Le projet Humour à l’école vise l'élargissement de la pratique humoristique en symbiose avec l’apprentissage du français et une quête de bien-être chez l’élève. L’humour est un moyen inspirant et accessible pour permettre aux jeunes de développer des compétences artistiques, personnelles et interpersonnelles en français.
Ainsi, le projet a pour mission :
d’augmenter l’intérêt et la maitrise de la langue française chez les 12-18 ans ;
d’offrir une initiation à une discipline artistique originale ;
de développer de manière durable les compétences professionnelles et personnelles chez la prochaine génération ;
de favoriser le gain d’une confiance en soi ;
de mettre à profit une meilleure capacité à communiquer dans toutes les sphères de sa vie ;
de développer ses capacité à lire et à analyser son environnement ;
de renforcer le sentiment d’appartenance à sa communauté étudiante.
Tous les niveaux du secondaire :
1re et 2e années du secondaire ;
3e année du secondaire ;
4e et 5e années du secondaire ;
Possibilité : catégorie pour les élèves à besoins spéciaux.
En s’inscrivant auprès du responsable du Concours de son école secondaire du CSSMB.
Deux volets :
performance sur scène (liant l’écriture et l’expression orale) ;
écriture d'un texte humoristique.
Le projet se veut d’abord et avant tout une formation pour initier l’élève à la créativité humoristique en français.
C’est pourquoi les participants et les participantes reçoivent une formation d’un minimum de douze (12) heures données par un formateur ou une formatrice de l’École nationale de l’humour, et/ou des humoristes professionnels(elles) et enseignants(es) de l’École nationale de l’humour.
À quoi cela ressemble ?
En voici les grandes lignes :
les principes de base de l’humour ;
les procédés humoristiques ;
les étapes de la création d’un numéro et d’un texte humoristique ;
les outils de créativité ;
la préparation d’une prestation et la script-édition d’un texte comique.
Trois voies possibles pour la formation :
1. intégrer dans les heures de cours, avec la participation des enseignants ;
2. par le biais d’un parcours parascolaire ;
3. lors de deux ou trois journées pédagogiques (quatre ou six heures de formation par journée).