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Un peu de tout en somme !
Le 25 Octobre 2023
C'est déjà le weekend du fameux changement d'heure ! En effet, ce dimanche 29 octobre, à 02h00 pile du matin, nous repasserons en heure d'hiver.
Mais savez-vous depuis quand cette tradition existe-t-elle ?
Peut-être que oui, notamment si vous avez participé à notre enquête "Le Cyclamen de Rubis"... Mais si vous ne le savez pas, voici une brève histoire du temps - et de l'heure- en France.
Avant 1891, chaque ville française possédait son heure locale ; il était tout simplement midi quand le soleil se trouvait au zénith. Il était donc midi à Paris alors qu’il était déjà midi 19 à Nice et seulement 11 heures 42 à Brest.
Mais l'essor du transport ferroviaire au XIXe siècle bouleversa le système : une heure unique était nécessaire pour harmoniser les horaires. Il fut donc décidé, par la loi du 14 mars 1891, que toutes les villes de France se mettraient à l'heure moyenne de Paris, qui correspond à un décalage de 9 minutes et 21 secondes par rapport au méridien de Greenwich.
Le 9 mars 1911, il est décrété que l’heure légale en France est retardée de 9 minutes 21 secondes : soit un alignement sur le méridien de Greenwich. Cette décision fut considérée par certains comme une véritable capitulation, vu que la France avait voté contre l'adoption de ce méridien comme référence mondiale en 1884. D'ailleurs, le texte de loi ne mentionne pas explicitement la ville anglaise : l'heure de référence reste l'« heure de Paris » à laquelle on soustrait 9 minutes et 21 secondes, pour correspondre à l'heure GMT.
A partir de 1923, le changement d'heure saisonnier est adopté. Désormais la France métropolitaine vit à l'heure moyenne de Greenwich avancée d'une heure l'été, en coordination avec les nations alliées voisines, et revient à l'heure GMT pendant l'hiver. Mais le 5 novembre 1945, alors que la France est à l'heure d'été, le changement d'heure saisonnier est abandonné. Le (GMT+1) devient l'heure légale de la France.
En 1976, crise pétrolière oblige, la France cherche un moyen d'économiser son énergie. Le gouvernement ressort des archives le changement d'heure afin d'aligner au mieux les heures d'activité et l'ensoleillement et de réduire les éclairages artificiels. La France repasse alors à l'alternance heure d'hiver (GMT+1) - heure d'été (GMT+2), s'alignant ainsi à son voisin d'outre-Rhin. Et elle l'est toujours actuellement.
Le 24 Janvier 2024
Bonjour et bonne Saint-François De Sales à tout le monde ! 😎
En effet, le 24 janvier de chaque année nous fêtons le Saint homme le plus emblématique de la ville d'Annecy ! 🥳
À cette occasion, nous vous présentons ce grand personnage, indissociable de l'histoire de la ville et de la région, en quelques images 🖼 et quelques dates clés 📆, au risque de spoiler certaines des énigmes de nos scénarios : Chacun de nos parcours d'Annecy aborde à un moment ou un autre des aspects de la vie de ce Docteur de l'église.
Nous vous souhaitons donc bonne lecture🤓, et vous donnons RDV très bientôt sur les parcours de Mr. Mystère dans les ruelles de la Vieille ville d'Annecy pour apprendre davantage sur cet « homme de prière et d'action » comme le qualifiait Benoît XVI.
Par ici pour l'album entier sur FB :
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.270639808491127...
SAINT FRANCOIS DE SALES
(1567, Savoie - 1622, Lyon)
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Issu d’une famille noble, François de Sales choisit le chemin de la foi chrétienne en consacrant sa vie à Dieu et renonce à tous ses titres de noblesse. Il devint l'un des théologiens les plus considérés de son temps.
Ce grand prédicateur accéda au siège d’évêque de Genève, mais il ne put jamais prendre possession de son siège devenu la « Rome des calvinistes ». Il resta en résidence à Annecy et y fonda, avec la baronne Jeanne de Chantal, l’ordre religieux de la Visitation.
En plus de son influence au sein de l'Église, il fut très écouté des détenteurs du pouvoir, dont les ducs de Savoie Charles-Emmanuel Ier et Victor-Amédée Ier, la régente de Savoie Christine de France et les rois de France Henri IV et Louis XIII, notamment après qu'il fût à l'origine de la Conversion du Chablais au Catholicisme à la fin du XVIè siècle.
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Homme d’écriture et de lettres, il créa en 1607 l'Académie Florimontane avec le Président Favre. L’Église le considère, depuis 1923, comme le saint patron des journalistes et des écrivains, en raison aussi de son recours à l'imprimerie (ses publications comptent parmi les tout premiers journaux catholiques au monde).
