Les conditions de vie des cultivateurs immigrants qui viennent au Québec doivent être comme celles des québécois. Ils doivent approximativement avoir le même nombre d'heures que d'autres travailleurs québécois et doivent être payé le même salaire. Ils doivent avoir de quoi manger, un endroit où dormir et tout ce qui concerne leurs besoins hygiéniques.
Malheureusement, dans d'autres pays, les cultivateurs font encore face à des conditions de vie difficiles. Ils ont de bas salaires et vivent dans des logements surpeuplés ce qui les font attraper plusieurs maladies. Ils sont moins bien payés et leurs chefs d'entreprise les font travailler plus d'heures. Ils sont aussi privés de pauses et ne peuvent pas boire ni manger lors de leurs heures de travail.