Vous vous intéressez à devenir expert·e ASE ou souhaitez en savoir plus sur ce que cela implique ? Alors, vous êtes au bon endroit ! Que vous soyez un·e professionnel·le expérimenté·e, prêt·e à transmettre vos compétences, ou simplement curieux·se de découvrir ce qu’implique ce mandat passionnant, nous vous proposons ici un espace pour tout savoir sur la mission d'expert·e.
Le rôle d'expert·e, ce n'est pas qu'une simple formalité technique, loin de là ! C'est un mandat pour les passionné·e·s. Une manière d’aller encore plus loin dans la transmission. En devenant expert·e, vous participez activement à la formation des futur·e·s professionnel·le·s et à la qualité de la relève. C'est un engagement enrichissant, pour vous et pour les autres, car vous avez l’occasion d’évaluer celles et ceux qui représentent la relève de demain.
Le mandat d'expert·e vient enrichir et compléter le rôle de formateur·rice. Vous ne devez plus transmettre des savoirs, mais désormais valider leur acquisition. Cette mission, c'est l’occasion de contribuer à un parcours complet, à boucler la boucle. Où la théorie et la pratique s’alignent pour former des professionnel·le·s compétent·e·s. Autant dire que c’est du sérieux... avec une petite dose de fierté en prime !
Évidemment, ce mandat demande rigueur, engagement et, disons-le, un brin de patience. Vous serez responsable de l'évaluation des compétences, avec impartialité et exigence. Ce rôle s’adresse à celles et ceux qui ont une vraie passion pour leur métier et le désir de transmettre cette passion aux générations futures.
Alors, si vous êtes prêt·e à relever le défi et à jouer un rôle clé dans la formation et l'évaluation des talents de demain, poursuivez votre lecture !
La commission de qualification est responsable de la planification et de l'exécution de la procédure de qualification, c'est-à-dire des examens. Elle est composée de professionnel·le·s issu·e·s du domaine des ASE, toutes et tous des expert·e·s chevronné·e·s avec une solide expérience.
Parmi les membres de la commission, certain·e·s occupent des rôles spécifiques dans la gestion de la procédure de qualification, tandis que d'autres assurent des fonctions de représentation. En parallèle, plusieurs expert·e·s apportent un soutien pratique, notamment lors de la mise en œuvre des examens et de l'encadrement des expert·e·s lors des corrections des épreuves écrites.
Vous trouverez ci-dessous un organigramme présentant les différents membres de la commission ainsi que leurs responsabilités respectives.
Pour devenir expert·e ASE, il est essentiel de répondre à deux critères principaux. Le premier concerne l’expérience professionnelle : il faut avoir acquis une solide pratique dans le domaine, suffisante pour évaluer les candidat·e·s se présentant à l'examen. Le second critère est une expérience confirmée dans le suivi spécifique des apprenti·e·s ASE. Les expert.e.s doivent rester proches d'apprentis en formation durant la durée de leur mandat et dans un horizon à 2 ans.
Ces deux critères sont non négociables, mais ils sont évalués au cas par cas, en tenant compte des particularités de chaque parcours. Les critères de sélection sont définis par Aoris, qui valide les dossiers de candidature avant qu'ils ne soient examinés par la Commission de qualification.
Lorsque les dossiers des candidat·e·s au mandat d'expert·e ASE répondent aux critères requis, nous avons à coeur de les rencontrer lors d’un entretien en visioconférence. Cet échange professionnel permet de mettre un visage sur un nom et de mieux faire connaissance. Il s’agit également d'une occasion pour clarifier certains aspects du dossier ou du parcours de l’aspirant·e expert·e, si nécessaire.
C'est un moment privilégié pour les personnes souhaitant devenir expert·e ASE, leur permettant de poser toutes les questions qu’elles pourraient avoir concernant le mandat et les conditions dans lesquelles il s’exerce.
Avant de se lancer dans l'exercice du mandat d'expert·e ASE, il est essentiel de suivre une formation adaptée. Celle-ci se compose de deux journées distinctes, qui se déroulent à la Haute École fédérale en formation professionnelle (HEFP) à Renens. Chaque journée de formation est rémunérée à hauteur de 100 francs.
