) tirant (avec succés dixit la propagande allemande) sur des avions britanniques volant au dessus de la Norvège (septembre 1940).
Flak est l'abréviation d'un mot allemand: Fliegerabwehrkanone, signifiant canon antiaérien. Le mot peut être pris selon deux sens : la flak (n.f., lui-même abréviation de Flakartillerie) étant le nom générique des unités de batteries antiaériennes statiques, ou les unités de DCA attachées aux unités combattantes; le flak (n.m.) peut désigner quant à lui un canon antiaérien (par ex. le 88 mm flak).
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Flak
La batterie disposait de six pièces en encuvement autour d’un P.C. directeur central. Chaque pièce comportait un encuvement carré pour le canon, et en contre bas, d’un blockhaus servant de soute à munitions et d’abri à l’épreuve, d’un bâtiment en brique servant au logement du personnel de service et de latrines extérieures. Les encuvements des pièces étaient en surface et protégés latéralement par des parapets en béton dans lesquels étaient aménagés des niches pour les réserves d’obus.
Quant aux bâtiments-casernes, ils étaient situés en contrebas des emplacements des pièces ; où on accédait par des escaliers. La plupart des ouvrages en cuvette étaient camouflés par des filets.
Ces petits bâtiments en briques avec toit en ciment, servaient de poste de veille pour le personnel de service à la pièce ( 8 à 10 personnes ). Le artilleurs assuraient un services par tiers et, quand ils n’étaient pas aux pièces, ils logeaient dans de grands baraquements aménagés en dortoirs, réfectoires ou aussi infirmerie, construits au fond des profondes cuvettes.
Blockhaus et une batterie pointée vers le ciel...
La batterie se composait d’environ 130 hommes commandés par un lieutenant. De nombreux ouvrages annexes en briques ( logement, réfectoire, sanitaires, mess, cuisine etc… complétaient l’installation.En plus des pièces de 88mm, la batterie du mont soleil disposait de quatre petits canons de 20mm Flak en encuvements sur des abris soutes.Toutes ces pièces étaient dirigées par un P.C. central sous béton, équipé d’un radar parabolique Vurzburg FMG ( Flak )39 T qui nécessitait à lui seul huit opérateurs pour sa mise en œuvre. Il s’y trouvait aussi deux projecteurs à longues portées , sur bunkers.Chaque pièce comportait un armement de 6 hommes. Le canon avait une longueur totale de 8 mètres et pouvait tirer 15 à 20 obus à la minute, jusqu’à une latitude de 10 600 m.
La batterie du Mont Soleil, située à 65 mètres d’altitude et à 1125 mètres de la plage du Portel, était ainsi aux avants postes face à l’Angleterre. Renseignée d’abord par le grand radar Mammuth d’Equihen-Le-Noquet, son petit radar parabolique Wurzburg 39T, d’une portée de 30 km lui donnait toutes les coordonnées de tir. Cette batterie lourde de Flak fit partie début 1943, des batteries dites « de barrages » contre les vagues de bombardiers lourds anglo-américains qui commençaient à déferler sur l’Allemagne.
A cette époque, les bombardiers lourd ( Halifax ), Lancaster et Fortress B.17 ne volaient guère à plus de 450 à 500 km/heure et, pour échapper à la Flak lourde, il leur fallait prendre de l’altitude, mais leur possibilité ne dépassait pas 7000 mètres, or les canon de 88 Flak tiraient avec efficacité jusqu’à 10 670 mètres ! Les obus fusants explosant au milieu des formations serrés des bombardiers, amenèrent les alliés à disperser leurs forteresses sur une partie plus importante au dessus de la Manche avant de les regrouper au dessus de la France pour voler ensuite vers leur objectif.
Le site du mont Soleil repréentait, à la côte 65, un mamelon dominant le Portel. Cette colline, les Canadiens l’avaient baptisée du nom « BUTTERCUP » ? l’assiette au beurre…allez savoir pourquoi ? Les différentes positions des pièces et des beaux passifs étaient réunis par un réseau de chemins bétonnés formant une croix dans un cercle, le tout communiquant avec la route allant d’Outreau vers Le Portel ( actuelle D225 ) et était entouré d’un réseau de fils de barbelés.
LES COMBATS DE LA LIBERATION.
On peut s’étonner que lors des attaques aériennes des 8 et 9 septembre 1943 qui occasionnèrent la ruine du Portel ( opération Starkey ), la batterie du Mont-Soleil fut si peu inquiétée. Les objectifs des alliés lors de ces bombardements étant, soit disant, deux batteries lourdes, l’une situé prés de l’aérodrome d’Alprech ( 4 x94mm de D.C.A.) et l’autre à Henriville, alors que cette dernière n’était pas « lourde » mais légère, groupant toutefois une dizaine de petits canons de 20mm de D.C.A. Ainsi, Starkey posera toujours un point d’interrogation.