Retour en quelques étapes clés sur la vie de Saint François de Sales, cet homme emblématique d'Annecy et de la Haute-Savoie toute entière, en ce jour de sa fête, fixée par l'église au 24 janvier.
LA JEUNESSE DE FRANCOIS DE SALES
À onze ans déjà, vers 1578, le jeune François de Sales demande à devenir prêtre, mais son père, qui le destine à la magistrature, l'envoie étudier le droit à Paris. Il poursuit alors ses études au collège de Clermont, sous la direction de son précepteur, Jean Déage. Il étudie la rhétorique, mais aussi le latin, le grec, l’hébreu, la philosophie et la théologie, savoir qui lui permet ainsi d’«apprendre les exercices de la noblesse ».
Il étudie aussi les « cours des arts » d'octobre 1584 à 1588. Se vouant alors à la philosophie, aux mathématiques, à l'histoire et à la musique, ainsi qu'à la rhétorique et à la grammaire, François montre également un fort intérêt pour la théologie, en se penchant particulièrement sur la grâce et la prédestination.
Poursuivant ses études, il passe sa licence et sa maîtrise au printemps 1588 et part la même année poursuivre ses études en Italie, accompagné du révérend Déage et de son frère Gallois. Il arrive à l'automne 1588 à Padoue, qui abrite alors l'une des plus grandes universités d'Europe. Il reçoit son diplôme de doctorat des mains du célèbre Pancirola en 1592. Il voyage alors en Italie, à Lorette, Rome, Venise puis retourne en Savoie.
A son retour, son père lui offre la seigneurie de Villaroger et lui présente une fiancée. François de Sales réaffirme sa volonté d'être prêtre, mais son père lui demande de s'inscrire comme avocat au barreau de Chambéry, vœu auquel il répond le 24 novembre 1592.
Cependant, François a toujours cette ambition de devenir homme d'Église, et il finit par devenir prévôt du chapitre de Genève à Annecy. Il commence par revêtir la soutane le 10 mai 1593 et le jour suivant, devient chanoine d'Annecy ; le 13 mai, il renonce à son droit d'aînesse, ainsi qu'à son titre de seigneur de Villaroger. En juin, il commence ses visites de malades et de prisonniers et, le 18 décembre 1593, il devient prêtre et prévôt de Genève.
CONVERSION DU CHABLAIS AU CATHOLICISME
La Réforme protestante s'étant répandue en Savoie pendant une brève période de domination bernoise (1535-1564), le Chablais avait conservé la nouvelle religion. Après avoir retrouvé son pouvoir sur cette région, le duc Charles-Emmanuel Ier, veut y restaurer la religion catholique, «par la douceur si l'on peut, par la violence s'il le faut». Aussi, demande-t-il à l'évêque Claude de Granier d’envoyer des missionnaires en 1594 et François de Sales se porte volontaire.
Il part, seul, armé seulement de la Bible et « des controverses » de Robert Bellarmin. Il se rend à Thonon, ville réformée, où il prêche dans la seule église restée catholique. L'hiver 1594-1595 s'avère difficile : outre la rigueur du climat, une ordonnance publique interdit aux protestants de se rendre aux prêches de François de Sales, et ce dernier est en outre calomnié. On aurait même cherché à l'assassiner, mais le religieux refuse toute escorte militaire, ne voulant rien devoir au pouvoir des armes.
Il fait imprimer ses sermons sur des feuilles volantes, qu'il placarde en ville, mais n'obtient que peu de conversions spectaculaires, hormis celle de l'avocat Pierre Poncet, le 11 avril 1595. Mais les années 1596 et 1597 marquent un tournant dans le Chablais, avec l'instauration de débats contradictoires, tout particulièrement après la conversion d'Antoine de Saint-Michel, seigneur d'Avully.
Accompagné d'Antoine de Saint-Michel, François de Sales se rend jusqu'à Genève pour y débattre avec Antoine de La Faye. Puis, avec le soutien du pape Clément VIII, il rencontre secrètement Théodore de Bèze, successeur de Calvin, et discute de questions de théologie. Il est désormais appuyé dans sa mission par quatre prêtres, qu'il fait bénéficier de son expérience : « Je vous assure qu'oncques je ne me suis servi de répliques piquantes qu'il ne m'en soit après repenti. Les hommes font plus par amour et charité que sévérité et rigueur ».
Par la suite, le duc de Savoie décide d'appliquer un principe politique et juridique alors généralisé : <I>Cujus regio, ejus religio</I>. Il restaure donc le catholicisme dans le Chablais, s'il le faut par la coercition : confiscation et destruction des publications protestantes, expulsion des ministres calvinistes et interdiction aux réformés d’exercer toute charge publique. Le duc fait venir des Jésuites et des moines. Leurs arguments sont renforcés par la présence de troupes composées de vétérans des guerres indiennes au Mexique logés chez les habitants réfractaires, Charles-Emmanuel de Savoie imposant à ces derniers de choisir entre la conversion et l'exil.