La première journée est consacrée à la formation de base pour les expert·e·s. Cette formation transmet les bases nécessaires au mandat, notamment les aspects légaux et la posture à adopter en tant qu'expert·e. Lors de cette journée, les aspirant·e·s expert·e·s, toutes professions confondues, sont regroupé·e·s.
La deuxième journée de formation est spécifique à la profession des ASE. Elle permet de se familiariser avec les outils utilisés lors de la procédure de qualification, notamment pour les TPP (examens pratiques). Lors de cette formation, les futur·e·s expert·e·s reçoivent l'ensemble des documents et instruments nécessaires, tels que les guides d'examen et les grilles d'évaluation. Ils et elles s'approprient ces outils au travers de mises en situation concrètes, incluant des jeux de rôle tout au long de la journée.
Cette formation de base est ensuite complétée par une rencontre des expert·e·s, obligatoire pour toutes celles et ceux qui souhaitent participer à la prochaine procédure de qualification. Cette rencontre, que nous souhaitons conviviale, se tient en présentiel dans les locaux d’Aoris, avec un maximum de 35 expert·e·s par session. Plusieurs dates sont proposées en semaine et durant le week-end pour répondre aux différentes disponibilités.
Au cours de cette rencontre, nous abordons les particularités des examens de l'année à venir, rappelons les modalités de collaboration, et précisons les exigences liées au mandat d'expert·e. Cela garantit que chaque participant·e reçoit au moins une fois les informations critiques avant de commencer la mission.
La durée de la procédure s’étend généralement de la mi-février jusqu’au mois de juin chaque année. Durant cette période, il est nécessaire de disposer de tout ce temps pour organiser et faire passer, dans les meilleures conditions, l'ensemble des TPP pour près de 600 candidat·e·s par an.
La procédure de qualification se conclut habituellement par les examens écrits de connaissances professionnelles, qui ont lieu au début du mois de juin. Ces examens sont suivis de 3 à 4 jours de corrections effectuées par nos expert·e·s.
En dehors de cette période, il peut arriver que la Commission de qualification sollicite ponctuellement les expert·e·s à d'autres moments de l'année.
Comme nous le verrons plus loin, les expert·e·s ont généralement la liberté de choisir leur niveau d'engagement en fonction de leurs envies et disponibilités. Cela est toutefois un peu différent pour les nouveaux expert·e·s : étant donné qu'ils·elles commencent un nouveau mandat, il est attendu qu'ils·elles participent à l'ensemble des étapes qui constituent la procédure de qualification.
Le Système de Ticket
Chaque expertise nécessite la présence de deux expert·e·s. Pour organiser cela, nous avons mis en place un système de ticket pour chaque expertise. Il y a un ticket 1 et un ticket 2. Le ticket 1 est réservé à des expert·e·s actif·ve·s dans le domaine spécifique de l'expertise concernée ou ayant une expérience solide dans ce domaine. Cela permet de garantir aux candidat·e·s la présence d’au moins un·e expert·e issu·e de leur champ professionnel.
Bien que tous les expert·e·s soient habilité·e·s à évaluer l’ensemble des TPP, certaines spécificités de prise en charge liées aux différents domaines des ASE peuvent nécessiter une expertise particulière. Cependant, il n’y a aucune hiérarchie entre les deux expert·e·s, que ce soit par rapport à leur domaine d’expertise, leur ancienneté dans le mandat, ou leur activité professionnelle en dehors de celui-ci.
Choix et validation des tickets
Les tickets sont mis à disposition des expert·e·s en ligne dès le début janvier, permettant à chacun·e de planifier ses engagements jusqu’au mois de juin. Chaque expert·e peut choisir les expertises qui lui conviennent en fonction de critères personnels : la date, le lieu, le nom du candidat, le domaine concerné, ou encore l’accessibilité du lieu d’expertise par les transports publics.
Ce système de sélection permet également aux expert·e·s d’éviter des lieux où ils·elles préfèrent ne pas expertiser, ou dans lesquels il serait inapproprié pour eux d’assurer une expertise. En effet, les expert·e·s sont tenu·e·s à un devoir de récusation, les empêchant d’évaluer des candidat·e·s avec lesquels ils·elles pourraient être suspecté·e·s de partialité, qu’elle soit positive ou négative.