Les bombardements de l’été 1944 touchèrent le Mont Soleil et les Allemands, lors du départ de la 47ème division d’Infanterie pour le front de Normandie à la fin juillet, y amenèrent un renfort de quelques canons de 88.
Nous avons vu que ces pièces de tirs efficaces, pouvaient tirer tout azimut, c’est ainsi qu’elles furent utilisées en antichar lors des combats de la libération de l’agglomération boulonnaises. Les pièces étaient boulonnées sur un socle de béton ; mais j’y ai vu certaines pièces en position de batterie sur leur quatre pieds à vérins et avec leur bouclier en place. C’était, bien sûr des pièces de secours amenés là pour suppléer aux pièces détruites ou endommagées.
Ce fut le 19 septembre 1944 que le régiment Stormont, Dundas and Glengarry Higlanders de la 33ème division canadienne s’attaqua au Mont Soleil en venant d’Outreau. Voici en quels termes le colonel Stracey raconte cette attaque « Campagne de la Victoire », volume III de l’histoire officielle de l’armée canadienne 1944-1945 (Ottawa, 1960) :
« Entre Outreau et la Manche, s’élevait une colline, haute de 250 pieds (en réalité 65 mètres), surmontée d’une batterie allemande de six pièces de 88 et de quatre de 20. L’examen des lieux, plus tard allait révéler que l’un des 88 et deux des 20 avaient été endommagés par le bombardement , plus un 88 mis hors d’usage par notre artillerie.
Cette position formidable , désignée sur le plan sous de « Buttercup » était attaqué le 19 par les Glengarrians, avec un gros appui d’artillerie. Suivant de prés le barrage, l’infanterie se répandit sur la colline attaquant à la baïonnette et à la grenade dès avant la chute des derniers obus. La prise de « Buttercup » fit entrer encore 185 prisonniers dans les parc déjà encombrés de l’arrière… »
Ce compte rendu du lieutenant colonel ROWLET, bref et trop modeste, nous donne avec exactitude la composition de la batterie au moment des combats de la libération, rectifiant ainsi les données fantaisistes avancées par certains historiens boulonnais qui ont traité de ce débat.
Longtemps la position du Mont Soleil demeura abandonnée avec ses canons encore en batterie, certaines dirigées vers le ciel, d’autres vers Outreau d’où surgissaient les Canadiens. Vers 1950 on les démonta mais les nombreux ouvrages bétonnés demeurèrent. Quant aux bâtiments légers, portes, fenêtres et parfois briques furent récupérés par les sinistrés Portelois ou Outrelois qui voulaient reconstruire leurs maisons.
Sur cette photo on aperçoit dans la lointain Boulogne...Autre remarque : la qualité des photos !
J'ai pensé qu'il était utile et indispensable de se souvenir et faire connaître à notre jeunesse actuelle et aux générations futures ce que fut le Parc du Mont Soleil avant de devenir ce merveilleux parc d'attraction et de nature.
En 1970 la municipalité s’empara du terrain…Aprés un long et difficile travail et un côut financier important, des idées, des projets, au file des années comme on peut le constater dans cette page consacrée au Parc du Mont soleil, notre colline, notre petite montagne est devenue un coin de paradis qui fait le bonheur de tout le monde et les nombreuses activités organisées chaque année attirent une grand foule.
Aujourd'hui le Mont-Soleil est une colline verdoyante, flambloyante par ses centaines d'arbres d'espèces diiférentes ; par la création de magnifiques massifs dessinés et fleuris judicieusement. Les jeux, les airs de repos et les espaces aménagés de tables et de barbecues, les étangs et les différents endroits où on peut jouer au football, au hand, au basket et au tennis et autres activtés font du Parc un endroit où l'on se sent bien. Oui le chant des oiseaux, le bruit du feuillage, les cris de joies des enfants et des adultes, la vue merveilleuse qu'apporte son sommet tout cela a remplacé le vacarne des canons, le brouhaha des avions...
Une page de toutes les couleurs a transformé une page noire en espérant que nos enfants ne connaissent jamais ces terribles années...Mais que la Mémoire soit sauvegardée ; ne jamais effacer et se souvenir.
Nimègue est une ville de 160 000 habitants dans l'Est des Pays-Bas
près de la frontière allemande.Durant la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1944,
la prise de contrôle du pont de Nimègue était l'un des objectifs de l'Opération Market Garden.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nim%C3%A8gue
mardi 21.09.2010 La Voix du Nord
Le jour de la libération, Monique Mametz se trouvait à la Visitation. Jeune secouriste, elle assistait le docteur Devulder.
| ANNIVERSAIRE DE LA LIBÉRATION |
435 bombardements, 1582 jours d'occupation... en septembre 1944, Boulogne est bel et bien une ville victime et meurtrie. Le 18 septembre 1944, c'est un régiment canadien, ayant obtenu la capitulation allemande, qui va lui faire enfin recouvrer la liberté après plus de quatre années d'occupation ennemie.
