Chargée de recherche CNRS à la Station d’Ecologie Théorique et Expérimentale (SETE). Elle travaille en particulier sur la connexion humain-nature, la santé et les comportements pro-environnementaux des enfants.
Titulaire de la chaire Economie du Changement Climatique et Santé Humaine à l’Université de Montpellier, où il mène des recherches à l’intersection entre l’environnement, l’éducation et la santé.
Directrice de recherche INRAE et économiste du comportement et de l’environnement au sein du CEE-M. Ses recherches visent à mieux comprendre les préférences et les comportements pour élaborer des politiques publiques plus efficaces en faveur de l'environnement.
Économiste et chercheur, membre du CEE-M, il travaille sur la promotion des comportements pro-environnementaux via l’exposition à la nature, l’éducation à l’environnement ou le rôle des émotions.
Chercheure en psychologie cognitive, ses recherches portent sur l’influence des émotions, sur les processus d’apprentissage, de compréhension, de mémorisation et de décision.
Maîtresse de conférences en Psychologie du développement, membre du Laboratoire de Psychologie UR 4139, Université de Bordeaux. Ses travaux de recherche portent sur le développement des fonctions exécutives, les effets attentionnels de l'exposition à des stimuli naturels, et la connexion à la nature chez l'enfant d'âge scolaire.
« Renforcer le lien entre l'humain et la nature est un levier pour atteindre un futur souhaitable et durable. Maintenir une bonne connexion à la nature chez l'enfant améliore le bien-être, la santé humaine et la protection des écosystèmes naturels. »
Quentin Daviot est chercheur en sciences sociales, spécialisé dans l’évaluation d’impact de programmes éducatifs. Il a travaillé de nombreuses années sur l’évaluation de nombreux programmes éducatifs en France et à travers le monde. Il a créé et dirige EVAL-LAB, une structure française spécialisée dans l’évaluation d’impact.
Benjamin Michallet est économiste, spécialisé dans l'évaluation socio-économique des politiques publiques.
Noémie Caplet est experte en méthodes d’évaluation qualitative. Sociologue de formation, elle construit et dirige le protocole d’évaluation qualitative du projet.
Rayan Abdeli est assistant de recherche et implémente l’évaluation des potagers pédagogiques dans les différentes écoles.
« L’évaluation d’impact permet de comprendre dans quelle mesure un programme atteint ses objectifs. C’est un outil fondamental qui permet de déterminer de façon rigoureuse ce qui fonctionne, et ne fonctionne pas. En ce sens, elle crée un bien public actionnable par tous pour construire des sociétés plus justes, égalitaires et inclusives. »
Quentin Daviot, expert en évaluation d’impact, directeur de EVAL-LAB
Albane du Boisgueheneuc est experte dans le montage de potagers pédagogiques et collectifs, en particulier sur des projets engagés dans la transmission, la vulgarisation et la sensibilisation à l’environnement.
Florence Sevin est formatrice pour Terre vivante, et elle accompagne la mise en place de potagers pédagogiques. À travers le jardin elle permet à chacun.e d'explorer un univers créatif pour tisser des liens avec la nature.
« Le jardinage autour d’un lieu dans la cour d’école offre un champ infini d’apprentissages, de liens avec la vie pratique, indispensables à l’enfant pour ancrer ce qu’il apprend, et de multiples possibilités de faire ensemble et d’être ensemble. »
Albane de Boisgueheneuc, experte en potagers pédagogiques et collectifs