Engagement et disponibilité
Les expert·e·s ont la liberté de choisir le nombre de TPP qu'ils·elles souhaitent prendre en charge avec une moyenne autour de 5 expertises. Toutefois, pour les expert·e·s effectuant leur première année de mandat, il est exigé qu’ils·elles prennent part à au moins 4 ou 5 expertises pour bien intégrer la pratique de ce qui a été enseigné lors des deux journées de formation.
Cette liberté de choix impose aux expert·e·s un engagement sérieux, car une fois qu’ils·elles s’engagent, les obligations liées aux expertises sont aussi importantes que toute autre responsabilité professionnelle. Cependant, en cas d’imprévu, la commission de qualification organise le remplacement de l’expert·e, souvent sans nécessité de fournir d’explications ou de certificat médical. En revanche, après plusieurs annulations, la commission pourrait toutefois revenir vers l’expert·e concerné·e pour revoir ensemble sa disponibilité et sa motivation réelle à poursuivre son mandat.
Prise de Notes et Responsabilisation
Un aspect crucial du mandat est la prise de notes. En l'absence d’enregistrement des candidat·e·s lors des examens, la seule trace qui reste d’un TPP est le procès-verbal rédigé indépendamment par chacun des deux expert·e·s présent·e·s. Ce document est essentiel, car il permet de s'y référer lors de l'évaluation à l'aide de la grille d'évaluation. Il constitue également une base de recours éventuels pour les candidat·e·s, leurs avocat·e·s ou les juges.
Il est donc attendu des expert·e·s une grande rigueur dans la prise de notes. Bien que certaines expertises permettent une prise de notes confortable, d’autres sont plus exigeantes, limitant parfois les notes à quelques mots-clés. Dans ces cas, il est impératif que les expert·e·s remettent au propre leurs notes, de manière manuscrite, le jour même de l’examen.
Préparation et Anticipation
Les expert·e·s doivent faire preuve de responsabilisation et d'anticipation dans la préparation des examens. Cela inclut la prise de contact avec leur binôme, la planification de l’expertise, la lecture et la compréhension des grilles d’évaluation et des guides d’examen. Ces documents, fournis aux candidat·e·s et expert·e·s, sont essentiels pour assurer une évaluation juste et précise.
Durée et Rémunération
La durée d’un TPP est généralement de 3 heures, mais chaque TPP est rémunéré à hauteur de 7 heures minimum, incluant le temps de préparation, de lecture, de planification et de réécriture des dossiers. Les frais liés à l’impression et aux photocopies sont également pris en charge. Si un TPP prend plus de temps, toutes les heures supplémentaires sont rémunérées.
Cela s’applique à toutes les actions effectuées dans le cadre du mandat d’expert·e.
Les experts·e·s sont rémunérés·e·s à hauteur de 34.- CHF/heure
En ce qui concerne les examens écrits, le travail des experts·e·s consiste principalement en une surveillance active des candidats·e·s pendant les épreuves, ainsi qu'à des tâches de logistique , comme la distribution et la collecte des copies.
Les examens écrits ont lieu durant une matinée complète.
La correction des épreuves de connaissance professionnelle écrite relève également de la Commission de qualification, et donc des experts·e·s. Ces corrections s'effectuent pendant 3 à 4 journées, qui se déroulent généralement au lendemain des examens écrits. Pendant cette période, les experts·e·s relisent, corrigent et notent l'ensemble des copies.
Ce travail peut être exigeant en raison de son caractère répétitif. C'est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour rendre ces journées aussi agréables et conviviales que possible. En général, les experts·e·s ont la liberté de constituer leurs groupes de travail et de gérer la charge de travail ainsi que les pauses de manière autonome.
Les experts·e·s sont encadrés·e·s par des membres de la Commission et sont préparés·e·s à traiter les réponses particulières aux questions posées, afin de garantir des corrections justes et cohérentes. Nous nous efforçons également d'organiser le travail de manière à ce que chacun·e puisse se spécialiser sur des points précis. Une fois les experts·e·s formés·e·s et confronté·e·s à quelques cas particuliers, ils·elles gagnent rapidement en autonomie et en efficacité.