Pour célébrer cet anniversaire, Dominique Rouhier, sous-préfet, Frédéric Cuvillier, député-maire et président de la CAB, ainsi qu'un cortège d'élus, de représentants des autorités civiles et militaires, des porte-drapeaux, de la Croix-Rouge et des associations d'anciens combattants et victimes de guerre se sont rendus samedi après-midi sur les lieux où des héros boulonnais ont payé de leur vie pour avoir défendu avec courage leur ville.
Les officiels ont ainsi fleuri les plaques commémoratives de Gabriel Hardy, porte des Dunes, du docteur Maurice Vanheeckhoet, rue de la Paix, de Blanche Paugam et Pierre-Charles Favart, aux squares du même nom, et enfin d'André Maillard, rue Jules-Huret. L'hommage s'est ensuite poursuivi par un rassemblement des personnalités en haute ville, devant la plaque des Résistants.
Puis, escorté par l'orchestre d'harmonie de Boulogne, dirigé par Philippe Beaujard, le défilé s'est rendu dans la cour du Château-musée pour un dépôt de gerbe et l'exécution de l'hymne national canadien, devant la plaque rappelant l'intervention des Canadiens du Régiment de Highlanders de Stormont, Dundas et Glengarry, le 18 septembre 1944. Enfin, le dernier hommage aux victimes de la guerre devait être rendu au monument aux morts avant de retourner à la mairie où une aubade était donnée sur la place, par l'orchestre d'harmonie, avant la dislocation du cortège et une réception dans les salons de l'hôtel de ville. •
Equihen-Plage commémoration de la libération de la commune
Discours du lieutenant colonel ROY le 2 Juin 2009 lors du 65ème anniversaire du Fort de la Crèche de Wimereux
Plaque commémorative du Fort de La crèche inaugurée le 2 Juin 2010
lundi 08.06.2009 - La Voix du Nord
Les deux vétérans canadiens (devant) au salut sur le site du Fort de la Crèche. Un moment empreint d'émotion.
| WIMEREUX |
L'association du Fort de la Crèche a organisé le dépôt d'une plaque commémorative en souvenir des Canadiens qui ont libéré le site de l'emprise allemande en 1944, il y a 65 ans. Toutes les instances civiles et militaires ont tenu à être présentes pour la cérémonie officielle. Son but était de rendre hommage aux deux régiments canadiens, dont le régiment de la Chaudière, qui ont libéré le littoral boulonnais en reprenant le Fort de la Crèche le 22 septembre 1944.
Une grande fête dans 5 ans ?
L'émotion était palpable chez les deux vétérans canadiens présents à la manifestation : « C'est très émouvant, il y a tellement de souvenirs qui reviennent en étant à nouveau en ces lieux où l'on s'est battu pour la liberté ». Une minute de silence a été observée avant le dépôt de gerbes et les hymnes canadiens et français.
Yves Laurenge, président de l'association du Fort de la Crèche, prévoit de grandes festivités pour le soixante-dixième anniversaire de l'événement. •
Commémoration du 65ème anniversaire de la libération de la ville d'Outreau. Cérémonie du 22 septembre 2009
Dépôt de gerbe prés de la plaque commémorative en hommage aux Soldats Canadiens
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Opération Wellhit a été le Seconde Guerre mondiale opération par le 3e Division canadienne (Armée de terre canadienne premier) de prendre le port fortifié de Boulogne dans le nord de la France. Dans un premier temps , le 9e Brigade d'infanterie canadienne avait espéré prendre Boulogne dans le cadre de son avance jusqu'à la côte . Les moyens de défense , toutefois, leur a mis un terme cinq miles de la ville .[2]
Bien que les défenses de la ville étaient incomplètes , celles qui existaient ont été assez puissants pour justifier des bombardements massifs avant et pendant l'utilisation d'assaut et vastes de blindés spécialisés de l' 79e Division blindée. Malgré le niveau inférieur au niveau attendu de dégâts matériels par les bombardements , le degré élevé de coordination entre l'artillerie , l'aviation , les blindés et l'infanterie grandement facilité le succès de l'opération . L'opération a eu 17 au 22 Septembre 1944.[3]
Traduction en Anglais http://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Wellhit
commémoration de la plaque commémorative en septembre 1988 dédiée au régiment Stormont and Glengarry Higlanders qui libèra Outreau le 22 septembre 1944.
Les Vétérans dRégiment STORMONT DUNDAS AND GLENGARRY HIGHLANDERS
à Outreau en septembre 1988
732 soldats tombés le 19-Août-1942 lors du raid sur Dieppe et enterrés au cimetière des Vertus de Saint-Aubin sur Scie,
LES PUBLICATIONS DE BERNARD MOREL
Hautot-sur-Mer, Vertus (les) Cimetière du Commonwealth, dit "cimetière canadien des Vertus"
Boulogne-Sur-Mer conférence sur l'Histoire du Régiment de la Chaudière
64ème anniversaire de la libération
Soldats Canadiens à CAEN CALVADOS FRANCE