François de Sales ne s'oppose pas à la brutalité de ces méthodes, sa formation de juriste l'incitant assurément au respect de l'autorité. Mais il cherche à adoucir le sort des opposants en distribuant des sauf-conduits, et il visite une vingtaine d'exilés du Chablais afin de poursuivre le dialogue avec eux.
L’ACADEMIE FLORIMONTANE
Amoureux inconditionnel de la culture et l’enseignement, François de Sales est aussi un écrivain remarquable, et est l'un des premiers à utiliser le français contemporain dans ses écrits, et à recourir à des techniques innovantes comme l'imprimerie, afin de se rapprocher de ses lecteurs. En 1607 avec le juriste Antoine Favre, président du Sénat de Savoie, il fonde l’Académie Florimontane sur le modèle des académies italiennes du XVIe siècle, peut-être aussi de l’Académie qu’avait fondée Calvin à Genève , ou encore des « académies » qu’avait connues l’étudiant François de Sales au collège de Clermont à Paris. En bref, un lieu d’émulation intellectuelle ouvert à tous les domaines de la connaissance.
Cette société savante avait pour objectif d’encourager toute activité théologique, philosophique, scientifique et littéraire, en rassemblant des académiciens dans l'Hôtel Bagnoréa situé rue Sainte-Claire à Annecy, résidence du président Antoine Favre.
Ayant pour ambition d'éduquer et d'instruire, Saint François de Sales choisit pour son académie l'emblème de l'oranger et de ses fruits, parce qu’il est chargé de fleurs et de fruits presque en toute saison. Il lui choisit la devise "Flores fructusque perennes"; et l'appelle "Florimontane", car « les muses fleurissoyent parmy les montagnes de Savoye, il fust treuvé fort à propos de l'appeller Florimontane ».
Cette fondation connut, grâce à la personnalité de ses fondateurs, un rayonnement considérable, et a inspiré peut-être, 28 ans plus tard, la création de l'Académie française par Richelieu.
En 1610, l’Académie ne survit pas au départ d’Antoine Favre d’Annecy vers Chambéry pour le poste de Président du Sénat de Savoie. François de Sales, trop submergé de besogne et accaparé par son activité pastorale, ne put maintenir à lui seul l'Académie Florimontane, qui tomba en sommeil et disparut de l'horizon culturel de la Savoie jusqu'au XIXe siècle.
L’ORDRE DE LA VISITATION
La Visitation est le fruit de la rencontre entre François de Sales (15671622), évêque de Genève en résidence à Annecy, et Jeanne-Françoise Frémyot de Chantal (1572-1641), jeune veuve et mère de famille issue de la magistrature bourguignonne. Ils fondèrent le premier monastère à Annecy (duché de Savoie) le 6 juin 1610 selon un modèle original qui tentait de rompre avec l’idée que, pour les femmes, la vie religieuse devait nécessairement se dérouler en clôture. Les premières constitutions de l’ordre (1613), probablement inspirées de modèles italiens, n’imposaient que des vœux simples (le retour à la vie laïque était donc possible) et les religieuses vouées d’abord à l’oraison pouvaient également sortir du monastère pour visiter pauvres et malades, prendre part à des cérémonies religieuses, tenir de petites écoles, voire régler des affaires personnelles. Ainsi, la première Visitation associait vie contemplative et vie active, prière et charité. Mais lorsque les fondateurs envisagèrent l’installation d’un deuxième monastère à Lyon, ils durent se plier aux exigences de l’archevêque du lieu, Denis de Marquemont, puisque chaque maison de l’ordre était placée sous l’autorité de l’ordinaire. C’est alors que les Visitandines furent ramenées à une vie plus conforme au modèle traditionnel des moniales, avec l’établissement de la clôture stricte et des vœux solennels. La nouvelle règle fut approuvée par le pape Paul V en 1618. Il reviendrait à Vincent de Paul et à Louise de Marillac, une vingtaine d’années plus tard, d’ouvrir la voie vers une forme de vie consacrée féminine plus souple et plus ouverte sur le siècle. Dès lors la Visitation apparut avant tout comme un ordre contemplatif porté par « l’invasion mystique » (Henri Bremond) qui gagna en particulier les élites sociales au cours du premier XVIIe siècle, un ordre un peu moins austère que le Carmel dont il recueillait les vocations qui n’auraient pu s’y adapter. La spiritualité de la Visitation mettait l’accent sur l’humilité, la charité et la douceur. À la fin du XVIIe siècle, avec Marguerite-Marie Alacoque, le monastère de Paray-le-Monial (actuellement en Saône-et-Loire) devint un foyer majeur de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus, marquée d’une forte tonalité pénitentielle et réparatrice, et fortement liée à la vénération pour la personne du roi. Les Visitandines accueillaient des jeunes filles qui, durant quelques années de pensionnat, venaient parfaire leur éducation avant le mariage. Elles louaient également, dans l’enceinte de leurs monastères, quelques appartements à des veuves qui souhaitaient se retirer à l’abri d’un couvent. L’ordre connut une expansion rapide au cours des deux premiers tiers du XVIIe siècle, principalement en France. À la veille de la Révolution, il comptait 146 couvents dont une quarantaine en Italie, en Allemagne et dans les Pays-Bas autrichiens. Rétabli dès 1805, il essaima en Amérique du Nord et du Sud, au Liban et en Afrique.