Toutes les copies sont systématiquement relues par deux experts·e·s différents , afin d'assurer une double évaluation et de garantir l'objectivité des corrections.
La Commission de qualification s'efforce de prendre en compte les particularités et réalités de chaque expert·e qui compose notre collège. Il est normal que les disponibilités des experts·e·s varient au fil du temps. À cet effet, il est tout à fait possible de mettre son mandat en pause pour la durée souhaitée.
Gestion des pauses et reprise du mandat
La seule contrainte liée à ces pauses est qu'au moment du retour de l'expert·e à son mandat, la personne chargée du suivi prendra le temps de vérifier que l'expert·e n'a pas perdu le lien avec le champ professionnel concerné et que son mandat d'expert·e reste pertinent. Cette vérification permet de garantir la qualité et la cohérence des évaluations.
Responsabilisation des experts·e·s
Nous attendons de nos experts·e·s qu'ils·elles se responsabilisent et s'autonomisent dans l'annonce de leur situation. Nous sommes prêts à composer avec toutes les particularités, à condition d'en être informé·e·s à l'avance.
Liberté d'engagement et charge de travail
Les experts·e·s ont la liberté, d'une année à l'autre, de s'engager selon leur disponibilité et leurs envies. En moyenne, les expert.e.s adopte environ 5 expertises par année. Cette flexibilité permet aux experts·e·s de gérer leur charge de travail en fonction de leurs capacités et de leur emploi du temps. La Commission reste néanmoins attentive à ce que la qualité du travail soit effectuée et que la santé des experts·e·s ne soit pas mise en danger par une surtaxe.
Exigences pour les nouveaux experts·e·s
Pour les experts·e·s en première année de mandat, il est attendu qu'ils·elles participent à toutes les phases de la procédure, à savoir :
Au moins 4 TPP,
La surveillance des examens écrits ,
La participation à au moins une journée de correction des écrits .
Ces exigences visent à offrir une vision complète de ce qu'implique le mandat d'expert·e, afin de permettre un bilan à l'issue de la première année avec une compréhension exhaustive des responsabilités liées à ce rôle.
Prise de notes
Il est important de ne pas sous-estimer la charge qui représente le mandat d'expert·e lors des examens, notamment en ce qui concerne la prise de notes . Lors des examens pratiques, les experts·e·s documentent le déroulement des épreuves en prenant des notes et en rédigeant un procès-verbal (PV) . Cette tâche est cruciale, car c'est sur la base de ces notes que repose l'argumentation des experts·e·s concernant l'évaluation des candidats·e·s selon les critères établis.
Ces notes peuvent être consultées par différentes parties, comme un·e candidat·e souhaitant comprendre les raisons de son échec, ou encore par des avocat·e·s et un juge de paix dans le cadre d'une procédure de recours et impose une certaine rigueur dans leur rédaction afin d'être pleinement exploitables.
Communication et information
Un autre aspect non négligeable de la charge de travail est la communication . Durant la procédure de qualification, les experts·e·s reçoivent au minimum un e-mail par semaine. Ces messages contiennent des informations importantes, telles que la composition des binômes d'expert·e·s pour les expertises de la semaine suivante, ainsi que des consignes cruciales concernant le déroulement de la procédure.
La Commission de qualification accorde une attention particulière à la clarté et à la sobriété de sa communication pour s'assurer que tous les experts·e·s reçoivent et comprennent les informations essentielles. En retour, il est attendu que les experts·e·s écoutent rigoureusement les messages envoyés.
La posture d'expert·e : rigueur et bienveillance
La posture adoptée par les experts·e·s est un élément central du mandat. Elle s'applique à la fois vis-à-vis du champ professionnel tout entier et vis-à-vis des candidats. Il est attendu des experts·e·s qu'ils adoptent une attitude rigoureuse tout en faisant preuve de bienveillance . L'accueil des candidats doit être particulièrement soigné afin de les rassurer et de les mettre en confiance tout au long de la procédure.
