Équipe pédagogique

Ségolène Bompierre

Après avoir validé le diplôme de l’Ecole Normale Supérieure et un Master 2 en Biologie Intégrative et Physiologie, spécialité Neurosciences cellulaires et intégrées à Sorbonne Université, Ségolène a débuté une thèse à l’IBPS dans l’équipe Dynamique de la Signalisation Intracellulaire et Cibles Thérapeutiques (UMR 8256). Elle cherche à caractériser l'action d'une protéine dans le but de la cibler pharmacologiquement pour traiter les dyskinésies, mouvements anormaux et involontaires, associées au traitement de la maladie de Parkinson.

Soumaiya Imarraine

Soumaiya a obtenu son Master de Génétique à l’Université de Paris. Elle a ensuite rejoint l’IBPS pour effectuer sa thèse dans l’équipe Formation and Interaction of Neural Networks (UMR 8246/U11130/UMCR 18) et au Laboratoire Jean Perrin (UMR 8237). Elle s’intéresse au rôle de l’acétylcholine, un neurotransmetteur, dans les comportements anxieux chez le poisson zèbre.

Antoine Langeoire

Pendant son Master en Biologie Intégrative et Physiologie à Sorbonne Université, Antoine a effectué des stages avec pour thématiques : l'inflammation et la cancérologie. Il a ensuite poursuivi ses études en thèse dans l’équipe La Méiose dans l’Ovocyte de Mammifères (UMR 7622) à l’IBPS. Il s'intéresse actuellement à mieux caractériser les mécanismes de régulation mis en jeu lors de la ségrégation des chromosomes en méiose II dans les ovocytes de mammifères.

Raphaël Narbey

Passionné de biologie depuis sa plus tendre enfance, Raphaël a décroché un master de biologie Évolutive à Sorbonne Université. Lors de celui-ci il a réalisé un stage passionnant reliant épigénétique et biologie du développement. Émerveillé, il a poursuivi en thèse dans la même équipe Contrôle épigénétique de l'homéostasie de la plasticité du développement (UMR 7622, LBD). L'objectif principal de sa thèse est de comprendre comment les modificateurs de la chromatine régule la plasticité phénotypique et quel est son rôle chez la mouche du vinaigre, Drosophila melanogaster.

Clémentine Rouyere

Clémentine est diplômée de l'Ecole Polytechnique. Après ses études en école d'ingénieur, elle a validé un master 2 Biologie Moléculaire et Cellulaire, spécialité biologie cellulaire à Sorbonne Université. En 2020, elle débute une thèse à l'Institut Pasteur dans le laboratoire Trafic Membranaire et Division Cellulaire (UMR 3691). Son travail de recherche porte sur le rôle de l'oxydo-réduction dans la dernière étape de la division cellulaire (cytocinèse) dans les cellules humaines. L'étude de la cytocinèse est importante tant du point de vue fondamental que médical : des défauts de cytocinèse sont associés à des maladies (microcéphalie, infertilité, syndrome de Lowe) et sont directement impliqués dans la tumorigenèse.

Juliane Selot

Juliane a obtenu son master 2 Biologie cellulaire et moléculaire-parcours international à Sorbonne Université. Ayant axé sa formation autour de la cancérologie et de la biologie cellulaire, elle débute sa thèse en 2021, en continuité de son stage de M2 au Centre de recherche Saint-Antoine dans l'équipe La voie de signalisation TGFb dans la plasticité cellulaire et le cancer (UMRS-938). Elle s'intéresse au rôle d'une protéine, la kinésine Mklp2, dans la progression tumorale, les processus d'adhérence, de migration et d'invasion cellulaire.

Remy Smith

Rémy a obtenu son Master 2 en Biologie Intégrative et Physiologie, parcours Biologie du Vieillissement, à Sorbonne Université. Il a ensuite débuté sa thèse à l'IBPS dans l'équipe Vieillissement Cellulaire Intégré et Inflammation (UMR 8256). Il cherche à caractériser les effets thérapeutiques d'un peptide mimétique, dans un contexte de vieillissement, afin de le proposer comme une nouvelle thérapie visant les pathologies vasculaires liées à l’âge.