L'HOTEL DE SALES
Plusieurs bâtiments à Annecy sont liés au nom de Sales, L'hôtel de Sales est probablement l'un des plus connus. En effet, cet hôtel est un rare exemple d'hôtel particulier de la fin du 17e siècle. Il est remarquable par le traitement du thème des Quatre Saisons à travers quatre bustes installés en façade. Cela dit, il n'a été construit que plus de 65 ans après la mort du saint homme.
Construit entre 1688 et 1690, l’hôtel de Sales est au XVIII siècle, une Résidence de prestige, qui accueille les prince de la Maison de Savoie lors de leurs haltes à Annecy. Sur la façade du bâtiment de 3 étages, Au-dessus des arcades, se trouve 4 bustes représentant les 4 saisons, thème très apprécié au 17e siècle : le printemps est reconnaissable avec sa couronne de fleurs ; l’été avec sa chevelure d’épis de blé ; l’automne avec ses rameaux de vignes et de grappes de raisin et l’hiver sous les traits d’un vieillard trapu habillé chaudement. Un autre buste se trouve sur le côté du bâtiment.
Confisqué comme biens nationaux à la révolution (1792), l’hôtel de Sales devient tour à tour le siège de l’administration du département puis un tribunal correctionnel. à compter de 1851 et pendant 15 ans, les lieux accueillent la Banque de Savoie. Parmi ses fonctions d’alors, on retient surtout celle d’émettre des billets. Cette tâche prestigieuse sera cependant de courte durée car l’annexion de la Savoie à la France en 1860 entraînera la fin de cette exception.
Aujourd’hui protégé (monument historique depuis 1930) mais ne se visitant pas, l’édifice est néanmoins visible par tous depuis la rue pavée et très animée du Pâquier. En continuant vers la ville, vous pouvez parcourir la rue Royale et ses belles boutiques de vêtements et de chaussures de belle facture. De l’autre côté, il ne vous faut qu’une centaine de mètres pour rejoindre le Pâquier en empruntant le passage piéton souterrain. Vous pouvez voir dans celui-ci l’emplacement de l’ancien mur d’enceinte de la ville d’Annecy.
LA STATUE DE SAINT FRANCOIS DE SALES, PLACE AUX BOIS
En 1863, l’Académie Florimontane propose d’élever une statue à saint François de Sales pour la célébration du bicentenaire de sa canonisation (1865). Le moment paraît d’autant plus opportun qu’au même moment, l’Académie de Savoie envisage d’ériger, à Chambéry, une statue à Antoine Favre, ami du saint savoyard. Une querelle liée à l’emplacement de la statue empêche ce projet de se réaliser à Annecy.
Le projet, par souscription, est relancé en 1911. Un concours est ouvert aux artistes en 1913 ; le projet de Descatoire et Weitmen est retenu. La Première Guerre mondiale retarde la construction. Ce projet renaît finalement dans la perspective de la commémoration du 3e centenaire de la mort de François de Sales en 1922.
L’inauguration de cette statue dédiée à saint François de Sales se déroule le 14 septembre 1924 en présence de l’évêque d’Annecy, monseigneur du Bois de la Villerabel, et sous la présidence du Haut-Savoyard Henry Bordeaux, de l’Académie française.
Lors de cette inauguration, la presse catholique salue le saint et le docteur de l’Église, tandis que les opposants mettent, eux, en valeur « l’illustre compatriote, l’éminent écrivain, le glorieux Savoyard, l’éminent prélat ou encore l’illustre enfant de la Savoie ».
Cette statue représente le saint, « Gloire de la Savoie et des lettres françaises », dans son fauteuil épiscopal, la main droite posée sur un de ses livres qui l’ont consacré comme un des grands écrivains de langue française.
Le 22 Janvier 2024
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En vous souhaitant une bonne semaine, et de profiter de ce soleil hivernal si doux ☀️❄️ 🙂