Les experts·e·s sont également très observé·e·s , que ce soit par les candidats·e·s ou par les autres personnes présentes lors des examens pratiques. Il est donc essentiel que leur comportement soit à la hauteur des enjeux et de la fonction qu'ils·elles occupent.
Nous attendons de nos experts·e·s qu'ils·elles fassent valoir leur point de vue de manière constructive et avec intelligence, même dans les situations délicates. Si un désaccord subsiste, par exemple sur l'attribution de points pour certains critères d'évaluation, cela n'est pas perçu comme un problème mais plutôt comme une opportunité de discuter. Dans ce cas, l'expert·e peut solliciter l'aide d'une personne de permanence, du chef expert ou de tout autre membre de la Commission de qualification pour trouver ensemble un arbitrage juste.
Nous encourageons également les experts à revenir sur une évaluation plusieurs jours après l'expertise si un doute persiste. Il est préférable de rediscuter d'une grille d'évaluation et de clarifier les points de désaccord plutôt que de laisser subsister une incertitude concernant la réussite ou l'échec d'un·e candidat·e. Il est rare que des ajustements sur un critère d'évaluation changent l'issue d'un examen, mais ces discussions permettent de garantir une évaluation juste et transparente .
Les experts·e·s jouent un rôle clé dans la garantie de la qualité de la procédure. En plus de leur évaluation des candidats, elles doivent également porter un regard attentif sur le déroulement global des examens, en veillant à ce que les règles soient respectées par les candidats, les employeurs et les autres. experts·e·s.
Les experts·e·s ont ainsi la charge et l'obligation de signaler toute non-conformité potentielle au cours de la procédure. Ce contrôle croisé permet de maintenir une cohérence et une rigueur dans l'ensemble des expertises, assurant que la procédure de qualification se déroule dans les meilleures conditions pour toutes les parties.
Tout au long de la procédure de qualification, les experts·e·s ne sont jamais seuls·e·s. Une personne de permanence est toujours joignable par téléphone pour répondre aux questions et s'assurer que les examens se déroulent sans accroc. Ces personnes de permanence sont présentes pour garantir que les épreuves se déroulent correctement et pour résoudre les éventuelles questions ou problèmes qui peuvent survenir pendant l'examen.
Durant les premières semaines de la procédure, des visioconférences sont organisées environ deux fois par semaine. Ces sessions sont ouvertes à tous les experts·e·s, sans inscription préalable, et leur permettent de venir librement poser des questions concernant les TPP ou le déroulement général de la procédure. C'est également l'occasion de partager des retours d'expérience, par exemple après une première expertise.
Ces visios sont particulièrement prisées par les nouveaux experts·e·s, mais elles ont tendance à s'arrêter après quelques semaines, faute de demandes. Toutefois, elles constituent un excellent outil de soutien au début de la procédure, notamment pour les experts·e·s qui débutent dans ce rôle.
Les membres de la Commission de qualification restent disponibles tout au long de la procédure pour soutenir les experts·e·s. Leur présence est assurée pour répondre à toutes les interrogations, et elles veillent à rendre cette expérience aussi agréable que possible. Ce mandat est non seulement fondamental pour notre champs professionnel, mais nous avons aussi à cœur d'offrir aux experts·e·s un accompagnement de qualité tout au long de leur engagement.
Le mandat d'expert·e représente une opportunité d'enrichir son regards de professionnel·le en étant au plus près de la diversité des réalités du métier d'ASE. Devenir expert·e, c'est participer activement à un processus qui revêt des enjeux majeurs pour des individus qui aspirent à devenir des professionnel·le·s du milieu socio-éducatif.
Ce mandat, bien qu'exigeant, est aussi extrêmement satisfaisant pour celles et ceux qui ont à cœur de travailler avec rigueur et bienveillance. Pour la Commission de qualification, c'est une chance de pouvoir collaborer avec des professionnels de terrain déjà engagés dans la formation de la relève en accompagnant des apprentis ou en étant simplement animé·e·s par une passion pour leur métier.
Si vous répondez aux exigences et êtes motivé·e·s à vous investir dans ce mandat essentiel, n'hésitez pas à nous contacter. Nous serons ravis de répondre à vos questions et d'accueillir vos candidatures avec enthousiasme.